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(27/02/2008 18:02:46)

LogicaCMG réunit ses filiales sous une même enseigne : Logica

Le groupe LogicaCMG, qui opérait en France sous la marque Unilog après le rachat de la SSII en janvier 2006, a décidé d'unifier l'ensemble de ses marques sous une même bannière internationale, baptisée tout simplement Logica. Les autres marques historiques du groupe britannique sont Edinfor (un prestataire informatique portugais acquis en 2005) et le Suédois WM-data (racheté en octobre 2006). « Cette harmonisation renforcera notre visibilité auprès de notre clientèle », a expliqué Andy Green, PDG du groupe Logica (depuis le 1er janvier dernier) lors d'une visioconférence. Le groupe a également créé une division mondiale baptisée « services d'externalisation », dédiée aux projets offshore localisés en Inde et au Maroc, ainsi que cinq équipes sectorielles métier (banque, assurances...). Logica a profité de cette annonce pour publier ses résultats financiers 2007. Le chiffre d'affaires s'établit à 3,073 Md£ (en hausse de 27%, mais seulement 3% en organique), dont 588,2 Md£ en France - qui réalise d'ailleurs la meilleure croissance (+10,9% en organique). Si le bénéfice opérationnel chute de 23 %, à 109,7 M£, le bénéfice net fait plus que doubler, en atteignant 168,1 M£. En France, la marge opérationnelle stagne à 6,9%. Des chiffres mitigés que Patrick Guimbal, Président de Logica France et membre du comité exécutif du groupe Logica, juge « pas extraordinaires, mais acceptables ». Il explique ces performances relatives par des projets offshores qui se sont révélés pénalisants, ainsi qu'un turn-over trop élevé au courant de l'année. Logica emploie 39 000 personnes (dont 9000 en France) dans 36 pays. (...)

(27/02/2008 16:49:56)

Microsoft poursuivi pour des PC pas si "Vista capable" que cela

Un juge américain vient d'élever au rang d'action collective la procédure engagée par des consommateurs qui affirment avoir été abusés en 2006 par le slogan "Vista Capable", qu'avait octroyé Microsoft à des PC qui n'étaient capables que de supporter la version Home Basic de Vista. Les consommateurs auraient acheté un PC sous XP croyant pouvoir ensuite installer Vista dans toute sa magnificence et non la version Home Basic, dépourvue des fonctionnalités emblématiques de la voracité de cet OS. Le juge a entendu les plaignants, non pas sur le fondement d'un sous-dimensionnement des systèmes pour faire tourner Vista dans une configuration digne de ce nom, mais sur le fait que les micros auraient été vendus plus cher grâce à ce slogan. L'action collective (Class action) est une procédure qui permet à tous ceux qui ont acheté un PC sous XP avec la mention "Vista capable" de se joindre à la partie civile. Cette procédure n'existe toujours pas en droit français malgré les demandes réitérées des associations de consommateurs. C'et ainsi que, condamné fin 2005 à 534 M€ d'amende pour entente illicite sur les prix, les trois grands opérateurs mobiles français échappent toujours au remboursement des sommes volées à leurs utilisateurs. (...)

(27/02/2008 16:45:38)

VMworld 2008 : EMC rappelle ses liens privilégiés avec VMware

Très discret sur son contrôle de VMware à près de 90%, EMC profite toutefois de cette position pour placer ses produits en adéquation avec ceux de sa filiale. C'est ainsi que l'outil Recovery Manager d'administration de PRA de VMware sera rapidement intégré avec les solutions de réplication à distance d'EMC : RecoverPoint, MirrorView, SRDF et Celerra Replicator. Au niveau des logiciels de sauvegarde, les fonctionnalités de déduplication de données d'Avamar ont été optimisées pour fonctionner avec VMware. Quant à EMC Replication Manager, il permet des réplications au niveau des applications Exchange, SQL Server et Oracle en environnement VMware. (...)

(27/02/2008 16:44:04)

VMworld 2008 : Unanimité autour d'OVF, format pour transporter les machines virtuelles

VMware vient d'annoncer OVF (Open Virtual Machine Format) avec le soutien de Microsoft, XenSource (Citrix), IBM, HP et Dell. Alors que VHD (Virtual Hard Disk), soutenu par Microsoft et Citrix, tout comme VMDK (virtual machine disk format) de VMware, sont des formats pour constituer des disques virtuels, OVF a pour vocation de décrire l'intégralité d'une machine virtuelle. Cela comprend, bien sûr, l'ensemble des disques virtuels (au format VHD ou VMDK), mais aussi la configuration virtuelle complète du matériel (processeur, mémoire, réseau et stockage). Charme de la coopétition, le format OVF est soutenu par l'association DMTF (Distributed Management task Force). (...)

(27/02/2008 16:33:45)

IBM invente la salle de serveur virtuelle en 3D

Avec son « 3-D Data Center », IBM pousse la virtualisation des salles de serveurs à ses limites les plus extrêmes. Plutôt que d'installer des serveurs virtuels dans un environnement physique réel, les chercheurs de la société veulent créer un monde virtuel d'où il serait possible d'accéder à l'ensemble des données de l'entreprise, quelque soit leur emplacement physique de stockage. Pour les administrateurs systèmes, « c'est une nouvelle façon d'observer ses systèmes d'information et d'interagir avec eux, » explique Michael Osias, l'un des chercheurs à la tête du projet. « Les objets ne sont pas juste des visualisations. Vous pouvez penser à eux comme des petites machines. » Concrètement, cette salle de serveur virtuelle permettra d'identifier du premier coup d'oeil les systèmes sous-utilisés, ou au contraire d'éviter les surcharges en détournant des processus de zones au bord de la saturation (en terme de charge de travail ou de ventilation, si une canicule frappe l'une des salles de serveurs) à des zones plus calmes. En s'appuyant sur des logiciels maison ou issus du monde Open Source (comme Open Simulation), les chercheurs d'IBM affirment pouvoir modéliser ainsi n'importe quelle salle de serveur, quel que soit le matériel installé - physiquement ou via des serveurs virtuels. A une seule condition : qu'il y ait une API réseau. Pour des raisons de sécurité, ces salles 3-D sont en effet implantées sur l'intranet de la société et non directement sur le Web. Passant du stade du projet au beta-test, ce « 3-D Data Center » n'a été pour l'instant implanté que chez un client suisse, Implenia, spécialisé dans la construction et l'immobilier. (...)

(27/02/2008 16:27:13)

VMworld 2008 : avec Vmsafe, VMware place la sécurité entre les mains d'éditeurs tiers

L'environnement virtuel est à coup sûr mieux que le réel et plus sécurisé pour faire fonctionner un logiciel. C'est l'un des messages qu'a souhaité faire passer Mendel Rosenblum, cofondateur de VMware et actuel directeur de recherche, à l'occasion de VMworld 2008 à Cannes. La société, dont les annonces autour de la sécurité étaient très attendues lors de la conférence, a ainsi présenté sa technologie Vmsafe, une suite d'API qui sécurise la machine virtuelle VMware. Plutôt que de proposer une simple suite, VMware, qui contrôle l'intégralité de l'infrastructure virtuelle, a ainsi décidé d'ouvrir son système aux éditeurs tiers pour fournir la brique sécurité qui faisait, selon certains fournisseurs, défaut à l'éditeur. VMsafe s'intègre au niveau de l'hyperviseur de la marque et surveille ainsi les entrées/sorties, le CPU, la mémoire et les unités de stockage. La technologie permet de scanner plusieurs machines virtuelles pour détecter les virus et autres malwares, explique Mandel Rosenblum lors d'une brève démonstration. Vingt partenaires ont déjà répondu présents et ont décidé de développer des produits autour de VMsafe. On retrouve McAfee, Sophos, Trend Micro, Symantec, F5, IBM, Tripwire parmi les plus connus. Il est à noter que la société Core Security Technology a annoncé ce matin la découverte d'un faille dans ACE et VMware player, qui expose le système hôte à une prise de contrôle à distance. (...)

(27/02/2008 16:22:03)

Investissements publicitaires sur Internet :+ 32,4% en 2007 selon l'Idate

Doucement mais sûrement, la publicité change de bord. Selon le centre d'études et de conseil européen Idate, les investissements dans la publicité en ligne ont enregistré une croissance exceptionnelle de 32,4% en 2007. Cette hausse se fait au détriment de la télévision, de la radio et de la presse papier - des médias traditionnels qui restent toutefois majoritaires pour le moment, mais affichent des croissances atones (+0,8% pour les journaux en 2007). Dans sa totalité, le marché publicitaire des médias a généré un chiffre d'affaires de 450 Md$ en 2007. L'étude souligne en outre qu'Internet compte désormais 750 millions d'utilisateurs passant plus de 11 heures par semaine en ligne. Et l'engouement des annonceurs pour le Web n'est pas près de s'effriter : l'Idate table sur une progression des investissements publicitaires de 76% entre 2006 et 2009 (contre une hausse de 16% pour la télévision et de 9,5% pour la presse). Internet deviendrait ainsi le troisième support média pour la publicité. Un phénomène qui n'a pas manqué d'attirer l'attention et la convoitise des géants d'Internet. Microsoft, Google, Yahoo et consorts se ruent sur le phénomène, n'hésitant plus à débourser des sommes folles pour se doter d'outils publicitaires plus performants les uns que les autres. L'Idate a également analysé les dépenses publicitaires sur les mobiles. Verdict : le potentiel est très élevé (avec 3,25 milliards d'utilisateurs dans le monde), mais il est largement sous exploité. Il draine moins de 1% des investissements des annonceurs. D'après le centre d'études, ce retard est dû à plusieurs facteurs, comme l'absence de services réellement adaptés au mobile, ainsi que la frilosité des annonceurs, qui restent dans l'attente d'une pénétration plus marquée des terminaux 3G/3G+. (...)

(27/02/2008 16:17:29)

Bruxelles inflige à Microsoft une nouvelle amende record de 899 M€

899 M€. C'est le montant record de la nouvelle amende infligée à Microsoft par la Commission européenne. L'éditeur été condamné pour n'avoir pas rempli les obligations imposées par la Commission en mars 2004. La décision de 2004, qui a été confirmée par le Tribunal de première instance en septembre dernier, estimait que Microsoft avait abusé de sa position dominante (au sens de l'article 82 du traité CE) et que l'entreprise était tenue de divulguer des spécifications d'interfaces pour assurer une parfaite interopérabilité entre les serveurs de groupe de travail d'une autre marque et les PC et serveurs Windows, et ce à un prix raisonnable. Ce qu'elle n'a pas fait en temps et en heure. Même si Microsoft avait finalement accepté, le 22 octobre 2007, de se plier aux exigences de Bruxelles, la Commission a donc décidé de condamner l'éditeur pour le caractère excessif des redevances qu'il imposait aux éditeurs tiers jusqu'à cette date. Soit, une amende de 899 M€, la plus salée jamais prononcée par l'exécutif européen. Et ce n'est pas la très récente ouverture des principales API annoncée récemment par Microsoft qui auront suffit à attendrir la Commission. « C'est la première fois en cinquante années de politique de la concurrence dans l'UE que la Commission a dû infliger une amende pour non-respect d'une décision en matière d'ententes », a déclaré Neelie Kroes, commissaire chargée de la concurrence. « J'espère que la décision d'aujourd'hui clôt un chapitre sombre du dossier de Microsoft relatif au non-respect de la décision de la Commission de mars 2004 et que les principes confirmés par l'arrêt du Tribunal de première instance de septembre 2007 dicteront la conduite future de Microsoft ». A la suite du procès de 2004, Microsoft avait été condamné à verser 497 M€ d'amende pour abus de position dominante. A l'époque, la Commission avait notamment enjoint Microsoft de publier les détails techniques de ses protocoles de communications embarqués dans les OS serveurs. Au regard des prix pratiqués pour l'obtention des informations d'interopérabilité, jugés déraisonnables, par Bruxelles, l'éditeur avait été condamné à une amende supplémentaire de 280,5 M€ l'année dernière. La nouvelle condamnation de Microsoft n'a pas tardé à susciter de multiples réactions, à commencer par celle de l'April, l'ardente association défendant le Libre. Dans un communiqué, elle félicite Bruxelles et estime qu'il « aurait été inacceptable qu'une firme qui a violé les règles de la concurrence européenne, en toute connaissance de cause et pendant plusieurs années, voie ses sanctions financières revues à la baisse ». La décision de la Commission ne marque cependant pas la fin des ennuis de Microsoft avec les 27. Mi-janvier, Bruxelles ouvrait en effet deux nouvelles enquêtes contre le groupe de Redmond, toujours liées à l'interopérabilité de Windows avec d'autres produits et à l'intégration de certains outils dans les OS. (...)

(27/02/2008 10:38:03)

Le marché des serveurs pourrait marquer le pas en 2008, estime IDC

Après avoir enregistré de solides performances en 2007, le marché mondial des serveurs pourrait connaître une année 2008 plus délicate selon IDC. L'institut évoque ainsi un recul des revenus de ce secteur, essentiellement dû au ralentissement global de l'économie prévu pour l'année en cours. « L'impact de l'économie sur le marché de l'infrastructure IT dépendra de la durée et de l'intensité de ce ralentissement, explique IDC. Certains projets pourraient être reportés et contribuer ainsi à un recul de la croissance globale. » En 2007, les vendeurs de serveurs ont enregistré des revenus de 54,45 Md$, un record depuis les 61,6 Md$ atteints en 2000. Au T4, le marché affichait son septième trimestre consécutif de croissance en valeur. Une progression reposant sur la vitalité des serveurs lames, qui parvenait à contrebalancer un recul sur les segments moyen et haut de gamme. Cette année, plutôt que de continuer à investir dans leur infrastructure serveur, les entreprises pourraient être tentées de consolider l'existant et de se tourner vers les technologies de virtualisation, qui garantissent - théoriquement - un retour sur investissement rapide. « Ces types de projets seront autant de preuves de la récession », estime IDC. La tendance évoquée par l'institut d'études corrobore ce qu'indiquait Frédéric Giron, du cabinet Pierre Audoin Consultants, au MondeInformatique.fr au début du mois. Selon lui, « le climat économique incertain que nous observons depuis le début de l'année aura un impact certain sur des marchés clés (notamment les secteurs bancaires et financiers), qui sont en général très dynamiques en termes d'investissements IT. » Pour la France, PAC table ainsi sur une décélération des investissements informatiques d'environ 2,5% en 2008. (...)

(27/02/2008 10:03:12)

Ranger, 2e supercalculateur le plus puissant au monde, débarque au Texas

L'Université du Texas vient de s'offrir Ranger, le deuxième supercalculateur le plus puissant de la planète, en collaboration avec la National Science Foundation (NSF). Construit par Sun, il est animé par 15 744 Opteron d'AMD, soit la bagatelle de 62 976 coeurs, 123 To de mémoire vive et 1,7 Po d'espace de stockage. Selon AMD, si le Top 500 - le classement biannuel des supercalculateurs - paraissait aujourd'hui, Ranger s'arrogerait la deuxième place grâce à sa puissance de calcul de 504 teraflops (soit 504 millions de milliards d'opérations par seconde). Il prendrait ainsi place derrière l'inamovible vainqueur du classement, le BlueGene/L d'IBM et ses 569 teraflops. La machine, installée dans les locaux de l'Université du Texas au sein d'une immense pièce de 6000 m², nécessite une puissance électrique de 3 Mw, dont 1 Mw pour le seul système de refroidissement. Financé par des fonds publics, Ranger a coûté 30 M$ à la NSF et sera mis gratuitement à la disposition de tous les scientifiques installés aux Etats-Unis. Une commission d'universitaires étudiera les demandes des chercheurs et attribuera des créneaux aux projets jugés les plus intéressants. Depuis le 4 février, date à laquelle Ranger a été déployé à Austin, 400 scientifiques ont déjà éprouvé sa puissance. Parmi eux, Volker Bromm, professeur d'astronomie, tente de percer les secrets de l'âge sombre cosmique, une période de quelques centaines de millions d'années séparant le Big Bang de l'apparition des premières étoiles. « Nous avons besoin de simuler une grande partie de l'univers. Jusqu'à présent, cela ne pouvait être réalisé par aucune machine. Avec la débauche de puissance de Ranger, nous pouvons pour la première fois mieux comprendre l'immensité de l'univers et de ses plus petites composantes comme le système solaire. Ranger est une machine à voyager dans le temps. » (...)

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