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(13/11/2007 17:30:50)
Scott McNealy, VRP de Sun à Paris
Désormais VRP de luxe pour Sun, Scott McNealy parcourt le monde à la rencontre des grands clients, grands comptes et administrations. A l'issue de son étape parisienne, le cofondateur et président du conseil d'administration de Sun a pris un peu de temps pour rencontrer la presse ce matin avant de partir pour l'Allemagne. Louant le travail « fabuleux » de Jonathan Schwartz à la tête du groupe, Scott McNealy a qualifié de stupides les propos de Larry Singer, un ancien vice-président du groupe qui expliquait récemment qu'il aurait fallu se focaliser sur les produits constituant le coeur de métier de Sun, afin de générer du revenu, plutôt que d'ouvrir du code logiciel et en attendre un retour sur investissement des années après. Pour Scott McNealy, « on ne peut ignorer l'avenir ». Il faut créer une communauté permettant de rester sur le devant de la scène, et préparant ainsi de futurs contrats - « en vendant des serveurs, du stockage, des commutateurs, des services... c'est ainsi que nous monétisons nos efforts ». Faisant référence aux derniers résultats du groupe, le « chairman » de Sun explique d'ailleurs que « les chiffres parlent d'eux-mêmes ». Un autre volet de la stratégie de Sun repose sur la virtualisation. Et pas simplement celle des systèmes d'exploitation sur les serveurs, insiste Scott McNealy, qui explique que Sun exploite déjà ce concept dans de nombreux domaines, dont les réseaux. Néanmoins, il a rappelé l'accord récent entre Sun et Microsoft, afin de faire tourner Solaris sur Windows et Windows sur Solaris « sans avoir besoin d'un VMWare à 10 000 dollars par processeur ». Et il a invité son auditoire à attendre le discours de Jonathan Schwartz sur Oracle OpenWorld (qui se tient en ce moment à San Francisco) demain pour d'autres annonces liées à la virtualisation. Visiblement attiré par le côté matériel de Sun, Scott McNealy a enfin mis en exergue la façon dont le groupe tente d'être 'vert' dans toutes ses démarches. Ainsi, le processeur Sparc consommerait « le moins de watts par thread », et les entreprises désireuses d'investir dans un centre de serveurs auraient tout intérêt à considérer la 'Blackbox' de Sun : un container empli de serveurs en racks, où « la circulation d'air est optimisée », précise Scott McNealy, car le flux d'air frais « va directement sur le processeur ». Résultat : une ventilation « 20% plus efficace », et donc autant d'économies sur la facture d'électricité, et un effort de plus contre le réchauffement climatique. (...)
(13/11/2007 16:55:41)Administration : Microsoft étoffe sa suite Desktop Optimization Pack
A entendre Microsoft, sa suite d'outils d'administration des postes clients, le Microsoft Desktop Optimization Pack (MDOP) vole de succès en succès. Cet ensemble d'outils, qui avait déjà établi un record en juin dernier avec 1,5 million d'exemplaires vendus en six mois, viendrait de passer la barre des trois millions. Une performance d'autant plus remarquable que seuls les adhérents à la controversée Software assurance peuvent y avoir droit. Il est vrai que MDOP est la résultante d'une razzia de Microsoft parmi les éditeurs des meilleurs outils d'administration pour les parcs micros sous Windows. Microsoft a présenté les bêtas suivantes : - Microsoft Application Virtualization 4.5. Promis pour l'été prochain, cette première version maison du logiciel SoftGrid Application Virtualization de Softricity - Diagnostics and Recovery Toolset (DaRT) 6.0. Au printemps prochain, cet outil supportera les versions 32 et 64 bits de Vista et de Server 2008. Par ailleurs, Asset Inventory Service (AIS) 1.0 est proposé aux clients de MDOP pour les aider à réaliser l'inventaire des logiciels installés. Rappelons que Microsoft avait pris pour (mauvaise) habitude de ne considérer comme valables que les inventaires logiciels réalisés avec ses propres outils. (...)
(13/11/2007 16:32:44)Steria revoit le financement de Xansa
Sous pression (chute du titre, turbulences économiques), Steria se voit dans l'obligation de réviser sa stratégie de remboursement de Xansa, une SSII britannique acquise fin juillet, dont le montant total s'élève à 680 M€, et de la décliner en deux volets. Sur la dette restante (350 M€), la SSII a décidé d'augmenter son capital de 200 M€. Les actionnaires historiques voient ainsi passer leur participation au capital de Steria de 16 à 11%, mais bénéficieront de droits préférentiels de souscription. Les 150 M€ restants seront transformés en « obligations hybrides », (c'est-à-dire en titres remboursables d'ici 2013). François Enaud, gérant du groupe Steria, se veut confiant : « cette opération de refinancement, qui constitue la dernière étape du processus d'acquisition de Xansa, permettra au groupe de développer l'un des business models les plus avancés du secteur européen des services informatiques ». La société compte par ailleurs sur Xansa pour développer son activité de BPO (externalisation des processus métier) et également exploiter la plate-forme offshore indienne de cette dernière, déjà éprouvée en Grande-Bretagne, et dans d'autres pays européens, notamment en France, où seize projets sont actuellement en cours. Cette opération offshore devrait permettre à la SSII de réaliser 12 M€ d'économie en trois ans. (...)
(13/11/2007 14:55:01)IT Forum 07 : Microsoft entretient l'attente de Ws Server 2008 et d'Hyper-V
Les équipes de Microsoft doivent encore chauffer la salle quelques mois avant l'arrivée sur scène de Windows Server 2008 et de l'hyperviseur Viridian. D'ici là, elles distillent détails techniques, commerciaux et marketing. L'IT Forum de Barcelone a été l'occasion d'annoncer les prix de Windows Server 2008 qui sera le premier de cette ligne produit à être livré en standard en 64 bits (voir lien ci-dessous). Sa disponibilité est maintenue pour fin février- début mars 2008. Quant à Viridian, on apprend que cet hyperviseur s'appellera Hyper-V lors de sa sortie toujours prévue à la fin du premier semestre 2008. Hyper-V bénéficiera de son retard pour être totalement optimisé pour les derniers processeurs x86 64 bits (alias x64) d'Intel et d'AMD et leurs extensions. Chez Microsoft, on insiste sur sa structure en "micro noyau" qui le différencie d'ESX de VMWare. "Tout comme Xen, Hyper-V n'assure que la gestion des ressources processeurs et mémoire, explique Alain Le Hégarat, chef produit Windows Serveur pour la France. Il n'est pas encombré par la gestion des pilotes qui est confiée à chaque machine virtuelle." Hyper-V sera livrable avec toutes les versions de Windows Server 2008 mais aussi seul, sous l'appellation Hyper Server-V au prix très très agressif de 28$. Directement concurrent d'ESX de WMWare, cet Hyper Server-V s'adressera à tous ceux qui exploitent déjà des licences Windows et/ou évoluent en environnements hétérogènes. Outre Ws Server 2003 et 2008, Hyper Server-V pourra accueillir les principales distributions Linux (Red Hat, Suse) et Solaris. Pour démontrer l'intérêt du marché pour l'approche de Microsoft, Alain Le Hégarat cite des clients français à la pointe des technologies maison de virtualisation, comme le CHU de Rennes, la RATP, le groupe Accor et in Vivo. Face à l'offre mature VMWare, Microsoft ne peut qu'expliquer qu'il est urgent d'attendre. Dans sa course poursuite avec VMWare, Microsoft joue aussi la carte de l'administration. De l'avis général, dans une salle machine simplifiée et optimisée grâce à la virtualisation, c'est autour de l'administration que se cristallise toute la complexité. Microsoft agite comme un panache blanc son System Center et ses derniers outils pour gérer des environnements virtuels (voir lien ci-dessous). Le hic, c'est que le System Center capable d'administrer des environnements hétérogènes n'arrivera qu'à la suite d'Hyper Server-V. Encore six mois à tenir. Au moins. (...)
(13/11/2007 12:24:45)Avec Nexen, Alter Way se dote d'une brique hébergement
La SSLL Alter Way annonce le rachat de Nexen Services, une société spécialisée dans l'hébergement Open Source (applications critiques, comme celles liées au e-commerce), pour un montant non communiqué. Il s'agit là de la quatrième acquisition de la société en l'espace de quelques mois (après Ingeniweb, ECL IP'S Software et Solinux, en juillet dernier). « L'arrivée de Nexen au sein de notre groupe nous permet de proposer à notre clientèle une offre de services complets, de la gestion de contenu à l'infogérance, en passant par le management et l'hébergement, le tout 100% en Open Source », détaille Philippe Montargès, président et co-fondateur de la société. Nexen Services apporte également à la SSLL un portefeuille de quelque 250 clients situés dans les médias et de la presse, un secteur qu'Alter Way n'adressait pas jusqu'à présent. La direction d'Alter Way a par ailleurs précisé qu'elle n'excluait pas l'éventualité de procéder à une cinquième acquisition au début de l'année 2008. « Nous souhaitons nous doter d'expertises en matière de GED (gestion électronique des documents) et étendre notre couverture nationale », a ajouté le président d'Alter Way (pour le moment, la SSLL est essentiellement présente en région parisienne et dans la Somme, via Solinux). Dans ce but de croissance organique, la société compte réaliser une deuxième levée de fonds d'ici l'été 2008 (la première levée lui avait rapporté 2 M€ en février 2008). Du côté de Nexen Services, ce rapprochement permet à la société d'élargir sa palette d'expertises techniques et de renforcer sa présence auprès des grands comptes. Créé en juillet 2006, Alter Way emploie actuellement 65 personnes et devrait réaliser un chiffre d'affaires de 5 M€ en 2007. La société espère doubler ce chiffre en 2008. (...)
(13/11/2007 11:55:38)Integration World 2007 : Software AG se dit à l'abri d'une OPA
A l'occasion de l'édition 2007 d'Integration World, Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG, a souhaité mettre l'accent sur la robustesse de son groupe en rappelant que dans un contexte de concentration acerbe - avec Oracle qui s'est porté acquéreur de BEA -, Software AG était à l'abri d'une OPA hostile. « 30% de Software AG appartient à une fondation financée par Software AG. Nous sommes protégés contre un rachat hostile. C'est très important pour nous car nous sommes en voie de consolidation. » Et d'ajouter, un brin fanfaron : « Nous avons le potentiel de devenir aussi gros que SAP », en se basant sur l'évolution de son compatriote allemand. Qui réalise deux fois et demi le CA annuel de Software AG et WebMethods en un seul trimestre. Si Karl-Heinz Streibich n'exclut pas de petits rachats notamment pour compléter le portefeuille technologique, il prétend ne pas pouvoir prédire une importante opération de croissance extérieure. A l'image du rachat de WebMethods. « Software AG est animé par quatre leviers de croissance : optimisation des ventes, expansion géographique, son réseau de partenaires et enfin les acquisitions. Mais ce dernier point n'est que le quatrième levier. WebMethods a été un gros rachat. Mais vous ne pouvez pas les prévoir. Cela s'est présenté, nous l'avons fait et réalisons une intégration réussie [...]. Oui nous pourrions réaliser de grosses acquisitions, mais cela ne peut pas être prévu. Une chose est claire. La fusion avec WebMethods est idéale pour Software AG en termes de stratégie, de portefeuille technologique et de savoir-faire. Il sera très difficile de trouver une acquisition importante aussi idéale. » Tout en confirmant que Tibco, un des ses principaux concurrents sur le marché avec IBM, n'est pas une cible pour le groupe. (...)
(13/11/2007 11:39:29)OpenWorld : applications composites et virtualisation de serveurs
Pas moins de 42 000 personnes se sont enregistrées cette année pour participer à OpenWorld, la conférence utilisateurs qu'Oracle tient à San Francisco, du 11 au 15 novembre. Pour l'occasion, l'éditeur n'a pas hésité à couper à la circulation automobile une portion de la très passante rue Howard, qui jouxte le Moscone Center, afin d'y planter d'immenses tentes. Lundi matin, devant un auditoire de quelque 8 000 participants, le président Charles Phillips a dévoilé les premières annonces, principalement concentrées sur l'intégration entre applications et sur la toute prochaine disponibilité d'une offre de virtualisation de serveurs. Baptisée Oracle VM, celle-ci exploite une partie de la technologie Open Source de Xen. Téléchargeable gratuitement à partir du 14 novembre, Oracle VM est destinée à agréger les différentes ressources informatiques disponibles. Le produit fonctionne avec une grande partie de l'offre applicative d'Oracle : les progiciels de gestion intégrés E-Business Suite versions 11.5.10 et 12, PeopleSoft Enterprise 9 .0, Oracle Siebel CRM 8, ainsi que l'offre décisionnelle Hyperion 9.3.1. Cette solution de virtualisation s'utilisera avec les bases de données version 10.2.0.3 et 11.1, le serveur d'application maison (v.10gR2 et R3), ainsi qu'avec la console d'administration Oracle Enterprise Manager. Elle s'accompagne d'une offre de support annuelle 24x7 tarifée à 499 $ jusqu'à deux processeurs et à 999 $ pour un nombre illimité de processeurs. Quant aux annonces portant sur l'intégration, elles étendent aux partenaires la portée de AIA (Application Integration Architecture), ensemble d'outils pour constituer des applications composites qu'Oracle a annoncé en avril dernier. Rappelons qu'AIA fournit des packs de processus prêts à l'emploi conçus pour relier entre eux des modules fonctionnels du catalogue d'Oracle et, même, d'offres tiers. L'éditeur a également présenté des packs de processus pré-établis destinés à faciliter l'intégration entre des applicatifs Oracle et SAP pour les entreprises exploitant les deux offres. Parmi les packs déjà disponibles figurent « Siebel CRM to SAP », « Agile PLM to SAP », « Hyperion to SAP », « Oracle Utilities to SAP » (pour les fournisseurs d'énergie) et, enfin, « Oracle communications Billing and Revenus Management to SAP », destiné aux opérateurs de télécommunications utilisant l'offre de facturation d'Oracle. Larry Ellison célèbre les trente ans d'Oracle La veille, c'est Larry Ellison lui-même, co-fondateur d'Oracle en 1977, qui a ouvert l'édition 2007 d'OpenWorld. Pour les trente ans de sa société, il a relaté par le menu, facétieusement, les multiples péripéties qui ont émaillé sa création. La soirée était dédiée à Bob Miner, autre co-fondateur (avec Ed Oates et Bruce Scott), mort en 1994. Larry Ellison a expliqué comment il avait fait le siège du domicile de Bob Miner, pendant des jours, afin de le convaincre de fonder une structure pour développer un logiciel commandé par Precision Instruments. Un premier contrat, signé à un tarif trop bas par les novices qu'ils étaient alors. La base de données fut ensuite conçue à l'occasion d'un contrat avec la CIA, première occasion de mettre un costume pour les nouveaux entrepreneurs ou « au moins, des pantalons », a plaisanté Larry Ellison. Le fondateur a aussi narré les doutes de Bob Miner sur la nécessité d'embaucher un commercial ou encore le recrutement, au poste de directeur financier, du livreur de pizzas qui les sustentaient lors des longues soirées de travail. (...)
(13/11/2007 09:30:48)La publicité en ligne, un marché convoité mais limité
A l'occasion du Forum des médias, qui s'est déroulé ce week-end à Monaco, Maurice Levy, patron de Publicis, a mis en garde les annonceurs contre l'engouement du marché publicitaire sur Internet. D'après le Financial Times, « beaucoup trop de gens élaborent des projets basés sur la publicité en ligne. Ils pourraient être déçus, car il n'y a pas assez d'argent pour tout le monde », a déclaré le patron du premier groupe publicitaire français. En d'autres termes, le web 2.0 pourrait bien connaître le même avenir que l'Internet des années 1990-2000. Depuis quelques mois, les ténors du secteur multiplient les investissements dans la publicité en ligne. Microsoft a injecté 250 M$ dans Facebook. AOL a racheté Quigo pour améliorer sa régie publicitaire. MySpace, Yahoo puis Facebook se sont dotés d'outils de publicité comportementale. (...)
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