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(25/01/2008 14:15:52)
Bill Gates, un (presque) altermondialiste à Davos
Retrouvez Bill Gates à Davos dans notre reportage vidéo Devant le gotha planétaire réuni dans les alpages suisses à l'occasion du Forum économique mondial de Davos, Bill Gates a troqué son uniforme de dirigeant de Microsoft pour endosser celui de philanthrope humaniste. Dans un discours contrastant avec ceux habituellement tenus dans ce canton des Grisons, le fondateur du groupe de Redmond a plaidé en faveur d'un renouveau des valeurs du capitalisme, une révolution devant profiter à l'ensemble de l'humanité. Vers un capitalisme créatif A la tête de la plus puissante organisation caritative du monde, Bill Gates a exhorté le parterre de dirigeants présents à Davos à s'engager sur la voie d'un « capitalisme créatif », reposant notamment sur une collaboration accrue entre les entreprises, les gouvernements et les ONG. A la clé : la résolution des problèmes des plus pauvres pas exclusive d'une bonne santé des acteurs économiques. « Nous devons trouver un moyen pour que les aspects du capitalisme servant les personnes les plus fortes profitent aussi aux plus pauvres », a-t-il martelé. L'idée d'un capitalisme créatif associe les « deux principaux buts de la nature humaine : la satisfaction de ses propres intérêts et l'altruisme », a développé le fondateur de Microsoft. Selon lui, tout en conservant leur sens inné des affaires, les entreprises peuvent trouver de nouveaux moyens pour résoudre les principaux problèmes affectant un milliard de pauvres, qui souffrent de malnutrition, d'un manque d'eau ou de médicaments. Autant d'éléments considérés comme acquis par le reste de la planète, selon Bill Gates. Bien sûr, l'ex-homme le plus riche du monde ne voue pas le capitalisme aux gémonies : « Le système conduit par des intérêts particuliers est responsable d'incroyables innovations qui rendent la vie meilleure. Mais pour que cette puissance profite à tous, nous devons redéfinir le système. » Et cette redéfinition passe notamment par la remise en cause de ce qui a fait la raison de vivre de Microsoft depuis sa création : le profit. Les dirigeants d'entreprises doivent, selon Bill Gates, changer leur façon de penser et ne pas chercher à réaliser des bénéfices des nouveaux modèles économiques basés sur la philanthropie. Il n'est pourtant pas question de tirer un trait sur la raison d'être des entreprises : la reconnaissance du bien qu'elles font dans le monde en venant en aide aux autres induit une valeur économique, « améliore la réputation d'une société, attire les clients. Dans un marché où les profits ne sont pas possibles, la reconnaissance prend la place des bénéfices. » Bill Gates et Bono refont le monde et lancent le projet Red Plutôt que de se lancer à la poursuite de buts certes vertueux mais éloignés de leur activité, les entreprises doivent, selon Bill Gates, miser sur leur activité pour aider les autres, en s'associant aux gouvernements des pays les plus pauvres pour leur fournir des ressources. Et de citer l'exemple d'une société danoise qui met à disposition du Vietnam son vaccin contre le choléra pour 1 $ la dose. Autre illustration, la campagne Red se veut l'exemple même de ce que doit être le capitalisme créatif. Impliquant de nombreuses sociétés comme Gap, Motorola, Dell ou Armani, le projet serait né sur le zinc d'un bar, au sortir d'une nuit rythmée par ces conversations au cours lesquelles on refait le monde. En l'espèce, la conversation réunissait deux amis : Bill Gates et Bono, le chanteur du groupe U2. Le projet Red vise à reverser une partie des bénéfices réalisés grâce à la vente de différents produits à la recherche médicale pour l'Afrique. Dell et Microsoft prévoient ainsi de distribuer certains modèles de la gamme XPS du constructeur dans le cadre du programme. A l'heure actuelle, Red aurait contribué à hauteur de 50 M$ aux projets de recherche contre le Sida et le paludisme, et deux millions d'Africains reçoivent quotidiennement des médicaments qui « leur sont vitaux », selon Bill Gates. Avant l'annonce de cette association entre l'éditeur et le fabricant, Microsoft avait mis en oeuvre cette idée d'un nouveau capitalisme à travers son programme éducatif Unlimited Potential, chargé d'apporter des compétences IT et du matériel aux élèves des pays émergents. Conformément à la définition du capitalisme créatif exposée par Bill Gates à Davos, Microsoft entend, à travers ses projets éducatifs, utiliser le caritatif comme un levier pour ses futures activités et préparer les marchés émergents à devenir les prochains consommateurs des produits mis au point à Redmond. (...)
(25/01/2008 09:39:36)L'emblématique enseigne Surcouf à vendre
Cette fois c'est officiel. PPR a bien décidé de se désengager de Surcouf, sa filiale dédiée à la distribution de matériel informatique et d'électronique grand public. Plus précisément, le groupe de François Pinault cherche à céder à un investisseur une part majoritaire de l'entreprise qui a réalisé 247 M€ de chiffre d'affaires en 2007. Jean-François Palus, le directeur financier précise qu'il n'y pas encore de discussion en cours. L'objectif de l'opération est de donner à l'enseigne les moyens d'accélérer sa croissance avec des approches qui pourraient, sans que rien ne soit décidé, consister à la recentrer sur le concept de foire de l'informatique qui a fait son succès ou reprendre l'extension du nombre de ses magasins. Son expansion entamée en 2002 lui a permis de se doter de 5 points de présence en France, 3 à Paris et en région parisienne, un à Bordeaux et un à Strasbourg. Elle a toutefois tournée court suite à la montée en puissance de la Fnac, une autre filiale de PPR, sur la vente de produits high-tech. Ce qui est certain, c'est que le distributeur a besoin d'un plan de relance sur lequel travaille déjà Yves Lagier qui a récemment remplacé Alain Delgrande au poste de PDG de Surcouf. (...)
(25/01/2008 09:31:52)EMC lance son premier service logiciel en ligne
EMC vient de lancer en Amérique du Nord l'offre de sauvegarde en ligne MozyEnterprise récupérée par le rachat de Berkeley Data Systems cet automne. Celle-ci permet d'automatiser par Internet la sauvegarde et la récupération sécurisées des données de PC et de serveurs sous Windows. C'est la première application vendue par le fournisseur comme un service (mode SaaS) depuis sa plateforme EMC Fortress, qui proposera ultérieurement d'autres services. Elle est également fournie en ligne par certains partenaires d'EMC. En France, cette offre doit être lancée dans le courant de l'année. Elle sera, de la même façon, proposée directement par EMC et relayée parallèlement par des partenaires. A partir de 5,25 $ par mois pour un PC MozyEnterprise comptait déjà 500 000 utilisateurs, souscripteurs individuels ou entreprises. EMC en a renforcé les fonctions de sécurité pour les applications professionnelles : gestion de clés, authentification et autorisation (avec l'offre de RSA, division sécurité de EMC), affectation d'un maximum de 2 To de capacité physique, options de disponibilité et de support pour les grandes organisations. Outre-Atlantique, l'abonnement mensuel revient à 5,25 $ par mois par poste de travail (de bureau ou portable), auxquels s'ajoute 0,70 $ par mois par gigaoctet protégé. Il en coûte 9,25 $ mensuels pour chaque serveur Windows supporté, auxquels s'ajoutent 2,35 $ par gigaoctet protégé. EMC a par ailleurs indiqué avoir noué un partenariat avec Verizon Business pour l'exploitation de son architecture EMC Fortress et du service MozyEnterprise. (...)
(24/01/2008 18:17:48)Le programme Idées de Microsoft s'exporte bien
A la veille de souffler sa deuxième bougie, le programme de parrainage de start-up Idées (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up) de Microsoft fait déjà des petits. Lancé en février 2006 par la filiale française du géant de Redmond, Idées a pour objectif de soutenir des éditeurs novateurs, tous domaines confondus (sécurité, applications d'entreprise, mobilité, jeux vidéos...). Face au succès rencontré par ce plan d'aide purement « frenchie », Microsoft a décidé de l'exporter l'an dernier, et l'a rebaptisé « Microsoft Startup Accelerator Program » au niveau international. Ce programme a déjà obtenu l'adhésion de 30 start-up américaines, triées sur le volet (rien qu'en France, 400 dossiers sont examinés chaque année). Microsoft compte parrainer 100 jeunes pousses par an aux Etats-Unis, et 20 start-up en Grande-Bretagne. Dans l'Hexagone, Idées parraine actuellement plus de soixante start-up. Selon Microsoft, ces jeunes pousses ont en moyenne récolté 3 M€ de levée de fonds depuis leur adhésion, recruté 16 personnes et affichent un taux de croissance de 433%. (...)
(24/01/2008 17:20:00)NTT Docomo adopte Android pour ses téléphones i-mode
La rumeur courait depuis décembre dernier. C'est désormais chose faite : NTT Docomo proposera des téléphones équipés de la plateforme Android de Google. Le projet est du moins en bonne voie puisque les deux géants ont entamé des discussions qui incluraient également le support d'i-mode, le service Internet de NTT Docomo. Pas si étonnant puisque NTT Docomo fait partie de l'alliance Open Handset créée par Google lors du lancement d'Android, ce rapprochement devrait profiter aux deux sociétés. Premier opérateur mobile au Japon avec 50% du marché et 48 millions d'abonnés, NTT Docomo n'en est pas moins confronté à une concurrence acharnée et perd régulièrement des parts de marché. En ajoutant les services Google à son panier, il renouvèle son offre mobile et pourrait donc se montrer plus attractif face aux concurrents. De son coté, Google signe là son plus gros partenariat avec un opérateur, apportant ainsi du crédit à sa stratégie télécoms qui laisse toujours les analystes du marché dubitatifs. Cette annonce devrait se concrétiser dès le printemps prochain pour 48 millions des 53 millions de clients de l'opérateur qui sont abonnés au service i-mode. Ils auront en effet de nouvelles fonctionnalités à disposition émanant de la plateforme Android dont, notamment, le moteur de recherche, le mail, l'agenda ou encore le stockage de photos. D'autres services sont envisagés par la suite tel que Google Maps ou encore la possibilité d'accéder et visionner des vidéos Flash. Pour autant, NTT Docomo n'abandonne pas ses projets en cours avec des plateformes rivales, dont ALP (Access Linux Platform) de l'éditeur japonais Access, et pourrait proposer prochainement un pack de services spécifiques dans ce cadre. En attendant, quand les 48 millions d'utilisateurs d'i-mode allumeront leur téléphone NTT Docomo, c'est la page de recherche de Google qu'ils verront s'afficher par défaut. (...)
(24/01/2008 17:12:37)Annuels Cegid : +13,4% sur les licences et services d'intégration
Sur 2007, l'éditeur de logiciels de gestion Cegid a vu ses ventes de licences et de services d'intégration progresser de 13,4%, à 104,2 M€, sur un chiffre d'affaires total de 241,1 M€. Cette croissance, tirée par le quatrième trimestre (+16% sur cette activité), s'est répartie sur plusieurs secteurs : la profession comptable et libérale et ses clients en TPE, les solutions de gestion des ressources humaines, les outils de gestion de la performance financière destinés aux moyennes et grandes entreprises, ainsi que les métiers de la mode. Elle a également été alimentée par une augmentation de 60% des ventes indirectes provenant du réseau de distribution. Autant d'axes sur lesquels l'éditeur entend poursuivre son développement en 2008, notamment à l'international pour le secteur de la mode. Cegid mise également sur l'extension de son activité d'applications hébergées (On Demand). Rappelons par ailleurs que le quatrième trimestre 2007 a été marqué par l'entrée de Groupama au capital de Cegid, à hauteur de 17,23%, avec l'objectif de développer un partenariat industriel pour étendre les offres destinées aux professionnels de l'expertise comptable en contact avec les TPE et PME. Rentabilité opérationnelle : 13,5% du chiffre d'affaires Sur l'année, la part des ventes de licences et de services d'intégration pèse plus lourd dans le chiffre d'affaires total que l'an dernier : 43,33% contre 40,3% en 2006. Un poids à comparer aux 44% issus en 2007 des revenus récurrents provenant de la maintenance qui ont de leur côté progressé de 3% par rapport à l'an dernier. Sur le chiffre d'affaires total, la progression annuelle s'élève à +5,7% à périmètre courant, Cegid ayant racheté Comptanoo, éditeur de logiciels de comptabilité en ligne pour les TPE, en janvier 2007, et AS Infor, éditeur de solutions de gestion de magasins, en avril 2007. Pour 2007, Cegid estime sa rentabilité opérationnelle courante consolidée à 13,5%, au moins, de son chiffre d'affaires (contre 12,8% en 2006), mais précise qu'il s'agit de chiffres estimés et non audités. Les résultats définitifs seront annoncés fin février. (...)
(24/01/2008 15:08:15)Mozilla fête ses 10 ans
Le 22 janvier 1998, Netscape - le grand rival de Microsoft sur le Web de l'époque - annonce qu'il rend public le code source de son produit phare : Netscape Communicator 5. Dix ans plus tard, si le développement propriétaire de Netscape est au point mort, la version libre Mozilla s'est multipliée : Firefox et Camino pour la navigation Web, Thunderbird pour le courrier électronique et Sunbird pour les calendriers gagnent de plus en plus de terrain dans le grand public comme en entreprise. Et désormais, Firefox, disponible en 44 langues et revendiquant 150 millions d'utilisateurs actifs se place en seconde position derrière Internet Explorer. Pour Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, l'excitation du début est toujours là : « Je suis vraiment chanceux de travailler sur Mozilla, de travailler avec autant de gens talentueux. Dix ans après, je suis toujours aussi excité qu'au premier jour. » (...)
(24/01/2008 12:19:20)L'Afdel critique les recommandations sur le Libre de la commission Attali
Pour l'Afdel, Association française des éditeurs de logiciels, « la commission Attali tourne le dos à l'innovation ». De fait, le rapport remis par Jacques Attali au président de la République préconise de favoriser l'Open Source, ce qui va à l'encontre des recommandations de l'Afdel, qui souhaite favoriser le modèle classique des éditeurs de logiciels. Parmi les 316 propositions du rapport de la Commission Attali, certaines visent explicitement les technologies de l'information et de la communication. Le chapitre 3, intitulé « Les révolutions à ne pas manquer », explique que si la France est compétitive en matière de haut débit, elle souffre tout de même d'un certain retard dans l'économie du numérique. On peut lire : « 45% de la population française ne se connecte jamais à Internet. La France n'a plus aucun acteur significatif dans le logiciel ni dans la fabrication d'ordinateurs, de serveurs et d'équipements annexes. Aucune société française ne figure parmi les 15 premières sociétés éditrices de logiciels. Seuls deux « champions nationaux » s'inscrivent au palmarès des 5 premiers groupes mondiaux dans les six principaux secteurs de l'économie numérique. La France n'a presque aucun acteur de taille mondiale dans les industries d'Internet. [...] La part de l'économie numérique dans la production française n'est que de 6% au lieu de 13% aux États-Unis et 17% en Corée. Le niveau d'investissement en recherche et développement (0,3 à 0,4% du PIB) est deux fois moindre que celui des États-Unis, de certains pays nordiques et des nouveaux champions asiatiques. » La décision 58 du rapport Attali veut promouvoir le Libre [[page]] Parmi les mesures proposées pour remédier à cet état de fait, la décision 58 implique de promouvoir les logiciels libres, dont l'intérêt est selon le rapport d'induire « une économie moyenne de 36% en recherche et développement pour les entreprises utilisatrices ». Le rapport préconise donc d'instaurer « un objectif de 20% des applications nouvellement développées ou installées au profit du secteur public en Open Source » d'ici « à l'horizon 2012 », de « considérer fiscalement, comme aux États-Unis, les aides aux communautés des logiciels libres comme du mécénat de compétence », et d'exiger, « à un niveau européen dans le cadre de la politique de la concurrence entre solutions logicielles, la fixation de normes internationales garantissant l'interopérabilité entre logiciels libres et les logiciels propriétaires, en priorité ». De son côté, l'Afdel estime que le Libre n'est pas une réponse au besoin d'innovation, « la valeur ajoutée du modèle Open Source résidant davantage dans une stratégie commerciale qui vise à faire tomber les barrières à l'entrée, en déplaçant le prix du produit vers le service ». L'Afdel, présidée par Patrick Bertrand, DG de l'éditeur de progiciels Cegid, préférerait des mesures d'aide aux PME du logiciel et non qu'elles soient ainsi écartées du secteur public : « Plutôt que de tabler sur le gisement de croissance (8% en moyenne en 2007) dont sont porteuses les 2500 entreprises françaises du logiciel qui emploient 60 000 personnes, la Commission Attali privilégie étonnamment une stratégie de coûts. » (...)
(24/01/2008 09:41:16)IBM s'offre la solution de gestion d'événements d'AptSoft
IBM a annoncé l'acquisition d'AptSoft, éditeur d'une solution de gestion des événements en temps réel. La gamme WebSphere se complètera ainsi d'une solution pour surveiller les flux d'informations et corréler les événements, afin d'agir dessus au plus vite. AptSoft est en effet un des pionniers du marché du CEP, ou Complex event processing (aussi appelé ESP, Event streaming processing), aux côtés de Streambase, Aleri ou Apama. Son offre Director for CEP a d'abord été conçue pour détecter les fraudes et optimiser les ventes. Un logiciel de CEP analyse des flux d'informations en temps réel et les compare à une base de règles. Il peut ainsi détecter lorsque des anomalies surviennent, même si elle a lieu au sein d'une multitude d'événements, comme des ordres de Bourse ou des lectures d'étiquettes RFID. Associé à un logiciel de BPM (Business process management, gestion des processus métier), cela permet de déclencher des processus dès qu'un seuil est franchi ou une anomalie détectée. Oracle, Sun ou Tibco communiquent régulièrement sur ce sujet, estimant qu'il s'agit d'une évolution naturelle des SOA (architectures orientées services), tandis qu'IBM ne disposait jusqu'à présent que d'un simple courtier de messages, Wepsphere event broker. (...)
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