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(05/10/2007 14:52:43)

Alliance TICS élit ses nouveaux présidents

L'union des syndicats professionnels créée en 2003 pour rassembler les industriels des technologies de l'information, de la communication et des services associés, sous l'appellation Alliance TICS, livre les résultats des élections de son bureau. Christophe Stener, jusqu'alors vice-président exécutif de la fédération et président du SFIB (syndicat des fabricants de matériels informatiques et bureautiques) a été élu président. Guy Roussel, président du GITEP TICS, (syndicat des équipementiers de télécommunications) et précédent président d'Alliance TICS, devient vice-président exécutif. Le bureau se compose également de vice-présidents représentant les différents métiers de la fédération, dans les filières réseaux mobiles, fixes et privés, PME, support/services associés, traitement du document, traitement de l'information et du courrier. (...)

(05/10/2007 13:13:05)

Un site de Microsoft lorgne le marché de la santé

Microsoft vient de lancer HealthVault, site qui s'intéresse à la santé des internautes. Décidément, ce secteur est devenu la poule aux oeufs d'or pour les acteurs de l'industrie informatique. Après la guerre qui s'est déroulée et qui persiste pour gagner les marchés publics dans le cadre du DMP notamment, ou encore les annonces d'Orange sur le lancement d'un portail dédié à la santé, c'est donc au tour de Microsoft de sortir ce site pour le moins étonnant. HealthVault permet aux utilisateurs d'Internet de stocker toutes leurs données médicales. Un moteur de recherche agrémenté de services permettra à terme de suivre son poids, l'évolution d'une maladie et obtenir moult informations qui jusqu'alors ne sortaient que de la bouche de nos médecins. Bien entendu, Microsoft garantit une protection et une confidentialité des données personnelles de chacun, et se rémunère pour le service via la publicité. Forcément une clientèle aussi captive doit valoir cher auprès des laboratoires et autres annonceurs du secteur. D'ailleurs, Microsoft n'est pas le seul à s'intéresser à ce marché juteux puisque Google prévoit de lancer un service similaire baptisé Google Health. Voilà qui devrait sans aucun doute contribuer à combler le déficit de la sécurité sociale : si les patients passent plus de temps sur Internet à suivre leurs maladies et à diagnostiquer leurs boutons, ils iront moins voir leurs médecins, c'est sûr... Reste à savoir dans quelle mesure les services proposés seront suffisamment sérieux pour qu'ils ne constituent pas un danger pour le malade : la consultation personnelle d'un Vidal est généralement le meilleur moyen de devenir hypocondriaque. (...)

(05/10/2007 10:55:03)

Cegid discute avec un groupe de services

(mise à jour) L'éditeur de logiciels de gestion Cegid, et plus précisément son premier actionnaire ICMI (19,20 % du capital), devrait céder une partie de ses titres à un groupe de services. C'est ce qui résulte des discussions menées sur l'évolution de l'actionnariat de Cegid Group par ses trois principaux actionnaires, ICMI, Apax et Eurazeo. Précision d'importance : il ne s'agit pas d'un groupe de services informatiques. L'éditeur lyonnais indique que cette prise de participation devrait s'accompagner d'un accord industriel avec Cegid Group. Les modalités de cet accord restent à préciser, sous le contrôle du Conseil d'Administration. Jean-Michel Aulas, président du Conseil d'Administration et actionnaire majoritaire d'ICMI, rappelle qu'il souhaite continuer à diriger l'entreprise avec Patrick Bertrand, son directeur général, ainsi qu'avec le comité de direction actuel. Il privilégiera donc « toute solution qui favorisera la pérennité et l'accélération du développement du groupe ». «Aller au-delà du traitement de la donnée » Interrogé sur le fait que le groupe pressenti n'évolue pas dans les services informatiques, Patrick Bertrand rappelle que « le logiciel est un outil de traitement de la donnée, mais qu'un éditeur peut souhaiter aller au-delà pour apporter d'autres choix ». Il donne un exemple, en précisant bien qu'il est sans rapport direct avec l'activité du partenaire évoqué. « Pour un éditeur de logiciels de paie, il est intéressant d'inclure la gestion des tickets restaurants dans la chaîne. Tous les éditeurs ont ainsi passé des accords avec les fournisseurs de chèques restaurant, point essentiel du traitement de la paie. Aujourd'hui, un éditeur peut donc apporter un autre choix que le strict traitement des données. » Sans pouvoir être plus précis, le dirigeant promet qu'on devrait en savoir davantage assez rapidement. Le groupe de services pressenti est d'origine française et implanté à l'international. Enfin, Patrick Bertrand tient à rappeler que « le point important, c'est qu'il s'agit bien d'une évolution capitalistique qui a pour mission de faire évoluer le groupe en conservant l'équipe dirigeante actuelle ». Une réflexion lancée en juillet dernier On savait depuis juillet dernier que Jean-Michel Aulas envisageait de céder une partie des titres qu'il possède dans la société qu'il a lui-même fondée. Une mission de conseil et de réflexion avait alors été confiée à la banque Lazard Frères qui devait, le 15 septembre dernier, remettre aux actionnaires les propositions reçues. Interrogé fin août à l'occasion de l'annonce des résultats semestriels de Cegid, Jean-Michel Aulas avait indiqué que la décision d'élargissement du capital de son groupe suscitait « un fort appétit » de la part de partenaires potentiels. (...)

(05/10/2007 10:24:30)

La grande tournée de Microsoft dans les palais de la République

Steve Ballmer, patron de Microsoft, s'est rendu à l'Assemblée nationale pour y rencontrer des députés et, mardi 2 octobre, a consacré une autre visite le midi au Premier ministre François Fillon. Mercredi 3 octobre, ce sont les principaux représentants de Microsoft France (le PDG Eric Boustouller, le directeur technique Bernard Ourghanlian, et le chargé des affaires publiques Marc Mossé) qui ont rencontré la direction de la DGME (Direction générale de la modernisation de l'Etat). Si aucune communication officielle n'a eu lieu autour de ces « opérations de relations publiques », il est probable qu'on y ait beaucoup parlé des récents déboires de Microsoft devant l'Union européenne (condamnation confirmée pour abus de position dominante) et l'Afnor (échec de la normalisation rapide de Office Open XML). Notre confrère Libération indique que Steve Ballmer aurait affirmé aux députés, en charge du vote des lois : « Microsoft se conformera aux législations en vigueur. » Mais le sujet d'avenir reste l'adoption en France du RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité). La version actuelle prévoit que OpenDocument devienne le format bureautique standard obligatoire pour les administrations, ce qui exclurait d'office la dernière version de la suite bureautique de Microsoft de tous les marchés publics (à moins d'y intégrer un plug-in de conversion). Cette obligation ne s'appliquerait pas aux anciens documents archivés même si le RGI possède un volet consacré à l'archivage. La prochaine réunion du Comité RGI est prévue le 12 octobre. Lors de la dernière réunion le 6 juillet, le Syntec et le ministère de la Défense avaient été remarqués par leurs contributions très positives sur le projet de RGI tandis que l'AMF (Association des Maires de France) reste hostile par principe. Malgré les sollicitations, l'AMF n'aurait apporté aucune contribution technique au débat. Le souci serait davantage d'imposer le principe de l'indépendance des choix techniques des collectivités locales. Et tant pis pour la rationalisation des dépenses publiques. (...)

(04/10/2007 18:05:53)

BEAWorld 2007 : BEA prépare Tuxedo à la SOA

A l'occasion de BEAWorld 2007 (à Barcelone), BEA a livré la version 10 de Tuxedo, le moniteur transactionnel historique de l'éditeur. Cette mouture doit notamment redonner des couleurs au produit en le dopant à la SOA, désormais fer de lance de BEA. Ainsi, cette version 10 supporte désormais les standards reconnus de sécurité liés au cryptage de messages, notamment le SSL (Secure Sockets Layer). Selon BEA, les versions précédentes ne reposent que sur un cryptage propriétaire. Toujours dans la famille Tuxedo, BEA annonce la version 2.0 de SALT (Services architecture leveraging Tuxedo), qui supporte désormais les services Web bi-directionnels. L'éditeur affirme que cette mouture supporte également WS-Security. Enfin, BEA dévoile TSAM 1.1 (Tuxedo System and application Monitor), application de monitoring de transaction de services et de contrôle de SLA (Service Level Agreement). (...)

(04/10/2007 18:04:59)

BEAWorld 2007 : BEA prône les processus tournés vers les utilisateurs

L'heure est au Web 2.0. Alfred Chuang, fondateur et PDG de BEA dans son discours d'inauguration de BEAWorld 2007 à Barcelone, a déclaré que dans le contexte IT actuel, tout était mashup. Et que BEA, en tant que fournisseur d'infrastructure, avait des réponses à apporter. C'est devant un parterre de quelque 2000 partenaires et clients de l'éditeur que le PDG a livré assez laconiquement, les orientations et les ambitions de sa société. Au programme, les applications dynamiques (Dynamic business application) conjuguant SOA, BPM et, plus surprenant, le social computing ou Web 2.0. Un nouveaux concept d'applications qui s'adossera à une plateforme de développement baptisée Genesis. Pour Alfred Chuang, le postulat de base est simple : primo, l'industrie connaît une révolution avec le social computing et le Web 2.0, qui place l'utilisateur au centre de la manipulation de données. Et secundo, l'innovation par les applications packagées est révolue. "Passer cinq ans et dépenser des millions de dollars à développer une application, c'est du passé". Place ainsi aux applications composites, à la SOA, coeur de métier de l'éditeur. Ce changement quasi-culturel - selon BEA - dans l'industrie informatique pousse ainsi Alfred Chuang à fusionner le meilleur des mondes. Son concept : rapprocher des utilisateurs les processus métier et leur manipulation. « Des applications reposant sur l'humain façonnées pour ses méthodes de travail. » A partir de services et de processus métier pré-conçus, l'utilisateur, au travers de mashup, manipulera les tâches et les données dont il a la charge, en fonction de son rôle (commercial, marketing, comptabilité, etc...). Wiki, Blog, RSS apporteront un côté collaboratif à l'ensemble. Genesis pour soutenir le concept Alfred Chuang a ensuite présenté le Projet Genesis, plateforme qui se composera d'une série de modules, dont la nature reste pour l'heure peu commentée. On parle notamment d'un socle de services et de processus métier, qui pourront être fédérés à des fins de mashup. A l'occasion de l'édition américaine de BEAWorld 2007 à San Francisco (du 10 au 12 septembre), Alfred Chuang a également ajouté que Genesis intégrera des possibilités de SaaS et de facturation à l'utilisateur. Workspace 360 servira d'environnement de développement. (...)

(04/10/2007 14:33:37)

Ingres rachète Luminary Solutions et MIS

Issu du partenariat entre CA et Garnett & Helfrich Capital, Ingres Corporation étend ses activités dans les services informatiques. L'éditeur de bases de données et de solutions Open Source vient en effet de se porter acquéreur du britannique Luminary Solutions et de l'Australien MIS, deux sociétés spécialisées dans le développement d'applications critiques. Implantées au Royaume-Uni, en Irlande, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ces deux acquisitions apportent à Ingres Corporation quelques belles références dont notamment le trésor public irlandais et le ministère australien de l'éducation. (...)

(04/10/2007 14:32:03)

Yahoo ! revendrait Kelkoo

Acheté il y a trois ans pour la modique somme de 475 M€, le portail spécialisé dans la comparaison de prix Kelkoo ne serait pas à la hauteur des espérances de Yahoo. C'est du moins ce que l'on peut conclure d'un communiqué émanant de la société et dans lequel elle reconnaît réfléchir à une possible cession de son comparateur de prix. L'annonce intervient précisément au moment où Microsoft, de son coté, investit dans Jellyfish, un portail également spécialisé dans la comparaison de prix. Dommage que Yahoo n'ait pas eu la bonne idée de discuter avec Microsoft si ce dernier s'intéresse au commerce en ligne, car on voit mal qui serait prêt par ailleurs à mettre 500 M€ dans une société aux résultats à priori médiocres. (...)

(04/10/2007 14:28:37)

Les entreprises maîtrisent mal la valeur de leur informatique

Le principe qu' « une entreprise qui réussit est forcément une entreprise capable de mesurer la rentabilité et la productivité de chaque service, chaque acquisition, chaque recrutement » ne s'appliquerait pas forcément au secteur de l'informatique. Selon une étude menée par le cabinet Vanson Bourne auprès d'entreprise américaines, françaises, allemandes, italiennes et du Royaume-Uni, seulement 60% des responsables financiers auraient essayé de mesurer la valeur de leur informatique. Ils ne seraient que 37% parmi les responsables informatiques. Sur les 250 responsables informatiques et financiers interrogés, plus de la moitié estiment toutefois que le problème se pose moins quand il s'agit de connaître ou pas la valeur de son informatique, que de s'y intéresser sous l'angle de la rentabilité. « Quand on sait que plus d'un trillion de dollars ont été dépensés l'an dernier en informatique, on est en droit d'attendre que les résultats de cette enquête alertent les entreprises », souligne Stephen Kelly, DG de Micro Focus, éditeur qui a commandité l'étude, qui ajoute : « Si les entreprises ne connaissent pas le coût et la valeur de leur informatique, elles doivent avoir beaucoup de mal à prendre les bonnes décisions quand il s'agit d'investir pour évoluer ». Bonne élève, l'Allemagne serait la plus sérieuse avec 60% des responsables qui estiment avoir une idée précise de la valeur de leur informatique, contre 12% au Royaume-Uni, le plus mauvais élève de l'étude. Il faudra attendre novembre pour avoir une version complète de l'étude et connaître notamment la position des entreprises françaises dans ce palmarès. Quelle qu'elle soit, on sait déjà que la France n'échappe pas à cette aberration qui voudrait que la rentabilité de l'informatique ne soit pas mesurée au même titre que toutes les autres valeurs de l'entreprise. (...)

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