Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 4291 à 4300.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/05/2009 12:44:46)

Le cloud Open Source Eucalyptus lève 5,5 M$

La communauté à l'origine d'Eucalyptus*, une plateforme Open Source de cloud privé, a levé 5,5 M$ auprès de Benchmark Capital and BV Capital pour créer une entité de commercialisation de ses travaux. Tout comme la version gratuite, Eucalyptus Systems permet de gérer un pool de ressources serveurs -stockage-réseau comme un cloud. Ses développeurs soulignent sa dimension "hybride". Les API d'Eucalyptus sont en effet compatibles avec celle d'AWS (Amazon Web Services), une des références actuelles de Cloud public. * Elastic Utility Computing Architecture for Linking Your Programs To Useful Systems, développé par le Computer Science Department de l'Université de Californie à Santa Barbara. (...)

(04/05/2009 12:11:54)

Les ventes de netbooks septuplent au premier trimestre

Apple a eu beau peindre un portrait sombre des netbooks en leur reprochant leur clavier exigu et leur équipement minimaliste, ces PC ultra-portables et bon marché n'en connaissent pas moins un succès commercial d'ampleur. Selon IDC, leurs ventes au 1er trimestre 2009 auraient ainsi atteint 4,5 millions d'unités, soit sept fois plus qu'un an auparavant. Et sur cent PC écoulés au cours de la période, huit étaient des netbooks. Une performance d'autant plus remarquable que sur le même laps de temps, les livraisons totales, tous types de machines confondus, reculaient de 7%. A quelque chose malheur est bon : la crise, qui a contribué à éloigner les consommateurs du marché des PC, les a parallèlement incités à se tourner vers les netbooks, qui tirent ainsi largement leur épingle du jeu grâce à leurs prix plancher. Cette vitalité des ventes de netbooks illustre également, explique IDC, un usage des PC en mutation : depuis les étudiants qui n'ont besoin que d'une machine pour prendre des notes jusqu'aux professionnels nomades ne souhaitant pas se lester d'un ordinateur poids lourd, la course à la puissance devient un schéma éculé. « Les vendeurs prennent en considération la demande des consommateurs pour une informatique adaptée à leurs besoins réels. Tous ne nécessitent en effet pas la puissance d'un Core 2 Duo. La plupart du temps, l'utilisation d'un processeur ne dépasse pas 5% », précise l'analyste Jay Lou. Vers 50 millions d'unités en 2010 La vague sur laquelle surfe le marché des netbooks ne devraient pas se dégonfler cette année : IDC estime que le volume des ventes devrait doubler par rapport à 2008, pour atteindre 22 millions d'unités, avec des pics saisonniers sur les périodes de rentrée des classes et de fêtes de fin d'année. Aux yeux d'Acer, ces prévisions sont trop prudentes : le constructeur taiwanais, qui a su se hisser en tête des ventes avec son Aspire en dépit d'une entrée tardive sur le marché, table sur des ventes de 25 à 30 millions de netbooks en 2009, puis 50 millions en 2010. Rapportée aux projections des cabinets d'analyse, cette prédiction suppose qu'un PC sur quatre vendu l'année prochaine sera un netbooks. Si cette vaticination était avérée, le marché de la micro-informatique s'en trouverait certes dopé. Mais cela traduirait également un ralentissement important des revenus des grands constructeurs, dont le quart de l'activité PC serait alors constituée de machines peu dispendieuses et génératrices de faibles marges. Des marges d'autant faibles que les netbooks embarquent très majoritairement Windows : si, dans les premiers temps, les OS libres pouvaient permettre aux constructeurs de tirer leur épingle du jeu, l'inclusion presque systématique de Windows les oblige désormais à rogner sur leur bénéfice pour conserver des prix de vente attractifs. (...)

(04/05/2009 11:33:56)

Google embauche 200 chèvres en intérim

Google a décidé de laisser les tondeuses à gazon à la remise pour se débarrasser des mauvaises herbes qui entourent son siège social de Mountain View, et qui représentent un risque d'incendie. A la place de machines bruyantes et polluantes, le groupe a décidé de faire appel à la gourmandise de deux cents chèvres qu'il a louées pour une semaine. « Nous ne plaisantons pas » tient à préciser Dan Hoffman, directeur immobilier de Google. Epinglé par Gartner et le WWF comme étant l'un des plus gros consommateurs d'énergie dans le secteur IT, Google a décidé de se racheter une conduite et de s'investir dans les énergies renouvelables. Apparemment tous les moyens sont bons pour en parler, même les chèvres. L'histoire ne dit pas si les saisonniers ongulés de Google verront leur contrat renouvelé l'an prochain. (...)

(30/04/2009 18:23:22)

Les patrons de l'IT française face à la crise #2: Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet

Comment les entreprises IT françaises réagissent-elles face à la crise qui frappe l'économie ? Cette question, LeMondeInformatique.fr a décidé de la poser directement à leurs dirigeants, chaque vendredi, dans des entretiens vidéo. Les patrons de l'informatique hexagonale raconteront ainsi comment leurs sociétés vivent cette période difficile, comment elles font évoluer leur politique de ressources humaines en conséquence et enfin, comment elles utilisent les mesures mises en place par le gouvernement pour faire face. En contrepoint aux annonces de licenciements et de crises en série, LeMondeInformatique.fr essaie ainsi de vous offrir une bouffée d'optimisme. Après Viviane Ribero, présidente de Lefebvre Software, c'est au tour de Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet, fabricant du célèbre lapin connecté Nabaztag, de partager ses idées sur la situation économique de 2009. Pour ce créateur d'entreprises en série (Francenet, Ozone, Violet), les temps sont durs, bien sûr, mais les bonnes idées doivent percer obligatoirement. Reste la difficulté de se développer à la fois sur son marché domestique, et de percer à l’international, quand on est un petit acteur français sur un marché innovant, sans vraiment de concurrent. La vidéo de l'entretien avec Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet (7mn22). (...)

(30/04/2009 17:23:26)

Le marché du test va croître de 10% par an jusqu'en 2012, selon PAC

Le marché du test applicatif a progressé de 17% en France en 2008, pour atteindre 600 millions d'euros en 2008, selon l'évaluation du cabinet d'études Pierre Audoin Consultants. D'ici à 2012, les perspectives de croissance du secteur sont en outre estimées à 10% par an. La progression sera tirée par les activités liées à l'externalisation, pour lesquelles PAC prévoit une hausse de 24% en 2009 (+30% en 2008). « Ce marché englobe l'ensemble de la sous-traitance en services effectuée autour du testing et de la qualification du système d'information [QSI] », explique Arnold Aumasson, senior consultant pour PAC France et auteur de l'étude. Cela comprend le conseil, l'intégration et la réalisation [assistance technique, forfait], ainsi que l'externalisation qui inclut la tierce recette applicative. Tests de charge et de performance, tests de non régression et fonctionnels Les services couvrent trois catégories de tests, rappelle Arnold Aumasson. D'abord, les tests de charge et de performance qui permettent de vérifier « que le système supporte une activité intense sur une longue période, sans dégradations des performances et des ressources applicatives ». Ensuite, les tests de non régression destinés à « vérifier que la nouvelle version d'un logiciel fonctionne de la même manière que la version précédente et que les évolutions n'amènent pas de mauvais fonctionnement ». Enfin, les services fournis comprennent aussi les tests fonctionnels qui servent à vérifier la conformité aux spécifications fonctionnelles et aux besoins des utilisateurs. « Certains types de tests restent exclus du périmètre car ils sont liés au développement, précise l'analyste de PAC. C'est le cas des tests unitaires et d'assemblage qui restent du ressort de l'équipe de développement et ne peuvent pas être confiés à une équipe tierce. » Le test est devenu une filière à part entière [[page]] Selon Arnold Aumasson, la démarche de test est de plus en plus indépendante du processus de développement d'applications et le marché est en complète structuration. Il y a quelques années, le test était la variable d'ajustement du développement. Mais avec la criticité croissante des systèmes d'information, la donne a changé. « En cas de dysfonctionnement, l'entreprise sait qu'une interruption du système d'information peut lui être préjudiciable tant en termes de gestion, que de relation client et d'image, rappelle l'analyste. Le test permet de limiter ces impacts. Les entreprises se sont donc structurées pour faire du test une filière à part entière au sein de laquelle on propose maintenant des plans de carrière. C'est devenu un métier. » Dans cette perspective, il entrevoit donc un réservoir de croissance énorme dans ce secteur. « De plus en plus souvent, pour des questions de pilotage des ressources, ou bien en dehors des périodes de développement, l'entreprise sous-traite les tests à des acteurs qui ont élaboré des méthodologies sur lesquelles ils ont capitalisées. A fortiori maintenant que l'activité est mieux comprise. » D'un point vue sectoriel, l'étude constate que les secteurs bancaire et télécoms représentent à eux deux la moitié du marché. Les banques, par ailleurs « au ralenti dans leurs investissements IT devraient afficher des dépenses en hausse de 9% par an en moyenne entre 2008 et 2012 », prévoit l'analyste de PAC. Des offres packagées, du conseil à l'externalisation [[page]] Pour répondre à la demande, les SSII ont élaboré des offres packagées qui démarrent en amont avec le conseil et vont jusqu'à l'accompagnement des entreprises dans l'externalisation de l'activité en France ou vers des pays à bas coût, décrit l'étude de PAC. Des prestataires de services plutôt bien perçus par leurs clients. Sur 300 responsables informatiques interrogés en début d'année par PAC, 87% se sont déclarés satisfaits de leurs fournisseurs. Parmi les principaux représentants du marché figurent des acteurs comme Cap Gemini, Atos, Sopra, Logica ou Steria. Il s'agit toutefois d'un secteur disparate sur lequel on trouve plusieurs catégories d'intervenants, précise l'analyste de PAC. En dehors des acteurs qu'il qualifie de généralistes, il distingue des « industriels » qui ont « des capacités de centres de services en France et qui peuvent donc proposer des coûts agressifs à des clients matures ». Parallèlement, il existe aussi des spécialistes qui se positionnent plutôt en amont du projet. « On est alors plus proche des métiers du conseil, avec des clients moins matures ». Il cite des sociétés telles que Map (division d'Altran), Optium, Oresys ou Acial, notamment. Enfin, on voit aussi une nouvelle catégorie de spécialistes à bas coûts : « Typiquement, les SSII indiennes qui souhaitent entrer sur le marché français », complète Arnold Aumasson. (...)

(30/04/2009 13:14:20)

Trimestriels STMicro : 541 M$ de pertes et un chiffre d'affaires en baisse de 33%

L'activité de STMicroelectronics s'effondre au premier trimestre 2009 avec une baisse de 33% du chiffre d'affaires, à 1,6 Md$, et une perte nette de 541 M$. Mais les résultats sont « conformes au plan » de sa direction. Tous les secteurs clients du fabricant de composants électroniques, né de la fusion en 1987 du Français Thomson Semiconducteurs et de l'Italien SGS Microelettronica, sont en baisse : -47% sur l'automobile, -42% sur l'informatique, -41% sur l'industrie, -34% sur le grand public et -9% sur les télécoms. Les sites de production qui restent ne tournent qu'à 50% de leur capacité, d'où une chute de la marge brute. Déjà passée de 36,3% à 26,3%, celle-ci devrait rester à des niveaux similaires pour le trimestre en cours. La société annonce avoir déjà licencié 3 200 personnes sur les 4 500 départs prévus sur 2009. (...)

(30/04/2009 13:12:51)

Bruxelles créé un consortium avec PAC pour promouvoir le logiciel en Europe

Parmi treize candidats, c'est Pierre Audoin Consultants que la Commission européenne a sélectionné pour diriger un consortium de promotion du logiciel et des services en Europe. Montant du contrat : 424 600 € sur quinze mois. Cette entité compte trois autres acteurs dont l'Idate (France), l'Institut Fraunhofer ISI (le CNRS allemand) et London Economics (Grande-Bretagne). Elle travaillera de concert avec la direction INFSO (Information society and media) de la Commission européenne afin de déterminer quel était l'impact économique et social de l'industrie et des services en Europe. « Jusqu'à présent, Bruxelles s'est essentiellement penché sur les problématiques liées aux télécoms, car il s'agit d'une industrie plus importante en termes de chiffre d'affaires et de salariés », déplore Frédéric Giron, directeur des études chez PAC. Mais Viviane Reding, Commissaire à la société de l'information, s'intéresse désormais au monde du logiciel car son impact est important en termes d'usage. Les dernières analyses concernant le marché des logiciels sont par ailleurs plutôt pessimistes. Une étude publiée par PAC en mars dernier prévoyait en effet un net ralentissement de la croissance du secteur pour 2009 : de 5 % en 2008 (210 Md€) elle devrait passer à 1%, voire 0% cette année. Le consortium espère ramener ce chiffre à 3% dans les cinq années à venir. Consciente de l'enjeu, Viviane Reding a commencé par étudier une série de recommandations rédigées par le Syntec Informatique en novembre 2008. Elle a également rencontré différents acteurs du monde du logiciel (éditeurs, SSII, syndicats...) La création d'un consortium s'est alors imposée, et Bruxelles a lancé un appel d'offres, remporté par PAC. Ce groupement sera chargé d'établir une cartographie des acteurs européens et de définir un ensemble de réglementations et de scénarios pour encourager la croissance de l'industrie logiciel européenne. « Un premier rapport sera remis à Viviane Reding en juin prochain, et les résultats de ce projet, qui durera environ quinze mois, seront présentés à la Commission européenne lors d'un atelier en juin 2010 », explique Frédéric Giron. Une soixantaine d'échanges individuels sont prévus avec quatre types d'acteurs clés du logiciel : les éditeurs (vente de licence et maintenance, y compris dans le domaine des jeux vidéos), les sociétés de services associées (SSII), les nouveaux services (SaaS, externalisation, cloud, machine-to-machine) et les sites de publicité en ligne (comme Google). Les associations professionnelles du secteur, les pouvoirs publics, les acteurs du capital-risque ainsi que les utilisateurs finaux prendront également part à ces entretiens. Enfin, le consortium a décidé de s'attaquer à tout ce qui pouvait entraver le développement de ce secteur en Europe : faciliter les financements, encourager la R&D et évangéliser les PME sur les gains qu'elles peuvent réaliser en étant correctement équipées. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >