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(09/11/2007 17:36:59)

HP implante les Itanium 2 v 2 dans ses serveurs Integrity

En fidèle supporter du processeur Itanium, dont il écoule à lui seul plus de 85% de la production, HP annonce l'intégration de la version Montvale de l'Itanium 2 à ses serveurs haut de gamme Integrity et Integrity Non Stop. Les processeurs Itanium 2 de cette série 9100 devraient tourner sans anicroche dans les systèmes dotés du jeu de composants Arches dès lors qu'ils tournent sur la version v3 Release 1 d'HP-UX qui vient d'être annoncée. Les 9100 supportent aussi la version 8.4 d'OpenVMS, Windows Server 2003 et les distributions Linux de Novell et de Red Hat. Le chipset Arches se trouve dans les serveurs d'entrée de gamme rx2660, rx3600 et rx6600, dans les milieux de gamme rx7640 et rx8640 ainsi que dans les Superdome haut de gamme et dans serveurs lames BL860c. Ce sont sur les Integrity Non stop, qui en étaient restés à la première génération Itanium, que les Itanium 2 bi-coeurs 9100 auront le plus d'influence. (...)

(09/11/2007 16:48:12)

Mandriva de retour sur les Classmate nigérians

Mandriva pourrait faire son retour sur les Classmate d'Intel commandés par le Nigéria - les PC destinés aux écoles des pays émergents - après avoir été évincé par Windows XP. En août, l'éditeur français Mandriva était choisi pour équiper de sa distribution Linux 17 000 Classmate en partance pour le Nigéria. Mais, la semaine dernière, l'Etat africain surprenait Mandriva en annonçant que les machines seraient finalement livrées avec une version de Windows XP. De quoi irriter François Bancilhon, le patron de l'éditeur. Dans une lettre ouverte adressée le 31 octobre à Steve Ballmer, il écrivait ainsi : « Je suis impressionné, Steve ! Qu'avez-vous fait à ces personnes pour les faire changer d'avis ? C'est clair pour moi, et ça le sera pour tous. Comment appelez-vous ce que vous venez de faire ? Il y a plusieurs noms pour cela, je suis sûr que vous les connaissez bien. » Aujourd'hui, nouveau coup de théâtre. Il semble en effet que le Nigéria ait à nouveau fait machine arrière : Mandriva équipera bien les Classmate, du moins une partie d'entre eux. « Nous continuons avec cette plateforme », confirme ainsi un représentant de l'USPF (Universal service provision fund), l'instance nigériane chargée d'organiser la mise en place du projet consistant à distribuer les portables dans les écoles. Du côté de Mandriva, après la douche froide reçue fin octobre, l'heure n'est pas à l'euphorie. « On essaie encore de comprendre ce qui se passe là-bas, explique François Bancilhon au Mondeinformatique.fr. Une partie des Classmate pourrait en effet rester chez Mandriva. » Loin de crier victoire, le patron de l'éditeur préfère mettre l'accent sur les raisons de ce revirement : « Dans l'équipe nigériane, il y a toujours eu des fans du Libre. Ils pensent que c'est une bonne solution pour leur pays et se battent pour que le choix soit celui du Libre. » De fait, précise François Bancilhon, il existe plusieurs sources de financement gouvernementaux pour le programme Classmate au Nigeria. « Plusieurs personnes ont donc voix au chapitre, dont certaines ont un penchant pour le logiciel libre. » Au-delà du marché nigérian, Mandriva devrait être installé sur les Classmate destinés à un certain nombre d'autres pays. Mais, soucieux de ne pas revivre les mésaventures l'ayant opposé à Microsoft, François Bancilhon préfère rester discret sur ces futures destinations. « Il se passe des choses dans plusieurs autres endroits, confirme-t-il simplement. Notamment dans un grand pays d'Asie et plusieurs autres pays d'Afrique. » (...)

(09/11/2007 13:17:25)

Trimestriels Gemalto : croissance relancée par la mobilité

Gemalto a publié jeudi un chiffre d'affaires en hausse de 6%, (à taux de change constant) sur son troisième trimestre, à 400,6 millions d'euros. C'est la première fois que le fabricant de cartes à puces retourne à la croissance depuis la fusion entre Axalto et Gemplus qui l'a fait naître en 2006. Olivier Piou, directeur général de Gemalto, souligne la bonne offre de produits dans la téléphonie mobile et "des livraisons importantes pour des programmes gouvernementaux. » C'est la branche sécurité qui enregistre la plus forte augmentation (+15%, à 43,4 millions d'euros), justement tirée par le développement des programmes gouvernementaux (+39% grâce au marché des passeports et des cartes d'identité électroniques). L'activité téléphonie mobile progresse, quant à elle, de 5% à 234,2 millions d'euros, « grâce à des offres ciblées et un accent mis sur la valeur ajoutée », indique Gemalto, dans son communiqué. Le chiffre d'affaires de la branche transactions sécurisées est également à la hausse de 7%, à 100,7 millions d'euros. En revanche, l'activité téléphonie publique de Gemalto continue de décliner, et enregistre une baisse de 19% de son chiffre d'affaires pour le troisième trimestre, suite au recul du marché des cartes à mémoire. Cet été, Gemalto a annoncé la suppression de plus de 400 emplois en France, soit environ 12% de son effectif, et la fermeture, d'ici 2008, de son site d'Orléans. (...)

(09/11/2007 10:27:30)

Trimestriels GFI : des revenus dopé par le rachat du Groupe BDT

Le chiffre d'affaires de GFI Informatique a progressé 9,7% au troisième trimestre de l'année, à 159,1 M€. La croissance organique a quant à elle augmenté de 3,9%. Sur l'ensemble des neuf derniers mois, les revenus cumulés de la société spécialisée dans le conseil, l'intégration de systèmes et les infrastructures approchent le demi milliard d'euros (491,1 M€, soit +5,6%). « L'acquisition du Groupe BTD [NDLR : au début du mois d'octobre dernier] renforce le potentiel de croissance de nos activités à forte valeur ajoutée, telles que la Business intelligence, l'intégration d'ERP et les applications bancaires », a commenté Jacques Tordjman, P-dg de GFI. La SSII a par ailleurs confirmé sa capacité à respecter ses objectifs pour 2010, à savoir franchir le milliard d'euros de chiffre d'affaires. En France, les ventes ont augmenté de 13%, « grâce à la transformation de nos offres et de notre organisation », précise la SSII. Le Groupe s'est d'ailleurs donné pour priorité de transposer ce modèle économique à l'étranger. Dans la plupart des pays où GFI est présent, les résultats sont dans le vert (+6,9% de croissance organique en Espagne, +11,9% au Portugal, +13,7% en Allemagne, Benelux et Suisse, perspectives prometteuses au Maroc et au Canada). Seul mouton noir : l'Italie, dont le chiffre d'affaires est en baisse de 18,1% au troisième trimestre. Le Groupe compte y redresser la barre en privilégiant la qualité des clients et des projets. GFI Informatique emploie 9 000 collaborateurs (dont 5 866 en France, soit 913 recrutements depuis le début de l'année) et compte 49 agences en Europe, au Maroc et au Canada. La prochaine assemblée générale de la SSII aura lieu le 14 décembre prochain. (...)

(08/11/2007 17:28:53)

Nominations et fusion lors de la prochaine AG de GFI

La SSII française GFI Informatique va soumettre trois propositions au vote de ses actionnaires, lors de sa prochaine assemblée générale, le 14 décembre prochain. La première concerne la nomination de trois nouveaux membres au sein du conseil d'administration. Deux d'entre eux, Patrick de Giovanni et Gilles Rigal, font partie du fonds d'investissement Apax Partners, principal actionnaire de la SSII. Cette AG permettra également d'entériner (ou pas) le projet de fusion avec la filiale Algoriel, spécialisée dans le conseil et l'ingénierie en sécurité. Enfin, la troisième résolution à débattre porte sur le passage de 65 à 70 ans de l'âge limite du président du conseil d'administration. Le verdict intéressera plus particulièrement Jacques Tordjman, l'actuel P-dg de la société, âgé de 66 ans. GFI Informatique vient de publier les résultats de son troisième trimestre faisant apparaître une croissance de 9,7 % sur son chiffre d'affaires, à 159,1 M€. Sur les neuf premiers mois de son exercice fiscal, la SSII a enregistré un chiffre d'affaires de 491,1 M€, en progression de 5,6 %. (...)

(08/11/2007 16:12:39)

La France, future pépite d'or de l'offshore indien, selon Forrester

Les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à se laisser séduire par les prestations offshore de SSII indiennes (services de maintenance, développement, engineering, implémentation...). Même si, pour l'instant, la majorité d'entre elles trouve plus confortable d'externaliser la gestion de leur service informatique auprès de sociétés compatriotes, voire européennes. C'est ce que révèle une étude publiée par le cabinet d'études américain Forrester. Pour étayer son analyse, ce dernier s'est penché sur le cas de six sociétés de services indiennes parmi les plus en vue : Cognizant, HCL, Infosys, Satyam, Tata Consultancy Services et Wipro. Il a passé au crible l'ensemble de leurs données clés : chiffre d'affaires, stratégie d'investissement, engagement en terme de ressources humaines, et a même interrogé quelques-uns de leurs plus gros clients/prospects. Les conclusions sont « surprenantes » d'après les termes même de l'étude. Si les sociétés de services indiennes s'intéressent depuis des années à l'Europe (notamment en raison de la forte valeur de l'euro), ce qui est plus récent en revanche, c'est leur intérêt grandissant pour la France. A première vue, les chiffres d'affaires réalisés par ces sociétés dans l'Hexagone semblent dérisoires (pas plus de 3% de l'ensemble des revenus enregistrés en Europe, dans le meilleur des cas). Mais ces chiffres ne sont pas révélateurs de la réalité du terrain. Toujours d'après le cabinet d'étude, les revenus des SSII indiennes y sont en constante progression et la France serait même en passe de devenir leur nouvel eldorado. Des sociétés qui s'investissent pour séduire leur clientèle Du côté indien, la raison de cet engouement français est simple. Ces sociétés de services considèrent l'Hexagone comme « une source de revenus encore mal exploitée », contrairement à la Grande-Bretagne, par exemple, qui représente déjà jusqu'à 75% de leurs chiffre d'affaires européen. Forrester pense même que des prestataires comme Cognizant (qui emploie douze personnes à plein temps à Paris), Infosys ou TCS s'apprêteraient à placer le développement du marché français au coeur de leurs priorités. [[page]] D'autres sociétés concentrent leurs efforts sur la France pour des raisons purement logistiques : elles y sont déjà installées. TCS, par exemple, y opère depuis novembre 2006, suite à l'acquisition de 75% du capital de TKS-Teknosoft. De son côté, Wipro a profité de deux acquisitions européennes pour s'y développer rapidement, grâce au portefeuille de clients français apportés par ces rachats. La SSII dispose actuellement de bureaux à Paris, à Lille, ainsi que d'un centre de recherche à Sophia Antipolis. Satyam a, pour sa part, opté pour un roulement du personnel. Quinze collaborateurs sont présents en France, mais changent en fonction des phases des projets en cours. Différences de culture et de langue ne constituent plus une barrière Du côté des entreprises hexagonales, ce sont les niveaux de compétences (jugés élevés), le respect des délais et la compétitivité des tarifs qui remportent les suffrages auprès des DSI. Même les différences culturelles et la barrière de la langue ne représentent plus un obstacle. D'ailleurs la plupart des sociétés de services indiennes mettent un point d'honneur à pratiquer le français. Chez Cognizant par exemple, on dénombre une dizaine de personnes bilingues, et la société a même mis en place un programme d'apprentissage du français. (...)

(08/11/2007 13:27:59)

Trimestriels Cisco : propulsés par la vidéo et l'Asie

C'est la forte augmentation des ventes de routeurs qui a tiré les très bons résultats de Cisco sur son premier trimestre fiscal. Avec un chiffre d'affaires en progression de 17%, à 9,6 Md$, et un bénéfice net en hausse de 37 %, à 2,2 Md$, le fournisseur de solutions réseaux pour Internet a dépassé les prévisions des analystes. Comme John Chambers, PDG de Cisco, le pronostiquait en août dernier, les activités de la société qu'il dirige profitent directement de l'engouement pour les nouvelles technologies multimédia et pour le Web 2.0 (avec, notamment l'utilisation de la vidéo). C'est le cas pour les ventes de routeurs haut de gamme (+28%) qui bénéficient de la demande pour les applications de vidéo, en particulier pour la télévision sur ADSL (IPTV). En comparaison, les ventes de commutateurs (+8% seulement) ont sans doute pâti de l'attente des mises à jour des gammes Catalyst 6500 et 4500, annoncées mardi dernier. Le seul véritable point faible mentionné par John Chambers pour ce trimestre porte sur le marché des entreprises américaines sur lequel les ventes ont moins progressé. Mais l'internationalisation des déploiements compense la faiblesse intérieure : 60% des commandes enregistrées outre-Atlantique chez les grands clients de Cisco sont destinées à des implantations situées hors des Etats-Unis. Quant aux marchés chinois et indien, où le volume des commandes croît d'environ 35%, John Chambers s'attend à ce qu'ils progressent, en moyenne, deux fois plus vite que la moyenne des autres marchés internationaux. Rappelons que Cisco vient d'annoncer qu'il allait investir 16 Md$ en Chine sur les cinq ans à venir. (...)

(08/11/2007 13:22:30)

Un ex-vice-président de Sun explique son départ par la stratégie tout Open Source

La stratégie Open Source de Sun devrait séduire de nouveaux clients, mais elle ne rapportera que d'ici une dizaine d'années. C'est Larry Singer, ancien vice-président de Sun, qui a tenu ce raisonnement lors d'une conférence sur le Web 2.0 à San Francisco. Larry Singer a quitté la société en mars dernier, après plus de quatre ans à divers postes, toujours avec le titre de vice-président. Son départ avait été annoncé à l'automne 2006, quelques mois seulement après la prise de fonction de Jonathan Schwartz. En marge de la conférence, Larry Singer a étayé ses propos : « Le fait est que nous consacrions tout notre temps et notre attention à des choses qui étaient importantes d'un point de vue intellectuel, importantes d'un point vue innovation, mais il était difficile de comprendre comment cela allait générer du chiffre d'affaires pour l'entreprise. » Pour lui, il aurait fallu se focaliser sur les produits constituant le coeur de métier de Sun, à savoir les serveurs, les systèmes de stockage et les stations de travail, afin de satisfaire les clients et engranger des revenus au quotidien, sans attendre un hypothétique retour sur investissement une décennie après. « Il n'existera plus de société dans 10 ou 12 ans si Sun ne redresse pas ses revenus d'ici deux ans. » On se rappelle aussi que le PDG de Sun France, Christian Hiller, avait démissionné à peu près en même temps que Larry Singer, donc peu après l'accession au pouvoir de Jonathan Schwartz. Officiellement, par manque de perspectives d'évolution en interne. A la décharge de Jonathan Schwartz, qui a succédé à Scott McNealy, sa présidence de Sun a coïncidé avec un redressement des résultats. A l'occasion de la passation de pouvoir entre les deux hommes, nous écrivions qu'au cours de ces cinq dernières années, le groupe n'avait pas cessé de publier des résultats nets négatifs ou, au mieux, proches de l'équilibre. Depuis, le groupe annonce des résultats plutôt positifs. (...)

(08/11/2007 12:45:44)

TomTom reprend la main pour l'acquisition de Tele Atlas

Vraisemblablement surpris par la surenchère de Garmin pour l'acquisition du cartographe Tele Atlas, TomTom a relevé son offre de près de 41% pour dépasser celle de son concurrent (de 22%). Le leader européen du GPS propose désormais 30 € par action (au lieu de 21,5 € la première fois) pour un montant global de 2,9 Md€. Le conseil d'administration de Tele Atlas a donc étudié et accepté cette offre puisqu'elle lui est parvenue dans les 5 jours ouvrés suivant la proposition de Garmin. L'offre définitive devra être validée au plus tard fin novembre pour que la transaction puisse se réaliser en fin de l'année. Durant ce laps de temps, Garmin devrait pouvoir revenir à la charge. Mais TomTom s'est ménagé un garde-fou puisqu'il a annoncé un accord immédiat avec certains actionnaires pour l'acquisition de 25,8 millions d'actions représentant 28,3% du capital de Tele Atlas. Le néerlandais est donc assuré d'entrer dans le capital de l'éditeur de carte, ce qui devrait refroidir les ardeurs de Garmin. (...)

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