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(08/10/2007 18:26:10)
Une grille d'authentification pour plus de sûreté
Peu chère, facile à utiliser, la solution d'authentification de la start-up anglaise GrIDsure se veut une méthode sûre pour remplacer les codes des cartes bancaires ou d'accès à une entreprise. L'idée est d'utiliser une grille sur laquelle l'utilisateur crée une forme simple (un L, une croix ou un T par exemple). A chaque fois qu'un code doit être entré, cette grille s'emplit aléatoirement de chiffres et l'utilisateur tape ceux correspondant à la forme qu'il a défini. Eliminant ainsi tout besoin de noter un mot de passe. « Les gens se rappellent plus facilement des formes », explique Stephen Howes, directeur technique de GrIDsure. « Pour une grille de cinq cases sur cinq et une forme en quatre cases, cela donne 390 625 arrangements possibles comparés aux 10 000 combinaisons de quatre chiffres d'un code traditionnel. » Désormais, la société collabore avec PriceWaterhouse pour convaincre les émetteurs de cartes et d'autres solutions de paiement. (...)
(08/10/2007 18:10:41)Roaming : l'eurotarif fait baisser de 60% les factures des mobiles
Des factures réduites de 60%. Selon une étude menée par l'ERG (groupe des régulateurs européens) et la Commission européenne, l'application d'un eurotarif sur le roaming a contribué à baisser de 60% en moyenne les factures de téléphonie mobile des consommateurs. Le 30 juin dernier, la Commission européenne a décidé de plafonner les tarifs de roaming (itinérance mobile) à 0,49 € la minute pour les appels et 0,24 € pour la réception d'appels dans les 27 pays membres. Une décision qui avait provoqué une véritable levée de bouclier chez certains opérateurs. Dans un communiqué, la Commission européenne se félicite que « dans l'ensemble, les opérateurs de téléphonie mobile ont mis en place, proposé et mis à disposition de tous leurs abonnées itinérants un « eurotarif » dès le 30 juillet, respectant ainsi les obligations qui leur incombaient ». Selon l'étude, au 30 août, 200 millions d'abonnés européens avaient bénéficié de l'eurotarif, et 400 millions devraient en bénéficier d'ici à fin septembre. Plus surprenant, elle explique que certains opérateurs pratiquent des tarifs plus bas - et donc plus avantageux pour le consommateur - que ne l'impose la Commission. C'est notamment le cas des Pays-Bas (0,20 € pour les appels entrants et sortants). (...)
(08/10/2007 18:04:46)SAP/BO : « un virage stratégique pour l'éditeur allemand »
Suite au rachat de Business Objects par SAP, nous continuons à interroger les experts du marché. « J'interprète cette acquisition comme un véritable virage pour SAP, un changement important dans sa stratégie », estime Jean-Michel Franco, directeur des offres internationales chez Business & Décision et ancien collaborateur de l'éditeur allemand. Pour lui, ce rachat constitue d'abord pour SAP la première véritable acquisition d'une base de clients (NDLR : Business Objects en compte 44 000 dans le monde). « C'est un des éléments importants de cette annonce. Pendant longtemps, SAP n'a acheté que des technologies. Puis, il y a eu un premier point d'inflexion avec la tentative de rachat de Retek (NDLR : finalement soufflé au nez de SAP par Oracle). Ensuite, même si l'acquisition d'OutlookSoft, au printemps, pouvait se lire comme une acquisition technologique, il s'agissait aussi de la plus grande base installée rachetée par SAP, avec des clients importants dans des comptes Microsoft. » Des synergies sur certains marchés Ce rachat signifie aussi que SAP cherche à avoir d'autres points d'entrée sur le marché, hors du progiciel de gestion intégré (PGI ou ERP). « Sur des projets décisionnels, il est possible d'entrer par la petite porte dans une entreprise, contrairement au projet d'ERP classique », rappelle Jean-Michel Franco. Il considère par ailleurs qu'il existe, en France, des synergies sur certains marchés entre BO et SAP, dans le secteur public, notamment. L'implantation de Business Objects dans les PME est également un élément important, à un moment où SAP cherche à conquérir ces entreprises. « BO a un bon réseau de distribution indirecte et a réalisé un bon travail d'insertion dans les régions », estime Jean-Michel Franco. Que Business Objects se maintienne comme entité indépendante ne l'étonne pas. « Ce serait très surprenant qu'il n'en soit pas ainsi », commente le directeur de B&D. « C'est effectivement un rachat différent des autres qui apporte à SAP plusieurs points d'entrée dans les comptes. Cela a du sens que BO reste autonome, tant pour les nouveaux clients que pour la base installée auprès de laquelle il faudra justifier l'ajout de fonctionnalités en étant plus pointu qu'avant. » Pour lui, les applications analytiques seront l'un des principaux enjeux. « Dans l'offre de BO, il y a quatre ou cinq axes -notamment sur la qualité des données, l'ABC (activity based costing), la consolidation, qui se positionnent clairement en complémentarité de l'offre de SAP sans qu'il y ait besoin de gros travaux. » Quid d'IBM, de HP et de l'Open Source ? Interrogé sur la concurrence de Microsoft, Jean-Michel Franco voit l'éditeur de Redmond avancer à petits pas sur ce marché. « Jusqu'à présent, il a été très patient dans ce domaine, une acquisition serait pour lui un changement stratégique ». En revanche, il s'interroge sur les intentions d'IBM. Va-t-il rentrer dans la course ? « Beaucoup d'observateurs considèrent qu'IBM va devenir un acteur de la BI. » Sur ce terrain, un fournisseur comme HP pourrait avoir aussi son mot à dire. « Les autres offreurs se positionneraient alors comme spécialistes apportant des solutions complémentaires. » Enfin, Business & Décision regarde de très près les offres BI en Open Source qui arrivent, celle d'Ingres, notamment. « L'Open Source peut être un modèle de rupture intéressant », pronostique Jean-Michel Franco. Il cite en exemple le cas du CRM, un marché qui, en se consolidant (rachat de Siebel par Oracle, notamment) a donné du champ à un éditeur comme Salesforce qui proposait un nouveau modèle. « Il a clairement bénéficié de la concentration. » A suivre, donc. (...)
(08/10/2007 15:10:22)Sur Windows, Oracle est enlacé aux produits Microsoft
Quand le SGBD le plus important au monde a rendez-vous avec le système d'exploitation le plus répandu : le cabinet Ovum s'est penché sur les utilisateurs d'Oracle tournant au dessus de Windows Server. Le cabinet, soutenu financièrement par Oracle pour l'occasion, souligne la qualité de l'intégration du SGBD Oracle dans l'environnement Microsoft, dont le premier portage sur Windows NT remonte à 1994. La mise au point n'est pas inutile au moment où Oracle fournit un effort tout particulier en environnement Linux. Là, il propose désormais sa propre distribution, copie conforme de celle de Red Hat dont l'association avec MySQL et l'intégration de JBoss lui déplait de toute évidence. Même si Oracle se refuse à détailler son parc installé par système d'exploitation, le fait que Microsoft SQL Server soit devenu en quelques années un concurrent direct justifie à lui seul l'intérêt que la société de Larry Ellison porte à venir affronter Microsoft sur son propre terrain, l'environnement Windows. Y choisir Oracle plutôt que SQL Server n'aurait aucune conséquence sur la cohésion de l'ensemble du système d'information et apporte, bien sûr, de meilleures performances. Et Ovum d'étayer son message en passant en revue la (trop ?) discrète collaboration d'Oracle avec Microsoft. Sont ainsi montrés en exemple l'utilisation d'Active Directory par Oracle pour gérer l'accès à son SGBD, le travail conjoint des deux éditeurs sur les services Web XML et le support d'Office comme outils de consultation d'Oracle. Sur ce dernier point, Ovum n'ose tout de même pas se lancer dans une comparaison avec Duet, intégration d'Office à SAP avec la bénédiction ostensible de Microsoft. Oracle n'est pas en reste non plus côté outils de développement avec des outils pour Visual Studio qui permettent d'exploiter pleinement .NET. Pour finir, l'étude souligne que Fusion, le middleware d'Oracle (en cours de développement), viendra encore parfaire cette cohabitation. De plus, Enterprise Manager, le framework d'administration d'Oracle, permet d'administrer des produits Microsoft. (...)
(08/10/2007 12:44:39)Intel inaugure les vendredis sans email
Vendredi dernier, 150 employés d'Intel ont donné le coup d'envoi des « vendredi sans courrier électronique ». Le principe est simple : pas d'échange de messages le vendredi. « Le courrier électronique n'est pas interdit mais tout le monde est encouragé à préférer le téléphone ou les échanges face à face ce jour-là », précise Nathan Zeldes, ingénieur en chef d'Intel dans un blog de la société. L'initiative pourrait faire sourire si le courrier électronique n'était pas devenu une véritable pollution dans l'entreprise et ce, sans parler des spams qui, a priori, n'arrivent plus dans les boites aux lettres des utilisateurs ou sont rapidement canalisés vers des dossiers spéciaux. D'ailleurs, Intel ne serait pas la première société aux Etats-Unis à lancer cette initiative du vendredi sans courrier électronique. La pollution est tellement grande que de nombreux utilisateurs avouent ne plus lire leur courrier, archivant ou supprimant même des boites entières de messages. Selon IDC, quelque 39.7 billions d'échanges, 17,1 milliards d'alertes automatiques et 40,5 milliards de spams circulent dans le monde. (...)
(08/10/2007 12:32:01)SAP/BO : "SAP devient numéro 1 du marché de la BI en France"
Le rachat de Business Objects propulse SAP à la première place du marché français de la Business Intelligence (outils et applications d'analyse décisionnelle), devant SAS. C'est la constatation que fait Yasmina Benjelloun, analyste logiciels chez IDC France. Jusqu'à présent, SAS, BO et IBM (avec l'offre d'Ascential) occupaient les trois premières places. SAP, cinq fois moins important que BO en France, était encore un petit acteur dans le monde hexagonal du décisionnel, néanmoins présent dans le Top 10 des éditeurs. « Pour concurrencer Oracle, SAP procède comme lui à des opérations de croissance externe », commente l'analyste d'IDC France. « Business Objects avait plutôt souffert, l'an dernier en France, enregistrant l'une des plus faibles performances du marché de la BI », évoque Yasmina Benjelloun. Elle rappelle aussi les récentes fuites d'information, laissant entendre que BO cherchait un repreneur. De la même façon, en début d'année, des rumeurs de vente couraient autour de l'éditeur français. Et lorsqu'Oracle a finalement repris Hyperion, beaucoup d'observateurs ont alors pensé que la proie aurait tout aussi bien pu être BO. - Lire l'article : « SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros » (...)
(08/10/2007 12:01:52)Les partisans de la vente d'Atos Origin se renforcent
Les deux premiers actionnaires d'Atos Origin viennent de signer un pacte. Le fonds d'investissement Centaurus, qui détient 10,2% du capital, s'associe avec son collègue Pardus, dont la participation est montée ces derniers mois à 9,5%. Centaurus est depuis longtemps partisan d'une opération de fusion acquisition, probablement afin de rentabiliser au plus vite son investissement. Désormais fort de près de 20% des votes, il pourrait réclamer un siège supplémentaire au conseil d'administration en vue de faire aboutir son projet. A l'inverse, la direction d'Atos Origin, présidé par Philippe Germont depuis quelques jours, défend l'indépendance du groupe et prône un redressement à partir des ressources internes. Depuis plusieurs mois, le cours en bourse chaotique d'Atos reflète les rumeurs avortées d'investissements dans un groupe qui révise plus à la baisse qu'à la hausse ses prévisions de résultats. (...)
(08/10/2007 11:30:25)SAP/BO : "Il finira pas ne rester que deux grands acteurs sur ce marché"
Un rachat un peu déroutant De prime abord, cette acquisition apparaît « un peu déroutante », considère Vincent Lieffroy, analyste au CXP, spécialisé sur les PGI (ERP) et les solutions de gestion financière, en réaction à l'annonce du rachat, hier soir, de Business Objects par l'éditeur allemand SAP. L'analyste rappelle que SAP avait rompu un accord commercial avec BO l'an dernier, mais reconnaît que le rapprochement entre les deux éditeurs va dans le sens de l'évolution actuelle : « Il finira pas ne rester que deux grands acteurs sur ce marché, Oracle et SAP ». En dépit des recouvrements entre les offres décisionnelles, notamment dans le domaine de la gestion de la performance financière (consolidation, planning, gestion de budget), spécialités de Cartesis et d'OutlookSoft, sans compter les propres offres de BO et de SAP, « la décision de l'éditeur allemand a sans doute été prise il y a quelques temps déjà, poursuit Vincent Lieffroy, avec une logique, tant sur l'intégration que sur le recouvrement des offres ». Lire l'article : « SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros » (...)
(05/10/2007 17:04:21)Alcatel-Lucent parle anglais aux étudiants des quartiers sensibles
Alcatel-Lucent lance une nouvelle initiative qui vise à promouvoir l'égalité des chances. Pour améliorer le niveau d'anglais des étudiants français issus de zones urbaines dites sensibles, la fondation Alcatel-Lucent a eu l'idée d'organiser des conversations téléphoniques avec des salariés volontaires de sa filiale américaine. Pour la rentrée scolaire 2007-2008, 70 collaborateurs anglophones se sont déjà portés volontaires pour aider les étudiants à atteindre le niveau d'anglais exigé lors des concours d'entrée des grandes écoles. Ils se sont engagés à accorder chaque semaine 30 minutes d'entretien téléphonique en anglais à un ou plusieurs étudiants français. Les tuteurs bénévoles s'entretiendront préalablement avec les professeurs d'anglais des étudiants concernés, et recevront une liste de thèmes de discussion, ainsi que des formulaires d'évaluation de progrès. (...)
(05/10/2007 16:46:32)Data center : Du solaire pour éviter les pénuries d'énergie
L'avenir ne s'annonce pas rose pour les salles de serveurs américaines. Selon une récente étude du Gartner, 70 % des salles de serveurs du pays devront revoir leurs structures sous peine d'être confrontées à des interruptions de services d'ici à 2011. En cause ? Des installations inadaptées aux besoins énergétiques actuels. « Ces salles de serveurs étaient typiquement construites pour des besoins de 100 à 150 watts par pieds carrés [ndlr, 1 pied carré = 0.1 mètre carré ] », explique Rakesh Kumar, vice-président du Gartner. « Les besoins actuels tournent autour de 300 à 400 watts par pied carré, et d'ici à 2011, ils pourraient atteindre plus de 600 watts par pied carré. » Pour l'agence américaine de l'environnement (EPA), il faudrait construire une douzaine de centrales électriques supplémentaires d'ici à 2011 pour éviter des pénuries. Des panneaux solaires pour réduire la facture Dans ces conditions, certains retrouvent les joies de l'autarcie. Ainsi AISO.net, un fournisseur d'accès Internet vient de construire un nouveau centre de calcul totalement indépendant du réseau électrique général. Situé à 80 kilomètres de Los Angeles, en plein désert, les 2000 pieds carrés de cette salle de serveur ont été flanqués d'une surface équivalente en panneaux solaires qui se chargent de l'alimentation électrique, y compris le chargement des batteries pour le travail de nuit. Pour éviter de trop dépenser, les 120 serveurs d'origine ont été remplacés par quatre serveurs lames d'IBM dotés de machines virtuelles. La climatisation ne fonctionne que dix minutes par heure, et dès que la température tombe sous les 60°F (environ 15°C), c'est l'air extérieur qui est utilisé pour refroidir le bâtiment. L'installation a coûté 100 000 $, mais la facture électrique de la compagnie est passé de 3000 $ par mois, à rien du tout. (...)
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