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(13/11/2007 10:13:38)
IT Forum 07 : la tarification de Windows Server 2008 est fixée
Microsoft poursuit sa conférence utilisateurs à Barcelone, l'IT Forum succédant au TechEd. Ce sont cette fois les administrateurs systèmes qui sont visés, ainsi que l'indique clairement la première annonce, consacrée à Windows Server 2008 : Microsoft a indiqué que le successeur de Windows Server 2003 ne coûterait pas plus cher (l'éditeur promet qu'il n'y aura pas plus de 1% d'augmentation). Cinq versions seront disponibles lors du lancement officiel, le 27 février : Standard (971 $ pour 5 licences clients), Enterprise (3 971 $ pour 25 licences clients), Datacenter (2 971 $ par CPU), Web (469 $), plus une édition pour les systèmes Itanium (2 999 $ par CPU). Ces tarifs ne tiennent pas compte des achats en volume, ni de la technologie de virtualisation Viridian qui, d'ailleurs, porte désormais le nom officiel d'Hyper-V. Hyper-V devrait, comme prévu, faire son apparition environ 6 mois après la sortie de Windows Server 2008. Les tarifs des éditions Standard, Enterprise et Datacenter seront alors revus à la hausse, de 28 $. De même, un hyperviseur standalone sera proposé au prix de 28 $ quelque soit le nombre de processeurs, pour des machines sans Windows. (...)
(12/11/2007 16:56:25)Vista n'est pas la réussite commerciale attendue
Si les bons résultats commerciaux du dernier trimestre de Microsoft sont largement dus aux ventes de Vista (aux distributeurs et aux fabricants de PC, plutôt qu'aux clients finaux), le dernier système d'exploitation tarde à s'intégrer en entreprise. Un an après son lancement, « les sociétés semblent bien en retard sur le planning d'adoption qu'elles annonçaient l'an dernier », estime Michael Silver, analyste chez Gartner. Selon ce cabinet d'études, chaque entreprise aurait de 9 à 12 mois de retard en moyenne sur ce planning. « Ils ont surestimé les capacités des revendeurs à avoir des versions compatibles avec Vista de leurs applications, sous-estimé la difficulté de la migration vers Vista et surestimé l'apport de Vista à leurs business. Au total c'est un déploiement beaucoup plus lent qui s'opère. Nous entendons désormais beaucoup de gens parler de la fin 2008 ou du début 2009 pour le lancer. » Pour Michael Cherry, du cabinet Decisions on Microsoft, ce non-empressement s'explique aussi par le changement de matériel indispensable pour passer à Vista : « Vista est un produit dédié aux nouveaux matériels. Je pense qu'il faut faire attention à ses besoins matériels. » Il recommande d'ailleurs de ne pas changer de système d'exploitation sans changer de poste de travail. Pour autant, il est trop tôt pour qualifier Vista d'échec commercial. Se référant au passage de Windows Millenium vers XM, Michael Silver note que « quand vous venez d'un OS qui n'est pas parfait, vous ne faites pas attention aux petites imperfections. Mais quand vous quittez quelque chose d'aussi stable qu'XP [sic] pour une plate-forme instable, le moindre problème est amplifié. » Ce qui explique pourquoi certaines entreprises attendent la sortie du premier Service Pack pour Vista avant d'entamer leurs migration. (...)
(12/11/2007 16:49:42)IBM va racheter Cognos pour 5 milliards de dollars
Un des derniers grands acteurs du décisionnel disparaît à son tour : comme nous l'avons signalé tout à l'heure, le conseil d'administration de Cognos a accepté une offre de rachat de la part d'IBM, pour environ 5 Md$, soit une transaction nette de 4,9 Md$. Si les autorités de régulation de la concurrence et les actionnaires approuvent l'accord, le rachat devrait être finalisé au premier trimestre 2008. « Cela a beaucoup de logique, commente Sébastien Ricard, directeur du département BI (business intelligence) de la SSII Keyrus. IBM avait toute la partie infrastructure : transport d'information et qualité des données avec Ascential, plus leurs bases de données, mais il leur manquait un frontal client. Maintenant, leur offre décisionnelle est complète. » Cognos devrait être intégré comme un groupe autonome au sein de la division Information Management d'IBM. En revanche, l'éditeur perdra dans le processus ce qu'il soulignait naguère comme des atouts : son indépendance vis à vis des fournisseurs de bases de données et sa focalisation sur un seul créneau. Le 1er mars dernier, jour de l'acquisition d'Hyperion par Oracle, Cognos s'était en effet empressé de faire valoir ces arguments. Il est probable qu'IBM va essayer de vendre une plateforme complète, ce qui réduira le choix des clients, « mais présentera aussi des avantages », explique Andreas Bitterer, vice-président de Gartner Research. « L'intégration sera à la charge du fournisseur, et non plus de la responsabilité du client. » IBM reste absent du marché émergent de la « Web Intelligence » La fusion de Cognos dans l'offre IBM représente aussi une épine dans le pied de HP, partenaire de Cognos, et dont on subodore les ambitions sur ce marché de la BI. « On sait que Mark Hurd [le patron de HP, NDLR] vient de NCR, et [[page]]qu'il connaît très bien ce domaine », indique Andreas Bitterer, qui cite Qliktech, Actuate ou Microstrategy comme des cibles pour un éventuel rachat - sachant que SAS Institute est une entreprise non cotée, et que son propriétaire n'a a priori aucune intention de vendre. Ce rachat positionne IBM directement face à SAP, Oracle et Microsoft, qui ont chacun de leur côté fait leurs emplettes et/ou développé leur offre décisionnelle. De fait, après le rachat d'Hyperion par Oracle en mars dernier et le rachat de Business Objects par SAP en octobre, cela signe la fin du marché de la BI tel qu'on le connaissait. « Mais il y a des acteurs émergents à ne pas négliger, note Sébastien Ricard. La BI sur le Web, ou Web Intelligence, est un marché qui se dessine et les quatre grands en sont absents. » Des acteurs comme Verity, Exalead, Fast ou Autonomy émergent sur ce créneau. Et là aussi, la consolidation commence : il y a deux semaines, Omniture rachetait Visual Sciences pour 394 M$, afin de se préparer à l'explosion du marché de « l'optimisation du business en ligne ». (...)
(12/11/2007 16:48:29)Forum des pôles de compétitivité : 5000 PME impliquées
En progrès mais peut mieux faire : les états-majors des pôles de compétitivité ont tous à coeur d'illustrer le rapprochement tripartite entre les grands comptes, les PME et le monde de la recherche, par la percée de dizaines de projets R&D labellisés. Et subventionnés. Le forum qui s'est tenu le 9 novembre à Sophia Antipolis a permis à la direction générale des entreprises (DGE) de souligner, au delà des deux milliards d'euros déjà mobilisés incluant fonds privés et publics (423 projets soutenus par le Fonds unique interministériel et Oseo, 242 projets sélectionnés par l'Agence nationale de la recherche), l'importance à accorder à l'accompagnement des PME dans cette dynamique de collaboration. A commencer par les aspects juridiques (propriété intellectuelle, accords de confidentialité et de consortium) et fiscaux qui, dès l'émergence d'une idée de projet, doivent être pris en compte. « Pensez au Crédit Impôt-Recherche », assénait Fabrice Leroy, responsable de la mission Pôles de compétitivité au Minefe (ministère de l'Economie, des Finances et de l'Emploi). La loi de finances 2008 prévoit en effet pour les PME une remise d'impôt de 30% jusqu'à 100 ME investis en R&D (de 50% la première année). Plan d'action spécial PME, confrontation PME et grands comptes, projets flash à réaliser dans l'année, prospecteurs allant sur le terrain repérer les projets potentiels, mobilisation des instances professionnelles (réseaux existants de PME) : les efforts déployés par les instances dirigeant les pôles pour intensifier les contacts (et plus si affinités) entre PME et grands services de R&D sont bien réels. Pour autant, dans l'afflux de projets qui a motivé plus de 5000 PME à rejoindre les pôles les concernant, les failles de l'organisation du tissu économique national et régional n'en sont que plus apparentes. Ont été évoqués lors du 3ème forum des pôles organisé par la Fondation Sophia Antipolis : d'une part, l'insuffisance du positionnement à l'international de ces initiatives de collaboration R&D, qui induit, notamment, que moins d'un dossier sur sept soumis à un guichet européen (dont le programme-cadre, PCRD) décroche une subvention ; d'autre part, l'éternel constat de sous-capitalisation des PME. Certains bons projets n'ont pu être retenus lors des appels du fonds interministériel, du fait qu'ils impliquaient une mise de fonds disproportionnée par rapport aux fonds propres des PME concernées. La prise de relais - par un capital-risque dûment intéressé par cette émergence de projets - est encore loin d'être assurée. (...)
(12/11/2007 16:35:57)Dell revoit ses gammes et la philosophie de ses serveurs
La réorganisation de la taxinomie de l'offre serveur de Dell illustre des changements plus profonds que la simple prise en compte des derniers processeurs. Les nouvelles gammes de serveurs de Dell autour de trois facteurs de forme selon la lettre R (pour rack), T (pour tour) et M (pour modulaire). Ces lettres sont suivies par trois chiffres. Le premier, situé entre 1 et 9 indique la puissance (9 pour un quadriprocesseur, 1 pour un monoprocesseur), le second indique sa "génération" (son âge) et le troisième, soit un 0 soit un 5, permet de savoir si la machine est animée par un processeur Intel (0) ou AMD (5). C'est ainsi que le serveur le plus puissant de Dell, qui succède au PowerEdge 6850, et un PowerEdge R900, animé par quatre processeurs Intel Xeon 7350. Dès le lancement de cette taxinomie, Dell s'offre une incartade. Les machines 1950, 2950 et 2900 sortent du rang. Elles sont animées par des Xeon 5400 quadri-coeur de dernière génération. Dell en profite pour annoncer la version 5.3 d'OpenManager. Le constructeur la décrit comme capable de mieux gérer l'énergie et de prendre en compte la virtualisation des systèmes. (...)
(12/11/2007 16:30:40)Hausse de 72% des investissements dans l'Internet en France
Comme chaque semestre, Chausson Finance vient de publier un rapport recensant les sommes investies par 51 sociétés de capital-risque auprès des entreprises françaises. Pour le premier semestre 2007, cette somme s'élève à 397 M€, soit une progression de 7% par rapport à la même période en 2006. Les 278 entreprises concernées ont ainsi bénéficié d'un investissement moyen de 1,4 M€. L'étude souligne également que ce montant est le plus élevé enregistré au cours d'un premier semestre depuis l'année 2000, où les 667 M€ avaient été atteints. Santé, logiciels et Internet sont les secteurs les plus prisés Les secteurs qui ont la côte auprès des fonds de capital-risques sont ceux de la santé (98 M€, soit 25% des montants investis ce semestre), les éditeurs de logiciels (90,5 M€, soit 23%) et Internet et le e-commerce (70 M€, 18% des investissements et surtout une progression de 72%). Avec seulement 33 M€ recueillis, le secteur des télécoms poursuit sa chute. Un nouveau secteur fait son entrée dans l'indice Chausson, il s'agit des entreprises exerçant une activité dans le domaine des énergies renouvelables (éoliennes, biomasse, photovoltaïque...). Elles sont six au total, et afin de tenir compte de cette évolution, l'indicateur Chausson a d'ores et déjà prévu d'intégrer une catégorie baptisée « Cleantech » à sa prochaine étude semestrielle. Autre observation intéressante à noter, la progression des investissements dans le secteur des entreprises dites du « seed » (à savoir en phase d'amorçage ou de mise au point du produit). Même si elles restent en troisième position (12% des investissements), elles affichent une croissance de 77%, ce qui peut traduire une confiance grandissante des sociétés de capital-risques. Cette catégorie concerne 29 sociétés. Elles ont bénéficié d'un montant total de 48 M€, provenant de 14 fonds d'investissement différents (trois de plus que l'an dernier). Des investissements disparates Les dix premières sociétés réalisent à elles seules plus de 50% des investissements. Le montant des financements est extrêmement variable d'un fonds à l'autre : entre 0,1 M€ pour le plus modeste et 50,9 M€ pour le plus actif. C'est encore une fois Sofinnova qui remporte la palme d'or : non seulement la société reste le plus gros investisseur (pour la neuvième fois au cours des dix derniers semestres), mais c'est aussi celle qui a réalisé le plus grand nombre d'investissements (29 en tout), suivi de près par 123Venture, avec 23 projets. (...)
(12/11/2007 15:17:53)Supinfo s'allie à Novell pour certifier ses étudiants
L'école supérieure d'informatique Supinfo et Novell, éditeur de solutions Open Source, ont annoncé un partenariat mondial censé encourager les étudiants à passer la certification Novell Certified Linux Professional, distribution du système libre GNU/Linux. Cet accord devait ainsi permettre à 10 000 étudiants de Supinfo - en France et dans le monde - de faire valoir leurs compétences par une certification Linux, d'ici à cinq ans. Le programme de cours de Supinfo intégrera, dès la première année, une trentaine d'heures de cours dédiées aux technologies Novell (Prépa 1 et ingé 1). La première promotion formée sur Novell Certified Linux Professionnal sera diplômée d'ici à trois ans, au terme d'un cursus dispensé par des formateurs certifiés NCI (Novell Certified Instructor). (...)
(12/11/2007 14:38:27)IBM va racheter Cognos pour 4,9 Mds de dollars
IBM et Cognos se sont accordés sur une transaction d'environ 5 milliards de dollars pour faire tomber l'éditeur canadien d'outils décisionnels dans l'escarcelle de Big Blue. Les actionnaires et les autorités de régulation de la concurrence doivent encore se prononcer sur la transation. En cas d'accord, elle devrait se clore au premier trimestre 2008. Lemondeinformatique.fr reviendra sur le sujet dans la journée. (...)
(09/11/2007 17:44:05)Peu de monde autour du gâteau de l'anniversaire de l'union Novell-Microsoft
A l'heure du premier anniversaire de l'alliance Microsoft et Novell, les deux sociétés claironnent un bilan au-delà de leurs espérances sans parvenir à dépasser le niveau de la rhétorique habituelle des communiqués de presse. Bien sûr, il se trouve un analyste (du Gartner group) pour s'enthousiasmer sur l'accueil par les utilisateurs de l'offre combinée Suse / Windows, mais il est bien le seul. Chez Microsoft, on s'acharne à vouloir utiliser cet accord comme épouvantail. Soit les utilisateurs Linux optent pour Novell Suse, soit ils s'exposeraient aux foudres des juristes chargés de défendre les supposées propriétés intellectuelles que Microsoft menace de revendiquer sur les autres distributions Linux. La vacuité de l'argument semble ne pas avoir échappé aux utilisateurs. Microsoft n'en a trouvé qu'une trentaine à citer dans son communiqué. Toutefois, les deux sociétés ont souligné qu'elles continuaient à étendre leur collaboration technique. Les domaines au centre de leurs travaux dans leur laboratoire commun qui aura mis un an à se mettre en place sont la virtualisation, l'administration, les annuaires et la gestion des identités fondés sur les standards et la compatibilité des formats de documents. (...)
(09/11/2007 17:43:25)L'adoption du SaaS court-circuite les DSI, selon Gartner
Les trois quarts des applications dites « SaaS », c'est-à-dire fournies comme un service sur Internet, ont été achetées par les directions opérationnelles plutôt que par les directions informatiques, a alerté Ben Pring, vice-président recherche de Gartner, à l'occasion du Symposium ITxpo 2007, organisé par le cabinet d'analyse à Cannes (4-8 novembre). Ben Pring y a exhorté les directeurs informatiques à s'impliquer dans la décision d'achat des solutions SaaS. « De toutes façons, le SaaS entre dans vos entreprises que cela vous plaise ou non », a-t-il mis en garde. Si le modèle SaaS a gagné du crédit, c'est notamment parce qu'il attaquait le traditionnel modèle client/serveur. « Il y a quelques vérités gênantes dans notre industrie », a asséné Ben Pring, en qualifiant notamment de « coupable secret du secteur informatique » le nombre important de logiciels achetés par les entreprises, mais inutilisés. Selon lui, par exemple, 65% des licences de logiciels Siebel vendues avant qu'Oracle ne rachète l'éditeur « n'ont jamais été exploitées » dans les grandes structures. Ben Pring rappelle aussi la disproportion du ratio 1/10 indiquant que pour un dollar dépensé dans l'achat des licences, les entreprises en dépensaient dix dans la mise en oeuvre de l'application. Le mode SaaS a apporté un autre choix dans ce monde de « dysfonctionnement profitable », estime l'analyste de Gartner. Et « Salesforce.com a fourni la preuve que ce concept fonctionnait ». Miser sur une plateforme pour recueillir les vrais bénéfices du SaaS Tout en rappelant les nombreux atouts du mode SaaS (la flexibilité, le coût limité aux seules fonctions que l'on utilise, l'absence de maintenance, le déploiement rapide...), il rappelle aussi que la médaille a un revers. Les licences ne constituent plus un actif et les directeurs informatiques ont moins de contrôle sur les applications. Les problématiques de sécurité et les relations avec le fournisseur de l'application peuvent aussi poser des problèmes, de même que l'intégration avec le système d'information interne qui « continuera à être très compliqué », pronostique Ben Pring. Bien que l'on en sache encore peu sur les implications à long terme du modèle SaaS, cette formule peut finalement s'avérer plus coûteuse dans le temps que le modèle traditionnel, comme peut l'être le leasing d'une voiture comparé à son achat. Mais le constat que, quoi qu'il puisse advenir, les entreprises se mettent effectivement au SaaS rend essentielle l'implication des responsables informatiques dans la décision. Leur expertise est nécessaire pour retenir une solution SaaS qui combine à la fois une interface conviviale avec une infrastructure sous-jacente « très robuste et très industrielle », juge Ben Pring. Enfin, l'analyste du Gartner pense que les décideurs doivent miser sur une plateforme SaaS plutôt que sur des applications indépendantes. L'objectif étant là de faciliter l'ajout d'applications fournies par d'autres éditeurs en engageant le minimum d'intégration. « C'est en misant sur une plateforme que l'on récoltera les véritables bénéfices du modèle SaaS », conclut-il. (...)
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