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(08/02/2008 09:16:33)
L'industrie française dépensera 12 Md€ dans son informatique en 2008
En 2008, le montant des dépenses informatiques engagées sur l'Hexagone par les entreprises françaises du secteur industriel devrait augmenter de 4,37%, en moyenne, pour atteindre 12 Md€. Cette évaluation, issue d'un baromètre établi par Microsoft et IDC, fait apparaître une hausse plus forte dans l'industrie d'assemblage (dite « discrète »), où la dépense IT augmentera de 4,5%, à 5,99 Md€, par rapport aux investissements prévus dans les entreprises dites « de process ». Ces dernières sont celles qui fabriquent par transformation des matières premières, sur la base de recettes, de mélanges et de flux. On y trouve la chimie, la pharmacie, l'agro-alimentaire, la production de plastique et de caoutchouc, la métallurgie, ou encore la fabrication de verre, de papier et de tissu. Dans ce secteur, la dépense IT pèse presque aussi lourd que dans l'industrie discrète, mais elle n'augmentera que de 3,5% en 2008, à 5,97 Md€. Les PME investissent autant que les + de 1000 salariés Le baromètre Microsoft/IDC s'est penché plus précisément sur le secteur du process qui compte des leaders mondiaux dans tous ses segments (Saint-Gobain, Sanofi-Aventis, Lafarge, Michelin, L'oréal, Danone...) et rassemble 14 919 entreprises françaises de plus de vingt salariés. En moyenne, la dépense IT de ces acteurs pèse 1,3% de leur chiffre d'affaires. Alain Pétrissans, directeur études et conseil d'IDC France, note que cette part varie suivant la taille de l'entreprise et son modèle économique : de 0,7% dans l'agro-alimentaire à 2,1% dans l'industrie du plastique/caoutchouc. Cette dernière est notamment très marquée par la présence du groupe Michelin, alors que l'agro-alimentaire rassemble beaucoup de petites PME. Or, celles-ci « dépensent pour leur informatique presque autant que les entreprises de plus de 1 000 personnes », précise Alain Pétrissans, en rappelant que les problématiques métiers des PMI sont très similaires à celles des grands comptes. Des PMI tout particulièrement ciblées par Microsoft avec les déclinaisons verticales de son offre Dynamics CRM et de ses progiciels de gestion intégrés (PGI) Dynamics AX et Dynamics NAV. En 2008, le baromètre prévoit que les PME de 100 à 1 000 salariés débourseront 2,2 Md€ dans leur IT, soit presque autant que les structures de plus de 1 000 salariés (2,5 Md€). Quant aux moins de 100 salariés, elles devraient dépenser 1,2 Md€. Décisionnel, planification et MES s'étendent De façon générale, 90% du budget IT des industries est englouti dans la maintenance du système informatique, explique Alain Pétrissans. Seuls 10% sont consacrés aux projets d'innovation. En 2008, les industriels du process investiront d'abord dans leur système financier, à hauteur de 585 M€ (en incluant les dépenses de matériel et de services associés, le logiciel ne pesant que 15% du coût total). Il s'agit là, essentiellement, d'un marché de renouvellement. A l'inverse, les dépenses prévues sur les applications décisionnelles/BI (161 M€), de planification logistique/SCP (94 M€) et d'amélioration de la production/MES (101 M€) suivent une phase d'acquisition tirée par les exigences de pilotage et la mise en place de métriques. Ces postes d'investissement progressent de 4 à 8% par rapport à l'an dernier, notamment dans le secteur pharmaceutique. On voit aussi augmenter (entre +2 et +4%) les achats qui seront réalisés sur la gestion du cycle de vie des produits (330 M€) et des ressources humaines (190 M€). En revanche, les sommes consacrées à la gestion commerciale (102 M€) et à la gestion de la relation client (158 M€) restent assez stables. (...)
(08/02/2008 09:12:52)GFI progresse de 5,9% en 2007
Avec 688,5 ME sur l'exercice 2007, GFI enregistre une progression de 5,9%. L'exercice 2006 s'était conclu sur un CA de 633,1 ME. Avec la croissance externe, GFI a progressé de 8,7% La SSII a en effet intégré BTD, une SSII qui avait réalisé 54 ME en 2006 et en prévoyait 65 pour 2007. A l'horizon 2010, Jacques Tordjman, le P-dg prévoit toujours le milliard d'euros de CA. Le groupe se montre bien assuré sur ses positions en France, en particulier avec des contrats pluriannuels importants en TMA (Edf, France Télécom, la Macif, les caisses d'Epargne) et des référencements grands comptes prometteurs avec par exemple Eads, Total ou Casino. A l'étranger, la progression est plus difficile mais GFI est implanté en Espagne, en Italie, Grande-Bretagne, en Allemagne et au Bénélux, au Canada et au Maroc. (...)
(08/02/2008 09:11:28)Yahoo casse les limites du stockage en ligne pour les PME
Pendant que Yahoo réfléchit à l'OPA de Microsoft dont il fait l'objet, le spectacle continue. Le groupe vient ainsi de présenter une offre d'hébergement destiné aux PME, qui se caractérise par un espace de stockage illimité. Pour 11,95 $ par mois - le service est, pour l'heure, réservé au marché américain -, les entreprises pourront occuper autant d'espace disque sur les serveurs de Yahoo qu'elles ont de données à y stocker. Jusqu'alors, il leur fallait payer 12 $ mensuels pour 5 Go ou 40 $ pour 500 Go. Yahoo indique que son million et demi de PME clientes recevront prochainement les instructions nécessaires pour faire migrer leurs données. Et nulle crainte de voir les capacités de stockage du groupe atteinte : selon Guy Yalif, directeur des offres d'hébergement, Yahoo peut supporter sans coup férir les besoins croissants des entreprises. Toutefois, précise-t-il, l'offre ne doit pas être regardée comme un vaste disque dur, mais plutôt comme un outil conçu pour aider les PME à s'adapter rapidement à la croissance de la demande sur le Web. (...)
(07/02/2008 17:35:21)Yahoo traine des pieds devant l'offre de rachat de Microsoft
Le PDG de Yahoo, Jerry Yang, a fait parvenir hier un mail à l'ensemble des salariés, indiquant que la société « n'était pas parvenue à une décision au sujet de l'acquisition par Microsoft, et envisageait d'autres alternatives stratégiques ». Jerry Yang a également précisé dans son mail que le conseil d'administration prendrait son temps, afin de faire les choses dans les règles de l'art. En laissant poireauter Microsoft, Yahoo espère peut-être faire monter les enchères, voire trouver un soutien auprès d'un rival du géant de Redmond - Google par exemple. Eric Schmidt, CEO de Google, aurait d'ailleurs, selon le Wall Street Journal, déjà offert ses bons offices. Selon certains analystes, il est toutefois peu probable qu'une autre société soit prétendante au rachat du Yahoo, car le montant proposé par Microsoft est si exorbitant (44,6 Md$) qu'il paraît difficile de surenchérir. Quant à un rachat par Google, les analystes se montrent extrêmement sceptiques, car un tel rapprochement soulèverait encore une fois la problématique de la suprématie de Google sur le marché de la publicité en ligne. Pour rappel, Bruxelles n'a toujours pas approuvé le rachat de DoubleClick par Google. (...)
(07/02/2008 17:15:48)Time Warner veut scinder AOL en deux
Alors qu'en France, AOL n'est plus, depuis octobre 2006, qu'un fournisseur de contenu dont la partie « accès à Internet » a été rachetée par Neuf Cegetel, au niveau mondial, les deux activités continuaient à coexister. Plus pour très longtemps. Durant la dernière présentation des résultats financiers trimestriels de son groupe, Jeff Bewkes, PDG de Time Warner, a annoncé son intention de se séparer de son activité fournisseur d'accès (principalement aux Etats-Unis et en bas débit) pour se concentrer sur celle d'un portail de contenu aux revenus générés par la publicité. Il faut dire que cette activité est en perte constante. Si en 2002, AOL se vantait d'avoir 22 millions d'abonnés, en 2007, ils n'étaient plus que 9,3 millions. Et AOL a vu son chiffre d'affaires baisser de 32 % sur le quatrième trimestre 2007. Avec cette annonce, Time Warner veut renforcer AOL dans sa position de portails d'accès au contenu, derrière Yahoo et MSN de Microsoft. Même si sur ce secteur, AOL ne croît pas aussi rapidement que ses concurrents. Ainsi, ses revenus générés par la publicité ont cru de 18 % au dernier trimestre 2007, alors qu'en moyenne la croissance de ce secteur était de 25 % pour l'IAB (International Advertising Bureau) à la même période. Pour autant, Jeff Bewkes n'a pas donné d'échéances pour la vente des activités FAI de AOL. Mais pour Jeff Martin, directeur financier de Time Warner, de la prise de décision à la séparation effective, il pourra s'écouler un bon nombre de mois, en raison de la complexité du montage à mettre en place. (...)
(07/02/2008 16:35:55)Annuels Sodifrance : un CA supérieur aux objectifs
Annuels Sodifrance : Chiffre d'affaires : 57 M€ (+6,6% à périmètre constant) La SSII rennaise Sodifrance a enregistré un chiffre d'affaires de 57 M€ en 2007, supérieur aux prévisions de la société qui tablait il y a quelques mois sur un revenu de 55 M€. Ces résultats sont en hausse de 26,4% par rapport à l'an dernier, notamment grâce aux acquisitions des sociétés API-Group et Onext. A périmètre constant, le chiffre d'affaires a progressé de 6,6%. La première société racheté, une SSII parisienne, vient renforcer le positionnement de Sodifrance dans les secteurs de la banque, des assurances et de la retraite, tout en lui permettant de s'implanter plus solidement en Ile-de-France, et en complétant son expertise dans les nouvelles architectures (J2EE et .Net). Onext, située à Nantes, apporte quant à elle son expertise dans les technologies Web en Open source et les systèmes de gestion de contenu (CMS). Sodifrance a recruté 155 collaborateurs cette année, ce qui porte ses effectifs à 842 personnes. La SSII publiera l'ensemble de ses résultats financiers le 12 mars prochain. (...)
(07/02/2008 15:16:22)Google Apps Team Edition, le travail collaboratif sans administrateur
Comment contourner les directives drastiques des services informatiques d'une entreprise pour s'imposer chez ses employés ? Une question à laquelle a répondu Google, en dévoilant la Google Apps Team Edition. Son principe : fournir les services clés des applications bureautiques de la marque couplés à une offre de travail de groupe, sans avoir recours à une phase d'intégration avec le système de l'entreprise. L'offre « s'adresse aux employés qui sont intéressés par les Google Apps mais dont les employeurs refusent de souscrire à l'offre », résume en substance Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. Ce qui devrait faciliter grandement l'utilisation de la Team Edition dans les PME et TPE. A l'inverse des autres éditions Standard, Premier ou Education, Team Edition se dédouane techniquement du domaine Internet de l'entreprise. Ce qui, par conséquent, rend impossible - du moins pour l'heure, assure Google - l'usage de la messagerie Gmail, qui reste encore sujette à l'intervention d'un intégrateur. Team Edition ne nécessite qu'une seule adresse email valide qui reprend le domaine de l'entreprise. Le service en ligne offre un outil de collaboration et de gestion de groupes rapide à mettre en place. « Une fois enregistrés, les utilisateurs ont accès aux autres comptes qui appartiennent ainsi à la même entreprise, et peuvent en inviter d'autres. » Mais, là où ce service effraie les services IT, c'est [[page]]dans sa capacité à se greffer dans le panel d'applications utilisées par les employés d'une entreprise, sans que cette dernière soit finalement au courant. Un phénomène courant, souligne toutefois Forrester, qui rappelle que ce ne serait pas la première application hébergée utilisée en interne sans l'accord de la DSI. Les documents créés seront ainsi hébergés sur les serveurs de Google, posant notamment des soucis de sécurité. Autre point d'intérêt : cette édition, comme la standard, reste gratuite. Ce que Google considère d'ailleurs comme une porte de sortie pour les entreprises souhaitant regagner ou préserver le contrôle sur leur parc applicatif. « Les services IT ont toujours la solution de souscrire à l'offre Standard, elle aussi gratuite, s'ils veulent avoir le contrôle dessus », insiste Rajen Sheth. Puis, éventuellement, cela peut servir de tremplin vers les autres éditions, comme la formule Premier commercialisée 50$ par an et par utilisateur. Cela s'inscrit d'ailleurs dans une politique plus globale de Google, qui peine encore à imposer ses Apps dans les entreprises. Le géant s'appuie ainsi sur l'élan des particuliers pour s'ouvrir le monde de l'entreprise. Et le groupe redouble d'effort. Hier, mercredi 6 fevrier, les Apps se paraient d'un outil de sécurisation d'email issu du rachat de Postini. Une brique essentielle pour séduire les sociétés. (...)
(07/02/2008 12:48:47)Micropole-Univers s'intéresse au dialogue social via le Web 2.0
La SSII Micropole-Univers a décidé de se pencher sur le rôle des technologies Web 2.0 dans le dialogue social. Ainsi, les outils traditionnels du dialogue social, comme la consultation, la négociation ou la communication entre l'employeur, les instances représentatives du personnel et les employés, ne doivent plus se cantonner aux formes traditionnelles des rencontres et correspondances officielles. L'apparition de nouveaux dispositifs, inspirés des fonctionnalités utilisées quotidiennement sur Internet, ouvrant désormais la voie à de nouvelles pratiques de dialogue social électronique : rédaction de documents de négociation via des applications collaboratives, ouverture d'espaces de concertation sur l'Intranet, podcasting des candidatures aux élections professionnelles, etc. Pour Arnaud Kerhervé, consultant senior chez Micropole Univers, les salariés doivent pouvoir intervenir directement dans le dialogue social (et non plus uniquement via leurs représentants) au travers d'espaces numériques, tels que des blogs ou des forums : « Les délégués et les élus pourront enrichir leurs traditionnels tracts et affiches par des contenus multimédias, expose t-il. Et les DRH, abandonner le classique journal d'entreprise afin d'accroître la réactivité de leur communication interne et développer leur marketing social ». D'après le consultant, trois usages démontrent à ce jour le réel potentiel de généralisation du Web 2.0, au service du dialogue social : il s'agit du vote électronique, de la communication sociale via des Intranets, - forums, tribunes libres, chats et blogs - , et la gestion des activités socio-culturelles du Comité d'entreprise, par des portails web innovants. Reste que le déploiement de ces nouvelles pratiques dépend très fortement de la situation et de l'historique de l'entreprise en matière de dialogue social. « Si ce dialogue était tendu, ce n'est pas la mise en place d'outils et d'interfaces qui changera la donne sociale, même au prix d'un très fort engagement conjoint de la DRH et de la direction générale », conclut le consultant. (...)
(07/02/2008 12:46:20)Les boites noires de Sun font une sortie officielle
Annoncé officiellement en mai dernier, le projet BlackBox de Sun est enfin au stade de la commercialisation. Rebaptisé Modular Datacenter S20 et repeint en blanc, ce conteneur servant de salle de serveurs est désormais commercialisé à partir de 589 000 $. A ce prix, il s'agit juste du conteneur modifié pour héberger des serveurs et des baies de stockage, le système de refroidissement et de contrôle d'humidité de l'air interne, et les racks de rangement vide. Il faudra ensuite y ajouter le prix des serveurs et des baies de stockage. Au total, le MD S20 peut contenir jusqu'à 18 teraflops en puissance de calcul, ou jusqu'à 3 peta-octets en espace de stockage. Installé dans un conteneur de bateau classique, le MD S20 peut s'installer à l'extérieur comme à l'intérieur et supporte des températures allant de - 20 à + 54 degrés. Pour les clients français, ces salles de serveurs modulaires sont fabriquées à la demande dans les usines américaines de Sun. Il faudra alors ajouter le coût du transport par bateau ou par avion. (...)
(07/02/2008 12:43:45)Annuels France Télécom : les mobiles soutiennent le résultat net
France Telecom a dévoilé hier ses résultats financiers pour 2007. Le chiffre d'affaires s'élève à 53 Md€, en hausse de 2,8% par rapport à 2006 pour un résultat net de 6,3 M€, contre 4,1 Md€ un an plus tôt (+53%). L'endettement du groupe reste toujours élevé, puisqu'il atteint 38 M€, mais il a légèrement baissé par rapport à 2006 (4 Md€ de moins). Didier Lombard, PDG de France Telecom s'est déclaré satisfait de ces résultats. France Telecom affiche des résultats contrastés sur ses trois grands secteurs d'activité (mobilité, entreprises et services résidentiels). Les mobiles (baptisés « services de communication personnels ») soutiennent le groupe avec une bonne croissance (+5,7%) et une marge en augmentation (+5,8%) en atteignant 29,1 Md€, soit 55% des revenus du groupe. « C'est la vache à lait de France Telecom », commente Scott Morisson, analyste du Gartner. La croissance est due pour l'essentiel aux pays émergents, mais la France représente encore 34% de l'activité mobile du groupe. On note au passage que le nombre de clients en haut débit mobile (Edge et 3G) a doublé depuis 2006, et atteint désormais 13 millions d'abonnés (dont plus de la moitié en France). L'activité entreprises de France Telecom est en infime progression, avec un chiffre d'affaires de 7,7 Md€ (+0,4%), et une marge en baisse (-5,1%). Cette déception est liée à l'érosion de la téléphonie fixe et des réseaux de données classiques (-9%). L'opérateur indique en outre dans son bilan avoir enregistré une croissance de 14% de son activité d'intégration et d'infogérance d'applications critiques, sans toutefois en révéler le montant exact. Enfin côté services résidentiels fixes, le chiffres d'affaires est en recul (-0,2%), à 22,7 Md€. La marge est cependant en croissance (+2,1%). La guerre des prix sur l'ADSL hors de l'hexagone handicape l'opérateur, qui n'est parvenu à développer son offre triple play qu'en France. Celle-ci représente 85% des 6,1 millions de LiveBox installées en Europe (et 63% des accès ADSL). L'IP TV ne décolle pas au niveau européen alors que cela devrait constituer une source de revenus apte à compenser le recul de la téléphonie fixe traditionnelle (-17%) désormais laminée par les abonnements de téléphonie illimitée sur IP. (...)
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