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(20/10/2009 09:50:41)

Sodifrance se renforce dans la migration de données

Annoncé au début du mois de septembre, le rachat de TSI (Transformation des Systèmes d'Information) par Sodifrance sera effectif le premier novembre prochain. Dotée de 67 collaborateurs, cette division de BT Global Services développe une expertise dans le domaine de la migration de données, grâce, notamment, à sa solution TRANSMIG. Ce savoir-faire va venir compléter celui de Sodifrance dans la transformation automatisée des systèmes d'information. « Nous constatons que nombre de rapprochements de systèmes d'information, par exemple dans le cas de fusion et d'acquisitions, nécessitent d'effectuer une migration des données », indique Anne-Laure Mazin, la directrice marketing et communication de Sodifrance. Or, comme le reconnaît celle-ci, Sodifrance s'était déjà plusieurs fois retrouvé en concurrence avec TSI sur des problématiques de migration de données sans vraiment pouvoir rivaliser. Une fois qu'elle aura intégré l'offre de TSI à son portefeuille de services, Sodifrance va s'atteler à proposer sa nouvelle offre à sa clientèle existante et à convertir la clientèle de TSI à ses services de transformation automatisée des systèmes d'information. Pour toucher ces clients grands comptes, elle va pouvoir compter sur ses agences régionales dont le nombre va être porté à 12 avec l'ajout des points de présence de TSI à Aix-en-Provence, Grenoble et Lyon. D'après les projections de Sodifrance, l'activité issus de TSI devrait dégager environ 4 M€ de chiffre d'affaires durant l'année suivant son acquisition. (...)

(19/10/2009 14:21:06)

Des cadres d'IBM et d'Intel accusés de délits d'initiés

Robert Moffat, vice-président senior d'IBM responsable de l'entité Systèmes et technologie, ainsi que Rajiv Goel, un des dirigeants d'Intel Capital, la branche investissements d'Intel, sont accusés par la SEC (Securities & exchange commission), le gendarme américain de la Bourse, de délits d'initiés. Robert Moffat aurait fourni des informations sur Sun à un responsable de portefeuille au sein d'une société d'investissements, New Castle, qui s'en serait servi pour réaliser un profit d'environ un million de dollars. Le dirigeant d'IBM avait eu accès à ces informations lorsque le constructeur envisageait d'acquérir Sun. Rajiv Goel, de son côté, est accusé par la SEC d'avoir fourni des données confidentielles sur Intel et sur Clearwire (dont Intel Capital est un investisseur), au financier milliardaire Raj Rajaratnam, renseignements qui lui auraient valu une récompense d'un quart de million. (...)

(19/10/2009 11:50:38)

iPhone, un vrai moteur de croissance pour les opérateurs

( Source EuroTMT ) Vodafone a finalement rendu les armes. Après avoir longtemps résisté à l'attrait de l'iPhone, le géant britannique de la téléphonie mobile a donc, à son tour, succombé aux charmes du smartphone d'Apple et va le commercialiser, à partir de 2010, sur ses principaux marchés européens. Une décision qui a dû lui coûter, l'opérateur ayant longtemps affirmé ne pas avoir besoin de l'iPhone pour poursuivre son développement. Refusant de passer sous les fourches caudines d'Apple quand ce dernier signait des contrats d'exclusivité et de partage de revenus avec les opérateurs mobiles pour la commercialisation du tout premier modèle d'iPhone, Vodafone ne s'était pas plus intéressé au produit quand Apple abandonna ses prétentions et ouvrit à tous les volontaires la possibilité de distribuer le deuxième modèle. Mais voilà, le marché a fait craquer l'opérateur britannique, la commercialisation d'autres smartphones que l'iPhone ne lui ayant pas permis (et cela contrairement à Verizon aux Etats-Unis) de protéger ses parts de marché. Comme on a pu le constater en France quand SFR et Bouygues Telecom ont pu commercialiser l'iPhone, ce mobile constitue un formidable moteur de croissance des ventes pour les opérateurs : en trois mois, SFR en a ainsi vendu 225 000 exemplaires et Bouygues Télécom a franchi les 200 000 unités vendues en septembre, moins de cinq mois après sa mise en vente. Et l'effet iPhone explique le sursaut du marché français de la téléphonie mobile au deuxième trimestre 2009 : les prises d'abonnement ont triplé par rapport à celle du deuxième trimestre 2008. Un constat que Vodafone a été contraint de faire. Regagner des parts de marché avec l'iPhone Comme le souligne une étude récente d'Exane BNP Paribas consacré au géant britannique, l'opérateur perd des parts de marchés trimestre après trimestre en Europe depuis le début de 2008, notamment en Grande-Bretagne. Et pour les analystes de la banque, il n'y a qu'une seule explication : « Vodafone ne commercialise pas l'iPhone, contrairement à T-Mobile Allemagne et à O2 UK. » Pour justifier l'intérêt de commercialiser le mobile d'Apple, Exane BNP Paribas a aussi regardé l'impact des ventes du smartphone sur les revenus de T-Mobile. Entre début 2008 et mi 2009, l'opérateur mobile allemand a ainsi vendu près d'un million d'appareils, dont la moitié à des nouveaux abonnés. Ces derniers enregistrent un revenu moyen par abonné de 60 €, les anciens abonnés ayant acquis un iPhone voyant leur Arpu augmenter de 15 €. Ce qui est significativement supérieur à l'Arpu moyen de l'ensemble de la base clientèle qui ressortait à quelque 15 € à fin juin. Au deuxième trimestre 2009, Exane note aussi que l'iPhone a généré un chiffre d'affaires services de 93 millions d'euros, se traduisant par un impact positif de 5 % sur la croissance des revenus de T-Mobile. L'effet est donc significatif. Et il est d'autant plus quand on le compare à d'autres smartphones, dont les effets sont moindres sur le revenu par abonné et sur la croissance des revenus. Ainsi Exane estime que pris dans sa globalité, la migration de la base clientèle vers les smartphones se traduit par un revenu par abonné supplémentaire de 8 euros et un impact sur les revenus de 2 à 3 %. Et c'est à partir d'un gain de 9 euro sur l'Arpu, que la vente de smartphone par les opérateurs devient une bonne opération financière. Un niveau que seul l'iPhone permet aujourd'hui d'atteindre et, même, de dépasser. (...)

(16/10/2009 17:10:32)

L'USF veut conduire un dialogue constructif entre SAP et ses clients

L'USF, le club des utilisateurs de SAP francophones, a fêté son 20e anniversaire lors de sa convention annuelle, qui a réuni 1 600 participants cette semaine à Paris (14-15 octobre, La Défense). Après la récente crise de confiance entre les utilisateurs de SAP et l'éditeur autour de la hausse du tarif du contrat de maintenance (Enterprise Support), tout le monde semble -du moins publiquement- réconcilié après l'accord survenu au printemps dernier. Le programme de benchmark et de contrôle du ROI (retour sur investissement) semble aussi donner entière satisfaction aux utilisateurs. Le président de l'USF, Jean Leroux, s'est réjoui que SAP soit le premier éditeur à s'être ainsi engagé formellement à progresser sur des critères mesurables. Par ailleurs, Jean Leroux n'a pas souhaité donner un avis tranché sur la nécessaire (ou non) migration de modèle économique des éditeurs vers un modèle de revenu récurrent avec abandon de la licence initiale. L'essentiel est pour lui que le produit continue de faire durablement ce pour quoi il est acheté... « A 20 ans, on est adulte : si l'on a un point de désaccord, on peut se le dire sans se fâcher », a martelé Jean Leroux, président de l'USF. Le club se pose donc en « outil de dialogue constructif » entre SAP et ses clients, outil capable de structurer un discours commun avec ses homologues à travers le monde grâce au club des dirigeants de clubs utilisateurs (le Sugen). L'une des forces de l'USF est sa capacité à réunir des groupes de travail et à faire profiter l'ensemble de ses adhérents des meilleures pratiques constatées sur le terrain. Il publie ainsi régulièrement des livres blancs en collaboration avec des cabinets d'études, comme récemment celui sur le Support Utilisateur et celui sur la Business Intelligence. (...)

(16/10/2009 17:07:09)

OpenWorld : « Nous sommes très brillants, ou alors idiots », assène Larry Ellison

Alors que tout le monde s'est mis à acheter des sociétés de service, pourquoi Oracle a-t-il décidé d'acquérir un constructeur de serveurs ? A l'occasion d'Openworld, la conférence utilisateurs Oracle à San Francisco, son patron et fondateur Larry Ellison a accordé une heure et demie de questions/réponses aux analystes financiers. L'essentiel de la discussion a tourné autour du rachat de Sun, qui semble décidément inquiéter les gens de la finance. « De deux choses l'une, a répondu Larry Ellison, soit on est vraiment brillant, soit on est complètement idiot. » Pour lui, Oracle avait besoin de se différencier des Dell, IBM, HP et consorts. « Nous devions trouver une stratégie où nous ne serions pas des suiveurs. On ne peut pas être le 7e à venir sur un marché et en prendre la tête. » Larry Ellison a donc voulu suivre la maxime de Steve Jobs, a-t-il expliqué : penser différemment. « Nous voulons stocker vos données, dans nos bases de données, sur nos serveurs, et rester un fournisseur de technologies. » Le fait que nombre de grands acteurs privilégient le marché des services à celui du matériel ne trouble pas le patron d'Oracle. « Apple est dans le hardware, et ça ne va pas trop mal pour eux. Mon ami John Chambers [patron de Cisco, NDLR] ne va pas mal non plus. » Au contraire, Larry Ellison estime que le marché du matériel est le seul qui permettra à Oracle de croître : « On avait besoin d'un marché de plusieurs milliards de dollars pour continuer notre croissance. » Et dans la mesure où il s'agit d'un « marché adjacent » à celui que fréquentait déjà Oracle, Larry Ellison pense pouvoir y réussir en très peu de temps : « Vous découvrirez très vite que nous pouvons piloter cette activité de façon très, très profitable. » [[page]] Un mot est revenu très souvent dans la bouche de Larry Ellison durant toute cette discussion : Exadata. Le patron d'Oracle voit dans cette « database machine » l'alpha et l'oméga de toute sa stratégie pour les quelques années à venir. Exadata est, rappelons-le, un rack de serveurs de bases de données et de stockage, existant selon plusieurs dimensionnements. D'abord conçue avec du matériel HP, elle repose bien évidemment désormais sur du matériel Sun. « D'une certaine façon, nous avons conçu Exadata par frustration », a indiqué Larry Ellison, en racontant la genèse du produit. Agacés de voir des bancs d'essais remportés par des solutions Teradata, les gens d'Oracle ont multiplié les interventions pour optimiser les systèmes testés par les prospects. « Et nous avons gagné les benchmarks, mais c'était impossible de configurer toutes les machines à chaque fois. » Oracle a donc établi des listes de certifications... « que les clients ne lisaient pas ». « Nous en sommes venus à la conclusion que les clients seraient mieux servis si nous concevions l'ensemble des éléments. » Selon Larry Ellison, cette façon de faire résout le même problème auquel IBM et les autres s'attaquent en rachetant des sociétés de service. « Sauf que là où les autres achètent des intégrateurs, nous faisons de l'intégration au niveau de l'ingénierie. » Exadata a donc vocation à faire des petits, suivant les marchés ciblés par Oracle - et où Sun dispose d'une forte présence. « Vous verrez des Exadata pour les applications Fusion, pour la facturation des télécoms, pour la gestion des points de vente... » Dans tous les cas, l'intégration doit être faite par le fournisseur, insiste Larry Ellison. « Nous pensons avoir raison, nous verrons. » Ellison : MySQL et OpenOffice devront contribuer aux bénéfices Le patron d'Oracle en a profité pour réitérer son soutien aux diverses technologies de Sun, à commencer par les processeurs Sparc. A un analyste qui lui faisait remarquer que naguère, il prônait la standardisation du matériel (sur x86/x64), Larry Ellison a répondu sans se démonter que le marché de la conception de processeurs ne devrait pas se résumer au seul Intel, et que les clients aimaient avoir le choix pour des besoins différents. Il compte donc proposer, pour au moins les 5 ans à venir, « deux avenues », le couple Sparc/Solaris d'un côté, le couple x86/Linux de l'autre. Côté MySQL, Larry Ellison juge que la base Open Source est « complémentaire, et pas du tout concurrente » de la base Oracle, et qu'il s'agit d'une activité qui doit être profitable. Idem pour OpenOffice : « Chez Oracle, nous aimons que tout soit profitable, et ajoute quelque chose au résultat final. Les contributions de MySQL ou d'OpenOffice ne seront pas énormes, mais stratégiquement elles sont très importantes. » Et d'ajouter qu'il croit aussi dans les technologies de virtualisation ou de client léger de Sun. L'important pour Larry Ellison semble en effet de garder un pied dans des marchés de ce type, même s'il y est un petit acteur. Le patron d'Oracle a ainsi évoqué la progression fulgurante d'Oracle dans le middleware : « On était en septième position il y a peu de temps, et devinez qui est numéro un aujourd'hui ? » (...)

(16/10/2009 17:01:32)

SAP et HP intègrent le datawarehouse Netweaver BW à la plateforme Neoview

SAP et HP poursuivent leur collaboration autour des solutions décisionnelles. Sur SAP TechEd 2009 (Phoenix, Arizona, du 13 au 16 octobre 2009), ils ont annoncé travailler conjointement à l'intégration de l'application de datawarehouse de SAP, NetWeaver BW, avec la plateforme matérielle d'entrepôt de données Neoview d'HP, pour répondre aux besoins de rapidité d'analyse portant sur des bases volumineuses. Une version bêta de ce co-développement devrait être disponible au premier trimestre 2010, la première version de l'offre étant programmée pour la fin du deuxième trimestre. En avril dernier, SAP avait déjà engagé un partenariat avec Teradata dans le domaine du datawarehouse. Cette annonce intervient quelques jours après celle d'IBM qui a indiqué qu'il préparait un « Exadata killer » pour répondre à la solution Exadata d'Oracle qui combine logiciel et serveur de stockage pour les applications de datawarehouse. Oracle a récemment annoncé la version 2 d'Exadata qui utilise du matériel Sun. La première version s'appuyait sur des serveurs de stockage HP. En septembre, SAP a livré en France son offre BusinessObjects Explorer qui s'appuie sur des serveurs lames (HP, Sun, IBM ou Siemens) pour accélérer l'exploration du datawarehouse SAP Netweaver BW. A noter que l'édition européenne de SAP TechEd 2009 se tiendra à Vienne, en Autriche, du 27 au 29 octobre. (...)

(16/10/2009 15:42:23)

Trimestriels : AMD réduit ses pertes par rapport à 2008

AMD a finalement réussi à réduire quelque peu ses pertes avec un résultat net de -128 M$ contre -134 M$ l'an dernier à la même époque. Le chiffre d'affaires du fabricant de puces qui approche 1,4 Md$ dépasse même les attentes des analystes qui n'espéraient que 1,26 Md$ et les ventes ont augmenté de 18% par rapport au 2e trimestre. En revanche, il reste en forte régression (22 %) par rapport au 3e trimestre 2008 qui s'établissait à près d'1,8 Md$. Selon Dirk Mayer, Président et CEO d'AMD, l'entreprise a constaté une forte demande, à la fois pour ses processeurs et pour ses puces graphiques. Le prix de vente moyen des puces a crû, contrairement à ce qui s'est passé au 2e trimestre, et la livraison de modèles conçus en 45 nm a aussi augmenté par rapport aux modèles plus anciens en 65 nm. Depuis un an, l'entreprise a mené à bien plusieurs démarches destinées à la conduire de nouveau vers la rentabilité qui semblent porter leurs fruits. Début 2009, elle a ainsi confié ses sites de production à une entreprise séparée dont elle partage désormais la charge avec ATIC (Abou Dabi). Une opération qui a soulagé sa dette de 1,1 Md$. AMD a aussi réduit les salaires de ses employés durant plusieurs mois, mesure qu'il vient juste de suspendre. Hier, le numéro un du marché et rival historique d'AMD, Intel, annonçait des résultats favorables par rapport à son 2e trimestre mais en forte chute en regard des chiffres de 2008. (...)

(16/10/2009 10:25:54)

Gartner : au 3e trimestre, le marché des PC renoue avec la croissance

Alors qu'il tablait sur des ventes mondiales de PC en baisse de 5,6% en volume au troisième trimestre 2009 par rapport à la même période en 2008, le Gartner a finalement constaté une hausse de 0,5%. Ce chiffre clôt une période de deux mois de baisse consécutive pour les livraisons d'ordinateurs (-5% au 1er trimestre, -6,5% au 2e trimestre). Il est d'autant plus encourageant qu'il découle d'une comparaison avec le troisième trimestre 2008 où elles avaient connu une hausse de 15%. La zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) est toutefois loin de suivre la tendance générale. Les ventes de PC y ont reculé de 10,1%, à peu près comme au deuxième trimestre. En Europe de l'Ouest, la baisse atteint 6 à 7%. « Entre le second et le premier trimestre de l'année, la baisse des ventes en EMEA se situe à 4,5% en volume. Cela montre à la fois que le marché vient de toucher le fond et qu'il revient à une logique de saisonnalité », explique Ranjit Atwal, analyste pour le Gartner. C'est sur le segment professionnel que le bât blesse principalement. Les ventes de PC de bureaux mais aussi de portables ont enregistré une baisse à deux chiffres. Et si le segment grand public a contribué à limiter la casse, notamment en Europe de l'Ouest, cela reste insuffisant pour parvenir à un résultat global positif. Le grand public est encore une fois stimulé par les ventes de netbooks qui représentent toujours 20% des PC portables vendus dans la région. Pour le Gartner, cette proportion devrait encore progresser mais de façon beaucoup plus modeste que ces derniers mois. Dell continue de subir les déboires du marché professionnel Toujours numéro un dans la région EMEA avec une part de marché de 25,7%, Acer est le seul fabricant à connaître une hausse de ses livraisons (+12,4%) sur le trimestre. Les ventes de HP, numéro deux, chutent de 3,8 points pour une part de marché de 18,6%. Après Toshiba, Dell est le constructeur qui enregistre la plus forte baisse de ses volumes de ventes. Il continue de pâtir de son positionnement toujours très marqué sur un marché professionnel en difficulté. Et même s'il a récemment multiplié les accords avec des acteurs de la grande distribution, « encore faut-il qu'il soit capable d'offrir à ses nouveaux partenaires le niveau de marge nécessaire qui les incite à mettre en avant ses produits », prévient Ranjit Atwal. Aux Etats-Unis, où il est toujours le numéro un, le Texan subit également un revers avec une baisse de 8,9% de ses livraisons. Il ne dispose plus que d'un demi point de part de marché d'avance sur HP, le numéro deux outre Atlantique avec 25,7% du nombre total de PC vendus. Dell est en outre le seul fabricant à ne pas avoir profité de la hausse globale de 3,9% du marché du PC américain au troisième trimestre 2009. Pour Ranjit Atwal, le fait que les ventes de PC dans la zone EMEA continuent de plonger alors qu'elles connaissent une embellie aux Etats-Unis tient au décalage de l'entrée des deux économies dans la récession. Touchée plus tard, la zone EMEA ne devrait pas voir son marché du PC reprendre des couleurs avant 2010. Une hausse de 5% des ventes est attendue l'an prochain. En attendant, elles devraient globalement chuter de 10% sur l'ensemble de l'année 2009. (...)

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