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(28/04/2009 17:46:27)
Oracle-Sun : l'IOUG espère des systèmes optimisés
C'est avec un grand enthousiasme que Ian Abramson, président du club des utilisateurs américains d'Oracle, a accueilli l'annonce du rachat de Sun par Oracle. Pour lui, c'est la promesse de solutions intégrées - donc optimisées - du serveur à l'application, en passant par le système d'exploitation, le middleware et la base de données. Autre gain tout de suite mis en évidence par Ian Abramson, Oracle se pose désormais en concurrent direct d'IBM - avec même des petits plus, puisqu'il gère désormais Java et propose aussi toute une gamme de progiciels métier. Retrouvez l'interview de Ian Abramson dans notre dossier : Oracle-Sun : naissance d'un contrepoids à IBM ? (...)
(27/04/2009 18:42:29)Du bon emploi des aides publiques par les éditeurs de logiciels, selon l'Afdel
La question du financement, privé et public, reste cruciale dans l'industrie du logiciel en Europe. Sous forme de livre blanc, l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, propose à ses adhérents un point sur les aides publiques consacrées à l'innovation. Ce fascicule de 80 pages réalisé en partenariat avec le cabinet PNO présente une typologie des financements dont peuvent bénéficier les éditeurs, au fil des étapes de leur développement. Les différentes catégories d'aides publiques répondent à plusieurs enjeux : la phase pré-commerciale, la capacité, le partage de risque, la labellisation de l'entreprise comme acteur innovant ou l'optimisation de sa rentabilité. Il peut aussi s'agir, indirectement, d'organiser la stratégie et l'activité R&D. Les dispositifs d'aide se présentent sous différentes formes (subventions, prêts d'honneur, exonérations ou réductions fiscales, garantie, concours...), chacune présentant avantages et inconvénients. Les subventions, par exemple, ne sont pas remboursables. Elles s'obtiennent par l'intermédiaire de multiples organismes et instances gouvernementales (Ademe, ANR, APCE, conseil général, conseil régional, CRITT, FSE, Oseo ou encore via des programmes européens). Leurs montants peuvent être assez élevés mais, en contrepartie, et très logiquement, les projets qu'elles soutiennent doivent s'inscrire dans des appels à projets précis. Le livre blanc note aussi qu'en cas de subventions versées dans le cadre de projets collaboratifs, le rôle de coordinateur du projet peut être lourd et difficile. Autres dispositifs, les prêts d'honneur, qui sont remboursables dans tous les cas, et les avances remboursables, qui ne le sont qu'en cas de succès technique du projet, avec un décalage de deux à trois ans sur cinq ans (en cas d'échec, un remboursement minimum est tout de même requis). Ils présentent l'inconvénient de n'être accordés qu'à hauteur des fonds propres de l'entreprise aidée, et ils sont limités pour les TPE. Crédit impôt recherche : difficile de déterminer ce qui est éligible [[page]] Crédit impôt recherche : difficile de déterminer ce qui est éligible Parmi les réductions fiscales figure le crédit impôt recherche qui vient d'être déplafonné. Le CIR peut être mis à profit par les éditeurs de logiciels car il « ne s'attache pas à une définition formelle, mais à un faisceau d'indices tendant à démontrer l'existence de l'innovation », rappelle le livre blanc. Les dossiers CIR déposés dans le domaine du logiciel font référence « au code source, au coeur du logiciel -algorithme, fonctionnalités, caractéristiques, performances- et non pas au système d'exploitation ou au langage utilisé même si ceux-ci sont le sujet des projets et constituent une rupture majeure ». Dans la pratique, toutefois, les éditeurs de logiciels peuvent rencontrer des problèmes pour bénéficier de ce crédit d'impôt. Le livre blanc reconnaît notamment qu'il reste difficile de déterminer ce qui est éligible de ce qui ne l'est pas car les textes restent vagues. Les travaux d'ergonomie et d'interfaçage, par exemple, sont « à la frontière entre esthétique et valeur ajoutée fonctionnelle et technique ». Par ailleurs, la définition d'un projet de logiciel par l'Administration n'est pas toujours calée sur la réalité du développeur. Enfin, de même que le statut de JEI (jeune entreprise innovante) offre certains avantages financiers, le CIR repose sur le principe déclaratif. Il est donc prudent de se faire assister pour le mettre en oeuvre. Le livre blanc note sur ce point que certains investisseurs font parfois courir aux fondateurs de start-up un risque de redressement fiscal lors de la valorisation d'une entreprise avant une prise de participation. De façon générale, il est conseillé aux PME du logiciel de faire appel à un conseil extérieur, tel qu'un expert-comptable ou un cabinet de conseil en innovation, pour accompagner leur stratégie de financement public. Concours et programmes européens Dix catégories d'aides publiques sont plus particulièrement détaillées par le livre blanc de l'Afdel/PNO, en dix fiches. Outre un zoom sur le CIR, les statuts de JEI et de Gazelle, les aides d'Oseo et de l'Agence nationale de la recherche (ANR), des fiches sont consacrées aux pôles de compétitivité, ainsi qu'au concours du Ministère de la recherche. Les trois dernières fiches reviennent sur les programmes européens Eureka et Eurostars, ainsi qu'au 7e programme Cadre de recherche et de développement technologique (PCRDT) et aux autres aides européennes (Safer Internet, programme pour la compétitivité et l'innovation...) (...)
(27/04/2009 18:41:25)Syntec : les négociations sur le chômage partiel échouent
La réunion qui se déroulait le 22 avril entre les fédérations patronales du Syntec informatique (syndicat des sociétés d'ingénierie et de services informatiques) et les organisations syndicales CFDT et CGT au sujet de l'extension du droit à la mise au chômage partiel a tourné court. Les syndicats se sont essentiellement battus pour la filière automobile, un secteur qui compte 4 000 prestataires de services actuellement au chômage partiel. Le Syntec quant à lui souhaitait une extension de ce droit à l'ensemble des branches, dont l'informatique. Après trois interruptions de séance, les organisations syndicales ont tout bonnement quitté la table des négociations. « Pour masquer ses divisions, le patronat a préféré demander une ouverture à tout va du dispositif sur l'ensemble de la branche et avait une logique de mise en oeuvre extensive du chômage partiel (cadres au forfait heure ou jour en dehors d'une fermeture totale de l'établissement) », ont indiqué la CFDT et la CGT dans un communiqué commun. Selon eux, le Syntec « revenait très en arrière » et avançait « des propositions insuffisantes sur l'indemnisation des salariés ». Le chômage partiel doit rester une mesure collective, selon le Munci De son côté, Syntec informatique dénonce le manque d'ouverture des organisations syndicales qui ont refusé d'étendre le champ des accords à tous les domaines de la branche touchés par la crise économique actuelle, soit 700 000 salariés. « Le champ d'application de l'accord de branche ne saurait se limiter à la seule filière automobile comme le demandent les organisations syndicales des salariés. Nos entreprises ne sont pas attachées à telle ou telle filière, mais travaillent dans le secteur des services, ont déclaré la fédération Syntec et le CICF (Chambre de l'ingénierie et du conseil de France) dans un courrier adressé aux organisations syndicales. Si nous souhaitons anticiper les effets de la crise, il est nécessaire de ne pas cantonner le périmètre à une seule filière mais de l'élargir à tous les secteurs. » Un avis que la CFDT et la CGT ne partagent pas, craignant un accord revu à la baisse. En plus d'exiger l'extension du droit à la mise au chômage partiel à l'informatique, le Syntec souhaite revoir les conditions d'autorisation de ce dispositif. Normalement applicable uniquement en cas de fermeture de l'établissement, d'un site ou d'un pôle, le Syntec souhaiterait l'étendre aux cadres payés au forfait heures ou jours. Le Munci est partagé quant aux revendications des syndicats. « Que ce soit en termes de maintien intégral de la rémunération ou de droit à la formation, les syndicats ont peut-être placé la barre un peu trop haut, d'où l'échec des négociations », estime Régis Granarolo, président du Munci. Néanmoins, dit-il, « le chômage partiel doit rester une mesure générale, applicable en cas de crise grave et pas seulement parce qu'une SSII voit son activité baisser suite à la perte d'un gros client. Les sociétés informatiques doivent continuer à recourir en priorité à l'inter-contrat. » Prudent, le Munci prévient également que si cette mesure de chômage partiel finissait par s'appliquer à des cas individuels, elle ne devrait pas être autorisée avant d'avoir franchi le cap des 4 à 6 mois d'inter-contrat. Dans le courrier adressé aux organisations syndicales, le Syntec les invite à « reprendre le dialogue social », sans indiquer de date précise. (...)
(27/04/2009 18:34:14)Un ancien dirigeant de Facebook prend la tête de MySpace
Après la démission de Chris DeWolfe, fondateur de MySpace, la maison mère - News Corp - a nommé OwenVan Natta nouveau PDG du réseau social. Parmi ses précédents postes (chez Playlist ou encore Amazon.com), c'est surtout son passage chez Facebook qui a séduit ses nouveaux employeurs. Owen Van Natta a en effet participé à la croissance du réseau social et l'a quitté en janvier 2008, peu de temps avant que Facebook dépasse MySpace en nombre d'utilisateurs, et juste avant que son image soit ternie par différents conflits avec ses utilisateurs. Pour autant, avec 130 millions d'utilisateurs contre 200 millions d'utilisateurs pour Facebook, MySpace n'est pas si mal placé que ça. Myspace a par ailleurs réussi là où Facebook et Twitter peinent encore : la monétisation de son audience. En 2008, MySpace a généré 585 M$ en revenus publicitaires, soit trois fois plus que Facebook. (...)
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