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(25/02/2010 16:10:41)
CA affine sa stratégie cloud en rachetant 3Tera
A ceux qui doutent des projets de CA dans l'environnement « nuage informatique », l'éditeur américain vient d'ajouter une nouvelle brique à sa stratégie cloud. L'acquisition de 3Tera apporte la solution AppLogic assurant la migration en douceur du cloud privé à la version publique. Cette opération succède aux rachats de Cassatt l'été dernier et Oblicore en début d'année. Elle sera effective d'ici quelques semaines. Pour Jay Fry, Vice-Président de la branche stratégie de CA , « le plus intéressant avec 3Tera est d'apporter à nos clients la possibilité de prendre leurs applications existantes et de les porter ensuite sur un cloud privé ou public, via une interface élégante (sic) ». Pour James Staten, analyste principal de Forrester Research « avec les solutions de 3Tera, l'éditeur ne devrait pas uniquement s'adresser aux fournisseurs de contenus, mais également à d'autres clients entreprises qui souhaitent convertir leur infrastructure interne virtuelle dans un environnement cloud » et d'ajouter « que cette orientation amènera l'éditeur américain à travailler sur d'autres solutions concurrentes de celles de VMware par exemple ». Les analystes rappellent également que les offres de 3Tera sont limitées à la plateforme Xen, utilisée par Amazon. Mais les responsables de CA indiquent que la compatibilité avec les solutions VMware et Hyper-V de Microsoft est à l'étude et devrait intervenir très rapidement. (...)
(25/02/2010 15:15:03)Citrix et VMware montent dans l'asset management IT
Citrix a annoncé l'acquisition de la société Paglo, spécialisée dans les solutions de gestion et de configuration d'actifs IT. L'acheteur devrait intégrer ces services au sein de son offre en ligne de contrôle à distance et de gestion des équipements IT, GoTOmanage. Ce dernier est le complément idéal de GoToAssist, service qui donne aux administrateurs le pouvoir de prendre la main sur les ordinateurs en cas de difficultés. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. De son côté, VMWare s'est portée, selon le blog du groupe, acquéreur de trois logiciels (Virtual Profiles, Pinpoint et Discover), ainsi que des équipes R&D de la société RTO Software. L'intégration des différentes applications au sein de la solution VMware View apporte aux administrateurs une meilleure gestion des profils utilisateurs au travers des machines virtuelles. Cette vue globale apportée par le logiciel Virtual Profiles est selon VMware « un élément critique de la virtualisation, pour bien comprendre son environnement, le répliquer, le synchroniser, etc. » Les logiciels PinPoint and Discover supervisent eux les performances applicatives en traçant le fonctionnement respectif des logiciels et des équipements. L'intégration des différents logiciels RTO sera effective d'ici mi-2010. (...)
(24/02/2010 16:55:39)SGI acquiert Copan Systems
Le spécialiste du calcul haute performance et de solutions pour les datacenter a annoncé l'acquisition des actifs de Copan Systems, fournisseur de plateformes de haut niveau pour l'archivage et le stockage à long terme. A travers cette opération, estimée à 2 millions de dollars, SGI étoffe son offre de stockage en intégrant dans son portefeuille, la technologie MAID (Massive Array of Idle Disks), qui désactive les disques durs qui ne sont pas ou peu utilisés. En complément, SGI hérite aussi des fonctionnalités de « Disk to Disk » et VTL (Virtual Tape Library) facilitant la récupération instantanée de volumes importants de données. Dernièrement, SGI a annoncé une offre de cloud computing, baptisée Cyclone (...)
(24/02/2010 13:04:19)Maintenance SAP : le piège du retour au contrat standard
Il reste encore trois semaines à certains clients de SAP pour prendre une décision délicate. Doivent-ils revenir à un contrat de maintenance standard, facturé chaque année 18% du prix payé pour les licences qu'ils ont achetées (avec des ajustements réguliers en fonction de l'inflation)? Ou ont-ils au contraire intérêt à opter pour le contrat d'assistance avancée, Enterprise Support, tarifé à terme à 22%. Depuis janvier dernier, l'éditeur de solutions de gestion intégrées leur donne de nouveau ce choix, à l'issue de longues discussions avec ses clubs d'utilisateurs, un an et demi après la migration forcée vers une formule unique à 22%. Chaque client de la version Enterprise pourra même, au début de chaque année, décider de revenir à la version Standard s'il le souhaite.
Il y a des différences majeures entre les deux formules. SAP Standard Support fournit des services distants et des outils d'évaluation technique des systèmes, ainsi qu'une assistance 24 h/24 pour la résolution des problèmes techniques. Avec SAP Enterprise Support, l'éditeur s'engage à apporter une assistance pro-active, incluant l'accès aux extensions de fonctionnalités des 'Enhancement packages'. Et, surtout, le contrat est assorti d'un engagement de service (SLA) pour assurer la continuité des activités. Les entreprises concernées pèsent donc prudemment le pour et le contre avant de prendre leur décision.
Enterprise Support : plein tarif après le 15 mars
Revenir au contrat de base n'est pas sans risque. Et SAP ne se prive pas de le souligner. En effet, si les entreprises changent d'avis après le 15 mars, le coût d'accès à Enterprise Support sera directement facturé à 22%. Alors qu'en optant aujourd'hui pour ce service avancé, les entreprises ayant signé leur contrat de licences avant le 5 juillet 2008 (*) sont assurées que le coût du service n'atteindra 22% qu'à partir de 2016. SAP leur rappelle qu'en passant à Enterprise Support au 15 mars 2010, leur redevance ne sera que de 18,36% cette année et qu'elle n'augmentera ensuite que progressivement.
A l'occasion d'une Webconférence avec le club des utilisateurs américains de SAP, cette semaine, Ray Wang, analyste d'Altimater Group a distingué quatre groupes de clients :
- Les aguerris : ceux qui ont d'anciens systèmes SAP, stables, dont ils ne souhaitent pas étendre les fonctions et qui ont peu de contact avec l'éditeur. Ray Wang estime qu'ils peuvent se contenter du contrat Standard à court terme. Il leur suggère même d'étudier la possibilité de prendre en charge eux-mêmes leur maintenance ou de faire appel à un autre prestataire (comme Rimini Street aux Etats-Unis).
- Les indécis : ils ont quelques projets d'extension fonctionnelle autour de SAP, peu nombreux, mais qui nécessitent de faire appel au support. L'analyste d'Altimater leur conseille de tester Enterprise Support pendant un certain temps pour juger de l'intérêt du service pour eux.
- Les engagés mais 'a minima' : ils projettent des investissements supplémentaires dans leurs applications SAP et recourent aux services de support. Ray Wang leur recommande de conserver la formule Standard.
- Enfin, les inconditionnels, porte-drapeaux de l'offre : ils viennent de déployer leurs applications ou s'apprêtent à étendre celles qu'ils ont. Il est préférable qu'ils optent pour Enterprise Support dès maintenant. Mais ils pourraient aussi en profiter pour renégocier leur contrat de licences si certaines d'entre elles sont inutilisées.
(*) Tous les contrats de licences signés après le 5 juillet 2008 sont assortis d'une maintenance avancée à 22%. (...)
Le marché du cloud computing en Europe a crû de 20% en 2009
Les offres de type « cloud computing » vont fortement croître dans les années à venir, confirme l'étude réalisée par le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC) pour le compte de la Commission Européenne. En 2009, malgré la crise, le marché a ainsi atteint 4 milliards en Europe avec une croissance de 20% et une part de 1,5% dans le marché des logiciels et service. D'ici 2015, cette part devrait passer à 13%. Cette croissance sera dopée par la crise. En effet, le recours aux infrastructures et logiciels mutualisés et vendus sous forme de services évite de devoir investir lourdement au départ d'un nouveau projet. De plus, la mutualisation permet une baisse du coût total. Cependant, à court terme, ce sont les créations de clouds privés qui soutiendront la croissance de ce marché. Selon PAC, « avec le Cloud Computing, une partie de l'informatique va progressivement se transformer en une industrie « lourde » basée sur des centres de production fortement automatisés. » (...)
(23/02/2010 16:12:27)DMP : un consortium comme hébergeur unique
Par un communiqué de presse, l'agence des systèmes d'information partagés de santé (ASIP-Santé) a annoncé avoir choisi le consortium industriel mené par les groupes Atos Origin et La Poste, et également constitué des sociétés Atos Wordline, Santeos, Extellia, HSC, Softway Medical Services, Evalab pour héberger le DMP (dossier médical partagé). Depuis le dernier plan de relance du DMP, et la création de l'ASIP-Santé, la nouvelle équipe a en effet choisi d'abandonner le principe de multiplicité des hébergeurs (plus ou moins un par région) au profit d'un hébergeur national unique. Le consortium qui vient d'être choisi hébergera donc l'ensemble des dossiers médicaux personnels partagés des patients résidant en France et assujettis aux régimes sociaux français. Le marché n'étant pas encore notifié et donc susceptible de recours, les éléments économiques comme les détails concrets du projet ne sont pas actuellement disponibles. (...)
(23/02/2010 16:11:40)Fibre optique : mutualisation contractualisée, déploiement officialisé
Il y a encore quelques mois, les opérateurs menaient bataille sur la mutualisation des réseaux de fibres optiques au sein des immeubles. Certains comme Free militaient pour la pose de plusieurs fibres et la location du surplus aux autres opérateurs. Orange, lui, souhaitait le déploiement d'une seule fibre et louer la capacité de cette fibre. L'ARCEP s'est prononcé en faveur de l'opérateur alternatif en soulignant que la méthode de déploiement assurait une plus grande concurrence. Après ces tergiversations, le régulateur français des télécoms s'est félicité lundi de la publication par les opérateurs de leurs offres d'accès à leurs réseaux de fibre optique. Pour le gendarme des télécoms, « la publication de ces offres rend effectif le démarrage par les opérateurs du déploiement mutualisé de la fibre optique jusqu'aux logements. » Les opérateurs (France Télécom, SFR, Numéricable et Free) vont ainsi pouvoir discuter entre eux du déploiement de réseaux mutualisés dans les zones très denses. L'Autorité publie à cette occasion un guide sur la fibre optique dans les immeubles à destination des bailleurs, syndics, copropriétaires et locataires. Ce document, téléchargeable sur Internet, a vocation à répondre aux questions relatives à la fibre optique, son cadre réglementaire et la manière dont va se dérouler l'équipement des immeubles. (...)
(23/02/2010 14:47:05)Stockage : Iron Mountain acquiert Mimosa
L'opération de 112 millions de dollars permet à Iron Mountain, société dédiée à la protection des informations de stockage, d'acquérir Mimosa, créateur de la plateforme NearPoint, solution capable d'archiver les messages d'Exchange, les données échangées sur Sharepoint et tout autre fichier. Cette technologie s'intégrera à la baie d'Iron Mountain fournie en mode SaaS. L'apport de Mimosa offrira aux clients des solutions hybrides de modèle d'archivage permettant de garder des données à demeure, alors que d'autres seront déplacées sur le cloud. (...)
(23/02/2010 13:44:55)La mise en marché de l'innovation doit être renforcée rappelle le rapport Retailleau
La France compte 4 700 entreprises employant de 250 à 5 000 salariés, contre 2,4 millions de TPE/PME et 235 entreprises d'envergure mondiale. Ces structures de taille intermédiaire sont moins nombreuses que dans les pays comparables (Allemagne et Royaume-Uni), c'est pourquoi François Fillon a commandé ce rapport à Bruno Retailleau. Le sénateur relève plusieurs handicaps propres à cette catégorie d'entreprises. Elles bénéficient moins que les autres des guichets d'aide publique, mais supportent des charges fiscales plus lourdes. Pour les budgets publics, elles sont moins entendues que les grands comptes et pèsent d'un poids inférieur à celui des PME. Elles sont provinciales dans un pays très centralisé y compris économiquement. Pourtant ces ETI sont performantes. Elles pèsent 33% de l'emploi industriel, génèrent le tiers de nos exportations, elles ont une vision de long terme, préfèrent investir que se verser des dividendes, les relations sociales et la culture d'entreprises sont fortes. Il faut les aider, c'es tout l'intérêt de ce rapport très foisonnant. Il préconise la création d'un médiateur de l'entreprise, chargé de créer un small business act à la française. Ce médiateur aurait le statut d'une autorité administrative indépendante. Le cadre législatif et fiscal serait amélioré. Une convention collective de croissance permettrait de concilier souplesse et sécurité (intéressement financier accru des cadres et du personnel, fusion des délégués et des comités d'entreprise, atténuation des effets de seuil, dépénalisation du droit social). S'inspirer du SBIR américain Le rapport souhaite par ailleurs une meilleure régulation de la sous-traitance pour éviter que les grands comptes n'écrasent les ETI. Il préconise la création de leviers de croissance qui leur seraient propres : création de référents dans les territoires, soutien à l'innovation (sur le modèle du Crédit impôt recherche), appui à l'internationalisation. Enfin, et surtout en cette période, le rapport veut assurer de nouveaux financements bancaires et un meilleur environnement fiscal aux ETI. Dans le domaine du soutien à l'innovation, le rapport souligne que la mise en marché doit être plus fortement encouragée, la recherche dépendant encore trop de l'offre. Il rappelle les dispositifs collaboratifs qui existent déjà, comme ISI (Innovation stratégique industrielle) chez Oseo, le FUI (Fonds unifié interministériel) ou encore les consortia de l'Agence nationale de la recherche. « Ils correspondent au gabarit des ETI, mais pèsent peu sur les orientations des organismes scientifiques et des universités. Ils sont encore trop loin du marché », juge le rapport livré par le sénateur. Pour que l'innovation soit davantage pilotée par les besoins, il suggère de lier plus largement le financement des organismes de recherche à la mise en place de collaborations avec les entreprises en s'inspirant du SBIR (Small business Innovation Research) américain. Ce dernier prévoit par exemple de réserver à des collaborations avec les ETI une part de la dépense publique affectée aux organismes de recherche (2,5% dans le cas du SBIR). Le rapport propose de réactiver « la procédure passerelle Oséo qui associe une PME avec une grande entreprise autour d'une collaboration technique ou commerciale ». Oséo pourrait alors mettre en place un fonds de garantie des financements pour la mise en marche des innovations. Sur les efforts d'internationalisation, le rapport note par ailleurs que les besoins des ETI primo-exportatrices ne sont pas assez pris en compte et précise qu' « Ubifrance lancera un appel à prestations pour organiser une offre publique ou en partenariat public-privé ». (...)
(23/02/2010 12:07:18)Toshiba croit dans le secteur public
Régulièrement classé dans le top 5 des marques de PC les plus vendues(*), Toshiba préfère logiquement mettre en avant sa position de 3ème constructeur d'ordinateurs portables, sachant qu'il n'est plus présent sur le marché des PC de bureau. En 2009, il a ainsi réussi à maintenir sa part du marché des portables (environ 12%) malgré un manque d'agressivité assumé sur le marché grand public et dans la grande distribution. « L'an dernier, les meilleures nouvelles sont venues de l'activité B to B, notamment grâce à la progression des commandes du secteur public, et plus particulièrement du fait de nos résultats dans le cadre de l'Ecole Numérique Rurale », indique Alain Kergoat, Directeur du Marketing Stratégique de Toshiba France. Nommé à ce poste au printemps dernier, Alain Kergoat, qui gérait auparavant le marketing de la Division Systèmes informatiques du constructeur, a vu sa fonction étendue à l'ensemble de l'offre d'électronique grand public de Toshiba (ce qui comprend notamment les téléviseurs et les smartphones), avec pour mission de développer les synergies entre ces divisions historiquement cloisonnées. « Nos résultats dans le secteur de l'éducation ont été supérieurs à nos espérances, avec une part de marché qui a oscillé entre 25 et 30% selon les trimestres, affirme Alain Kergoat. Développer un marketing commun à l'informatique et à l'électronique grand public a réellement un sens, mais cela prend du temps et nous avons lancé la première campagne commune fin 2009.» Une approche verticale des marchés Cette stratégie confirme le peu d'enthousiasme de Toshiba sur le segment des netbooks. Non seulement il a été l'un des derniers à constituer une offre, mais il reste volontairement plus cher (d'au moins 30 euros) que ses concurrents. Autant dire que ses médiocres résultats sur ce segment hyperconcurrentiel ne l'attristent pas outre mesure. « Nous préférons nous focaliser sur la convergence entre les différents terminaux dotés d'un écran, depuis les téléviseurs jusqu'aux ordinateurs, en passant par les smartphones. Le rapprochement de ces technologies fait naître de nouvelles opportunités pour les revendeurs IT, dans des domaines tels que les hôtels, les collectivités, les cliniques, ou encore avec la montée en puissance de l'hospitalisation à domicile », conclut Alain Kergoat. (*) Selon le cabinet Gartner, Toshiba a été la 5ème marque de PC la plus vendue en Europe de l'ouest au 4ème trimestre 2009, avec 1 259 000 unités et une part de marché de 6,2%. (...)
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