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(11/10/2007 15:48:03)

La stagnation des budgets informatiques se confirme pour 2008

Selon une étude du cabinet Goldman Sachs auprès de 100 décideurs d'entreprises du Fortune 1000, la réduction des coûts serait passée en un an de la 20e à la 7e place dans la liste des priorités que se sont fixées les entreprises. 40% des décideurs interrogés estiment en effet que leur budget informatique pour 2008 sera équivalent à celui de 2007, 30% prévoit une augmentation inférieure à 5% et les 30% restants envisagent entre 5% et 15% d'accroissement. Pour Goldman Sachs, les dépenses informatiques porteront sur les six principaux pôles d'intérêt, à savoir la Buisiness Intelligence, la virtualisation des serveurs, la sécurité, l'intégration d'applications, la consolidation des serveurs et enfin les solutions autour des progiciels de gestion intégrés. D'autres tendances apparaissent également, dont un réel intérêt pour les architectures SOA, les solutions logicielles de stockage, le client léger et les applications hébergées, synonymes de réductions des coûts. A l'inverse, la VOIP et les consolidations de centres de calcul ou encore la migration vers Vista, la dernière version d'Office ou les solutions Open Source ne semblent pas faire partie des priorités des entreprises. « Malgré les études relativement positives sur l'adoption d'Enterprise Linux de Red Hat, il semblerait que les entreprises restent frileuses quant aux solutions Open Source ; ce qui pourrait signifier que les revenus des acteurs de l'Open Source dans les secteurs du middleware, des bases de données et des applications resteront assez limités », estime le rapport. (...)

(11/10/2007 13:12:39)

Andy Green, nouveau patron de LogicaCMG

La SSII britannique LogicaCMG vient de nommer son nouveau patron. Il s'agit d'Andy Green, venu de chez BT, et qui prendra ses fonctions de CEO à partir du 1er janvier prochain. Il succède ainsi à Martin Read, qui a quitté l'entreprise depuis environ un mois, et à Jim McKenna qui occupait la fonction de président du conseil d'administration par intérim. D'après l'agence de presse Reuters, cette annonce aurait fait gagner plus de 10 % au titre LogicaCMG à la bourse de Londres. Avant d'intégrer LogicaCMG, Andy Green était membre du conseil d'administration de l'opérateur télécoms BT, et jusqu'à présent, responsable de la stratégie et des opérations. Sous sa conduite, BT a pu faire augmenter son chiffre d'affaires (à 9 Md £ ) de même que ses bénéfices. Cette nomination intervient un jour après la prise de fonction officielle de Patrick Guimbal au poste de président d'Unilog (LogicaCMG). (...)

(11/10/2007 10:39:38)

Oracle se renforce dans la gouvernance

Oracle annonce le rachat de LogicalApps, spécialiste de la gestion automatisée des risques, des politiques de conformité et de la gouvernance, pour un montant non communiqué. Cette acquisition doit renforcer la mise en place de politique de conformité en temps réel, indique l'éditeur dans un communiqué. Très axée gouvernance, l'offre de LogicalApps permet notamment l'implémentation automatisée de politiques de contrôle dans la gestion des processus métier ainsi que dans les transactions. Comme par exemple, la mise en place de rôles et privilèges (SoD - segregation of duties) dans la gestion des applications. Elle autorise également l'évaluation et le reporting des risques. Oracle rappelle que la solution de LogicalApps est déjà optimisée pour ses applications, et possède "plusieurs centaines de déploiements actifs". La transaction, encore sujette à l'approbation des actionnaires, devrait être finalisée d'ici à novembre. (...)

(11/10/2007 09:38:32)

Les utilisateurs de SAP craignent une migration vers SAP ERP

Lors de la convention annuelle 2007 de l'USF, club des utilisateurs francophones de SAP, une étude réalisée par cette association, SAP et Bearing Point sur la migration vers SAP ERP a été publiée et commentée. Face à la fin de la maintenance standard de SAP R/3 au 1er janvier 2007 et celle de la maintenance étendue au 1er janvier 2009, cette migration semble nécessaire mais pas forcément si évidente dans un paysage très conservateur. Rappelons tout d'abord que SAP ERP est l'actuel nom commercial de l'offre qui était jadis connue sous la dénomination « mySAP ERP 2005 - ECC6 ». Le propre de cette version majeure de SAP est de remplacer SAP R/3 en adoptant une nouvelle architecture technique orientée services (SOA) au-dessus de la plateforme middleware Netweaver. Réalisée auprès d'adhérents de l'USF, l'enquête se base sur 89 réponses à un questionnaire et une dizaine d'interviews, la plupart des répondants étant de niveau DSI ou en charge des applications SAP. Le module le plus présent dans la configuration installée est bien entendu celui destiné à la fonction financière (93% des répondants), suivi par la logistique (82%) et la business intelligence (58%). Un peu moins des deux-tiers des répondants admettent ne plus avoir fait de migration SAP depuis au moins deux ans, ce qui correspond, à quelques pourcents près, à un parc utilisant des versions R/3 3.11 à 4.6C. Un petit tiers des répondants utilisent un SAP R/3 4.7, plus récent. Tandis que 13% des répondants admettent déjà utiliser une version de SAP ERP. Bien entendu, plus l'entreprise utilise une version standard de SAP, plus sa migration sera facilitée, notamment en termes d'interfaces avec d'autres applicatifs. 38% des répondants auront ainsi moins de vingt interfaces applicatives à reconstruire lors de la migration, mais 18% en auront plus de cent. Une migration subie Sans surprise, la fin de la maintenance de SAP R/3 est la motivation essentielle de la migration vers SAP ERP (72% des répondants). De ce fait, [[page]]la migration est clairement subie : 34% seulement des répondants savent justifier sur le plan fonctionnel la migration, mais 56% n'ont pas une perception claire des bénéfices de la migration, en dehors, malgré tout, de l'architecture Netweaver dont les apports techniques semblent compris. Du coup, la justification budgétaire du projet de migration est problématique. Et ce, même si la stabilité technique, le choix de la SOA et les apports fonctionnels à terme des nouveaux modules semblent clairs pour les DSI. Si le « pourquoi migrer » n'est pas sans poser de questions, le « comment migrer » n'est pas plus clair. Un tiers des répondants ignorent s'ils vont privilégier ou non une migration isofonctionnelle purement technique. Un quart n'a pas du tout défini son calendrier de migration contre 15% qui l'ont déjà réalisé. Les ressources humaines nécessaires à la migration ne constituent pas le moindre des problèmes. Tant chez les intégrateurs que chez les clients, la pénurie semble la règle alors même que la migration absorbe un grand volant ponctuel de compétences. La formation de ces compétences est en soi problématique mais SAP, qui assure lui-même les formations à ses produits, a développé une offre de e-learning pour tenter de parer au problème dans un délai raisonnable. Outre la formation, le coût de la migration comprend bien entendu le travail technique à faire et les licences des nouveaux produits. Les tarifs de celles-ci tiennent compte de l'ancienneté de l'investissement précédent : plus une implémentation est récente, moins son évolution sera onéreuse en termes de licences. SAP a insisté sur le fait que le principe restait que, à isofonctionnalités, la maintenance payait les évolutions des produits. Pour suivre l'évolution des migrations, l'USF, Bearing Point et SAP ont créé un « observatoire de la migration » qui réalisera une étude annuelle sur le sujet. (...)

(10/10/2007 18:28:59)

Patch Tuesday : sept patchs annoncés, six sortis

Pour les utilisateurs de Microsoft, les mois se suivent et se ressemblent. Chaque premier vendredi du mois, ils prennent connaissance des nouvelles failles découvertes dans leurs logiciels et les comblent le mardi suivant. Pour cette édition d'octobre, Microsoft avait annoncé sept patches différents et, comme en septembre dernier, l'éditeur n'en délivre finalement que six, dont quatre sont définis comme critiques. Le premier comble trois failles découvertes il y a huit mois dans Internet Explorer 6 et 7. Le deuxième vise l'implémentation de NNTP (Network News Transfer Protocol) et donc les logiciels Outlook Express 5.5. et 6, et Windows Mail (l'équivalent sous Vista), installés sur tous les systèmes d'exploitation depuis Windows 2000. Le troisième corrige la visionneuse d'images de Windows 2000 dont un trou permet de prendre le contrôle à distance d'un PC à partir d'une image déformée. Le quatrième vise des exécutions de codes malicieux dans Word 2000 et Word XP. Les cinquième et sixième patches, simplement « importants », concernent les versions client et serveur de Windows depuis Windows 2000, et Windows SharePoint Services 3.0 et Office SharePoint Server 2007. Microsoft avait annoncé un septième patch comblant une faille commune à Windows 2000, XP, Vista et Windows Server 2003. Il n'a été pas ajouté à cette fournée pour des raisons de « contrôle qualité », suivant le blog du MSRC (Microsoft Security Response Center. (...)

(10/10/2007 18:10:20)

Le Gartner voit 2008 en dix technologies

Le Gartner a identifié dix technologies qu'il qualifie de "stratégiques" pour 2008. Nombre d'entre elles étaient déjà présentes dans un tour d'horizon similaire de l'an passé. Ces technologies ne s'inscrivent donc pas en rupture d'une évolution, mais bien comme les derniers avatars de tendances de fond qui emmène le monde de l'entreprise (et le reste) vers une omniprésence du numérique dans tous les processus. Les dix technologies de 2008

  • L'informatique verte (green IT)
  • Communications unifiées (Unified Communications)
  • Modélisation des processus métier (Business Process Modeling)
  • Gestion des données de référence (Metadata Management)
  • Virtualisation 2.0
  • Mashup et Applications composites
  • Plateforme Web et WOA (architecture orientée Web)
  • Computing Fabric
  • Real World Web
  • Social Software
  • L'informatique verte (green IT) Les TIC n'échappent pas aux contraintes du développement durable. Jusque-là très voraces en énergie, elles vont devoir rapidement s'adapter à des économies d'énergie drastiques. La pression est à la fois financière (cela coûte cher) et législative. Dans les centres de serveurs, là où seule la performance comptait, s'ajoute désormais la mesure de la consommation. Retour au sommaire Communications unifiées (Unified Communications) Selon le Gartner, 20% des entreprises équipées d'un autocommutateur sont passées à la VoIP, mais les 80% restants sont en phase d'évaluation. La bascule devrait se faire sur trois ans. Le Gartner ne parle que de la VoIP, préliminaire très fruste aux Communications unifiées comme l'entendent, par exemple, Cisco et Microsoft. Toutefois, il compare l'ampleur de cette seule mutation à celle que déclenchèrent les arrivées de l'autocom numérique et celle de la téléphonie mobile. Retour au sommaire Modélisation des processus métier (Business Process Modeling) C'est peut-être la prévision la plus volontariste du Gartner et, partant, celle qui devrait avoir la portée la plus faible. Le cabinet appelle donc de ses voeux une analyse au plus haut niveau des processus qui font une entreprise. Pour ce faire, il invite en 2008 les "centres d'excellence des architectures orientées services" à travailler en étroite collaboration avec les "centres d'excellence pour les processus". Retour au sommaire Gestion des données de référence (Metadata Management) A horizon 2010, le Gartner voit se dessiner une stratégie de "gestion des informations en entreprise" (EIM, Enterprise Information Management) à partir de l'intégration des données sur les clients et les produits. Cette intégration déboucherait sur un niveau d'abstraction et d'optimisation des données de référence suffisant pour permettre leur réutilisation, leur pérennité, leur intégrité et la possibilité de les partager. Retour au sommaire Virtualisation 2.0 Le Gartner le confirme : pour être utile, la virtualisation c'est bien plus que l'installation d'un hyperviseur. Il faut déployer des outils qui permettent d'exploiter la dissociation entre le "hard" et le "soft", quels qu'ils soient. Et d'évoquer la qualité de service et la mise en place de politiques. Le Gartner est tellement enthousiaste sur les perspectives de la virtualisation qu'il en profite pour caresser à nouveau le rêve de son infrastructure temps réel (RTI Teal Time Infrastructure), qui s'adapterait instantanément à l'environnement et aux besoins, comme peut le faire un cerveau humain. Retour au sommaire Mashup et Applications composites D'ici deux à trois ans, en 2010, le Gartner prédit que le mashup d'éléments de sites web dominera à 80% le créneau des applications composites d'entreprise. Selon le cabinet, les technologies de mashup devraient fortement évoluer dans les années à venir. Il invite les grands éditeurs à les prendre en compte dans leur propre stratégie. Retour au sommaire Plateforme Web et WOA (architecture orientée Web) Les logiciels en ligne (Saas, software as a service) s'affirment à peine comme une option viable que déjà se profile la notion de plateforme Web qui pousse le bouchon encore plus loin avec l'ensemble du système d'information qui reposerait sur des ressources en ligne. Retour au sommaire Computing Fabric Le facteur de forme en lame des serveurs n'est qu'une étape vers la "fabric", une notion que connaissent déjà les spécialistes réseau. Aujourd'hui, l' armoire pour accueillir des lames n'est qu'une entité sans intelligence. Demain, elle sera considérée comme une entité contenant des ressources de mémoire, de processeurs et d'entrées-sorties qu'il sera possible d'adresser dans leur ensemble et de réagencer. Retour au sommaire Real World Web Ce jeu de mots tend à expliquer la notion d'un Web capable de donner des informations en fonction du contexte, qu'il soit géographique et/ou professionnel ou personnel. Le meilleur exemple est celui du terminal GPS : les informations qu'il affiche dépendent de sa localisation. Retour au sommaire Social Software Encore plus grand public que professionnel, les applications de réseau social vont s'imposer progressivement en entreprise. Elles viendront s'inscrire dans la notion toujours plus vaste de collaboration. Retour au sommaire (...)

    (10/10/2007 17:36:46)

    L'Open Invention Network rappelle ses engagements à Paris

    « Attirer de nouveaux licenciés, et faire passer le message que nous fournissons une protection. » A l'occasion d'une tournée française, le PDG de Open Invention Network, Jerry Rosenthal, a tenu a rappeler à un parterre d'acteurs influents de l'industrie informatique la mission de sa société. Etaient présents des responsables d'IBM, d'Ars Aperta, de Mandriva, de l'April, de l'Aful, de Linagora, du cabinet, Herbert Smith et du consortium OW2. L'Open Invention Network vise à créer une protection juridique pour les utilisateurs de Linux en achetant des brevets pour les mettre à disposition gratuitement des développeurs et de la communauté Open Source. En retour, ces derniers s'engagent à ne pas utiliser leurs brevets contre Linux. IBM, Philips, Novell, Sony et Red Hat en sont les fondateurs. Dans le cadre enchanteur de l'hôtel Westin de Paris, Jerry Rosenthal, tout en annonçant avoir signé un contrat avec Ars Aperta (cabinet de conseil spécialisé dans les standards et l'Open Source), explique détenir un portefeuille de plus de cent brevets, « tous de grande qualité et qui portent sur de multiples applications ». Une façon également de confirmer que la tâche de l'OIN ne se limite pas au seul noyau Linux, mais bien à une distribution. Ainsi OpenOffice serait selon lui inclus. Fort de ce constat, l'OIN espère, outre le fait de poursuivre l'achat de brevets - « du fait d'une forte demande des entreprises » - recruter davantage de soutien, côté utilisateur. Et de citer l'exemple de Google qui fut un des premiers du camp des utilisateurs d'applications Open Source à prendre une licence auprès de la société en août 2007. Il a également indiqué que l'accord passé entre Microsoft et Novell (un des fondateurs de l'OIN) n'avait en aucun cas impacté l'adoption de Linux. Enfin, Jerry Rosenthal compte s'intéresser davantage aux start-up. (...)

    (10/10/2007 17:34:05)

    La croissance à nouveau au rendez-vous dans les logiciels et services

    Après un bon 1er semestre, le marché français des logiciels et services informatiques devrait enregistrer une nouvelle année de croissance, estimée à +6,5% pour l'ensemble de l'année 2007. Jean Mounet, président de la fédération Syntec Informatique, s'est à nouveau montré optimiste à l'occasion du bilan 2007 et des perspectives 2008 de l'industrie française des logiciels et des services : +7% de hausse en 2007 pour le conseil en technologies, +6,4% pour les éditeurs de logiciels, +5,5% dans le conseil et les services informatiques. Et une croissance du même ordre attendue pour l'année 2008. « Dans la lignée du 1er semestre, la croissance du secteur en 2007 devrait être généralisée à l'ensemble des activités, a t-il déclaré. Au niveau européen, le marché français des logiciels et services figure dans une bonne moyenne, en retrait par rapport à l'Espagne, mais au même niveau que le Royaume-Uni et juste devant l'Allemagne. » Ainsi, la crise financière liée aux "subprimes" (ces prêts à haut risque qui ont ébranlé le crédit américains) ne devrait pas freiner les prévisions du Syntec sur le secteur, ni sur les investissements des établissements bancaires français dans les technologies de l'information, sauf évolution significative. Maintien du taux d'activité, mais stagnation des prix La chambre patronale note un retour progressif des projets innovants dans les entreprises, et un dynamisme du midmarket (entreprises clientes de 500 à 1000 salariés). La confiance de la profession se reflète également dans le maintien à des niveaux élevés de l'indicateur de confiance des dirigeants du secteur, sur l'activité (taux d'activité, carnets de commandes, évolution des prix, cycles de décision). Seul bémol : une perception insuffisante de la valeur ajoutée par les logiciels et les services, en France, et un retard dans l'augmentation des prix, ces derniers restant maintenus à la baisse, par rapport aux autres pays européens Du côté des recrutements, la forte dynamique qui caractérise le secteur des logiciels et des services devrait continuer sur sa lancée, ce qui devrait lui permettre de continuer à faire valoir sa place de premier offreur d'emploi des cadres (55 000 recrutements prévus en 2007, pour une création nette d'emplois de 20 000 postes). Enfin, Syntec informatique a exposé les résultats d'initiatives lancées à l'occasion des élections présidentielle : mission Stoléru pour les PME et commission Attali pour libérer la croissance. La fédération est également régulièrement auditionnée dans le cadre de la réforme des politiques publiques dans les secteurs de la santé et de l'éducation. (...)

    (10/10/2007 16:24:17)

    Le titre Google dépasse les 600$

    L'annonce d'une potentielle arrivée sur le marché de la téléphonie profite à Google. L'action du n°1 de la recherche sur le Web a franchi la barre des 600$ pour s'établir à un niveau record de 615,18 $ mardi 9 octobre. Depuis son entrée en bourse en août 2004, l'action Google n'a cessé de grimper. A cette époque, le prix d'une action était fixé à 85 $. Le 28 septembre, nous annoncions que la capitalisation boursière de Google, estimée à 177 Md$ dépassait celle de HP, à 129 Md$. Après que le New York Times a dévoilé hier ce que serait finalement le GPhone (un OS mobile Linux et pas un téléphone portable), Google a aujourd'hui annoncé un autre rachat dans le secteur de la téléphonie mobile. Après Zingku, le groupe se paie le Finlandais Jaiku Mobile. (...)

    (10/10/2007 15:20:40)

    Devenu indépendant, Teradata fait alliance avec SAS

    L'américain Teradata, spécialiste des technologies d'entrepôt de données (datawarehouse), est depuis le 1er octobre dernier une société indépendante cotée à la Bourse de New-York (sous le nom de TDC). Dans la foulée, l'éditeur annonce une alliance stratégique avec SAS, éditeur d'une plateforme d'analyse décisionnelle, à l'occasion de sa conférence utilisateurs Teradata Times qui se tient en ce moment à Las Vegas (07-11 octobre). Teradata, également fournisseur de solutions analytiques capables d'explorer d'importants volumes de données (offre bien implantée dans les secteurs de la banque et de la grande distribution, notamment), était jusqu'à présent une filiale de NCR, dont l'activité historique est la fabrication de caisses enregistreuses et de distributeurs de billets. La scission avec la maison mère était planifiée depuis plusieurs mois. En janvier dernier, Teradata avait rappelé que son modèle économique et celui de NCR étaient très différents et viables séparément. Il estimait alors qu'il s'était suffisamment imposé sur le marché du datawarehouse pour faire cavalier seul. Les dés sont jetés. « Nous contrôlons maintenant notre destinée et nos investissements », vient de déclarer son PDG, Mike Koehler, sur Teradata Times. Teradata et SAS, face à Oracle, SAP/BO, IBM et HP Le partenariat avec SAS va permettre d'exploiter les solutions analytiques de ce dernier directement avec le moteur de base de données de Teradata, donc sans avoir à faire migrer les informations du datawarehouse dans un environnement SAS. L'alliance porte aussi sur une coopération entre les deux éditeurs pour l'optimisation de leurs technologies respectives, sur la mise au point de solutions conjointes, ainsi que sur des démarches marketing et commerciales conjuguées. Cette association ne peut qu'être profitable aux deux acteurs, qui doivent faire face à la fois à la concurrence d'Oracle/Hyperion et, désormais, de SAP/Business Objects, mais aussi à celle d'IBM et de HP, également présents sur le marché des datawarehouses. Pour Joël Martin, vice-président d'IDC Canada, cet accord permet aussi à SAS d'accéder aux solutions de MDM (master data management, gestion des données de référence) de Teradata. (...)

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