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(11/02/2008 14:24:07)

Yahoo pourrait se tourner vers AOL pour esquiver Microsoft

[mise à jour] Yahoo pourrait être tenté de racheter AOL et ses activités de portail Internet pour offrir à ses actionnaires une proposition de valeur crédible face à l'offre de rachat de 44,6 Md$ que lui a adressée Microsoft le 1er février dernier. L'information, non confirmée pour l'instant, a été publiée aujourd'hui par le journal britannique The Times alors que, dans le même temps, on apprenait de façon officieuse que Yahoo s'apprêtait à rejeter ce matin, par courrier, l'OPA de Microsoft. Le quotidien d'outre-Manche rappelle qu'un rapprochement avait déjà été tenté entre Yahoo et AOL sans que les deux acteurs du portail Web ne parviennent à s'entendre sur le montant de l'opération. Parmi les autres voies explorées par Yahoo pour échapper à Microsoft, The Times évoque aussi, outre l'option -déjà signalée- d'un accord avec Google, la possibilité d'aller frapper à la porte de Disney. [mise à jour] Des actionnaires de Yahoo s'inquiètent Certains actionnaires de Yahoo, au contraire, souhaiteraient voir le pionnier du portail négocier avec Microsoft. Cette position est notamment soutenue par Eric Jackson, président de la société d'investissement Ironfire Capital (Floride), que cite le San José Mercury News. Selon le quotidien californien, ce financier avait déjà rejoint la rébellion des actionnaires ayant conduit à l'éviction, en juin dernier, du PDG de Yahoo Terry Semel. Il estime cette fois que les dirigeants de Yahoo n'ont pas autorité morale pour représenter les intérêts des actionnaires. Après avoir été rassuré par le départ de Terry Semel, Eric Jackson -toujours cité par le Mercury News- semble avoir maintenant perdu ses illusions sur la capacité de Jerry Yang à prendre les mesures qui pourraient relancer la société. Pour lui, l'intérêt de l'offre faite par Microsoft est évidente. Et l'inquiétude suscitée par son probable rejet n'est pas compensée par l'éventualité d'un rapprochement entre Yahoo et AOL. Il craint fort que l'action Yahoo ne dégringole. (...)

(11/02/2008 11:53:02)

Yahoo s'apprêterait à refuser l'offre de Microsoft

La direction de Yahoo pourrait rejeter aujourd'hui l'offre de rachat non sollicitée de Microsoft, selon l'édition de samedi du Wall Street Journal qui cite une source proche du dossier. Le fournisseur de services en ligne devrait envoyer aujourd'hui une lettre en ce sens à Microsoft. L'offre de 31 $ par action, pour un montant total de 44,6 Md$, serait jugée fortement sous-évaluée par Yahoo. Il est estimé, en outre, qu'elle ne prend pas en considération les risques encourus par la société de Jerry Yang si celle-ci entrait dans un processus d'accord avec Microsoft qui pourrait n'être finalement pas approuvé par les autorités de régulation. Toujours selon la source citée par le WSJ, il semblerait que Yahoo serait peu enclin à prendre en considération une offre n'atteignant pas les 40 $ par action. Si tel est le cas, cela signifie que Microsoft se verrait contraint de réévaluer son offre de départ d'au moins 29%, soit 13 Md$ de mieux pour atteindre 57,6 Md$. Maximiser la valeur du titre à long terme Yahoo a refusé de commenter ces informations. « Nous étudions minutieusement la proposition de Microsoft en considérant toutes les autres orientations stratégiques que peut prendre l'entreprise, a néanmoins indiqué un porte-parole du fournisseur de portail. Nous agirons de façon à maximiser la valeur de notre titre à long terme pour nos actionnaires. » C'est le 1er février que Microsoft a lancé son offre de rachat qui combine une partie réglée en numéraire et l'autre en actions. L'éditeur de Windows propose en effet aux actionnaires de Yahoo de choisir entre l'une ou l'autre formule, le total devant toutefois être également réparti entre les deux modes de paiement. Parmi les options de repli envisagées par Yahoo figure un partenariat avec son concurrent Google, pris en compte après que le PDG de celui-ci, Eric Schmidt, ait proposé son aide la semaine dernière pour faire face à l'offre de rachat émanant de Redmond. Google est évidemment le grand rival de Microsoft puisque c'est justement pour tenter de réduire autant que faire se peut l'immense avance que le leader incontesté des moteurs de recherche a pris sur le marché Internet (publicité et services en ligne) que Microsoft souhaite mettre la main sur Yahoo. (...)

(08/02/2008 17:50:59)

IBM transforme Blue Gene en serveur d'applications web

Pour IBM, les clusters de serveurs lamba ne sont pas l'avenir du Web. Alors qu'elles sont couramment utilisées par la plupart des acteurs du Web, ces grappes ne sont pas la solution la plus viable. « Cette approche équivaut à construire une centrale électrique à partir d'une collection de générateurs portatifs », explique Jonathan Appavoo, Volkmar Ulhig et Amos Waterland, trois chercheurs d'IBM dans leur présentation du Projet Kitty Hawk. Ce projet porte sur la prochaine génération de plateforme capable d'héberger des applications Web de toute taille. Pour eux, cette plateforme a déjà une forme matérielle : le super-ordinateur Blue Gene/P. Les trois chercheurs travaillent sur les modifications logicielles nécessaires pour transformer ce Blue Gene en une machine extrêmement versatile capable de faire tourner des milliers d'instances virtuelles Linux pour chaque application Web. Cela ne fera pas pour autant disparaître les clusters du paysage. Ceux-ci seront simplement moins nombreux et composés de mainframes plutôt que des serveurs d'entrée de gamme, plus fiables et plus faciles à maintenir. Puisqu'un cluster de 1024 Blue Gene pourrait être conçu - et vendu ? - comme une seule machine, plutôt que prendre des semaines à assembler des serveurs d'horizon différents. Pour l'instant, le projet Kitty Hawk n'en est qu'au stade du prototype. Il fonctionne correctement avec des applications Web 2.0 basées sur LAMP (Linux, Apache, MySQL et PHP), et en séparant la partie base de données des applications proprement dite. Aucune prévision pour un passage commercial n'est avancée. (...)

(08/02/2008 17:17:44)

L'UE enquête sur les activités de Microsoft pendant la standardisation d'Open XML

Selon le Wall Street Journal, l'Union européenne aurait ouvert une nouvelle enquête à l'encontre de Microsoft pour une désormais traditionnelle violation de la loi anti-trust. Selon le WSJ, qui cite des sources familières au dossier, l'UE aurait demandé à Microsoft de faire la lumière sur ses activités pendant la procédure de standardisation d'Open XML l'année dernière. Une période pendant laquelle Microsoft aurait pu - c'est le motif de l'enquête - user de pratiques qui violeraient la loi anti-trust. Il ne s'agirait toutefois que d'une enquête préliminaire. Cette information intervient alors que Microsoft accuse IBM d'avoir volontairement enrayé le processus de normalisation auprès de l'ISO, et le juge seul responsable de l'échec de la procédure « Fast-Track ». (...)

(08/02/2008 16:51:49)

Le Syntec adhère au rapport de la commission Attali

Syntec Informatique considère le rapport de la commission Attali pour la libération de la croissance française, avec un intérêt certain. La fédération professionnelle des SSII et des éditeurs de logiciels vient en effet de qualifier le document de « feuille de route ambitieuse et positive pour la mise en place d'une " véritable économie de la connaissance" ». Parmi les 316 décisions du rapport, Syntec informatique approuve, en tout premier lieu, la place qui est faite au numérique. La chambre patronale considère ainsi que « bon nombre des mesures présentées favorisent le développement actif du numérique en France, de ses applications et usages ainsi que celui des entreprises qui constituent ce secteur ». Parmi les décisions en faveur du développement de l'économie numérique, elle retient notamment celles qui visent à généraliser l'e-administration, à réduire la fracture numérique (grâce au projet du haut débit puis du très haut débit pour tous), et celles qui prônent l'éducation par les TIC et la formation à ces technologies. Développer l'édition de logiciels et transformer le CIR La fédération adhère également aux mesures prises en faveur du développement des PME innovantes, grâce au renforcement du programme « Passerelles » qui facilitera les relations entre grandes entreprises et PME innovantes, et à la maximisation des effets du Crédit Impôt Recherche (CIR). Sur le plan social, elle estime qu'un certain nombre des mesures soumises par la Commission font écho à ses propres propositions, et stimulent le développement des entreprises du secteur : modernisation du dialogue social et des règles de représentativité des syndicats, liberté négociée du temps de travail, mise en place d'une « flexi-sécurité », organisation et sécurisation des parcours professionnels, allègement du coût du travail pour toutes les entreprises. Syntec informatique considère néanmoins qu'il faut aller plus loin pour renforcer l'impact de ces mesures : en réunissant les conditions du développement de l'édition de logiciels (secteur stratégique pour l'économie de la connaissance, mais qui reste peu évoqué dans le rapport), en transformant le Crédit Impôt Recherche en Crédit Impôt Innovation, et en favorisant la diffusion des usages innovants des technologies de l'information dans les PME de tous les secteurs d'activités. (...)

(08/02/2008 15:22:54)

Les processeurs Cell passent à 45 nanomètres

Le processeur Cell d'IBM dédié au calcul haute performance et équipant - principalement - la console PlayStation 3 de Sony va bénéficier d'une gravure plus fine. Il passera de 65 nanomètres à 45 nanomètres, avec l'alliage « high k gate » comme isolant. En pratique, cela ne change pas les capacités techniques de la puce. Cela réduit juste de 34 % sa consommation électrique. Et donc sa capacité à chauffer. Ce qui permettra au principal acheteur de Cell, Sony, de réduire la ventilation de sa PS3 et ainsi ses coûts de fabrication. En revanche, pour les serveurs lame dotés du processeur, le changement de gravure ne devrait pas apporter de grands bouleversements. (...)

(08/02/2008 15:15:58)

OpenID en chevalier blanc de la gestion d'identité en ligne

Le rêve de disposer d'une authentification personnelle unique automatiquement reconnue par plusieurs sites vient de faire un pas vers la réalité. Il se pourrait bien que l'initiative libre OpenID soit en passe de fédérer l'ensemble des forces vives du en ligne. L'OpenID foundation vient d'annoncer que Google, IBM, Microsoft, VeriSign et Yahoo avaient rejoint son conseil d'administration. L'association insiste d'emblée sur le fait que ce conseil d'administration ne prend pas de décision d'ordre technique, lesquelles relèvent toujours d'un processus collectif au sein de la communauté. Entre début 2006 -500 sites web adhérents- et aujourd'hui (plus de 10 000 sites), OpenID semble avoir réussi là où les initiatives des acteurs traditionnels avaient échoué. Il est vrai que, Microsoft en tête, ils ne visaient tous qu'une chose : s'approprier le contrôle des identités des internautes. Une excellente nouvelle a double titre : cela laisse à la fois espérer une identification "transparente" des internautes et une moindre menace pour leur identité en raison du modèle décentralisé d'OpenID, créé en 2005. Fin décembre, OpenID annonçait avoir défini une politique de gestion des droits. Un travail réalisé en commun avec le soutien d'AOL, de Microsoft, de VeriSign, de Sun, de Symantec et de Yahoo! Le rêve c'est, désormais, une réussite pour OpenID à la mesure de celle de la fondation Mozilla. (...)

(08/02/2008 14:47:55)

Infineon rouge carmin, Altis dans l'expectative

1er trimestre 2008 (clôture à fin décembre) Chiffre d'affaires : 1,603 Md€ (-25%) Pertes nettes : 396 M€ (contre un résultat net de 120 M€) Hors Qimonda Chiffre d'affaires : 1,09 Md€ (+13,8%) EBIT (Earnings before interest and taxes, alias résultat d'exploitation) : 65 M€ (contre une perte d'exploitation de 9 M€) La participation à hauteur de 77,5% au capital de Qimonda, sa filiale spécialisée dans la production de mémoire, a fait profondément plonger Infineon dans le rouge sur son premier trimestre fiscal. Infineon -ex Siemens Semiconductor- a d'ailleurs choisi de clairement dissocier les résultats de Qimonda dans la présentation de ses résultats. Ce qui revient à s'amputer sur le papier de 32% du chiffre d'affaires du groupe, mais aussi de 433 M€ de pertes d'exploitation. Sur un an, Qimonda s'est effondré tant au niveau du CA (-56%) que de la rentabilité. Il y a un an, cette activité générait une marge de 225 M€. Sur l'exercice 2007 (clos à fin septembre), Qimonda, qui compte 13 500 salariés, a atteint un CA de 3,6 Md€. L'avenir déjà sombre d'Altis, co-entreprise détenue avec IBM, risque de pâtir encore de la décrépitude d'Infineon. Fin août dernier, on apprenait qu'un opaque consortium russe s'était porté acquéreur de cette unité de production. De source syndicale, l'accord comportait un engagement de charge de production sur deux ans. La situation fragilisée d'Infineon aurait contribué au gel du processus de rachat. Elle peut soit laisser craindre l'impossibilité de tenir l'engagement de deux ans de production, soit laisser espérer la reprise d'une plus grosse partie d'un Infineon moribond. (...)

(08/02/2008 13:15:06)

Annuels SAS : +15% sur fond de marché en consolidation

Exercice fiscal 2007 Chiffre d'affaires : 2,15 Md$ (+15%) SAS vient d'annoncer un chiffre d'affaires de 2,15 Md$ sur son exercice fiscal 2007, en progression de 15% par rapport à 2006. Par comparaison, son principal concurrent, Business Objects, désormais dans le giron de SAP, a réalisé sur la même période un chiffre d'affaires de 1,51 Md$, en hausse de 20%. SAS, éditeur américain, créé et toujours dirigé par l'emblématique Jim Goodnight, se maintient dans le cercle restreint des sociétés IT non cotées, ce qui lui permet de ne pas détailler publiquement son exercice fiscal. Il constitue le chef de file des éditeurs indépendants de solutions décisionnelles (Business Intelligence), après la vague de consolidation qui a vu ses principaux concurrents happés par de grands fournisseurs en 2007 (Hyperion par Oracle, Business Objects par SAP et Cognos par IBM). Jim Goodnight rappelle que sa société évolue sur un secteur en pleine croissance, porté par l'augmentation du volume de données, en constante accélération. Le PDG estime que la consolidation actuelle du marché décisionnel lui laisse les coudées franches pour renforcer ses positions sur ce terrain. Solutions de détection de fraude En 2007, les applications de Business Intelligence ont pesé 29% du chiffre d'affaires de SAS. « Nous ne voyons pas de ralentissement sur ce marché », affirme Jim Goodnight dans un communiqué, en estimant que sa plateforme d'entreprise, ses outils d'analyse et ses solutions verticalisées par secteur d'activités se démarquent des offres concurrentes. L'éditeur note une augmentation de 50% sur les ventes de ses solutions liées à l'analyse des données clients (customer intelligence solutions) et une progression de 28% sur les applications verticales (le traitement des fraudes pour les banques, l'ajustement des stocks dans la distribution...). SAS précise aussi que 200 institutions financières dans le monde s'appuient sur SAS for Enterprise Risk Management pour gérer les risques et la conformité réglementaire. Rappelons que, dans le domaine du risque bancaire, SAS a développé avec le groupe bancaire HSBC et livré l'automne dernier une application de détection de fraude à la carte de crédit en temps réel. Sur l'année écoulée, l'éditeur a gagné 1 100 nouveaux clients et son chiffre d'affaires s'est réparti de façon équivalente entre le continent américain (44%), la région EMEA -Europe, Moyen-Orient et Afrique- (45%). La région Asie/Pacifique représente 11% de son revenu. (...)

(08/02/2008 13:10:08)

Microsoft avale Caligari pour contrer Google Earth

Si Microsoft n'est toujours pas certain d'engloutir Yahoo pour se positionner sur le marché de la publicité en ligne, le géant de Redmond ne reste pas sur sa faim. Microsoft vient en effet d'annoncer le rachat de Caligari, un éditeur spécialisé dans la 3D. Cette acquisition, dont le montant n'a pas été dévoilé, n'est pas innocente : il s'agit encore d'érafler le cuir du mammouth Google. Le terrain choisi par Microsoft est cette fois celui de la cartographie en 3D. Microsoft compte en effet sur l'outil 3D TrueSpace de Caligari pour améliorer son service Virtual Earth, concurrent de Google Earth. (...)

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