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(07/11/2007 16:52:46)
Rencontre avec Kirk Skaugen, vice-président en charge des plateformes serveurs chez Intel
Lemondeinformatique.fr : Vous venez d'annoncer une nouvelle mouture d'Itanium. Pourtant, le marché n'est-il pas largement dominé par les puces x86 ? Kirk Skaugen : En terme de volume, oui le marché est adapté à nos processeurs Xeon. Mais dès qu'il s'agit d'applications critiques, Itanium est meilleur. Pour nous, c'est le remplaçant idéal des mainframes et des processeurs RISC. Et cette nouvelle version - Montvale - reprend d'ailleurs des fonctionnalités comme Core Level LockStep (permettant au processeur de valider son propre travail, NDLR) qui n'étaient jusqu'à présent accessibles que pour les mainframes. Et la prochaine mouture, Tukwala, prévue pour 2008, sera le processeur le plus rapide de la planète et comptera 2 milliards de processeurs. Sur ces marchés, les utilisateurs étaient prisonniers d'un constructeur ou d'un système d'exploitation. Avec Itanium, ils peuvent choisir entre plusieurs constructeurs OEM, 12 systèmes d'exploitations et plus de 12 000 applications différentes. Du coup, nous avons déjà 140 000 serveurs déployés dans le monde, y compris dans 75 des 100 plus grandes entreprises mondiales. Voyez-vous une segmentation toujours plus importante du marché des serveurs ? Oui, désormais la performance pure n'est plus le critère principal. Pour les PME, ce sera le coût ; pour les grands datacenters, le rapport entre performance et la consommation ; et pour les mainframes, la fiabilité et la haute disponibilité. Ajoutez-y une tendance forte à la consolidation des serveurs et à la virtualisation, et vous obtiendrez un marché très fragmenté. Comment y répond Intel ? En intégrant de nouvelles capacités au coeur du processeur. Nous avions déjà certains processeurs dotés de capacités de sécurité et, avec vPro, d'outils de virtualisation. Nous allons augmenter les capacités de gestion de l'énergie de nos prochaines puces. Et au fil du temps, nous allons intégrer le rôle d'autres puces de la carte mère au sein du processeur principal. Moins il y a de puces sur la carte mère, moins la consommation électrique de l'ordinateur est importante. Ainsi Tukwila - pour la gamme Itanium - et Nehalem - pour la gamme Xeon - intégreront dès 2008 un contrôleur de mémoire. Avec la multiplication des coeurs dans les processeurs, les développeurs doivent revoir leurs façons d'écrire des applications. Comment les y aidez-vous ? 10% des employés d'Intel sont des développeurs logiciels. Ils fournissent aux éditeurs des outils pour adapter leurs applications à nos processeurs, notamment pour gérer le multithreading. Avant, un changement de fréquence ne nécessitait pas de revoir son application. Dans les futurs Penryn, non seulement la fréquence augmente, mais le jeu d'instruction change, les coeurs - et les thread au sein de chaque coeur - se multiplient. Outre les outils fournis par Intel, nous travaillons également avec des universités et des écoles pour fournir des cours sur la programmation en parallèle. (...)
(07/11/2007 15:32:15)SAP ne prévoit pas de modèle SaaS pour les grands comptes
SAP ne proposera pas de logiciels en mode hébergé (SaaS- Software as a Service) aux grands comptes, rapportent nos confrères de Computerwold. Cette annonce intervient un mois après le lancement par l'éditeur d'une offre de gestion en mode hébergé à destination des PME, SAP Business ByDesign. Henning Kagermann, PDG de SAP, a ainsi déclaré, à l'occasion du Gartner Symposium/IT Expo à Cannes, que l'éditeur allemand resterait campé sur ses positions, face à la montée en puissance des logiciels en ligne. Le président de SAP a également indiqué qu'il était difficile d'appliquer aux grands comptes un modèle développé pour les PME, tel que celui mis en place pour SAP Business ByDesign, tout simplement par manque de recul. « Nous avons posé la question aux utilisateurs de SAP, a indiqué le dirigeant. Il se trouve que ces derniers partagent notre opinion. Business ByDesign a été conçu pour répondre aux besoins du mid-market. Les grands comptes attendent que le concept ait fait ses preuves avant de penser à l'adopter. » (...)
(07/11/2007 14:42:11)Le premier centre serveur européen de Microsoft ouvrira mi-2009 à Dublin
C'est à Dublin que Microsoft a décidé d'établir son premier centre serveur européen. Le coût de sa construction est estimé par Microsoft à 360 M€ pour une surface de 51 000 m². Cette somme n'inclut pas l'équipement informatique. Ce centre devrait être opérationnel à la mi-2009. Sa mission sera d'héberger pour l'Europe et les contrées alentour (Moyen-Orient, Afrique) les applications en ligne de Microsoft : Portail MSN, Windows Live, Hotmail et les diverses plateformes d'hébergement d'états d'âme personnels (blog) et de données multimédia. (...)
(07/11/2007 14:04:57)Nortel : bénéfices enfin dans le vert, mais revenus à la traîne
Résultats T3 2007 Chiffre d'affaires : 2,7 Md$ (-8%) Bénéfice net : 27 M$ (contre une perte de 63 M$ au T3 2006) Contrairement à ses concurrents (Alcatel-Lucent, Ericsson), Nortel vient de publier des résultats trimestriels encourageants sur un marché pourtant en proie à des difficultés récurrentes. L'équipementier télécoms canadien renoue en effet avec les bénéfices : + 27 M$, alors qu'un an plus tôt, Nortel affichait une perte de 63 M$. La marge d'exploitation s'envole quant à elle pour atteindre 5%, un niveau « jamais atteint depuis 2004 », précise la société dans un communiqué. Les revenus globaux de Nortel reculent toutefois à 2,7 Md$, soit une baisse de 8% par rapport à l'an dernier. Cet affaissement du chiffre d'affaires est notamment lié aux frais de restructuration engendrés par la vente, en janvier 2006, des activités UMTS de la société à son concurrent Alcatel. Les bons de commande ne semblent pas avoir souffert de cette revente, puisque même après réajustement elles enregistrent une progression de 5% depuis le début de l'exercice, et de 9% sur le seul troisième trimestre. La société s'est déclarée « satisfaite de son niveau d'activité, ainsi que par sa présence sur le marché ». Pour l'ensemble de l'année, Nortel espère réaliser une marge opérationnelle en légère progression (entre 4 et 5%), et table sur un chiffre d'affaires annuel similaire à celui de 2006 (aux alentours de 11,5 Md$). (...)
(07/11/2007 12:16:38)Les activités Conseil et intégration font progresser le CA de Cap Gemini
Résultats T3 2007 : CA : 2,088 Md€ (+11%) Cap Gemini a réalisé un chiffre d'affaires de 2,088 Md€ au troisième trimestre de 2007, contre 1,881 Md€ un an auparavant, soit une hausse de 11% à périmètre courant (6,2% à périmètre constant). Pour l'ensemble des neuf premiers mois 2007, la croissance atteint 14,5%. Ce sont les services de proximité et les activités de Conseil et d'intégration qui rencontrent le plus de succès, avec des croissances respectives de 10,9% et 9%. L'Infogérance reste à la traîne, avec une progression très discrète (1%). D'un point de vue géographique, les pays nordiques poussent le chiffre d'affaires vers le haut (+30%), suivis du Benelux, de l'Espagne et la région Pacifique, qui affichent tous des croissances supérieures à 10%. La France reste pour sa part sous la barre des 7%. La SSII reste optimiste pour l'ensemble de l'année, et relève ses objectifs de marge nette à 7%. Cap Gemini emploie 80 000 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d'affaires de 7,7 Md€ en 2006. (...)
(07/11/2007 08:59:18)Microsoft se sépare de son directeur informatique
Microsoft a confirmé hier avoir licencié son directeur des systèmes d'information, Stuart Scott. L'éditeur a simplement indiqué qu'il avait laissé partir son DSI (en anglais CIO pour chief information officer) après une enquête pour violation des politiques de l'entreprise, sans donner davantage de détails. Shahla Aly, l'un des directeurs de Microsoft, et Alain Crozier, l'un de ses vice-présidents, prendront en charge les fonctions de Stuart Scott en attendant qu'un remplaçant lui soit trouvé, a précisé l'éditeur. Stuart Scott avait rejoint Microsoft en juillet 2005 après avoir passé 17 ans chez General Electric, également au poste de DSI. Il était sous les ordres de Kevin Turner, directeur général (chief operating officer). Initialement, il partageait son rôle de DSI avec Ron Markezich qui est par la suite devenu l'un des vice-présidents de Microsoft. (...)
(06/11/2007 15:37:15)MS TechEd 07 : Microsoft veut synchroniser toutes les données
Ce sont les développeurs, éditeurs indépendants, et les partenaires de Microsoft qui décideront du sort de Sync Framework. Lancé hier en version CTP (Community technology preview), Microsoft Sync Framework (MSF) fournit un ensemble d'outils facilitant la mise en oeuvre de solutions de synchronisation des données entre diverses sources. Toutefois, MSF ne sera vraiment alléchant que lorsque le Sync Framework Runtime, le moteur d'exécution, aura été porté sur d'autres plateformes que celles de Microsoft, en particulier sur les smartphones. Microsoft encourage donc son écosystème présent toute cette semaine au TechEd de Barcelone à s'emparer de son offre. « Le Sync Framework est la glu pour le logiciel plus services », explique Philip Vaughn, responsable du groupe réplication et synchronisation de données chez Microsoft, faisant allusion à la stratégie S+S de l'éditeur. L'idée de MSF est en effet de pouvoir accéder à ses données partout, depuis n'importe quel appareil ou service. Pour parvenir à ce résultat, il faut des connecteurs spécifiques à chaque source de données (Microsoft les appelle des « providers ») et au moins un agent effectuant les opérations de synchronisation. Parmi ces opérations, il y a la prise en charge du réseau et de ses topologies, l'évaluation des données à synchroniser, ou encore la détection et éventuellement la résolution de conflits. Microsoft promet une faible empreinte réseau En revanche, MSF ne se préoccupe pas de sécuriser les échanges. En la matière, Philip Vaughn recourt à une image très utilisée outre-Atlantique : « Nous nous tenons sur les épaules des géants ». En d'autres termes, il appartient à d'autres équipes de mettre en place des protocoles sécurisés ou des outils d'authentification auxquels les 'providers' se conformeront. De même, aucune compression spécifique n'est utilisée, car Microsoft souhaite que sa solution puisse être utilisée quelque soit le protocole employé. Mais Philip Vaughn explique que le recours à des métadonnées sur les données à synchroniser permet de ne faire transiter par le réseau que ce qui est strictement nécessaire. Microsoft cite deux grands scénarios d'utilisation de MSF. D'abord les applications occasionnellement connectées : le Sync Framework fournit alors des outils permettant aux développeurs de recréer simplement le lien qui peut exister entre Outlook et Exchange (en l'occurrence pour les emails) pour tout autre duo d'applicatifs. Ensuite, la collaboration pair à pair, lorsque deux appareils vont échanger des données sans qu'une application serveur, centralisée, ne soit impliquée. Il faut alors que le runtime soit embarqué sur au moins un des clients. Les développeurs appelés à multiplier le nombre de connecteurs Le Sync Framework devrait ainsi remplacer à terme tous les mécanismes de réplication qui existent aujourd'hui, sur les smartphones Windows, par exemple, ou dans Vista. Au cours d'une session technique, Philip Vaughn a montré avec quelle simplicité on pouvait synchroniser deux répertoires. La réplication de fichiers et de dossiers, ainsi que le support des partitions FAT et NTFS, et celui des mémoires flash font en effet partie des capacités initiales du Sync Framework. MSF supporte deux autres modes de connexion aux données : ADO.Net, le mode d'exposition des données par une base SQL Server, et SSE (Simple sharing extensions), qui permet d'utiliser le protocole RSS pour diffuser des données depuis un site Web. D'autres 'providers' devraient être réalisés par les équipes de Microsoft et placés sur MSDN à la disposition des développeurs, mais Philip Vaughn espère que ces derniers multiplieront les connecteurs. Côté produits, le runtime tourne sur la majorité des plateformes Windows, via .Net... en attendant que des partenaires annoncent l'avoir porté sur d'autres plateformes. (...)
(06/11/2007 14:49:13)Google annonce officiellement Android, sa plateforme mobile
Les ambitions de Google dans le domaine de la téléphonie mobile n'étaient plus un secret et les rumeurs allaient bon train depuis un moment déjà. L'annonce d'une plateforme, baptisée Android, n'a donc pas vraiment étonné les acteurs du marché. Plus qu'un simple système d'exploitation, Android, du nom de la start-up rachetée par Google en aout 2005, regroupe des outils de développement et des API (interfaces de programmation). Conçue selon le modèle Open Source, Android invite donc les développeurs à venir enrichir le panel d'applications déjà disponibles pour le système d'exploitation de Google. A ce niveau rien de franchement étonnant : Gmail, YouTube, Google Agenda, Google Docs figureront parmi les premières applications disponibles pour Android. Le spécialiste de la publicité en ligne compte appliquer au monde de la mobilité les recettes qui ont fait son succès sur le Web. En d'autres termes, des publicités devraient être insérées dans les applications pour téléphones portables afin de rentabiliser le modèle économique. Les analystes plutôt sceptiques La confirmation de l'intérêt de Google pour le marché de la mobilité bouleverse bien entendu la donne mais elle laisse aussi les analystes du marché assez sceptiques. Le modèle Open Source, tout d'abord, pose certains problèmes en termes de sécurisation de la plateforme et de la confidentialité des données personnelles. Du côté du modèle économique, il n'est pas du tout certain que les utilisateurs apprécient de se voir imposer des publicités avant de pouvoir téléphoner ou de consulter un mail, surtout avec des abonnements facturés au débit ou à la durée. Enfin, Google marche clairement sur les plates-bandes d'éditeurs installés depuis longtemps sur le marché - Symbian et Palm - et de plus récents tels que Microsoft. Or, comme le rappelle IDC, il ne suffit pas d'avoir des ambitions et des moyens pour réussir sur le marché de la mobilité : Microsoft, dont le système est disponible depuis des années et qui a des accords avec 48 fabricants de téléphones portables et 160 opérateurs dans le monde, n'a vendu que 12 millions de téléphones équipés de ses logiciels cette année, dont seulement 10% sont des Smartphones. Création d'une alliance industrielle Avec le lancement d'Android, Google annonce aussi la création d'Open Handset Alliance, organisation qui regroupe des constructeurs de terminaux, fournisseurs de composants et des opérateurs mobiles, prêts à s'investir dans des téléphones équipés d'Android. De grands opérateurs, tels T-Mobile et Sprint aux Etats-Unis, mais également en Chine, au Japon, en Allemagne, en Italie et en Espagne, ont rejoint cette alliance. Mais est-ce le scepticisme affiché par les analystes qui explique l'absence de grands acteurs du marché tels que les deux plus grands opérateurs de téléphonie mobile aux Etats-Unis, AT&T et Verizon, le fabricant Nokia, ou encore Vodafone et Orange en Europe ? Pour l'heure on n'en sait guère plus sur la position de ces acteurs et il faudra attendre le second semestre 2008 pour voir les premiers téléphones basés sur Android destinés au grand public. (...)
(06/11/2007 14:34:00)Symantec achète bien Vontu et entend poursuivre ses rachats
Pressentie depuis une quinzaine de jour, l'acquisition de Vontu par Symantec est désormais confirmée. Pour 350 millions de dollars, le géant de la sécurité va acheter son partenaire spécialisé dans la détection de fuites de données. Sur ce marché juteux, EMC a avalé Tablus, WebSense a acheté PortAuthority et McAfee, après Onigma, s'intéresse de près à SafeBoot, spécialiste du chiffrement et des terminaux de validation d'accès. Symantec, qui utilise déjà les produits de Vontu, les intégrera à ses solutions de sécurisation des terminaux et du réseau. Puis, dans un deuxième temps, il les utilisera dans les solutions d'archivage et de sauvegarde du groupe pour permettre de retrouver plus facilement des données sensibles. Les rachats de Symantec ne s'arrêteront pas là. Son PDG, John Thompson, a déclaré que Symantec allait continuer à procéder à des rachats tout en consacrant par ailleurs 15 % de ses revenus au développement interne de produits. (...)
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