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(23/03/2010 10:02:45)
France Telecom à la recherche de son modèle dans les contenus
<a href=" http://www.reseaux-telecoms.net/eurotmt/" target="_blank"> (Source EuroTMT)</a>Depuis trois semaines, Stéphane Richard a les pleins pouvoirs chez France Télécom. Et un agenda bien chargé d'ici à la fin du semestre. Outre les négociations sociales dans un environnement toujours difficile, il doit finaliser le nouveau projet d'entreprise. Sur ce dernier point l'incertitude demeure sur les intentions du nouveau directeur général. Depuis sa nomination à la tête des activités françaises à l'automne dernier, Stéphane Richard a, en effet, beaucoup parlé, mais s'est aussi beaucoup contredit.
Le grand projet mobilisateur, un temps évoqué par la direction, semble être passé à la trappe faute de moyens suite à la réaffirmation par le groupe de ses objectifs boursiers (un free cash-flow d'au moins 8 milliards d'euros par an et une rémunération des actionnaires représentant 45 % de ce cash-flow). Et puis, les simples règles de la concurrence limitent, de toute façon, la marge de manoeuvre de l'opérateur historique. Pour ces raisons, France Télécom ne pourrait pas, par exemple, décréter un grand plan fibre, comparable au plan de rattrapage de la téléphonie fixe dans les années 70.
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En fait, la seule modification qui pourrait intervenir par rapport à la stratégie poursuivie par France Télécom sous l'ère de Didier Lombard, pourrait porter sur les contenus.Manifestement, Stéphane Richard n'est pas convaincu de la nécessité pour France Télécom d'éditer ses propres chaînes et d'acquérir des droits, notamment ceux du football à l'exception cependant du lot pour la téléphonie mobile. Si cette position se transformait en décision stratégique, elle pourrait constituer la première erreur du nouveau directeur général. Car le choix pour l'opérateur télécoms n'est pas entre être ou pas dans les contenus, mais dans maintenir ou mettre fin à l'intégration verticale, depuis les réseaux jusqu'aux services. En clair, doit-il opter ou non pour la séparation structurelle entre ses activités de réseaux et celles de ses services.
Certes, le réseau constitue le socle de sa rentabilité et une séparation poserait d'importants problèmes opérationnels. Mais cette opération aurait, au moins, deux avantages. D'une part, une scission permettrait à l'opérateur de régler « en douceur » son problème de sureffectif en France sans provoquer de casse sociale. D'autre part, Orange (nom que doit prendre l'opérateur) ne pourrait plus être accusé d'abus de position dominante en France, son marché domestique en se séparant de son réseau (qui pourrait conserver l'enseigne France Télécom). Mais, dans ces deux cas de figure, les contenus demeurent stratégiques.
La concurrence dans le haut débit est devenue multiforme. Elle va notamment passer, de plus en plus, par l'accès aux téléviseurs des abonnés. Si France Télécom abandonnait l'édition de chaînes de TV propriétaires (et son offre de télévision délinéarisée), ses concurrents venus d'internet, ceux venus de l'électronique grand public et même de l'audiovisuel auraient alors une belle occasion d'écrémer le marché en proposant aux abonnés à haut et très haut débit une « box over the top ». Celle-ci permettrait de combiner le flux audiovisuel avec le flux Internet et d'orienter les téléspectateurs vers leurs propres portails plutôt que vers celui de l'opérateur télécoms. Comme dans la téléphonie fixe, la valeur ajoutée dans le haut débit fixe n'est plus dans les abonnements, mais dans l'ensemble des contenus et services proposés. Didier Lombard s'énervait déjà il y a quelques années face aux Google et autres Skype qui font leur business sur les coûteux réseaux optiques qu'il déployait, dénonçant cette attitude proche de celle du coucou, qui fait couver ses oeufs par les autres. Et il n'était pas partisan de la scission entre le réseau et les services à la différence de ce qu'a fait la SNCF.
Salaires 2010 : peu d'espoir d'augmentation
L'enquête publiée par le cabinet de recrutement Hays le démontre : 2010 ne sera toujours pas l'année des augmentations. La conjoncture des années 2008 et 2009 a eu un impact important sur les recrutements et de fait sur les politiques de rémunération. Entre crise et restructuration, les salaires des informaticiens ont stagné en 2009. Dans les systèmes et réseaux, la pénurie des candidats constatés ces dernières années s'est réduite en particulier grâce aux licenciements en masse du secteur, principalement en SSII. Les fonctions du middle et du top management au sein des DSI ont particulièrement souffert de la situation. Ces profils ne sont pas toujours remplacés et les DSI préfèrent limiter le nombre d'intermédiaires entre les ingénieurs techniciens de production et de direction. « Désormais un profil classique d'ingénieur système et réseaux ne suffit plus, précise Anthony Collins, directeur adjoint de la division informatique et télécoms chez Hays. Il lui faut désormais disposer d'une valeur ajoutée pour négocier son salaire. »
Dans des secteurs en vogue malgré la conjoncture, tels que l'e-commerce, le web 2.0 et le multimédia les salaires sont également en berne sauf pour les experts qui peuvent les négocier à la hausse. «Ce sont des marchés porteurs, mais encore en devenir, précise Anthony Collins. Le niveau de rémunération n'a en général pas augmenté en 2009. Dans ces secteurs, il correspond plutôt à celui de 2008, et est, dans certains cas, revu à la baisse, dans les systèmes et réseaux par exemple».
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La tendance est donc à la morosité, sauf pour des profils très spécifiques. Exemple : maîtrise de Spring Struts Hibernate pour des ingénieurs Java/J2EE, maîtrise de Net 3.5 SQL Server 2005/2008 pour les spécialistes de .net.
Les métiers du conseil et de la MOA sont également en perte de vitesse, avec peu de postes ouverts en 2009. Même constat pour le secteur des ERP et du décisionnel, avec peu de recrutements et quasiment pas d'évolution salariale. E l'avenir n'augure rien de bon « Si la reprise budgétaire ne se manifeste pas rapidement, 2010 pourrait être une année difficile, tant pour les salaires que pour l'emploi », prévient le directeur adjoint d'Hays. Cependant ce marché est très cyclique et lorsque la reprise se confirme l'emploi et les salaires reprendront rapidement le bon chemin. » Il ajoute « Il faut, néanmoins, rester lucide. Le secteur de l'informatique est devenu un secteur comme les autres, qui s'est industrialisé et qui ne retrouvera jamais son essor des années 1998-2001 et de 2005-2007 ».
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Novell rejette l'offre de rachat d'Elliott Associates
Samedi, Ron Hovsepian, le PDG de Novell, a fait savoir à ses clients que l'entreprise avait rejeté l'offre de 2 milliards de dollars faite par Elliott Associates pour acquérir l'entreprise et ses logiciels open source. « Comme vous le savez, le 2 mars, Elliott Associates, L. P. a fait une offre non sollicitée et soumise à conditions pour l'acquisition de Novell. Aujourd'hui, après examen attentif et étude de la proposition avec les conseillers financiers et juridiques indépendants représentants Eliott Associates, nous avons fait connaître, par communiqué de presse, la décision prise par notre conseil d'administration, à savoir que l'offre d'Elliott Associates était inadéquate et qu'elle sous-évaluait l'activité de franchise et les perspectives de croissance de l'entreprise. En outre, nous avons annoncé que notre conseil avait autorisé l'examen de différentes options afin d'améliorer la valeur des actifs détenus par nos actionnaires. »
Illustration, Ron Hovsepian, PDG de Novell
(...)(22/03/2010 14:57:04)Salon DEMO Spring 2010 : L'innovation à l'heure du cloud
«Le cloud est un sujet énorme - chaque élément de cette plate-forme est aujourd'hui creusée et explorée » introduit Matt Marshall, le responsable l'événement. Alors que les solutions en démonstration sont généralement axées sur les utilisateurs, il existe également de nombreux produits destinés aux systèmes d'information de l'entreprise. La start-up FathomDB dévoile, par exemple, une base de données relationnelle qui s'exécute dans un cloud avec une tarification basée sur la capacité utilisée. «Le niveau de prix devrait être vraiment très bas » assure Matt Marshall.
Une autre société dénommée Gwabbit, qui avait déjà participé à la précédente édition de DEMO avec une solution de gestion de contacts pour Microsoft Outlook, est de retour est de retour avec un service hébergé sur un cloud qui synchronise automatiquement les contacts à travers de multiples systèmes. "Non seulement il récupère tous vos contacts, mais il les répartit sur les différentes plates-formes que vous utilisez », LinkedIn ou Facebook explique le responsable du salon. "À chaque connexion, le service dialogue avec les plates-formes pour synchroniser tous les contacts et opérer les changements nécessaires. "
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Une autre société du nom de Teneros met également l'accent sur les réseaux sociaux, mais avec un angle résolument professionnel. Son logiciel, appelé Social Sentry, permet aux entreprises de surveiller l'activité des employés sur des sites comme Facebook et Twitter. Le service piste les échanges avec les postes de travail externes à l'entreprise pour s'assurer que les employés ne diffusent pas d'informations sensibles. Teneros est probablement la société la plus opérationnelle sur le salon, puisqu'elle a déjà levé près de 100 millions de dollars auprès d'investisseurs selon Matt Marshall. Ce dernier, qui est arrivé cette année aux manettes de DEMO, est naturellement très excité sur les sociétés qu'il présente. «J'étais particulièrement enthousiaste lors de la préparation de cette liste ", dit-il." Il y a vraiment des entreprises étonnantes."
Mais c'est un moment difficile pour les start-ups qui cherchent à lever des capitaux dans le cadre d'un joint venture, souligne Jeff Couronne, président de DEMO et promoteur de la société VenueGen. Cette start-up a créé une plateforme de rencontre virtuelle 3D grâce à un premier investissement de 2 millions de dollars. Elle tente aujourd'hui de réaliser un tour de table pour récupérer 5 millions de dollars qui serviront à poursuivre le développement de l'entreprise. «Il n'est jamais très facile de lancer une entreprise», explique Jeff Couronne. "À la fin de la journée, toute personne qui aura investi dans une société, aura la satisfaction de soutenir une équipe », qui aura présenté son travail sur le salon.
Ces investisseurs recherchent des sociétés qui prospectent un marché prometteur , et qui ont déjà réussi à conquérir des clients, ajoute Jeff Crown. "Les investisseurs en capital-risque veulent voir les clients, les revenus et les produits, et c'est très différent d'hier quand ils étaient disposés à financer des prototypes et des idées de recherche. »
(...)(22/03/2010 11:48:10)Plus de 1 500 entreprises IT défaillantes, selon la Coface
Entre fin février 2009 et fin février 2010, 1 507 entreprises du secteur de l’informatique et de l’électronique ont été placées en redressement ou en liquidation judiciaire, soit 19,5% d’augmentation sur un an. Tel est le triste constat dressé par la Coface dans son observatoire des défaillances, ce qui place le secteur de la high-tech au 16ème rang sur un total de 22. Sur le seul mois de février 2010, 131 entreprises de l’IT ont du mettre la clé sous la porte.
Le climat est un peu moins morose du côté des télécoms, où l’on compte néanmoins 176 entreprises défaillantes entre février 2009 et février 2010 , soit + 7,3%. d’augmentation sur douze mois.
Au final, pas moins de 6 972 emplois devraient être impactés par ces difficultés.
L’un des effets les plus dévastateurs de la crise a été la multiplication des défaillances des PME, précise la Coface ; celles-ci ont vu leur nombre de fermetures progresser, beaucoup plus vite que les autres catégories d’entreprises. Ainsi, durant l’été 2009, la hausse des défaillances des sociétés de taille moyenne a atteint les 80%, contre 55% pour les micro-entreprises, tous secteurs confondus.
Documation 2010 : gestion de documents et collaboratif font recette
Salon dense, regroupant près de 150 acteurs des solutions de gestion de documents, de contenus web et de dématérialisation, Documation vient de rassembler près de 6 600 visiteurs en deux jours au Cnit de La Défense (les 17 et 18 mars), soit 18% de plus que l'an dernier. Les 90 conférences ont été assidûment fréquentées, organisées en parallèle sur six salles. Certaines ont même refusé des participants, comme les ateliers de Smile et Open Text sur les thèmes de l'Open Source et du Web 2.0. Les problématiques de veille et d'e-réputation, mises en avant par Digimind et l'IFIE (l'Institut français de l'intelligence économique), et illustrées par un témoignage du Crédit Agricole, ont également attiré le public. Une septième salle a été consacrée, le mercredi, aux interventions de Microsoft (sur SharePoint et Project 2010) et d'IBM, en présence de Ken Bisconti, vice-président de la ligne IBM ECM (entreprise content management). L'offre de gestion de contenus de Big Blue s'appuie sur sa suite FileNet P8, mais elle comprend aussi la solution Content Manager et le logiciel de collaboration Quickr qui s'intègre aux deux autres produits. IBM propose également Cognos Content Analytics pour analyser des contenus non structurés (typiquement, les commentaires de mécontentement ou de satisfaction sur des produits transmis par des clients à des centres d'appels).
Salon dans le salon, le village SharePoint Project a suscité beaucoup d'intérêt. Cet espace excentré, qui comportait sa propre entrée, occupait environ un sixième de la surface d'exposition. S'y alignaient les stands de 27 partenaires de Microsoft autour d'une zone de conférences qui n'a guère désempli. ll est vrai que l'éditeur met le paquet sur la promotion de la version 2010 de son portail, pourvue entre autres de fonctions web 2.0 [Lire « SharePoint ancre les outils sociaux à l'entreprise »]. Parmi les intervenants, Mindjet a montré son logiciel MindManager qui organise en une seule vue les tâches et données réparties dans différents sites SharePoint. CapGemini, de son côté, expliquait comment utiliser le portail de Microsoft pour faciliter l'accès à l'ERP de SAP. Quark s'appuie sur SharePoint pour la publication multicanale, K2 France pour créer des workflows avancés, alors qu'Itesoft et Ever Team lui ajoutent la numérisation et l'archivage des courriers entrants. Quant à la start-up Calinda Software, retenue dans le programme Bizspark de Microsoft, elle construit avec MindUP une cartographie des courriels échangés au sein d'un projet.
La FNTC sort un guide sur l'e-bulletin de paie
Documation 2010 avait par ailleurs réuni dans le Pavillon de la FNTC (fédération nationale des tiers de confiance) plusieurs acteurs de la dématérialisation, parmi lesquels Esker qui complète son offre FlyDoc d'un pack prépayé pour expédier des courriers postaux depuis son PC. La FNTC vient de livrer un guide sur le bulletin de paie électronique. Celui-ci s'ajoute à ceux que la fédération a déjà réalisés sur l'e-facture, l'e-mandat, l'e-vote, l'e-signature, ou encore l'archivage sécurisé (guides téléchargeables sur son site). A noter que sur les quatre E-Docs Awards décernés à l'occasion du salon, deux ont été attribués à des solutions de 'e-bulletin de paie' (voir encadré ci-dessous).[[page]]
Un troisième espace matérialisé, de taille plus modeste cette fois, accueillait cabinets de conseil et experts spécialisés sur les projets de GED, l'archivage probant et patrimonial, les portails, les moteurs de recherche... L'ensemble de ces domaines fonctionnels était représenté sur le salon par une variété d'acteurs, des plus anciens aux plus récemment apparus. Ainsi Iron Mountain (soixante ans d'expérience sur le stockage d'informations et les risques associés) avait invité MA Banque à témoigner sur les processus informatisés liés à l'archivage physique de ses dossiers de prêts. EMC Documentum proposait un atelier sur Captiva, sa solution de numérisation et de traitement des documents. Autonomy combine, avec sa solution DSMail, l'archivage en self-service des courriels, sur site, en mode hébergé et sous forme d'appliance. Tandis que Maarch propose depuis 2006 une solution en Open Source pour la gestion des archives (déjà bien implantée dans les collectivités locales, à Chatou, Tours, Argenteuil/Bezons, Saint-Nazaire...) qui vient d'être retenue par Numericable. D'autres éditeurs de portail, GED ou CMS (content management system) en Open Source étaient présents (eXo Platform, eZ Systems, Nuxeo, PMB) ou représentés par leurs intégrateurs, tel Alfresco par 1genia ou BlueXML, notamment, ou encore chez Smile et Open Wide, Jahia, Joomla, Drupal, Typo3 ou le portail Liferay. Dans le domaine des moteurs de recherche sur lequel évoluent plusieurs fournisseurs français, on retrouvait les stands d'Exalead, Lingway, Pertimm, Polyspot et Sinequa.
A noter que certains stands présentaient un panneau à l'attention des candidats au recrutement. Ainsi l'éditeur de portail et de gestion de contenus Jalios, qui lançait sur le salon sa Social Collaborative Suite, recherche des ingénieurs R&D, et veut étoffer ses services professionnels et son support applicatif. Locarchives, lui, recrute des consultants en gestion documentaire et en archivage électronique.
(...)(22/03/2010 09:10:15)Risc Group accuse toujours des pertes en 2009
Risc Group publie les résultats de son 1er semestre fiscal, clos au 31 décembre dernier. Le CA a dégringolé, passant de 40,2 millions d'euros, pour le même semestre de l'exercice précédente, à 32,7. Le résultat net part du groupe, passe dans le même temps, de -12,9 à -14,4. Le résultat opérationnel bondit de - 2,8 ME à - 12,3. Au plan social, une double opération de licenciements est menée. A l'international, le pôle Inbox est passe de 240 à 136 collaborateurs entre juin 2009 et février 2010. En France, un PSE est lancé pour supprimer 146 postes. Il aura un coût compris entre 7 et 8 ME. Risc Group précise également sa situation de trésorerie. Le groupe a consommé 6,7 ME : 3 ,7 en flux de trésorerie liés à l'activité, 2 ME d'immobilisations corporelles et incorporelles, 0,9 de remboursements d 'emprunts. Au 31 décembre, la trésorerie se monte à 5,1 ME, la dette financière à 3,35. Une augmentation de capital de 10,58 ME encaissée le 15 janvier sera comptabilisée sur le second semestre. STS Group, l'actionnaire de référence n'ira pas au delà de ce financement, la société doit donc trouver, par la relance commerciale et la diminution de ses charges, son équilibre. (...)
(22/03/2010 09:17:38)Baromètre HiTechPros / CIO : dure récession des services informatiques en février 2010
Alors que la demande du mois de janvier offrait des perspectives plutôt positives avec une quasi-stabilité (baisse de -0,37 %), la tendance du marché de la prestation informatique au mois de février suit l'évolution de la température et affiche une baisse de -7,93 % par rapport à l'année précédente selon le baromètre HiTechPros / CIO. Celui-ci est bâti à partir de l'évolution de l'activité des SSII utilisant la place de marché de compétences informatiques HiTechPros. Les trois catégories techniques les plus demandées restent toujours « Nouvelles technologies » avec 34,1 % des demandes des clients, « Systèmes, réseaux, sécurité » (22,2 %) et « Consulting expertise » (9,6 %). Par rapport à la même période de l'année dernière, les plus fortes hausses de ce mois de février concernent les compétences : « Recette, support utilisateurs » (+ 52,78 %), « Client serveur » (+ 25,00 %) et « Nouvelles technologies » avec (+ 21,54 %). A contrario, les ralentissements de la demande ce mois-ci concernent avant tout les catégories suivantes : « CRM, décisionnel, datamining » (- 1,64 %), « Moyens systèmes (AS400) » (-13,64 %) et « Système, réseaux, sécurité » (- 24,14 %).
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