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(24/03/2010 11:16:53)
Annuels Osiatis : rentabilité préservée
Comme toute société de service, Osiatis a subi la crise économique. Son chiffre d'affaires 2009 se monte à 232,8 millions d'euros (ME) contre 239,5 un an auparavant, soit une baisse de 2,8%. La France est en net repli, avec -4,7% pour un CA de198,9 ME, alors que l'international (15% de l'activité) progresse de 10,1% avec 33,9 ME.
Le CA annuel précédent, celui de 2008, était en progression de 1,4% par rapport à l'exercice précédent. Osiatis reste sur des progressions de CA faibles : 213,8 ME de CA en 2004, 220,2 en 2005, 223,9 en 2006, 236,2 en 2007. En revanche, tous les chiffres 2009 concernant la rentabilité sont au vert : la marge opérationnelle progresse de 6,2% à 12,7 ME, le résultat net augmente de 68,5% à 7,9 ME, le résultat opérationnel de 19,6% à 10,5 ME. Le résultat net part du groupe se situe à 7,8 ME en hausse de 68,9%.
KPF affiche de grandes ambitions pour 2010
KPF a terminé l'année 2009 avec un chiffre d'affaires de 10,2 millions d'euros (ME). En croissance de 3% si l'on tient compte du rachat de Datig Consulting, mais légèrement négatif au plan organique. Une année de transition. La société n'a pas subi la crise économique, sauf sur son activité de consulting ou sur l'informatique industrielle. Le coeur de métier, l'activité d'intégration sur SAP a bien résisté.
« Nous avons pris un an de retard sur nos projets, mais maintenant, et dès fin 2009, nous avions repris notre plan de marche » souligne Philippe Savoye, directeur général adjoint du groupe chargé des opérations. Une direction commerciale a été créée pour pousser les nouvelles orientations. « Notre objectif est d'arriver à 12 ME de chiffre d'affaires, pour cela nous avons mis en place plusieurs dispositifs ».
« Le plus important, c'est la création d'une activité fonctionnelle autour de SAP. Jusqu'alors nous étions essentiellement grands comptes (Airbus, L'Oréal, Safran, Areva etc...). Un grand compte nécessite plusieurs approches, techniques ou fonctionnelles. Dans un « petit » grand compte ou une grosse PME, notre nouveau marché, il faut être global, à la fois technique et fonctionnel. Nous avons doncformalisé une offre en tant que telle pour ce mid market".
Lancement d'une offre Tierce maintenance exploitation
KPF va donc gagner ce nouvel axe client et développer pour cela une approche plus globale. De plus, il lance une offre Tierce maintenance exploitation (TME), toujours à destination des grandes PME. Il recherche un partenaire hébergeur pour l'accompagner sur cette nouvelle offre. KPF va également relancer son activité Actinux, dans l'open source.
Dernière forme de rééquilibrage, en région, où KPF souhaite se renforcer en Ile-de-France. Historiquement, en effet, KPF s'est créée avec des filiales régionales (KPF Lille, sud-est, sud-ouest, Ile-de-France) qui assurent de grands contrats : Lille pour Arcelor, Grenoble pour Areva, Toulouse pour Airbus. Dans le cas de KPF, le rééquilibrage régional consiste donc à se renforcer en Ile-de-France où le chiffre d'affaires représente 33% de celui du groupe, contre 25 % un an auparavant et doit atteindre les 40% fin 2010, 50% dans deux ans. Un rachat n'est pas exclu dans une région où il est encore peu présent, comme le grand ouest.
(...)(24/03/2010 11:14:11)
Informatica acquiert un spécialiste de la distribution de données
En rachetant l'éditeur 29West, le Californien Informatica s'offre un spécialiste des messageries interapplicatives (message oriented middleware) adaptées aux exigences applicatives des marchés financiers.
Installée à proximité de Chicago, la société acquise dispose aussi de bureaux à New York, Londres et Tokyo. Elle a été fondée en 2002 par Mark Mahowald (photo ci-dessus) avec l'objectif de développer un produit capable d'envoyer et de recevoir des messages à un rythme ultra-rapide. L'équipe disposait déjà d'une expérience de vingt ans dans la distribution de données (data delivery) sur le secteur de la finance, précise le site de l'éditeur. En 2004, 29West a livré le produit Latency Busters Messaging à son premier client et, à l'automne 2006, annoncé l'offre UME (Ultra Messaging for the Enterprise). L'an dernier, la société a entamé un tour du monde pour présenter sa technologie d'intégration de données 'sans latence' (voir le blog "Zero latency tour").
Informatica souligne que les solutions de 29West sont actuellement utilisées pour envoyer et recevoir des millions de messages par seconde en s'appuyant sur les technologies ULLM (ultra-low latency messaging) conçues pour fournir des temps de délivrance des données de l'ordre de la microseconde. Il intègrera ces technologies à sa plateforme d'intégration de données d'entreprise. (...)
Annuels Iliad : une année solide pour soutenir de fortes ambitions
L'année 2009 peut être considérée comme très bonne pour le groupe Iliad dans un contexte de crise. Le chiffre d'affaires est en progression de près de 25% et l'EBITDA affiche une progression de 26% pour atteindre 661,4 millions d'euros. Elément important, car cette somme servira à autofinancer le déploiement de la fibre optique. Iliad a confirmé son intention d'allouer 200 millions d'euros en 2010 pour déployer son réseau. Maxime Lombardini, directeur général de Free, a souligné «cet investissement devrait d'ici le deuxième semestre 2010 concerner la « verticalité » du déploiement (c'est-à-dire dans les immeubles) et non plus uniquement dans « l'horizontalité » (c'est-à-dire dans les égouts ou dans les tranchées) ». L'investissement total dans la fibre optique est toujours estimé à 1 milliard d'euros et le nombre de prises raccordables estimé à 4 millions à l'horizon 2012.
Des risques d'augmentation des forfaits à la fin de l'année
Toujours dans les chiffres, les dirigeants d'Iliad ont insisté sur le travail réalisé autour d'Alice, acquis en 2008 et qui après beaucoup d'efforts, réduction drastique de salariés, uniformisation du système d'information et rationalisation des offres commerciales, participe aujourd'hui à hauteur de 24 millions d'euros à l'EBITDA du groupe. Mais le DG de Free ne se satisfait pas du taux de churn (désabonnement) d'Alice, trop important (supérieur à 2% par mois) et souhaite le stabiliser. Sur les abonnés Free, le FAI a recruté 389 000 abonnés en 2009 et dispose d'une part de marché de 23%. Le revenu moyen par abonné est de 36,6 euros par mois sur le 4ème trimestre. Le FAI compte toujours séduire 5 millions d'abonnés d'ici 2011, dont 90% en dégroupage. Interrogé sur les plaintes déposées par l'UFC-Que Choisir notamment sur les conditions générales de vente, Xavier Niel, fondateur d'Iliad a estimé que « les actions de l'UFC (comme vouloir une facture papier par exemple) plus les taxes que le gouvernement imposent aux opérateurs feront que d'ici à la fin de l'année, le prix du triple play augmentera de l'ordre de 5 euros pour les nouveaux abonnés » et d'expliquer par la suite que « les taxes affecteront de 3 à 4 euros la facture des abonnés ».
Illustration Xavier Niel, vice-président du conseil d'administration, directeur général délégué à la stratégie
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La grande ambition du mobile
Thomas Raynaud, directeur financier d'Iliad a souligné « le faible endettement du groupe par rapport à ses concurrents et la génération d'une trésorerie de 376 millions d'euros, dont 240 ont servi à payer la licence pour devenir opérateur de téléphonie mobile ». Sur ce marché, Xavier Niel estime que les offres de Free Mobile interviendront au début 2012 et prévoit 1 milliard d'euros d'investissements pour avoir une couverture nationale. 200 millions d'euros vont être affectés pour construire ce réseau entre 2010 et 2011. D'ici là, pas question de signer un accord de MVNO de transition, « nous voulons être maître de notre réseau » affirme Xavier Niel. Pas de difficultés prévues a priori sur les points hauts « depuis 3 ans, nous avons dialogué avec les prestataires qui ont déjà déployés 3 réseaux et nous avons une bonne base de données des points hauts ». Les accords d'itinérance sont en discussion et « cela intéresse beaucoup les trois opérateurs, car ils permettent de compenser la baisse des parts de marché » déclare Maxime Lombardini. Le groupe travaille aussi sur les femtocell pour étendre sa couverture mobile en intégrant les puces probablement dans les Freebox. Pour rappel, Free Mobile a sélectionné principalement Nokia Siemens Network et de manière secondaire Alcatel-Lucent comme équipementiers. Le fondateur d'Iliad a émis des doutes sur les offres quadruple play (fixe+internet+télévision+mobile), lancées récemment par SFR, Bouygues Telecom et prochainement Orange, « il s'agit de faux-semblant et on commence à voir des résiliations d'abonnés à ces offres pour venir chez Free ».
Au final, avec un taux de churn de moins de 1% par mois, un coût d'acquisition par abonné très faible, un Arpu en progression, la génération d'une trésorerie capable d'autofinancer la fibre optique, une forte ambition dans la téléphonie mobile, Thomas Raynaud résume « Iliad n'est pas un opérateur assailli, mais il dispose de beaucoup d'armes face à la concurrence. »
Les clubs utilisateurs d'Oracle veulent du concret
L'Aufo, l'association des utilisateurs francophones d'Oracle, a tenu ce lundi 22 mars sa conférence annuelle, à Paris. Les sujets liés à l'intégration de Sun ne sont pas encore à l'ordre du jour, le club préférant aborder des préoccupations plus immédiates (les impacts de la crise sur les départements IT, les retours d'expérience...) ou revenir sur certaines problématiques propres à l'offre d'Oracle (la dématérialisation dans l'E-Business Suite, le support, AIA, CRM On Demand ou encore, la technologie 11G). Le feu vert donné pour le rachat de Sun ne remonte qu'à deux mois et l'Aufo attend que le rapprochement se concrétise pour en parler. « C'est encore récent, il faut d'abord que l'on nous prouve qu'il y a quelque chose au-delà des annonces », considère Jean-Jacques Camps (photo), DSI d'Air Liquide Ingénierie et président du club. Pour autant, l'Aufo est loin de se désintéresser de la question et l'association n'a pas attendu que l'autorisation de rachat soit accordée par Bruxelles pour essayer de créer un groupe d'utilisateurs Sun ; sans succès encore, mais c'est l'un des objectifs de l'année en cours.
Des groupes Sunopsis, Hyperion et bientôt BEA
En 2010, le club souhaite étendre l'activité de sa communauté. Un groupe BEA va notamment se constituer qui s'ajoutera aux autres groupes déjà créés au sein de l'Aufo pour accueillir les utilisateurs des offres rachetées par Oracle, comme Siebel, Sunopsis ou Hyperion. Seuls les clubs JD Edwards et PeopleSoft gardent une indépendance de fonctionnement tout en s'appuyant sur la même délégation générale. Ils participent notamment à la conférence annuelle. « Nous avons longuement discuté de la fusion de nos trois groupes, mais nous aurions risqué de perdre une partie de l'implication des personnes », explique Jean-Jacques Camps. Favoriser l'échange entre ses membres reste l'une des priorités de l'Aufo, en restant centré sur « la vraie vie et pas forcément sur la dernière version d'un produit ou le PowerPoint sur lequel tout va bien, alors qu'en réalité le spécifique reste souvent obligatoire », rappelle le président de l'association qui insiste sur la totale indépendance de son organisation vis-à-vis de l'éditeur de Redwood Shores.
Photo : Jean-Jacques Camps, président de l'Aufo
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Le club compte 800 personnes représentant une centaine d'entreprises et d'administrations, les deux tiers situées en Ile-de-France, un quart dans les autres régions et le reste hors de France (en Belgique et en Suisse). En 2009, un nouveau groupe a été lancé en Algérie. Le Maroc devrait être le prochain objectif d'extension. « Plus nous serons nombreux, plus fructueux seront les échanges. Du moment que l'on utilise la même langue de travail, que l'on se trouve dans une zone géographique qui n'oblige pas à des déplacements trop longs pour participer aux événements et que l'on se retrouve autour de préoccupations métiers communes », souligne Jean-Jacques Camps.
Des formations pragmatiques
En pratique, les membres se voient proposer une vingtaine de commissions par an sous forme de deux demi-journées thématiques ponctuées de témoignages. « Nous n'évoquons pas les lendemains qui chantent mais les mises en oeuvre qui existent ». Parmi les sujets récurrents : Comment produire un projet international et comment effectuer une montée de version. Parallèlement, des groupes de travail rassemblent des utilisateurs toute l'année autour d'une problématique commune : le CRM dans le secteur pharmaceutique, le secteur public, les systèmes géographiques... Enfin, tous les 3e jeudis du mois, une webconférence propose de découvrir un produit pendant l'heure du déjeuner (récemment, le User Productivity Kit, un logiciel de formation).
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Pour la troisième année, la remise des trophées a constitué le point d'orgue de la conférence annuelle des utilisateurs francophones d'Oracle. « Ils viennent apporter reconnaissance et visibilité aux projets efficaces et astucieux qui ont fait leur preuve depuis trois à six mois », met en avant Jean-Jacques Camps. Sur les douze dossiers finalistes du crû 2010, les quatre retenus l'ont été sur des critères de création de valeur, de mesure du bénéfice pour les utilisateurs, d'innovation et de créativité, a rappelé Françoise Hemery, la présidente du club JD Edwards en les présentant.
Un trophée pour une architecture Oracle RAC 11g Extended
Le Groupe Hospitalier du Havre s'est vu décerner le Prix de la technologie. Avec l'aide de la SSII Digora, il a mis en place une architecture Oracle RAC (Real application cluster) 11g 'étendue', composée de trois clusters (un de six noeuds et deux de deux noeuds), répartis sur deux datacenters et permettant une réplication totale. Chaque serveur dispose de son propre SAN. Cette application à haute disponibilité, en production depuis un an et demi pour traiter le dossier médical du patient, est désormais utilisée aussi par le SAMU.
24 mois pour déployer l'ERP E-Business dans une PME
Le trophée Application a été remis à Altis Semiconductor pour son application de GMAO (gestion de maintenance) transactionnelle et décisionnelle centralisée sur PeopleSoft et intégrée au SI de gestion.
Le Coup de coeur du Jury est allé à Teisseire, pour son déploiement « rapide et pratique » de l'ERP JD Edwards. Enfin, le Grand Trophée d'Oracle est revenu à l'éditeur de logiciels Bodet, une PME de 500 personnes qui, en 2004, alors que son SI reposait sur de nombreux développements spécifiques, a décidé de migrer vers un ERP. L'entreprise a déployé tous les modules de la E-Business Suite en 24 mois.
Chaque année, le lauréat du Grand Trophée est invité à se rendre à la grand'messe d'Oracle, OpenWorld, qui se tient à San Francisco, au Moscone Center. L'édition 2010 se tiendra du 19 au 23 septembre prochain. L'an dernier, le trophée avait été remporté par Webhelp et en 2008, par Soletanche-Bachy (voir ci-dessous son témoignage sur OpenWorld).
(...)(23/03/2010 10:02:38)Un ThinkThank numérique régional en Alsace
On ne les arrête plus, les entrepreneurs alsaciens multiplient les initiatives pour doper l'usage des Tic dans leur région. Cette fois, ils créent un ThinkThank (réservoir d'idées), nommé TEN :ThinkThank Economie Numérique. Sept thèmes sont arrêtés : télétravail, e-learning, e-santé, e-ubiquité, énergie, information intelligente, objets intelligents. Chaque thème est porté par un groupe de travail lui-même animé par un « champion ».
Jean-Christophe Uhl, secrétaire général d'UBI, est le « champion » du groupe télétravail. « La loi existe, les technologies aussi, le problème vient des pratiques et sans doute d'un blocage dans les entreprises » note le « champion » de ce groupe. L'idée est de sortir le télétravail du domicile, de le faire pratiquer dans des télécentres. Pour cela, l'Alsace peut compter sur un réseau dense de fibre optique. Il lui manque des centres de télétravail dans ses grandes villes, des centres de proximité, peut être un système d'échanges de bureau entre entreprises. Les idées abondent.
Des relais au niveau national
Ce groupe se met également en contact avec Actipole 21, qui, au plan national s'active pour la création de sites collaboratifs en télétravail, de même que « La Cantine » pour le moment parisienne qui pourrait essaimer en région Alsace. Très introduit dans les institutions régionales (au sens large), TEN veut s'inscrire dans la démarche du grand emprunt. Le but ? Répondre à ce Grand emprunt, avec des documents élaborés avant l'été pour amener des idées lors de son attribution en septembre. TEN n'est d'ailleurs qu'au début de cette démarche et recherche des contributeurs pour ses groupes de travail.
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