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(26/08/2008 17:45:41)

Enquête Greenpeace : Comment les déchets électroniques européens et asiatiques polluent l'Afrique

Greenpeace a mené l'enquête sur deux décharges situées au Ghana, qui servent, pour l'une, au dépôt et au retraitement de produits électroniques (des ordinateurs, des écrans et des télévisions) et, pour l'autre, à la revente de certains éléments. Le désassemblage y est réalisé manuellement et les appareils sont souvent brûlés en plein air pour isoler le cuivre ou le plastique. Résultat : une contamination importante des sols recouverts par ces cendres avec les substances chimiques toxiques présentes dans les machines ou générées lors de la combustion. Un type de pollution semblable à celle déjà constatée, selon Greenpeace, en Chine, en Inde et en Russie. Par ailleurs, le travail est essentiellement réalisé par des enfants avec des outils rudimentaires et sans protection particulière. Selon les travailleurs locaux interrogés par Greenpeace, le cuivre est vendu 0,22 $ la livre et le plastique 0,01 $ le kilo. De grandes quantités de substances toxiques dans les sols Les chercheurs de Greenpeace ont analysé les échantillons de sols auprès des deux décharges afin d'en connaître la composition détaillée. Phtalates, plomb, cadmium et dioxines s'y trouvent en grande quantité. Greenpeace estime que, malgré une réglementation parmi les plus strictes au monde, l'Union Européenne « perd » 75% de ses déchets électroniques. Nombre de ces produits, contenant des éléments métalliques et chimiques dangereux, passent par des pays avec une réglementation minimaliste voire inexistante. Résultat, l'Afrique en particulier est le réceptacle de cette pollution croissante. Selon l'organisation, entre 20 et 50 millions de tonnes de ces déchets sont générées dans le monde chaque années. Sans surprise, Greenpeace alerte sur l'urgence de la situation. L'organisation appelle à un « plus grand contrôle de la circulation transfrontalière de ces déchets et de leur recyclage. » Elle insiste sur le besoin d'éco-conception pour les nouveaux appareils électroniques (moins de substances toxiques, recyclage facilité, etc.) Bien sûr, des directives comme la DEEE (Déchets des équipements électriques et électroniques) et la RoHS (Restrictions on Hazardous Substances) sont de vraies avancées, mais elles se limitent à l'Europe. Greenpeace souhaiterait les voir étendues au reste du monde et à d'autres substances dangereuses. (...)

(26/08/2008 14:36:14)

Maxdata France disparaîtra malgré le rachat par Quanta

Le constructeur allemand Maxdata, présent en France depuis 1999, a été racheté par le fabricant taïwanais Quanta, un leader mondial des bare bones pour ordinateurs portables. L'information est venue d'une « fuite » du siège allemand de Maxdata et a surpris les responsables de la filiale française, elle-même placée en redressement judiciaire depuis juin dernier. S'agit-il d'une bonne nouvelle pour les partenaires de la marque ? « Sur le moyen terme, c'est assurément une bonne nouvelle, car Quanta est un géant de l'OEM et permettra aux revendeurs d'accéder à un excellent rapport qualité-prix », nous explique Marc Gourlan, Directeur Général de la filiale française. En d'autres termes, il faudra d'abord passer quelques mois difficiles : fermeture de Maxdata France et licenciement collectif d'ici la fin septembre, liquidation de l'unité d'assemblage allemande d'Aix-la-Chapelle (plus de 350 salariés) qui permettait notamment à la marque de proposer un service de « Build to Order » (BTO), retards dans la maintenance et dans les livraisons, transfert des responsabilités hexagonales vers l'Allemagne, la Suisse et le Bénélux, etc. Un contrat de 10 000 machines perdu « Notre première préoccupation concerne la gestion du parc installé, estime Marc Gourlan. Il ne faut pas le laisser tomber et considérer qu'il y a un « avant » et un « après » juin 2008 ». En l'occurrence, le Directeur Général de Maxdata France reconnaît que cette incertitude sur la maintenance du parc installé a fait perdre au constructeur une importante affaire qu'il avait officiellement gagnée, dans le cadre d'un appel d'offres. « Il s'agissait d'un marché de 10 000 machines pour cette seule année, mais le client exigeait logiquement des garanties sur l'avenir de son parc installé ». [[page]]Autre sujet délicat : les grossistes. Maxdata travaillait, entre autres, en France avec Tech Data, « qui a bloqué tous les paiements tant que nous ne reprendrons pas tout ce qu'il a en stock », résume Marc Gourlan. Le constructeur travaille avec plus de 200 partenaires réguliers dans l'Hexagone et les problèmes de maintenance l'emportent pour l'instant sur toutes les autres considérations. Les motivations de Quanta Quant à l'avenir, le plus simple est de s'interroger sur les motivations de Quanta. « Nous n'avons pas d'information à ce sujet, mais il est clair que les grands fournisseurs OEM sont les premiers à souffrir de la pression sur les prix ; ils cherchent donc à se rapprocher du client final pour avoir une marge de manoeuvre un peu plus importante. Acer l'a fait voilà plusieurs années et Asus ou MSI l'ont suivi », analyse Marc Gourlan. Tous ces constats génèrent plus de questions que de réponses et, de fait, la situation de Maxdata France et de son réseau de distribution reste très floue. Pour y voir plus clair, il faudra probablement attendre que la nouvelle organisation de Maxdata en Europe soit en place et que le Taïwanais Quanta (qui n'est pas directement présent sur le Vieux Continent) précise ses intentions. On parle par définition de plusieurs mois d'incertitudes... (...)

(26/08/2008 10:34:49)

Infosys rachète le spécialiste anglais du monde SAP Axon

Les rumeurs lui prêtaient l'intention de racheter CapGemini... C'est finalement l'anglais Axon qui tombe dans l'escarcelle de l'indien Infosys. Axon est un spécialiste du monde SAP. La vente sera officialisée définitivement au mois de novembre prochain après l'aval des autorités de régulation. Le prix serait de 753 millions de dollars (...)

(25/08/2008 17:14:12)

Les télécoms, premier secteur européen touché par les restructurations

En Europe de l'ouest, 1,555 million d'emplois ont été supprimés entre 2002 et 2005, rapporte le cabinet d'études anglo-saxon Alphametrics. En première ligne, le secteur des télécoms, qui enregistre la plus forte concentration des opérations de restructuration (réorganisations, changements de périmètre, délocalisations, cessions, acquisitions, fermetures, modifications de structure du capital) de l'Europe occidentale. En effet, 22,5 % des emplois ont été supprimés dans ce secteur, ce qui le place très loin devant les autres. C'est en Belgique, en Espagne, aux Pays-Bas et en Allemagne que les restructurations ont l'impact relatif le plus élevé (de 20 à 25% des suppressions d'emplois). Mais en valeur absolue, c'est néanmoins en Allemagne et au Royaume-Uni qu'ont eu lieu les restructurations les plus importantes en nombre dans le domaine des télécoms (75 000 emplois supprimés en Allemagne, 70 000 au Royaume Uni, 25 000 en France au cours des années 2002-2005). En France aussi, les télécoms sont les plus touchées [[page]]En France, pays moins marqué par ces opérations que ceux du nord, les quatre secteurs les plus touchés au cours de la même période sont les télécommunications,comme dans la moyenne européenne (après les transports, l'équipement électronique et la métallurgie -au total 40% des emplois supprimés par restructuration-.) Viennent ensuite la construction automobile et les services financiers. Ces six secteurs représentent plus de la moitié (53 %) des 176 000 emplois supprimés. Toutefois, ces données doivent être examinées avec prudence car elles peuvent être sous-estimées, prévient le cabinet. Il précise que seules les restructurations signalées et identifiées sont prises en compte. Les restructurations discrètes, soit de toute petite taille, soit conduites dans le silence ou sans accident, ont peu de chance d'avoir été repérées. (...)

(25/08/2008 17:03:43)

Les plateformes de SAP BO et Cognos en tête des offres BI, selon Forrester

Une étude de Forrester datant de fin juillet, compare douze plateformes décisionnelles sur trois axes : l'offre technologique (architecture, développement, fonctions, opérationnel), la stratégie de son éditeur et sa présence sur le marché. Elle place en tête les solutions de SAP Business Objects et de Cognos qui, selon le cabinet, allient la robustesse fonctionnelle à la solidité de la stratégie. Dans leur roue, Boris Evelson, analyste auteur de l'étude, place les plateformes de SAS et d'Oracle. Juste derrière arrivent Information Builders, Microstrategy et Microsoft. Légèrement en-deçà, Forrester situe Actuate et, mais un cran plus avancée au niveau stratégique, l'offre SAP NetWeaver BI. L'étude fait également apparaître trois outsiders : Tibco Software, QlikTech et Panorama Software. Boris Evelson a confronté les versions des produits disponibles en mars dernier, sur la base de quelque 150 critères, et rencontré 24 entreprises clientes. Il rappelle que l'analyse des données de l'entreprise (Business Intelligence, BI) ne s'arrête plus au simple reporting. Forrester définit désormais la B.I, ainsi que les outils qui la mettent en oeuvre, comme un ensemble de méthodologies, de processus, d'architectures et de technologies qui transforme des données brutes en informations utiles chargées de sens, permettant une compréhension accrue, sur les plans tactique, stratégique et opérationnel, pour guider la prise de décision. Un marché de la BI toujours en évolution [[page]]Boris Evelson constate que la BI requiert de nombreux composants différents, quelques fois plus de quarante, pour mettre en place un environnement décisionnel d'entreprise robuste et capable de monter en puissance, fonctionnellement et en nombre d'utilisateurs. Si une part importante de l'étude de Forrester porte sur les outils de reporting, d'analyse et de diffusion de l'information, piliers de la BI, Boris Evelson aborde aussi les autres composantes que sont l'intégration de données et la gestion de la qualité des données. Pour lui, ce marché, quoiqu'en pleine consolidation (en un an, Oracle, SAP et IBM ont respectivement acheté Hyperion, Business Objects et Cognos), n'est pas encore mature. « Contrairement à la croyance populaire, argumente-t-il, ce marché continue à évoluer de différentes façons ». Il cite, entre autres, les nouvelles générations d'interfaces utilisateurs, l'intégration des processus et des règles métiers, les fonctions en self-service tournées vers l'utilisateur, les nouvelles bases de données conçues pour l'analytique (NDLR : au rang dequelles figurant notamment de nouveaux venus comme Illuminate ou Netezza). (...)

(25/08/2008 16:36:22)

AMD cherche à vendre ses usines, sans succès

Mis à mal par les retards du Barcelona, AMD continue de mettre en place sa stratégie pour reprendre pied. C'est ainsi qu'il a décidé de se séparer de ses deux usines de fabrication. Certes, l'activité d'AMD dépendrait alors de fabricants de puces externes, mais il n'aurait plus à supporter les dépenses massives associées à ce type d'activité, ni les programmes imposants de R&D requis pour suivre les avancées de la technologie des semi-conducteurs. Cette opération soulagerait aussi avec du cash un AMD encore englué dans 5 Md$ de dettes à long terme. La firme espère ainsi redevenir un concurrent à la mesure d'Intel, qui a encore fait montre de toute sa puissance la semaine dernière à l'occasion de son forum IDF2008. AMD compte deux usines, Fab 36 et Fab 38, toutes deux installées à Dresde en Allemagne. Fab 36, la plus récente, fait des galettes de puces en technologie 300 mm. Un procédé avec de meilleures économies d'échelle que le 200 mm utilisé dans les usines plus anciennes. Fab 38 devrait justement terminer sa transition entre les deux procédés au tout début 2009. Les investisseurs attendent que les prix baissent [[page]]Un seul problème, mais de taille : aucun acheteur ne veut des usines d'AMD ! « Après tout, pourquoi une entreprise voudrait-elle faire une telle acquisition aujourd'hui alors qu'il suffit d'attendre un peu pour payer ces usines moins cher ? », interroge Craig Berger, analyste chez Friedman, Billings, Ramsey & Co. Les investisseurs observent la situation, et attendent. AMD continue en effet de perdre de l'argent. 1,2 Md$ rien qu'au deuxième trimestre. La valeur totale de ses actions a fondu de moitié depuis la fin 2007, passant de 3Md$ à 1,5 Md$. Dans la même période, le montant du cash qu'elle détient est passé de 1,9Md$ à 1,6 Md$. Et les prévisions pour l'avenir ne sont guère plus optimistes. Une technologie et des produits excellents pourraient ne pas suffire Désormais, les problèmes des produits Barcelona sont derrière AMD et, cette année, l'industriel a tenu les promesses de sa feuille de route. La sortie de la plate-forme Puma et des dernières cartes graphiques ATI ont remonté le moral de la firme. AMD a aussi prévu une nouvelle version de son quadri-coeur, Shanghai, avant la fin 2008 et une ligne de processeurs combinant les multi-coeurs et l'accélérateur graphique en 2009. Néanmoins, étant donné l'ampleur des problèmes financiers d'AMD, une technologie et des produits excellents pourraient ne pas suffire. (...)

(25/08/2008 11:42:13)

La croissance du marché des semiconducteurs devrait ralentir

Cette année, la croissance du marché des semiconducteurs sera affectée par le ralentissement des dépenses en électronique grand public, estime un analyste du Gartner. « Nous ne pensons pas que l'industrie des semiconducteurs puisse rester complètement insensible à l'environnement macroéconomique, explique ainsi Richard Gordon. Nous nous attendons à ce que les dépenses des consommateurs en produits électroniques diminuent au cours des prochains trimestres. » Néanmoins, en dépit de ces prévisions alarmistes, l'institut d'études n'envisage pas de revoir la baisse sa précédente estimation, qui tablait sur une croissance de 3,4% en 2008 du marché des semiconducteurs, à 278,4 Md$. Peut-être parce que Gartner avait déjà revu à la baisse ce taux de progression, auparavant estimé à 6,2%. Cette diminution des achats réalisés par le grand public serait la conséquence logique de la crise des crédits immobiliers et de l'inflation des tarifs de l'énergie. Et la tendance est mondiale, frappant aussi bien les économies occidentales que les marchés émergents - notamment la Chine, l'Inde, la Russie et l'Amérique du Sud - pourtant considérés depuis plusieurs trimestres comme les accélérateurs de la croissance globale. (...)

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