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(13/02/2008 14:15:12)
Sun rachète VirtualBox, le "dernier hyperviseur OpenSource"
Innotek, éditeur allemand de VirtualBox, technologie de virtualisation sur architecture x86, est en phase de rachat par Sun. Innotek, qui revendiquait jusque-là le titre de "dernière solution de virtualisation Open Source de niveau professionnelle", venait juste d'annoncer la version bêta de VirtualBox pour OpenSolaris. Toutefois, les développeurs d'Innotek gardaient secret le code d'éléments clés pour une utilisation en entreprise : l'affichage à distance d'une VM, la gestion d'un port USB et d'un accès ISCSI virtuel. VirtualBox aurait été téléchargé 4 millions de fois. L'hyperviseur de VirtualBox fait partie de ceux qui tournent au-dessus d'un système d'exploitation. En l'occurrence, il s'agit de Windows, de Linux, de Mac OS X et d'OpenSolaris. L'hyperviseur peut accueillir tous les Windows (de 3.x à Vista, en passant par NT 4.0 et 2000) et d'autres OS tels Linux (2.4 et 2.6), OpenBSD, OS/2 et Netware. Sun présente ce rachat comme devant renforcer la position de son offre xVM sur les postes clients. Le rachat de l'Allemand Innotek par Sun fait suite à ceux de l'Anglais Propero et du Suisse Dunes Technologies par VMware l'an dernier. Les développeurs européens contribuent ainsi à leur manière au développement de la virtualisation. (...)
(13/02/2008 12:43:42)Dell dope son offre de services hébergés pour entreprise
Rapprochement familial chez les Dell. Dell, constructeur de PC fondé par Michael Dell, va acheter pour 155 M$ MessageOne, un spécialiste de la gestion et de l'archivage de courriers électroniques fondé par Adam Dell, le petit frère. Le but sera d'intégrer l'offre de MessageOne dans les services hébergés que propose Dell aux entreprises, sans pour autant revenir sur les arrangements déjà existants avec les clients et les partenaires de Message One (dont certains proposent déjà des services d'hébergement). Une fois la vente conclue, en excluant les deux frères de la table des négociations précise le communiqué de presse, Dell devrait proposer les services de MessageOne en direct et via son réseau de revendeurs. (...)
(13/02/2008 10:08:52)Croissance confortable pour Devoteam
Chiffre d'affaires : 370 M€ (+39%, 17% en organique) Marge d'exploitation : 31,3 M€ (+40%, 8,5% en organique) 2007 a le goût d'un bon millésime pour Devoteam. La SSII, dont les comptes audités de l'exercice seront publiés le 12 mars prochain, annonce en effet un chiffre d'affaires de 370 ME, en croissance de 39 % (dont 17 % de croissance organique), et une marge d'exploitation de 8,5 %, en hausse de 40 %, par rapport à l'exercice précédent. Dans le détail, son activité Business Consulting (conseil) a généré 75 ME (soit une progression de 20 %), contre 295 ME pour le pôle Technology Consulting dédié aux solutions (+ 44 %, progression découlant pour partie de l'acquisition de l'intégrateur suédois auSystems). Par ailleurs, en termes d'emploi, Devoteam a procédé l'an dernier à 450 embauches portant son effectif à 3 950 collaborateurs. Un chiffre d'affaires porté par le marché des télécoms A l'origine de ces performances, le dynamisme du marché des télécoms & médias, qui représente 33 % du CA de la SSII. « Optimisation des systèmes d'information, marketing, convergence fixe-mobile, réseaux de nouvelle génération... les projets sont très nombreux dans ce secteur, tant du côté des équipementiers que des opérateurs », commente Stanislas de Bentzmann, Coprésident du Directoire de Devoteam, qui a notamment signé en septembre dernier un contrat d'outsourcing avec Nokia Siemens Networks, incluant le transfert de 150 personnes. « Le secteur financier qui intervient à hauteur de 22 % de notre chiffre d'affaires est également, en débit des turbulences, resté très actif. En particulier, nous avons gagné de nouveaux projets dans le domaine de la gestion de l'information et de la sécurité (Natixis, Axa, BNP Paribas...). » Pour 2008, la SSII vise un chiffre d'affaires de 430 ME pour une marge d'exploitation voisine de 9 %. L'une de ses priorités sera de poursuivre son développement à l'international qui génère désormais 45 % de ses revenus. « Nous prévoyons de réaliser deux ou trois acquisitions ciblées qui nous permettront de conforter nos positions géographiques, notamment en Europe de l'Est, mais également de nous renforcer dans les métiers de la sécurité, de la gouvernance ou de l'administration de systèmes », précise Stanislas de Bentzmann. (...)
(13/02/2008 10:08:28)Avec Maven, Yahoo dope son offre publicitaire dans la vidéo en ligne
Yahoo, qui vient de refuser l'offre de rachat formulée par Microsoft, continue d'accroître son périmètre en procédant à l'acquisition de Maven Networks, une société américaine spécialisée dans la publicité issue des vidéos en ligne pour 160 M$. Plusieurs géants des médias d'outre-Atlantique ont recours à la plateforme de Maven - dont Fox News, CBS Sports ou Sony BMG - pour la gestion et la monétisation de leur contenu vidéo sur Internet. L'offre de la nouvelle filiale de Yahoo repose sur l'insertion de messages publicitaires dans les clips et inclue des outils de gestion et de reporting. Yahoo indique que cette acquisition lui permettra de proposer aux annonceurs d'afficher des publicités mieux ciblées. Ces derniers pourront acheter des vidéos et la publicité afférente - en plus des traditionnels outils de recherche - avec Yahoo comme seul interlocuteur. Lundi, après que le moteur de recherche eut repoussé les 44,6 Md$ que lui proposait Microsoft, ce dernier a évoqué une possible OPA hostile (...)
(12/02/2008 17:46:31)Outils de recherche : Exalead se renforce en Europe
L'éditeur français Exalead, spécialisé dans les outils d'accès à l'information dans l'entreprise et sur le Web, a doublé sa base installée en 2007, passant de 50 à 100 clients. Dans le même temps, son chiffre d'affaires a triplé, à 8,3 M€ (contre 2,6 M€ en 2006). La moitié des nouveaux clients a été gagnée hors de France, en particulier au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et au Moyen-Orient. Et sur l'Hexagone, les solutions de recherche d'Exalead ont notamment été choisies par Coface, Sanofi Aventis, CEA, Lagardère Multimedia, ou encore 118218. Début 2007, Exalead a procédé à une augmentation de capital, à hauteur de 12 M€, pour soutenir son développement international. L'éditeur a ouvert des filiales en Allemagne et au Royaume-Uni. En 2008, il compte renforcer son implantation outre-Atlantique, avec la mise en place, dans la Silicon Valley, d'une équipe OEM (axée sur l'intégration de la technologie Exalead dans les applications d'autres fournisseurs). Fin novembre, le Français a justement livré la version OEM de son moteur de recherche pour entreprises, une offre conçue pour accéder à une variété de sources hétérogènes et supporter l'augmentation des volumes d'informations. Des outils notamment destinés aux éditeurs d'applications de gestion de contenus (ECM), de gestion de la relation client (GRC) ou de messagerie. Exalead vient de sortir la version 4.6 d'exalead one :enterprise, sa plateforme de recherche d'entreprise. Celle-ci dispose maintenant d'un kit d'extraction et de catégorisation des pages HTML adapté à la construction « industrielle » de moteurs destinés à des usages spécifiques : recherche de produits ou dans des annuaires, veille stratégique, application décisionnelle. (...)
(12/02/2008 15:11:10)Une lame quadri Itanium, fer de lance d'HP sur les serveurs d'entreprise
HP annonce la BL807c, une double lame qui peut embarquer jusqu'à quatre Itanium 9100 bi-coeur. Elle vient s'enficher dans un châssis C-Class, lequel peut recevoir indifféremment des lames animées par des processeurs x64. A défaut de pouvoir être plus révolutionnaire que son processeur Itanium, cette lame marque une tendance de fond : celle de la généralisation d'un format né dans le monde x64 dont les qualités sont à la mesure des changements qu'il engendre. Plus denses et plus économes, les serveurs en lames sont surtout mieux adaptés que ceux en rack à une administration centralisée pour une architecture systèmes qui mêle plus facilement virtualisation et granularité. HP, qui ne perd pas une occasion de promouvoir sa vision du datacenter de nouvelle génération, insiste sur les facilités d'administration des lames. Une facilité qui s'étend jusqu'au niveau prosaïque, mais coûteux, du câblage. Autant d'atouts induisent des inconvénients. Selon Benoît Maillard, chef produit de la division Business Critical Systems (BCS) d'HP France, la densité d'une configuration lame peut multiplier par 10 la consommation électrique au mètre carré. C'est une des raisons pour laquelle les responsables de datacenters construits aux alentours de l'an 2000 peuvent être réticents à déployer des lames. Ils craignent l'apparition de points chauds. L'autre grande raison est l'inertie des mentalités. L'exploitation du potentiel des lames en terme d'administration implique à la fois une formation et une remise en cause des compétences. Mais c'est à ce prix que l'on peut espérer des économies d'énergie de l'ordre de 25% et des gains considérables en temps de maintenance. Avec la lame BL807c, on atteint le niveau de performances des RX6600, serveurs de milieu de gamme, au bémol près d'une capacité mémoire maximale de 96 Go contre 192 Go. Pour les utilisateurs venant du monde des serveurs BCS, le choix d'un châssis, et de ses lames, se traduit par une baisse du prix du ticket d'entrée. Une démarche à l'inverse de celle que redoutent les utilisateurs de serveurs x64 en rack. Quant au processeur Itanium, il poursuit son bonhomme de chemin. Benoît Maillard précise que sur cent de ces processeurs Itanium livrés par HP, seulement la moitié d'entre eux ferait tourner Unix (et VMS) dans le cadre de l'évolution du parc de machines à base de processeurs PA-Risc ou Alpha. Trente accueilleraient Windows Server et vingt Linux. Une répartition qui vient à propos pour étayer l'idée d'un Itanium qui s'inscrirait sans à-coup dans la continuité des systèmes x64 pour accompagner la montée en charge. Une certitude, chez HP, il est au coeur des évolutions qui font converger l'ensemble des systèmes d'entreprise historiques vers une architecture harmonisée. Il participe ainsi à la baisse du coût des transactions. Là où, en 2004, un rx46400, capable d'atteindre 161 000 tpm, mettait la transaction Tpcc à 3,94$, un rx6600, qui atteint 372 000 tpm, a permis de baisser à 1,81$. (...)
(12/02/2008 15:01:20)Alex Türk rassure le Munci à propos de l'offshore
Alex Türk, président de la Cnil et sénateur du Nord, n'a pas tardé à envoyer sa réponse au Munci (association professionnelle française regroupant les membres des professions IT), à la suite du billet enflammé publié par le Munci à propos de la position de la Cnil vis à vis de l'offshore.
L'association a reproché en effet à Alex Türk des propos tenus au Maroc, qui semblaient encourager implicitement l'offshore. Le Munci a envoyé une lettre au président de la Cnil, en lui demandant des explications. La réponse est arrivée deux jours après. Alex Türk trouve les termes employés par le Munci « excessifs et infondés » pour qualifier le terme d'accompagnement qu'il a utilisé dans son discours. Selon lui, « accompagner l'offshore ne signifie pas en promouvoir le développement sur le plan économique. La Cnil n'a d'ailleurs pas de jugement de valeur à formuler concernant cette pratique, mais elle se doit d'informer les entreprises filiales ou sous-traitants des risques juridiques encourus (contrôles, voire sanctions, y compris pénales) si cette pratique s'opère sans respecter les règles de protection des données personnelles ».
Dans un but d'information et de prévention, la Cnil a créé un groupe de travail, présidé par Didier Grasse, commissaire en charge de ces questions et membre de la cour des comptes. Ce groupe devrait auditionner de nombreux professionnels, et proposer des solutions pour inciter les entreprises à une meilleure vigilance dans le respect des règles de protection des données. Alex Türk propose d'ailleurs aux responsables du Munci de les rencontrer, afin qu'ils puissent exposer leur vision de l'offshore.
Prise de conscience des pouvoirs publics
De son côté, le Munci a salué « cette réponse rapide et tout à fait rassurante ». Avec un bémol toutefois. « Nous avons certaines raisons de penser que les pouvoirs publics (nos trois derniers gouvernements notamment) ont souvent une attitude un peu trop favorable à l'offshore » a en effet répondu Régis Granarolo, président du Munci à Alex Türk, dans une lettre datée d'hier.
Le Munci déplore le fait que l'administration française elle-même a de plus en plus souvent recours à l'offshore pour réduire ses coûts, mais se félicite de la prise de conscience des pouvoirs publics à propos du laxisme de certains prestataires offshore en matière de protection des données. Le Munci a par ailleurs accepté l'invitation d'Alex Türk à participer au groupe de travail sur l'offshore.
En savoir plus :
Correspondance entre Alex Türk et le Munci
(12/02/2008 12:31:10)
Bill Gates en faveur de la programmation déclarative
A l'occasion de l'édition 2008 d'Office System developers conference, Bill Gates a souligné l'importance de réduire la part de code dans le développement d'applications. Et fort de ce constat, le futur retraité de Microsoft a la solution : un langage de programmation déclaratif, sur lequel l'éditeur confirme travailler. Sans indiquer où en est l'avancée des recherches, Bill Gates estime à 8 ou 10 ans la durée du projet. « La plupart du code aujourd'hui est du code procédural [ndlr, qui repose sur les étapes à franchir - des routines- comme par exemple le PHP]. Et il existe [ndlr, dans l'esprit des développeurs] le Saint Graal qui consiste à écrire moins de code. Nous investissons beaucoup pour pouvoir affirmer que l'adaptation des applications ne devrait prendre qu'un dixième du code produit aujourd'hui. » La programmation déclarative consiste à isoler le problème indépendamment du contexte. Selon Wikipédia, « en programmation déclarative, on décrit le quoi, c'est-à-dire le problème.[...] Alors qu'en programmation impérative (par exemple avec le C ou Java), on décrit le comment, c'est-à-dire le solution ». Citons à titre d'exemple Prolog. Ou, dans le cas de Microsoft, XAML, langage déclaratif basé sur XML servant à décrire des interfaces graphiques ; en l'occurrence, XAML fait ainsi le pont entre les outils de design (la suite Expression) et les outils de développement (Visual Studio). Ce projet s'inscrit sans doute dans le cadre d'Oslo, vaste initiative liée à la mise en oeuvre d'architectures orientées services (SOA). Le but de Microsoft dans ce cadre est de privilégier la modélisation, par le biais de DSL (Domain specific languages). Microsoft a également évoqué la possibilité d'utiliser un langage déclaratif, connu aujourd'hui sous le nom de code D. (...)
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