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(18/02/2008 13:17:09)

Les grands actionnaires de Yahoo ont aussi investi dans Microsoft

Après le refus, par Yahoo, de son offre de rachat, Microsoft avait laissé entendre, la semaine dernière, qu'il pourrait bien s'adresser directement aux actionnaires du fournisseur de portail. Il n'avait certainement pas échappé à l'éditeur de Redmond que nombre des investisseurs institutionnels de Yahoo possédaient également des parts dans son propre groupe. Ils sont près de 90% dans ce cas, selon Reuters qui cite RiskMetrics, société spécialisée dans l'analyse du risque financier. Parmi eux figurent la majorité des vingt plus gros actionnaires de Yahoo, des sociétés qui, en outre, ont investi de façon encore plus conséquente dans Microsoft. Voilà donc des vendeurs potentiels qui n'ont pas particulièrement intérêt à ce que l'acquisition de Yahoo soit trop surévaluée. Rappelons que Microsoft a offert 31 dollars par action, ce qui, le jour de la proposition, surpassait de 62% le niveau de l'action Yahoo, la société de Jerry Yang faisant face, ces derniers mois, à des difficultés financières. Depuis le début de l'offre d'achat, le cours de cette action a sensiblement remonté tandis que celle de Microsoft baissait : respectivement 29,58 dollars et 28,39 dollars à la clôture de vendredi soir. [[page]] Legg Mason, numéro deux dans la liste des actionnaires les plus importants de Yahoo, s'est déjà dit favorable au rachat, mais à un prix plus élevé. Bill Miller, l'un de ses gestionnaires, avait estimé que le juste prix s'établissait à 40 dollars l'action. Mais RiskMetrics rappelle que Legg Mason a investi davantage dans Yahoo que dans Microsoft. « Ne vous attendez pas à ce que les autres grands actionnaires de Yahoo suivent Bill Miller », estime la société d'analyse financière dans un récent rapport, toujours cité par Reuters. Les investisseurs ayant également des intérêts dans Microsoft vont plutôt chercher à éviter une surenchère qui pourrait minorer les bénéfices attendus de cette fusion entre les deux acteurs. Rappelons que Microsoft souhaite racheter Yahoo pour renforcer ses positions sur le marché de la publicité en ligne. Sur ce secteur, son portail Web MSN ne pèse que 5,2%, selon les estimations du cabinet eMarketer, contre 5,5% pour AOL, 15% pour Yahoo et 40,4% pour Google. (...)

(18/02/2008 13:17:00)

Annuels Steria : la SSII veut se renforcer en Inde et dans le BPO

La société de services informatiques française Steria a publié un revenu consolidé de 1,416 Md€, en hausse de 12,2% par rapport à l'année dernière. Ce chiffre d'affaire comprend l'intégration des activités de la SSII britannique Xansa, dont l'acquisition s'est finalisée en octobre dernier pour un montant total de 680 M€. A périmètre constant, le chiffre d'affaires de Steria atteint 1,306 Md€, en progression de 4,2%. La SSII, spécialisée dans l'intégration de systèmes et l'infogérance, enregistre sa plus belle croissance organique en Allemagne (+12,1%). La France reste le pays qui lui rapporte le plus de revenu (534,3 M€), mais sa croissance a tendance à se tasser (+1,3% sur l'ensemble de l'année, et -3,3% pour le quatrième trimestre de l'année). Steria ne pense pas pouvoir tirer profit des synergies de chiffres d'affaires liées au rachat de Xansa avant 2009, mais pour 2008, le groupe se déclare « confiant dans sa capacité à générer une croissance organique de son chiffre d'affaires au moins égale à celle du marché des services informatiques européens ». Steria vise une marge opérationnelle de 8% d'ici la fin de l'année. Steria a également confirmé que l'acquisition de Xansa lui permettra d'asseoir sa position en Inde (Xansa y compte 5 000 salariés), d'étendre sa couverture géographique à d'autres régions de l'Asie, mais aussi de compléter son offre de services et de solutions de BPO (externalisation de la gestion de certains processus métiers). Le groupe français a d'ailleurs nommé un directeur général indien, Mukesh Aghi, qui rejoint également le comité exécutif de la SSII. Les résultats annuels complets de la SSII française seront publiés le 25 mars prochain. (...)

(18/02/2008 13:10:33)

Microsoft place le format doc sous son programme OSP

Sous la pression des utilisateurs et des développeurs, Microsoft a enfin décidé de faciliter l'accès aux spécifications des formats binaires de fichiers de ses anciennes versions d'Office. Les données techniques des formats de fichiers binaires de Word, Excel et Powerpoint, à partir d'Office 97, sont désormais disponibles sous le programme OSP (Open Source Promise) de l'éditeur. Un programme débuté en septembre 2006 par l'ouverture de spécifications WS qui garantit aux développeurs un usage sans risque et libre des technologies Microsoft placé sous ce projet. Si l'accès aux binaires était déjà possible sur simple demande par mail, comme l'indique Brian Jones, chef de produit Office, sur son blog, certaines institutions nationales lors du processus de normalisation d'Open XML à l'ISO avaient demandé à l'éditeur de réfléchir à un moyen plus simple d'ouvrir les binaires. L'Afnor, qui représentait la France, en a même fait un de ses chevaux de bataille, préconisant de fragmenter le format en deux parties dont une pour encapsuler le format de référence doc afin d'assurer une compatibilité ascendante. La décision de Microsoft d'en faciliter l'accès fait ainsi sauter un des verrous à la normalisation ISO. L'un des nombreux intérêts de cette initiative est également de faciliter le développement de passerelles entre des applications d'entreprise et Office, dont le format doc fait encore référence. Tout comme le développement de convertisseurs. (...)

(18/02/2008 13:07:02)

JBoss World : Red Hat veut remplacer Tuxedo

Red Hat a Tuxedo dans le collimateur. L'éditeur a annoncé sur JBoss World, conférence annuelle de ses utilisateurs de middleware, une série d'initiatives et de projets pour étoffer son offre, afin de pouvoir présenter au marché une solution Open Source complète. Red Hat veut ainsi offrir des outils de gouvernance Open Source pour les architectures orientées services (SOA). Le premier projet lié à ce thème, JBoss.org DNA, est un référentiel basé sur les actifs de Metamatrix. Red Hat veut également faire émerger des outils d'administration, et s'est associé pour cela à Hyperic pour fonder RHQ, qui jette les bases d'une plateforme d'administration commune à tous les produits JBoss. Le premier produit à en bénéficier devrait être JBoss Operations Network v2.0, attendu pour ce printemps. L'annonce la plus importante est toutefois celle du projet BlackTie, qui vise rien moins que créer un moniteur transactionnel Open Source capable de remplacer Tuxedo, la star de BEA, au pied levé. La référence à Tuxedo est d'ailleurs explicite dans la communication de Red Hat, qui explique que les langages et protocoles supportés par Tuxedo le seront par BlackTie. D'une part parce que Tuxedo est de loin le leader du secteur, et qu'il faut donc se conformer au standard de fait établi par BEA. D'autre part [[page]]parce que l'objectif est clair : il s'agit de capter une partie des clients qui pourraient désirer se libérer de l'emprise d'Oracle. Et au passage, sachant que Tuxedo représente en revenus de maintenance une vache à lait pour BEA, cela pourrait priver Oracle d'une partie de ces revenus récurrents. Dans son blog, Marc Fleury, créateur de JBoss parti quelques mois après l'avoir vendu à Red Hat, s'enthousiasme pour cette décision « intelligente, opportuniste et agressive ». Qui lui rappelle, dit-il, la façon dont JBoss se comportait à ses débuts. Red Hat a par ailleurs profité de ce JBoss World pour réaffirmer sa volonté de devenir un acteur majeur sur le marché des SOA, en ouvrant un centre de ressources, et en repackageant son offre middleware sous le nom JBoss Enterprise SOA Platform. (...)

(18/02/2008 10:28:33)

Le site de vidéo participative Seesmic lève 6 millions de dollars

Loïc Le Meur est un vrai gourmand de la Toile. L'entrepreneur français ne se contente pas du succès des sociétés qu'il a lancées ou financées (comme Looping, B2L, RapidSite, Tekora, Ublog puis SixApart...). Il vient de remporter un tour de table de 6 M$ pour Seesmic. Cette plateforme collaborative permet aux internautes de monter du contenu vidéo et de le diffuser sur différents sites communautaires ou multimédia. 2000 vidéos sont quotidiennement mises en ligne. Le principal investisseur de cette levée de fonds est Atomico (fondé par les créateurs de Skype Niklas Zennström et Janus Friis), accompagné d'une douzaine de « business angels ». (...)

(15/02/2008 18:30:48)

Sopra Group a atteint le milliard d'euros en 2007

La SSII Sopra Group a réalisé un chiffre d'affaires de 1 001,4 M€ en 2007, ce qui correspond à une croissance organique de +9,4% par rapport à 2006, et à une croissance totale de +11,6%. La marge opérationnelle courante du groupe s'élève à 9,1% de son chiffre d'affaires. Rappelons que la SSII a développé son activité en Europe sur plusieurs secteurs : le conseil, l'intégration de systèmes, l'infogérance applicative, l'édition de solutions métiers (dans la banque, l'immobilier et la gestion des ressources humaines) et les projets d'intégration entre applications. En 2007, l'activité de conseil en management de Sopra Group a réalisé un chiffre d'affaires de 43,9 M€ (+7,1%), l'entité ISS (Intégration de systèmes et de solutions) France a engrangé 597,5 M€ (+11,1%) et ISS Europe a terminé sur 214,9 M€ (+6,3%). Mais c'est la filiale Axway, spécialisée dans les solutions d'intégration, qui a enregistré la progression la plus importante (+24,1%) avec un chiffre d'affaires de 145,1 M€. A l'horizon 2010, Sopra Group déclare viser les 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. (...)

(15/02/2008 17:56:31)

Business Objects XI 3.0 sonde les données non structurées

L'éditeur français Business Objects, désormais entité autonome de l'Allemand SAP, vient de présenter la version 3.0 de BusinessObjects XI, sa plateforme décisionnelle d'entreprise. L'offre tire maintenant parti des fonctionnalités d'analyse de texte récupérées avec le rachat du Californien InXight Software, en mai 2007. Incorporées à XI 3.0, celles-ci permettent d'inclure dans la démarche décisionnelle les données non structurées qui sont contenues dans des courriels, des notes ou encore des pages Web. Quant au partenariat noué avec Thomson Financial, en août dernier, il permet de récupérer des données commerciales et financières externes, dans des formats analytiques pré-établis à afficher à l'aide des logiciels de reporting Crystal et Crystal Excelsius, afin que l'entreprise puisse, par exemple, se situer sur son marché en comparant ses performances à celles de ses concurrents directs. Traçabilité, requêtes métiers, mobilité, intégration avec SAP Des fonctions de traçabilité ont également été ajoutées à XI 3.0. Il sera ainsi possible de retrouver les étapes de transformation ou de fusion à travers lesquelles les données ont pu passer. Un apport qui nécessite de combiner les briques Business Objects Data Services, Data Integrator et Data Quality Components. Un nouvel outil d'interrogation, Polestar, permet d'obtenir des réponses sur des questions métiers, sans être un spécialiste des requêtes SQL. Business Objects fournit également la possibilité d'inclure dans l'interface de XI 3.0 des fenêtres (BI widgets) pour suivre l'évolution d'indicateurs-clés personnalisés. Avec la solution Mobile, l'utilisateur nomade pourra par ailleurs accéder sur son terminal portable à des reportings choisis qu'il pourra analyser hors connexion. Même si le développement de XI 3.0 a démarré bien avant l'acquisition de Business Objects par SAP, la nouvelle plateforme présente des liens renforcés avec l'offre de gestion intégrée de ce dernier, notamment sur l'utilisation des méta-données. BusinessObjects XI 3.0 est attendu pour ce trimestre. Les outils Mobile et Polestar arriveront plus tard. (...)

(15/02/2008 17:07:28)

100 M$ pour faire sortir SCO du coma

Un fonds d'investissement injecte 100 M$ dans SCO, ce qui devrait lui permettre de sortir de la procédure américaine des faillites, SCO devenant alors une société non cotée. Parmi les projets de Stephen Norris Capital Partners (SNCP) figure, semble-t-il, celui de poursuivre les procédures engagées à propos de propriétés intellectuelles de SCO violées par IBM et Novell et qui se retrouveraient enfouies dans le code de Linux. SNCP déclare aussi avoir un projet de relance de l'éditeur de l'Unix OpenServer 6. (...)

(15/02/2008 16:52:56)

Externalisation : le niveau de satisfaction progresse, selon Deloitte

Selon l'enquête 2008 de Deloitte sur l'externalisation, 89% des contrats de ce genre génèrent un retour sur investissement de 25%. Cet impressionnant ratio devrait satisfaire 64% des responsables interrogés qui placent les réductions de coûts comme la priorité des priorités. L'autre grande motivation affichée se trouve dans la recherche d'une expertise technologique. Du coup, l'amélioration de la satisfaction client (37%) et les gains de compétitivité (27%) font figure de parent pauvre. C'est d'ailleurs ce qu'ont réalisé les dirigeants interrogés. Dans un second temps, ils déplorent le manque de réactivité de leur fournisseur. Seulement 34% déclarent avoir retiré un bénéfice d'une initiative intelligente de sa part. D'ailleurs, si le contrat était à refaire, 49% disent qu'ils se pencheraient minutieusement sur la définition des niveaux de service et l'adaptation des prestations à l'évolution de l'entreprise. Il est aussi à noter que près de 40% des entreprises interrogées déclarent avoir dénoncé au moins un contrat d'externalisation. La satisfaction exprimée dans 70% des réponses est donc le fruit d'une expérience durement acquise. Les défis à relever par les deux parties - Le manque de communication : près d'une société cliente sur trois s'en plaint ; - Le manque de préparation pour sélectionner le prestataire : 35% des dirigeants interrogés - font 55% de ceux qui se déclarent insatisfaits - déplore ne pas avoir pris suffisamment de temps pour évaluer les candidats ; - Côté prestataires : 75% d'entre eux déclarent que les clients ne se préparent pas à l'externalisation. Leurs processus manquent de maturité et ils sont souvent incapables de formuler leurs besoins et leurs objectifs ; - L'absence d'un business plan pour l'externalisation. Seulement à peine plus d'un tiers des clients ont pris la peine de simuler leur stratégie d'externalisation. (...)

(15/02/2008 15:35:03)

Bull redresse la barre et veut renforcer ses activités de services

Doucement mais sûrement, Bull renverse la tendance. Le groupe français, qui était quasiment moribond pour certains, renaît de ses cendres, et affiche des ambitions très précises. Le chiffre d'affaires est enfin en hausse, à 1,1 Md€ (+2,6% à périmètre retraité) et le groupe enterre surtout la dette très lourde qui ternissait sa réputation (-16,5 M€ en 2006) en engrangeant 9,9 M€, notamment grâce à sa cession d'activité au Portugal. Les ventes de produits, à 493,3 M€ (-5%), ont pesé 44,2% du chiffre d'affaires en 2007 (contre 47,1% l'an dernier). Les revenus de la maintenance se sont élevés à 237,6 M€ (+2% à périmètre retraité). Ils représentent 21,3% du CA. Quant aux prestations de services, avec un chiffre d'affaires de 386,1 M€, elles ont progressé de 14,7% (à périmètre retraité). Elles pèsent actuellement 34,6% du chiffre d'affaires et c'est une activité que Bull souhaite développer en Europe. 1 000 personnes recrutées en 2007 Le groupe a recruté plus de 1 000 personnes en 2007 (dont 395 en France), ce qui porte ses effectifs à 7 800 personnes. Pour 2008, les objectifs sont les mêmes, mais Didier Lamouche, PDG de Bull, observe avec attention le « spectre de la crise américaine ». Des embauches auront donc lieu, mais elles seront examinées à la loupe et Bull garde le frein sous le pied pour « réagir si les indicateurs virent à l'orange ». Dans une conférence téléphonique, Didier Lamouche a également évoqué la grosse épine dans le pied de Bull, à savoir le choix d'IBM pour équiper le CNRS en supercalculateur. « Notre société n'a même pas été contactée, a-t-il en effet déploré, alors que nous avons prouvé nos capacités en remportant de nombreux contrats dans d'autres pays, au Brésil notamment ». Bull souhaite accroître sa visibilité sur ce marché en 2008. (...)

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