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(10/10/2007 15:03:39)

Free privé de licence 3G

Free Mobile reste en suspens. L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a en effet rejeté la candidature de la filiale d'Iliad pour l'attribution de la quatrième licence 3G (ou UMTS). Pour le moment, il n'y aura donc pas d'alternative aux trois opérateurs historiques, SFR, Bouygues Telecom et Orange. Face au montant de la redevance demandée, 619 209 795,27 € pour être précis, Iliad avait été le seul à répondre à l'appel d'offres. Devant cet état de fait, la société avait alors posé ses conditions en demandant « un aménagement des modalités financières qui pourrait se traduire par un paiement annuel de la partie fixe de la redevance, comme toutes les redevances d'occupation du domaine public. [...] Iliad considère que l'éventuel paiement dès la délivrance de l'autorisation de la partie fixe de la redevance revient à freiner l'entrée sur le marché ». Le coup de bluff n'a semble-t-il pas pris et l'Arcep estime que le dossier ne respecte pas « les prescriptions du cahier des charges et la capacité à payer la part fixe de la redevance dans les conditions définies par la loi ». Le montant doit en effet être payé au mois de septembre suivant l'attribution de la licence et l'autorité de régulation déplore l'absence de plan de financement et semble mettre en doute la capacité d'Iliad à payer ce montant. Les réactions n'ont évidemment pas tardé devant l'importance de cette décision, en premier lieu chez l'opérateur. Celui-ci en appelle désormais aux pouvoirs publics afin de mettre « en oeuvre les conditions permettant l'émergence d'un 4ème opérateur mobile ». Et de pointer du doigt l'intérêt du consommateur pour une concurrence accrue, ce qu'avait également souligné l'UFC-Que choisir. Du côté des pouvoirs publics justement, Christine Lagarde précise que « toutes les options restent ouvertes pour l'attribution d'une quatrième licence de téléphonie mobile ». Certains semblent plutôt contents de cette décision. Les boursicoteurs tout d'abord puisque la valeur du titre Iliad a monté suite à cette décision, tout comme celle de Bouygues. Et c'est d'ailleurs chez les opérateurs historiques que l'on doit également se réjouir de voir disparaître - provisoirement peut-être - un éventuel candidat. Bouygues Telecom, par exemple, dispose désormais de davantage de temps pour mettre son réseau aux standards de la 3G. Pour de nombreux analystes, cités par Reuters, c'est maintenant au gouvernement d'agir. Un nouvel appel d'offres pourrait ainsi être lancé, avec peut-être des conditions remaniées pour susciter plus d'intérêt. (...)

(10/10/2007 13:04:06)

Ballmer aurait réitéré ses menaces face à Red Hat

D'après PC Pro UK, Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, aurait une nouvelle fois menacé les clients Red Hat de procès à l'occasion d'une conférence qui s'est tenue à Londres. Le débat ne date pas d'hier. A peine l'accord signé avec Novell sur l'interopérabilité de leurs systèmes respectifs, la réalisation de ventes croisées et surtout la garantie que Microsoft ne poursuivrait pas les clients Novell pour violation de propriété intellectuelle, Steve Ballmer s'était attaqué en novembre dernier à Red Hat. Accusant ce dernier d'utiliser un système (Linux) qui exploite la propriété intellectuelle de Microsoft, Steve Ballmer aurait proposé à Red Hat un accord similaire à celui passé avec Novell. Accord que Red Hat s'est bien gardé de signer, tout comme Canonical (qui développe Ubuntu) et Mandriva. En mai 2007, le PDG de Microsoft prétendait que certains logiciels Open Source (dont le noyau Linux et OpenOffice, violaient quelques 235 brevets de Microsoft. Des propos qui avait fait sortir la sphère du Libre de leurs gonds. Si Steve Ballmer répète ses menaces, il n'a pour l'instant apporté aucun exemple précis de violation de la propriété intellectuelle de sa société, se contentant de répéter que le monde du logiciel libre ne doit pas échapper aux règles juridiques et commerciales sur les brevets. Reste à savoir s'il a réellement des atouts dans sa manche ou s'il ne cherche qu'à faire pression sur les clients de Red Hat et du logiciel libre de manière plus générale. (...)

(10/10/2007 12:35:49)

Le Cigref exhorte les fournisseurs à s'engager sur des résultats

Les DSI du Cigref, Club informatique des grandes entreprises françaises, aimeraient que les fournisseurs s'engagent sur des résultats, afin qu'eux-mêmes puissent s'engager auprès des directions générales et des utilisateurs. C'est le message essentiel qu'a tenu à faire passer Didier Lambert, DSI d'Essilor et président du Cigref, lors d'une conférence hier soir, tenue à l'issue de son assemblée générale. Après avoir évoqué l'accord renouvelé avec Microsoft et les discussions fréquentes avec SAP, Oracle et IBM, Didier Lambert a tenu à mettre les choses au point, en expliquant que cette demande ne se fait pas contre les fournisseurs, mais pour le bien commun : « Nous ne sommes pas une association anti-fournisseurs. Nous sommes dans le même bateau, engagés dans la même chaîne de valeur. » Et, s'adressant directement aux fournisseurs : « Les DSI sont vos revendeurs dans les entreprises. » Le Cigref préfère l'interopérabilité aux standards Faisant le bilan des événements marquants de l'année, Didier Lambert a noté la concentration continue des éditeurs, déplorant la disparition d'un acteur majeur de l'édition française (BO racheté par SAP). Côté technologies, il estime que la virtualisation et le logiciel délivré comme un service (Saas, software as a service) constituent deux tendances de fond, dont un des intérêts est d'améliorer le contrôle des coûts. Il a également profité de l'occasion pour rappeler que les DSI ne sont pas hostiles à ce que certaines directions métier reprennent la main en adoptant du Saas, dans la mesure où cela leur simplifie la vie. Evoquant par ailleurs la guerre des standards entre ODF et OpenXML, Didier Lambert explique que le Cigref n'a pas vocation à choisir : « Le maître-mot pour nous, ce n'est pas les standards, mais l'interopérabilité. On passe 50% de notre temps à raccorder des bouts de ficelle entre eux. Au début, ça amuse, à la fin, ça lasse. » Un peu plus tôt, Jean-Marc Lagoutte, DSI du groupe Danone, avait évoqué lui aussi des tendances de fond. Notamment le Saas, qui permet de « variabiliser les coûts » (sic), mais qui présente encore des « besoins de maturation », et l'Open Source, dont « les briques sont de plus en plus nombreuses et crédibles ». Sur ce dernier point, Jean-Marc Lagoutte adresse pour sa part un message aux sociétés de services en logiciels libres, en leur demandant de mieux prendre en compte l'existant. (...)

(10/10/2007 12:33:17)

BT Group souhaite racheter la SSII Net 2S

BT Group a émis une offre d'achat à l'attention des actionnaires de référence de Net 2S, Ali Pichvaï, Bernard Razaghi, Pascal Petit et Christophe Canonne, qui détiennent 68,6 % du capital de la SSII. Dans un communiqué, Net 2S précise : « Cette offre valorise l'action à 5,27 E, représentant une valorisation globale de Net 2S SA de 68 500 000 E sur la base des actions existantes. Ce prix tient compte de la distribution d'un dividende exceptionnel d'un montant de 5 000 000 E, qui interviendra préalablement à la cession du bloc majoritaire susvisé. » BT Group, nouveau nom de British Telecommunications, vient de racheter en France le pôle Infrastructures critiques de CS. Au début de l'année, un rapport de Forrester soulignait que BT était un des rares fournisseurs de services réseaux à présenter une stratégie véritablement internationale. (...)

(10/10/2007 08:29:07)

L'offshore indien pâtit du dollar faible

La faiblesse du dollar pourrait conduire à l'amoindrissement de la qualité des prestations rendues par les acteurs indiens de l'externalisation, engagés dans une lutte pour endiguer la baisse de leurs revenus, selon Forrester. La parité dollar/roupie est largement défavorable aux entreprises indiennes spécialisées dans l'offshore. Au deuxième trimestre, le dollar perdait ainsi 7%. Cette baisse impacte directement les groupes indiens dont les revenus sont exprimés en dollar, mais les coûts en roupie. D'un côté, donc, le chiffre d'affaires pâtit de la morosité de la monnaie américaine alors que, de l'autre, les coûts restent à un niveau élevé en raison de la vigueur de la roupie. Cette équation conduit la marge d'un Wipro à perdre 3 à 4% alors que les observateurs s'étaient habitués, depuis plusieurs années, à voir chaque exercice conclu sur des croissances à deux chiffres, qu'il s'agisse des revenus ou des bénéfices. Tout pourrait donc radicalement changer. « Les prestataires indiens luttent pour se maintenir à flot, explique Forrester, et doivent trouver des moyens pour s'adapter à la situation, notamment en demandant à leurs cocontractants de prendre en charge une partie des conséquences de la fluctuation [dollar/roupie, NDRL] ». Pour les clients qui acceptent de renégocier les contrats les liant aux Tata et autres Infosys, le coût de leurs services externalisés pourraient croître et le bénéfice qu'ils en tirent s'en trouver amoindri. Pire, même sans changer les termes des contrats, les responsables IT doivent redouter une plus faible qualité des prestations indiennes en raison du recrutement, dans le sous-continent, de salariés moins qualifiés et donc moins chers. Les prestataires interrogés par Forrester indiquent qu'ils tentent de trouver des solutions aux difficultés liées à la parité dollar/roupie, tout en comptant sur leurs clients pour prendre leur part dans cette épreuve. Un voeu pieux, au regard de la réaction de ces derniers, qui estiment qu'il relève de la responsabilité des acteurs indiens d'assumer leurs difficultés. Et de rappeler que, eux, n'ont jamais profité de ristournes lorsque le dollar se portait bien. (...)

(09/10/2007 17:22:07)

Gartner prédit une récession des dépenses informatiques en 2008

Selon le Gartner Group, les dépenses informatiques enregistreraient une hausse de 8% sur l'année 2007 pour dépasser un total de 3,1 trillions de dollars (1 trillion américain = 1 000 milliards). En 2008, elles atteindront les 3.3 trillions. Une hausse principalement due aux pays en voie de développement qui s'équipent actuellement. Ils occuperaient à eux seul un tiers des 3 trillions de dollars. Il ne s'agit donc pas vraiment d'une reprise des dépenses informatiques par les pays habituellement consommateurs (Amérique du Nord, Europe de l'ouest et Japon), mais plutôt de clients nouvellement arrivés qui donnent l'illusion d'une bonne santé du marché. Pour le Gartner, la prudence est donc de mise, d'autant plus que le marché américain s'attend à une récession économique en 2008. Dès lors, il conseille aux acteurs du marché d'envisager deux hypothèses et de construire leur budget prévisionnel 2008 en conséquence. Dans un premier budget, ils partiraient du principe que le marché va enregistrer une croissance similaire à ces six dernières années, dans un second, ils devront envisager une réduction des coûts pour faire face à une éventuelle récession. Cette réduction des coûts serait toutefois insuffisante selon le cabinet d'études. Les acteurs du marché devront également gagner en flexibilité et réactivité afin de pouvoir répondre aux besoins des entreprises et ainsi conserver leurs marges. (...)

(09/10/2007 16:40:48)

VMware fait passer ESX en 3.5 et renforce Infrastructure 3

D'ici la fin de l'année, VMware compte livrer Infrastructure 3 qui inclut la version 3.5 de son superviseur ESX ainsi que Virtual Center 2.5. Ce sera bien la première fois qu'une annonce de Windows Server, la version 2008, aura un concurrent. ESX 3.5 apporte quelques améliorations par rapport à ESX 3.0.1. La mémoire par machine virtuelle passe de 16 Go à 64 Go. Quant à la capacité mémoire maximale adressable par ESX, elle double à 128 Go. Tout comme 3.0.1, 3.5 ne supporte que quatre processeurs et quatre coeurs par machine virtuelle. Cependant, ESX 3.5 exploite les dernières extensions mises au point par Intel et AMD (VT et AMD-V). VMware assure que 95% des licences vendues actuellement le sont pour des systèmes avec quatre processeurs ou moins. Notons que les hyperviseurs XenSource et Virtual Iron supportent plus que quatre processeurs. VMware Infrastructure 3 s'améliore aussi. Désormais, il supporte l'interface Serial ATA, Ethernet 10G et Infiniband. Il inclura aussi Storage VMotion qui permet, comme VMotion déplace les machines virtuelles d'un serveurs à l'autre, de déplacer l'emplacement du stockage des données. Les hyperviseurs s'effaçant du devant de la scène pour laisser la place aux outils d'administration, VMware annonce aussi Update Manager qui permet aux administrateurs d'appliquer les rustines des produits VMware mais aussi des OS hôtes. Update manager permet ces mises à jour même sur des machines virtuelles en mode veille. Par ailleurs, VMWare, qui affirme que 60% à 70% de ses clients ne sont pas des grandes entreprises, annonce des packages baptisés "acceleration kits". Au nombre de trois, ce sont des versions d'Infrastructure 3 plus ou moins bridées. Le premier kit inclut des licences pour trois serveurs bi-processeurs. L'ensemble est annoncé à 3000 $. (...)

(09/10/2007 12:23:44)

Gateway envisage de racheter Packard Bell

Gateway vient d'annoncer son intention de se porter acquéreur de Packard Bell, pour un montant non communiqué. Sans surprise, puisque cette opération avait été clairement annoncée par Acer en août, lors du rachat de Gateway pour 710 M$. A l'époque, le Taïwanais, profitant d'un accord historique passé entre Gateway et Packard Bell, espérait faire capoter l'offre de rachat, alors en cours, de Lenovo sur l'Européen. L' accord remonte à 2006, date à laquelle Gateway signe un compromis avec John Hui, principal actionnaire de PB Holding (la maison mère de Packard Bell), lui garantissant un droit de premier refus dans le cadre d'un rachat de PB Holding. Une clause que Gateway a fait jouer à l'annonce des intentions d'achat d'Acer, stoppant net la fusion Lenovo / Packard Bell. Selon les termes de la transaction, Gateway prévoit de racheter la totalité des titres de John Hui. L'acquisition devrait être finalisée d'ici au premier trimestre 2008. (...)

(09/10/2007 12:05:29)

Loïc Le Meur lance sa start-up de blog vidéo

Le célèbre « blogueur » français Loïc Le Meur, après quelques semaines de silence relatif et une expatriation en Californie, fait son grand retour en officialisant la création de sa société baptisée Seesmic. Encore en version alpha, le site de la société devrait permettre aux membres de poster des vidéos depuis leur webcam, un logiciel de visophonie ou encore en recopiant le code HTML d'une vidéo récupérée sur un site. Conçu sur le modèle du réseau social, ce site permettrait ensuite de partager les vidéos entre amis. D'autres fonctions, comme l'ajout d'un flux RSS ou l'envoi de vidéos depuis un téléphone portable, sont également prévues. Pour l'instant le service n'est pas encore disponible, il s'agit donc plus de rumeurs que de faits mais il est déjà possible de se rendre sur le site de l'ancien patron de Six Apart Europe pour assister en image à la création de la société. A noter par ailleurs que la prochaine édition de la conférence Le Web 3, initiée par Loïc Le Meur, est sur les rails : les places sont en vente depuis la mi-septembre. Deux mille personnes sont attendues à Paris pour discuter du Web 2.0 et de son futur. Mais cette fois, nous jure-t-on, plus d'hommes politiques. (...)

(08/10/2007 18:26:34)

SAP/BO : Bernard Liautaud s'explique

Toute amicale qu'elle soit, l'OPA de SAP sur Business Objects surprend en raison de la personnalité de l'éditeur racheté, une société fondée par un Bernard Liautaud farouchement attaché à l'indépendance de son entreprise et à l'oecuménisme de ses solutions. A l'occasion d'une conférence de presse donnée aujourd'hui 08 octobre, à Paris, conjointement avec Léo Apotheker, PDG délégué de SAP, l'entrepreneur français s'en est expliqué. « Pendant 17 ans, j'ai été l'avocat de l'indépendance de BO, reconnaît Bernard Liautaud. Pourquoi ce revirement ? C'est assez simple, le marché des logiciels a fortement évolué, notamment au cours de la dernière année. Nous avons entendu nos clients demander un alignement fort entre les applications et la Business Intelligence (BI). Une tension s'était créée sur le marché. Avec la proposition de SAP, nous avons trouvé le moyen d'accorder notre volonté d'ouverture et d'indépendance et la demande d'alignement de nos clients. » Bernard Liautaud dément avoir voulu vendre Interrogé sur les multiples rumeurs de mise en vente et de rachat, Bernard Liautaud n'a pas souhaité épiloguer sur les acteurs qui se sont intéressés à sa société. « Il y en a eu un certain nombre et c'est bien normal puisque, comme l'a dit Léo Apotheker, la BI est devenue la priorité des investissements informatiques ». Le marché des outils de BI et de gestion de performance devrait atteindre 20 Md$ en 2010. Le fondateur de Business Objects réfute en revanche catégoriquement avoir souhaité voir un jour sa société rachetée. Il relate les faits. « En juillet, nous avons répondu à une approche non sollicitée émanant de SAP. Nous avons écouté et, après avoir eu tous les paramètres, décidé de faire un choix. Les discussions se sont accélérées au cours des dernières semaines, avec un dialogue très efficace et très ouvert. » Une adéquation culturelle importante Le fondateur de BO considère qu'il y a une adéquation culturelle très importante entre les deux sociétés. D'origine européenne toutes les deux, bien qu'implantées de façon internationale, elles ont une culture entrepreneuriale ancrée dans leur organisation avec, pour l'une et l'autre, des fondateurs très impliqués dans l'entreprise. Bernard Liautaud juge que SAP a bien compris que la valeur des solutions de BO était dans l'ouverture, d'où la décision de laisser son autonomie à l'éditeur racheté. Mais le dirigeant estime aussi que la combinaison entre les deux offres a beaucoup de sens. « Nous allons profiter des technologies de SAP, de leur base de données en mémoire, de leur MDM, et travailler ensemble pour intégrer nos produits. Nous allons apporter de l'intelligence dans les processus de SAP et offrir, de loin, la meilleure offre de gestion de la performance sur le marché. » (...)

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