Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 3321 à 3330.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(19/03/2010 11:50:36)
Ne l'appelez plus Nexus One
Google s'est vu refuser par l'Office américain de gestion des marques et des brevets (USPTO) le droit d'utiliser l'appellation "Nexus One" pour son smartphone, selon une information révélée par le Wall Street Journal. Le terme a déjà été déposé par une société américaine de télécoms, Integra Telecom, pour un service de partage de bande passante. Le géant du Web, qui commercialise cet appareil depuis janvier 2010 aux Etats-Unis, devra donc changer le nom de son terminal, contester cette décision en appel dans les six prochains mois, ou alors trouver un accord à l'amiable avec Integra Telecom, à l'image de l'arrangement conclu entre Apple et Cisco pour l'appellation "iPhone". Fabriqué par HTC mais vendu sous la marque Google, le Nexus One n'est pour l'heure pas officiellement distribué en France. On trouve toutefois dans certaines boutiques et chez certain MVNO. (...)
(22/03/2010 09:18:36)Annuels Econocom : chiffres 2009 positifs
La surprise avec Econocom, c'est qu'il n'y a pas de surprise, malgré la crise, la société affiche un résultat opérationnel courant en hausse de 12% sur 2009 et un chiffre d'affaires de +5,9%. Des chiffres positifs, comme les années précédentes, le modèle s'avère donc pertinent et l'amène à envisager de la croissance externe et le lancement de nouvelles activités. Après son chiffre d'affaires dévoilé il y a un mois, 759 millions d'euros (ME) en hausse de 5,9%, Econocom a donné des précisions sur sa rentabilité. Elle est à deux chiffres : +12% pour le résultat opérationnel courant à 28,7 ME. Ces chiffres sont positifs depuis plusieurs années. Le CA progressait les deux années précédentes de 2,3% et de 18,8%, le résultat opérationnel courant de 4,5% et de 48,5%.
Par activités, Econocom change cette année sa manière de calculer leur évolution, en excluant les opérations entre ses divisions internes. Le financement arrive en tête, avec 420,6 ME, mais ne progresse pas (avec l'ancien calcul, il augmente de 17,7%). Les grands comptes ont bien résisté, les grosses PME beaucoup moins.
[[page]]
La partie distribution baisse de 1,6%, alors que les budgets informatiques ont baissé en moyenne de 15% en Europe en 2009, plaide Jean-Philippe Roesch, le directeur général. Le secteur public progresse particulièrement, avec par exemple un contrat significatif de 27 ME auprès du Conseil général de l'Oise pour l'école numérique. Econocom a également adopté un programme de coûts variables, en recrutant des agents commerciaux, ou en laissant la logistique à des grossistes. Les services managés baissent de 6% du fait de la crise et des reports de projets. Les télécoms (gestion de flotte) progressent de 5,6% (avec les chiffres retraités).
« Nous sommes le 1er parc de lignes télécoms infogérées en France, souligne Jean-Philipe Roesch. Le groupe souligne également la solidité de sa situation financière, une trésorerie nette en augmentation (29,6 ME contre 24,2), des capitaux propres stables (84,6 contre 84,4). La société ne s'est pas endettée en 2009 et n'a pas fait d'acquisitions. Elle est prête pour de la croissance externe en 2010. Jean-Philippe Roesch cible des VARs, les dossiers portent sur des sociétés actuellement mal en point, mais gardant une capacité de croissance avec une meilleure gestion. Econocom lance également de nouvelles activités. Une dans le médical en Belgique, une dite « multimédia » en France. Ce multimédia encore embryonnaire, lancé à l'automne dernier, porte pour l'instant sur des projets de visioconférence. Econocom prépare d'autres développements.
(...)(19/03/2010 11:00:53)Année rouge pour GFI Informatique en 2009
La SSII GFI Informatique publie ses résultats 2009 avec un résultat net consolidé, part du groupe, de -57,8 millions d'euros (ME). Le chiffre d'affaires étant en recul de 6,7% à 663,6 ME. Cette perte est supérieure aux prévisions mais explicable par la situation de la SSII en Italie. Après s'être désengagé de l'Allemagne en début de mois, la SSII se désengage en effet de l'Italie, ce pays lui occasionne une perte de 42 ME (sur les 57,8 de la totalité des activités). Les deux cessions sont intégrées dans les comptes 2009. L'Allemagne représente une perte de 9,3 ME, due essentiellement aux moins values de cession, cette filiale est en recul de 9,1%. L'Italie recule de 33%, le résultat des activités cédées se monte à -42 ME (-10 ME de résultat net, -20,2 ME d'écarts d'acquisition, 3,5 ME de pertes complémentaires). Le discours de la SSII est donc d'annoncer une forte perte, mais de la justifier de manière plausible, en adéquation avec son plan der redressement annoncé au mois de juillet dernier. Outre ce désengagement, ce plan doit lui permettre de s se repositionner sur des offres à plus forte valeur ajoutée. La société procède également à des économies comme le regroupement de ses sept implantations franciliennes sur un seul site à Saint-Ouen l'été prochain. (...)
(19/03/2010 10:54:41)Des actionnaires-salariés dénoncent un dividende trop élevé chez France Télécom
Elle n'est pas connue du grand public, mais cette association peut émettre des jugements qui intéresseront au-delà du seul cas de France Télécom. Son raisonnement ? Une politique de dividende élevé est « court termiste ». Pour appuyer ce jugement, l'ADEAS explique que le dividende de France Télécom (servi au titre de l'exercice 2009) est trop élevé et dépasse le résultat net par action. Ce dividende par action 2009 se monte en effet à 1,4 euro, et dépasse le résultat net par action qui est de 1,13 euros. En 2008, le dividende était de 1,4 euro pour 1,56 euro de résultat net par action, le dividende était donc inférieur au résultat net par action. C'était également le cas les années précédentes. En 2007 : 1,3 euro de dividende par action pour 2,42 euros de bénéfice net par action, 1,2 pour 1,59 en 2006, 1 pour 2,28 en 2005, 0,48 pour 1,14 en 2004. Bref, 2009 marque un renversement historique dans la distribution du dividende de France Télécom. L'ADEAS demande le retour à un dividende de 0,50 euro « qui permettrait de revenir au ratio de distribution de 2004, qui apparaissait beaucoup plus raisonnable ». 2004 est d'ailleurs l'année, où « le durcissement des règles de management de l'entreprise, a débouché sur la terrible crise sociale ». L'ADEAS non seulement porte un jugement technique sur le montant du dividende mais relie ce montant à une politique globale, délibéré, de vision à court terme de l'entreprise et de mise sous tensions dangereuse pour sa pérennité. Des dividendes supérieurs aux bénéfices De plus, les dividendes versés au titre de l'exercice 2009, avec un dividende à 1,40 euro par action, représentent une facture totale de 3,65 milliards d'euros remarque l'ADEAS. Et comme le résultat net part du groupe s'élève à 2,997 milliards d'euros et le résultat net consolidé à 3,47,« France Télécom va donc verser des dividendes supérieurs aux bénéfices ». « Cette décision choquante et surréaliste, appelle plusieurs niveaux d'analyse », note encore l'ADEAS. Et de citer : « un dévoiement des règles du capitalisme, qui pour autant ne bénéficie pas au cours de l'action de France Télécom ; une politique à contre-courant des leaders mondiaux des nouvelles technologies ; une lourde hypothèque sur le futur de l'entreprise ». « Last but not least », l'ADEAS demande à l'Etat actionnaire (avec 27% du capital) de prendre toutes ses responsabilités, « il a tous les moyens d'infléchir cette politique irresponsable pour la pérennité de l'entreprise ». Au fait, qu'en pense Stéphane Richard ? (...)
(19/03/2010 09:32:00)Après Twitter, Digg abandonne MySQL au profit de Cassandra
L'équipe de développement du site de partage de contenus Digg a arrêté d'utiliser la base de données MySQL. Il emboîte ainsi le pas à Twitter qui vient de prendre une orientation similaire. Dans un billet de blog, John Quinn, le vice-président du développement de Digg explique l'abandon de la base Open Source en faveur d'un environnement 'NoSQL', Cassandra en l'occurrence, en raison des difficultés croissantes à construire une application exigeante en ressources (écriture intensive) sur un volume de données qui grossit rapidement, à l'infini. Digg procède à plusieurs autres changements et refond le code de son application en s'éloignant du modèle Open Source LAMP (Linux, Apache, MySQL, PHP, Python et Perl).
Mais c'est l'abandon de MySQL qui constitue le revirement le plus significatif. « Pour quelqu'un qui, comme moi, a travaillé quasiment exclusivement sur des bases de données relationnelles depuis près de vingt ans, c'est une démarche plutôt audacieuse », concède John Quinn. [[page]]MySQL est passé sous le contrôle d'Oracle, depuis que ce dernier a été autorisé à racheter Sun, ce qui soulève un certain nombre d'inquiétudes. Le créateur de la base Open Source, Michael Widenius, s'en est particulièrement ému, parmi d'autres. Toutefois, cet état de fait n'a pas été mentionné par John Quinn comme un facteur déterminant dans la décision de Digg.
Cassandra, créée par Facebook et versée dans l'Open Source
Le site communautaire a donc jeté son dévolu sur Cassandra, un SGBD distribué, originellement mis au point par Facebook, qui l'a versé dans l'Open Source en 2008, et désormais développé par la communauté Apache. Dès à présent, Digg a redéveloppé la plupart de ses fonctionnalités avec Cassandra, tout en procédant à ses propres améliorations sur la base de données, explique John Quinn. « Digg s'est engagé dans l'utilisation et le développement d'outils Open Source et nous préférons éviter d'investir dans les coûteuses solutions propriétaires capables de supporter de gros volumes.
Cassandra est orientée colonnes et permet de stocker des données relativement structurées. Elle propose un modèle entièrement décentralisé et présente une forte tolérance aux pannes. Les données sont répliquées sur de multiples noeuds et entre les datacenters. Elle est également très flexible, ses capacités de lecture/écriture augmentent linéairement au fur et à mesure de l'ajout de nouveaux serveurs. » Digg se focalise désormais sur la finalisation de sa prochaine version.
(...)(18/03/2010 12:29:08)Une start-up migre les données stockées sur Centera
Interlock Technology, jeune société américaine, offre un service d'évaluation des données hébergées sur Centera (baie d'archivage d'EMC), pour ensuite pouvoir les transférer au sein d'autres réseaux de stockage. Ce service utilise un logiciel exploitant des API standards, qui respectent l'intégrité des données. Elle utilise notamment l'API nommée, XAM (Extensible Access Method) qui facilite l'échange entre les topologies de réseaux de stockage, NAS et SAN. Cette API n'est pas propriétaire et a été développée au sein de l'association des industriels du stockage. Le PDG de la jeune pousse, Gary Liebermann explique « les produits Centera peuvent atteindre certaines limites en cas de catastrophes ou de continuité d'activité, car les sociétés ne peuvent pas s'en offrir plusieurs et vous ne pouvez répliquer les données sur un seul Centera » Interlock Technology a passé des accords avec Netapp pour intégrer sa solution au sein de SnapLock Application et avec IBM pour son service cloud de stockage. Le tarif du service de migration proposé par Interlock est de 5000 dollars par To, mais baisse en fonction du volume de données migrées. (...)
(18/03/2010 09:39:29)Octa France s'implante à Vannes
Bien que basé en région parisienne (Conflans-Sainte-Honorine / 78), l'intégrateur de l'ERP Divalto Octa France n'est pas un nouveau venu dans l'Ouest. Toutefois, sa présence y restait relativement limitée avec un portefeuille de clients locaux ne comptant jusqu'ici que cinq entreprises. La situation vient de changer radicalement suite à l'acquisition de l'activité de son homologue Vannetais Isatech autour de la vente et du déploiement de Divalto. Conséquence directe de l'opération, Octa France enrichit son portefeuille de clients locaux de 25 entreprises et récupère une équipe de consultants confirmés autour de l'ERP pour PME-PMI. « Nous avons profité d'une opportunité, indique Pierre Proton, le PDG d'Octa France. Isatech s'est progressivement spécialisé dans l'intégration de Microsoft Dynamics NAV et mettait de moins en moins l'accent sur son activité autour de Divalto, au point de vouloir la céder ». Force est de constater qu'avec 400 K€ de chiffre d'affaires générés autour de Divalto, comparé aux millions d'euros issus du reste de son activité, Isatech avait effectivement « mis de côté » cet ERP. Objectif : 1,2 M€ de CA d'ici trois ans dans l'Ouest Pour autant, Octa France ne doute pas que son acquisition ait un fort potentiel de croissance. D'ici trois ans, il compte réaliser un chiffre d'affaires de 1,2 M€ dans l'Ouest et avoir formé alors une équipe de 10 personnes. Il continuera de disposer d'une agence à Vannes et pourrait également en ouvrir une seconde à Nantes. « Cet objectif est réalisable, notamment parce que nous avons le soutient de Divalto dont nous sommes le troisième revendeur en France, explique Pierre Proton. Nous pensons notamment que Divalto va nous communiquer des projets clients». L'éditeur a notamment coutume de renvoyer des clients vers Octa France lorsque ceux-ci recherchent une solution métier pour sociétés de services dont l'intégrateur est éditeur et que Divalto met en avant sur son site. (...)
(18/03/2010 09:42:05)Annuels ITS Group : Une année dopée par la vente d'Athéos
Pour le compte de son exercice 2009, ITS Group a enregistré un résultat net en hausse de 161% à 6,4 M€. Cette croissance notable résulte en bonne partie de la revente en juin dernier de 70% du capital de la société d'Athéos que détenait la SSII. Elle en a retiré un résultat de cession de 4,4 M€. Le chiffre d'affaires d'ITS Group a tiré profit, quant à lui, du rachat de Prisme (septembre 2009) dont la consolidation dans le bilan de la SSII depuis octobre a permis de faire ressortir ses revenus en hausse de 13% à 6,4 M€. La croissance organique de l'activité atteint 10%. Représentant 8,8% (1,4 point comparé à 2008) du chiffre d'affaires consolidé d'ITS Group, sa marge opérationnelle est en hausse de 35% à 4,8 M€. Une progression rendue possible par la hausse du taux d'activité des ingénieurs et consultants du groupe, passé de 86% en 2009 contre 83% en 2008, et le maintient de ses prix de vente. Forte de ces bons résultats obtenus dans un contexte de marché difficile et des investissements qu'elle a réalisé en 2009 (Acquisition de Prisme et d'Axialog), ITS Group maintient son objectif de 10 M€ de chiffre d'affaires en 2011. (...)
(18/03/2010 09:39:25)John Chambers : Cisco n'a pas voulu concurrencer IBM et HP
Votre objectif de devenir la compagnie numéro un dans l'IT entraîne une présence sur des marchés très différents. Les gens vous connaissent comme société dans les réseaux, mais vous avez également une ambition qui va à l'encontre d'acteurs comme HP et IBM. Ce sont des choses très différentes non ? Nous sommes un des acteurs les plus importants aussi bien sur le plan de l'architecture réseau, que dans le domaine de la communication au sens large. Et sur ces points, nous travaillons concomitamment sur la technologie et le commercial. La position de leader a été acquise en enregistrant des très bons résultats sur des marchés en phase de croissance. Même les critiques les plus acerbes, peuvent le reconnaître. Il faut également constater que la première génération de nos concurrents comme SynOptics, Wellfleet, 3Com, Cabletron, n'existent plus et la même chose pourrait nous arriver si nous ne nous adaptons pas aux évolutions du marché. De plus, nous sommes des paranoïaques en imaginant que nous pourrions être à la traîne. Enfin, quand nous avons commencé dans le marché des fournisseurs de services, plusieurs personnes nous ont indiqué notre absence de compréhension des acteurs. La légitimité était du côté de nos concurrents, Nortel, Lucent, Alcatel, Siemens, Ericsson. Nous avons donc pensé comment devenir numéro un sur ce marché et maintenant, nous le sommes. Pour ce faire, la direction prise reposait sur l'architecture à la différence de nos concurrents. Lors du dernier Mobile World Congress à Barcelone, si vous posiez la question quel est votre partenaire le plus efficace en matière d'architecture et pour la distribution des services, nous sommes cités dans la majorité des cas. Une chose impensable il y a encore 5 ou 6 ans. Dans le domaine des datacenters, je n'ai pas voulu entrer en concurrence avec IBM et HP. J'aurais préféré établir un partenariat avec les deux. Mais nous avons décidé, il y a 5 ans maintenant, d'aller vers la virtualisation, et les partenariats envisagés, entraînaient un trop grand partage de notre technologie. Cela revêtait une importance stratégique pour nous, car la question n'est pas de transformer le marché. Je ne m'intéresse pas aux serveurs, je regarde la virtualisation, où vous devez savoir où sont les processeurs, où les informations sont stockées et où résident les applications. Le réseau devient une commodité. Nous avons donc suivi les attentes du marché en nous concentrant sur cette transition et non sur nos concurrents. [[page]] Quel est votre position sur le cloud et pourquoi certaines grandes compagnies n'y vont pas ? Il ne s'agit pas simplement de la question d'y aller. La problématique repose sur la virtualisation et sur le rôle que va jouer le réseau dans tout cela. Nous pensons que le réseau est une pièce centrale et non le datacenter ou le terminal de l'utilisateur final. Il existe plusieurs dispositifs pour recevoir tout type de contenu aussi bien à travers des réseaux sans fils ou filaires à la maison, sur un smartphone Apple, Microsoft ou IBM. De plus, le marché ne se fait plus sur la voix, ni sur la donnée, mais sur la vidéo. Maintenant, nous pouvons dire que c'est une grande période. Mais souvenez-vous, nous avions expliqué il y a quelque temps que la vision devait être globale, voix, vidéo et données. Cette décision a été prise il y a 15 ans et nous avons commencé à construire nos architectures dans cette optique. Comment voyez-vous le déploiement des offres de clouds publics et privés au sein des entreprises ? Peut-on les fédérer ? La perspective sur les clouds privés et publics au sein de l'entreprise doit aboutir in fine à un système de confédération, complétement transparent pour les utilisateurs finaux, les responsables informatiques et autres. Le réseau est au coeur de tout cela. C'est notre démarche quand nous développons des partenariats avec VMware ou EMC et encore plus récemment avec NetApp, en réfléchissant sur des standards ouverts sur ce type de sujet. Nos meilleurs partenaires dans le cloud seront les fournisseurs de services, car ils devront faire vivre leurs tuyaux et éviter que leur réseau ne soit qu'une commodité. La valeur reviendrait alors aux sociétés périphériques ou aux créateurs de contenus. Il me semble que nous avons une opportunité commune. [[page]] Quel sera le plus grand marché au sein des clouds ? Dans un premier temps le marché le plus important sera représenté par le cloud public. Sur le long terme, le privé et la combinaison de ce que l'on appelle la fédération des clouds. Nonobstant, nous développons nos propres clouds et nous nous interfacerons avec d'autres. Vos concurrents mettent en avant que vos solutions sont propriétaires, que répondez-vous ? Les premiers contrats contenaient beaucoup de technologies propriétaires. Nous sommes maintenant devenus une société avec des standards ouverts. Internet est ouvert à tous les terminaux et contenus. Quand nous avons intégré le marché de la téléprésence, nous disposions d'une forte part de marché sur le haut de gamme (64%). Nous avons proposé une norme ouverte et disponible pour l'ensemble des concurrents. A ce que je sache, nous n'avons pas de système d'exploitation propriétaire qui fonctionne sur nos produits. Internet doit être l'interface unique sur des différents terminaux. Cela nous permet d'aller plus vite sur le marché et de protèger nos clients qui ne seront pas bloqués par un OS, un terminal ou un datacenter. Quelle est votre réaction à la critique de l'existence d'une Cisco Tax ? Ce n'est pas très honnête de dire cela. Les clients n'ont pas de problème avec notre politique premium, car si vous ne faites pas ce type de produit, vous ne développez pas de nouveaux produits et ne protégez donc pas les investissements. Est-ce que je crois à la mise en place d'une consolidation industrielle rapide ? Absolument. Est-ce que je crois qu'une part de vos prises de décisions décisives est basée sur notre capacité à innover, à nous adapter au sein d'un marché en pleine évolution à travers des produits qui travaillent ensemble, dans une architecture ouverte ? Oui. Est-ce que les clients doivent payer un tarif premium pour cela ? Oui. Même si je soutiens qu'il ne s'agit pas d'une tarification premium. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |