Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 6151 à 6160.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(07/02/2008 10:14:19)
Annuels BO : 5 000 clients de plus en 2007, mais bénéfices en recul
Sur son dernier exercice fiscal, échu fin décembre, le Français Business Objects, spécialiste des solutions décisionnelles (Business Intelligence), a réalisé un chiffre d'affaires en hausse de 20%, à 1,51 Md$, au sein duquel les ventes de licences ont progressé de 11% en un an, à 624 M$, à taux de change courant. Toutefois, à taux constant, la progression du chiffre d'affaires annuel et celle des ventes de licences s'établissent respectivement à 15% et 6%. Quant au bénéfice net, il accuse un recul de 28,8% sur l'année et de 60,5% sur le dernier trimestre. C'est dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) que les ventes ont le mieux progressé : +32% pour un chiffre d'affaires de 632 M$. Sur le continent américain, Business Objects a engrangé 770 M$ (+12%) et sur la zone Asie Pacifique, qui enregistre également une nette progression, le montant total des ventes s'élève à 108 M$ (+24%). BO rachète Cartesis puis se fait racheter par SAP Rappelons qu'au deuxième trimestre (fin avril), Business Objects a racheté son compatriote Cartesis pour 225 M€, avant de recevoir lui-même, début octobre, une offre de rachat amicale de la part de SAP, pour un montant de 4,8 Md€. Le repreneur allemand a tôt fait savoir [[page]]qu'il comptait laisser son autonomie à Business Objects afin, notamment, que ce dernier continue à développer une offre multi-plateforme qui ne soit pas uniquement associée aux solutions de SAP. [mise à jour] SAP a annoncé le 05 février que sa filiale française (c'est par l'intermédiaire de cette entité que le rachat de BO s'est effectué) détenait désormais 95,35% du capital de Business Objects. En dépit de ces mouvements, Business Objects a gagné 1 400 clients de plus au cours de son quatrième trimestre, portant à 5 000 le nombre de nouveaux clients sur l'année (sur une base installée de 46 000 entreprises). BO précise aussi qu'il totalise 93 000 abonnements sur son offre décisionnelle proposée en ligne (hébergée sur sa plateforme OnDemand). Sur l'ensemble de l'année, l'éditeur a lancé plusieurs offres prépackagées spécialement taillées pour les PME. Il vient également d'annoncer une appliance virtuelle s'appuyant sur les technologies de Citrix, rPath et RightScale, conçue pour déployer rapidement une application de reporting en PME. (...)
(06/02/2008 17:55:58)Novell dote OpenSuse d'un médiatique "Community manager"
Espérant relancer le dynamisme d'OpenSuse, la communauté de développeurs autour de sa distribution Linux, Novell a embauché Joe Brockmeier, une plume réputée dans le monde Linux, auteur de nombreux ouvrages et collaborateur de diverses publications. Désormais, il sera aussi "Community manager". Parmi les obstacles qu'il aura à surmonter figurent certains éléments de l'accord signé en novembre 2006 entre Novell et Microsoft, en particulier concernant la propriété intellectuelle. Pour lui, il ne s'agit que d'un problème de communication. Bien sûr, Novell a en ligne de mire le succès de la communauté Fedora qui gravite autour de la distribution de Red Hat ou, encore, celle d'Ubuntu. (...)
(06/02/2008 17:48:32)Rififi en vue entre le Munci et la Cnil autour de l'offshore
Le Munci, association professionnelle française regroupant les membres des professions informatiques et télécoms (IT) dénonce avec virulence les propos tenus par Alex Türk, président de la Cnil (commission nationale de l'informatique et des libertés) et sénateur du Nord, lors de sa visite au Maroc le 24 janvier dernier. Si le Munci approuve la première partie du discours (à savoir le retard qu'accuse le Maroc en termes de protection des données), il fustige le reste. Alex Türk a en effet déclaré au journal marocain L'Economiste : « le patronat nous a expliqué que le pays compte passer le seuil des 100 000 emplois dans le domaine de l'offshore à l'échéance 2012 (contre 20 000 actuellement). C'est une excellente chose. Et la Cnil est là pour accompagner ce développement ». Le Munci s'est montré extrêmement surpris par cette dernière phrase. « Ce n'est pas le rôle d'un sénateur ni d'un représentant de la Cnil d'encourager implicitement l'offshore, que ce soit au Maroc ou dans un autre pays », s'indigne Régis Granarolo, président du Munci. Ces déclarations sont jugées comme « totalement irresponsables » par l'association, et ont suscité de vives réactions dans la communauté informaticienne. Le Munci rappelle également que l'offshore - qu'il s'agisse de délocalisations ou de relocalisations de postes - représente dans la plupart des cas [[page]]une « concurrence humaine sauvage, inacceptable et mal vécue par les informaticiens français, plus particulièrement vis à vis des jeunes diplômés de niveau bac+2 à bac+5 ». Régis Granarolo n'hésite pas à parler de « préjudice moral pour l'ensemble des professionnels IT français ». Le Munci a adressé aujourd'hui une lettre à Alex Türk, afin de lui demander des explications sur les propos qu'il a tenus au Maroc. En cas de réponse insatisfaisante, l'association se dit prête à monter au créneau, en organisant une campagne publique de courriers de mécontentement des informaticiens auprès de la Cnil et du Sénat, voire organiser une manifestation devant le siège de la Cnil et alerter le gouvernement. Ce bras de fer n'est pas sans rappeler l'affaire qui a opposé le Munci à Jean-Pierre Raffarin en 2003. L'ancien premier Ministre avait en effet remis la médaille d'or de la « personnalité indienne ou française dont l'action a contribué à renforcer les liens entre ces deux pays » au président d'Infosys, l'un des plus grands spécialistes indiens de l'offshore. (...)
(06/02/2008 16:37:56)Fusion programmée pour trois groupes d'utilisateurs HP
Pour les Américains Encompass et ITUG et l'Européen HP-Interex EMEA, l'union fait la force. Ces trois groupes d'utilisateurs HP, aux histoires diverses, veulent en effet fusionner leurs forces au sein d'un seul groupe d'utilisateurs HP, fort de 55 000 membres. Cette union devrait leur permettre d'avoir plus de poids face à leur interlocuteurs chez HP, mais aussi de s'ouvrir à de nouveaux membres. « C'est plus qu'une fusion, c'est la création d'une nouvelle organisation, et elle veut répondre aux besoins d'une communauté étendue », explique Scott Healy, président d'ITUG. En prenant l'exemple de sa communauté dédiée à l'origine à la gamme NonStop, il précise que bon nombre de ses membres sont responsables d'autres systèmes que les NonStop, et donc pourront, grâce à cette fusion, rencontrer d'autres interlocuteurs et bénéficier de sessions de formations plus étendues. Une structure plus large permettra également de réduire les coûts d'exploitation de chaque groupe, mais aussi de recruter en utilisant des outils tels que les réseaux sociaux ou les podcasts. Pour rester viable, Nina Buik, présidente d'Encompass juge « important » le fait de grandir. Il faudra pour cela que les membres de chacune des trois associations valident cette fusion. Ce sera chose faite lors d'un vote prévu pour le printemps prochain. (...)
(06/02/2008 16:30:42)Datacenters : Google montre la voie d'investissements massifs
En 2007, Google a investi la bagatelle de 2,4 Md$ dans ses datacenters. Soit 26% de plus qu'en 2006. Le rythme d'investissement de Google dans ses capacités de traitement est donc loin de se ralentir. L'an dernier, la société a annoncé la construction d'au moins quatre centres aux Etats-Unis. 2008 s'ouvre avec des perspectives similaires : Google aurait lancé des recherches pour un site en Europe de l'Est (en Lituanie) et d'autres en Asie. Alors que le CA hors Etats-Unis se rapproche de celui généré par eux (48%), Larry Page confirme que la société ne cesse d'investir dans son infrastructure pour améliorer la qualité de ses services. De services qui pourraient aussi inclure un conséquent volet de logiciels en ligne (SaaS). Google vient ainsi d'annoncer la finalisation de l'intégration des outils de sécurisation de Postini à son offre de courriel en ligne pour les entreprises. Google n'est pas le seul à investir massivement dans des datacenters. Sun, Yahoo, Amazon (avec EC2), IBM et aussi Microsoft marchent dans ses traces. Parallèlement, on voit aussi apparaître des offres de stockage en ligne (IBM, Amazon avec S3....). La fiabilité, la capillarité et les débits atteints par Internet ouvrent de grandes perspectives pour des systèmes d'information qui reposeraient pour tout ou partie sur des ressources accessibles en ligne, qu'il s'agisse de capacité de stockage et de traitement pur ou encore d'applications en ligne. Selon DatacenterDynamics, qui se spécialise dans l'étude des centres serveur, l'Europe continentale serait en retrait en terme d'investissement dans ce domaine par rapport à ce que s'investit à Londres, New York ou San Francisco. En mai 2007, cet organisme prédisait pourtant une augmentation de 34% des investissements sur la région parisienne en 2008. (...)
(06/02/2008 16:18:05)Pour IBM, OpenXML est techniquement inférieur à ODF
Enième réponse du berger à la bergère. Après les commentaires incendiaires de Jean Paoli, gourou XML chez Microsoft, IBM a décidé à son tour de monter au créneau. Une salve supplémentaire dans la bataille qui oppose les deux groupes sur le terrain des formats bureautiques, ODF et Open XML. Si chez Microsoft on estime IBM responsable de l'échec de la normalisation ISO d'Open XML, Big Blue attaque lui sur le terrain même de la qualité du standard Microsoft. Selon Big Blue, point de complot ni de conspiration contre Open XML. Le format XML de l'éditeur de Redmond est tout simplement « techniquement inférieur ». Et ainsi sa sécheresse fonctionnelle serait, en partie, la cause de l'échec de l'approbation d'Open XML lors du processus rapide à l'ISO. La France, par le biais de l'Afnor, s'était elle-même prononcée contre (non, avec commentaires). Relevés par le site Ars Technica, les cinglants propos de Bob Sutor, vice-président des standards et de l'Open Source chez IBM, rappellent en substance que si « faire du business implique d'essayer de refiler au marché IT un semblant de produit comme OOXML réalisé dans la précipitation, techniquement inférieur et spécifique, nous sommes fiers de nous ranger aux côtés des dizaines de pays et des milliers d'individus qui ont la volonté de combattre un tel mauvais comportement ». Un cran supplémentaire dans les tensions qui existaient entre les deux groupes. En février dernier, Jean Paoli et Tom Robertson signaient une lettre ouverte dénonçant les tentatives d'IBM auprès des instances internationales pour enrayer le processus de normalisation d'OOXML à l'ISO. Jean Paoli avait enfoncé le clou le 31 janvier 2008 en racontant que le format serait aujourd'hui une norme si IBM n'avait pas été là. (...)
(06/02/2008 10:23:26)Dell dément vouloir se payer la branche téléphonie de Motorola
Les rumeurs allaient bon train ces derniers jours sur d'éventuels projets de diversification des activités de Dell. Elles n'ont désormais plus lieu d'être. Parmi les observateurs, beaucoup évoquaient avec insistance que le constructeur - 2e vendeur mondial de PC derrière HP - pourrait se payer les activités de téléphonie mobile de Motorola. Ce dernier, à la peine sur le segment de la mobilité, révélait la semaine dernière qu'il envisageait toutes les options possibles pour son avenir, y compris celle consistant à céder ses activités mobiles. La rumeur n'aura finalement duré que quelques jours, Michael Dell, le président et fondateur du groupe éponyme, venant en effet d'y mettre fin. « Vraiment, nous ne commentons pas les rumeurs ni les spéculations. Nous somme concentrés sur la vente d'ordinateurs. » (...)
(06/02/2008 09:29:36)SQLI recrute 650 collaborateurs et ouvre un site RH pour ses futurs candidats
Si 2007 a été une année faste pour l'emploi des informaticiens, 2008 semble s'annoncer dans la même veine. En témoignent les vastes campagnes de recrutement annoncées par les SSII depuis le début de l'année. Emboîtant le pas à Atos Origin ( 2000 recrutements prévus en 2008), GFI Informatique (1 100 embauches d'ici à la fin de l'année) ou encore Teamlog (900 postes à pourvoir cette année), c'est au tour de SQLI d'annoncer le lancement d'un vaste programme de recrutement en France et à l'étranger. La SSII, spécialisée dans le conseil et les services e-business, compte en effet sur 650 nouveaux collaborateurs spécialistes des technologies Internet ( Java/J2EE, .net, PHP) et SAP (R/3 et NetWeaver) : il s'agit de consultants, d'architectes et d'experts techniques, de directeurs, de chefs de projet (technique et TMA/TRA), et de consultants formateurs en nouvelles technologies. La SSII recherche également des consultants PGI, spécialistes de SAP. Parmi ces futurs collaborateurs, 45% environ travailleront en région parisienne. Les autres seront rattachés à l'une des 20 agences du groupe situées en Suisse, au Maroc, au Benelux, aux Pays-Bas, en Espagne, au Canada et à Singapour. Dans sa quête de nouveaux talents, SQLI a décide de jouer la carte du Web 2.0 en parallèle, en ouvrant un site Web entièrement dédié RH. Ainsi, www.sqli-carrieres.com emmène les candidats potentiels à la découverte des différents métiers des services informatiques. On y trouve la liste détaillée des postes à pourvoir chez SQLI, de même que les prochaines dates des salons de l'emploi informatique. Il y est notamment possible de poster des candidatures spontanées et même de faire connaissance avec son futur manager et les membres de son équipe par le biais de vidéos. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |