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(04/10/2007 14:02:25)

Capital risque : Le Libre au creux d'un cycle normal

Comment interpréter la très nette baisse des investissements en capital -risque dans le monde (américain) du Libre au cours du dernier trimestre ? Selon la compilation réalisée par The 451 Group, les 77,8 M$ investis représentent une baisse de 42% sur un an. "Il ne faut pas s'inquiéter", répondent les analystes du 451 Group. D'une part, 2006 fut une année record. D'autre part, le secteur est au milieu d'un cycle. Les entreprises dotées l'an dernier cherchent cette année soit des fusions / acquisitions, soit à s'introduire en bourse et non un refinancement. A l'autre bout du cycle, l'augmentation des opérations d'amorçage et de premiers tours de table au cours des deux derniers trimestres laissent penser qu'une nouvelle vague se prépare. Du point de vue des venture capitalistes, les rachats de XenSource et de Zimbra ont été perçus comme un signal fort. Citrix a déboursé 500 M$ pour XenSource et Yahoo 350 M$ pour Zimbra. (...)

(03/10/2007 14:19:50)

Steve Ballmer en visite diplomatique à l'Assemblée nationale

C'est devant des députés convertis aux logiciels libres que s'est exprimé Steve Ballmer hier. Le PDG de Microsoft, qui avait demandé à rencontrer des élus de l'Assemblée nationale, essaye sans doute de redorer le blason de sa société, qui vient d'être condamnée par la justice européenne. Selon Libération, il aurait affirmé que «Microsoft se conformera aux législations en vigueur». Cela changera de l'attitude de son entreprise vis-à-vis de la Commission européenne depuis des années. Juste avant, Steve Ballmer avait apposé son paraphe sur un accord de partenariat entre sa société et l'IEP de Paris (Science Po). Cet accord est décrit en terme très vague. Les deux signataires ont "décidé de développer, sur le long terme, des collaborations innovantes qui mettent en valeur le rôle clé des TIC comme vecteur de l'égalité des chances, instrument pédagogique, outil de gestion de la vie universitaire et comme objet d'étude." (...)

(03/10/2007 13:07:41)

TechEd : SAP propose aux développeurs de s'abonner à NetWeaver

Pour augmenter le nombre de développeurs familiers de son environnement NetWeaver, SAP propose désormais de s'abonner pendant un an à l'utilisation de ces outils d'infrastructure. Cette offre, présentée à l'occasion du TechEd de Las Vegas (01-05 octobre), est pour l'instant réservée aux Etats-Unis et à l'Allemagne (les autres pays y accéderont l'an prochain). L'abonnement annuel revient à 2 300 dollars aux Etats-Unis, ou 1 750 euros HT en Allemagne. Cela inclut l'accès au serveur d'application, au portail et aux applications décisionnelles, ainsi qu'aux différents outils, correctifs et mises à jour qui seront livrés pendant la période d'abonnement. Une réserve toutefois. Il s'agit d'une licence destinée à permettre d'évaluer NetWeaver. Des développements sont donc possibles, mais pas leur mise en production dans l'entreprise, en revanche. Des outils pour les applications composites et les processus métiers A Las Vegas, SAP a par ailleurs annoncé l'ajout, à sa plateforme NetWeaver, d'un jeu intégré d'outils (SAP NetWeaver Composition Environment) pour constituer et déployer des applications composites. Bien que ces dernières aient d'abord vocation à s'appuyer sur la suite de gestion intégrée, SAP Business Suite, elles pourront néanmoins emprunter à d'autres briques du marché, selon l'éditeur allemand. Ce dernier a également annoncé l'arrivée prochaine de nouveaux outils de gestion de processus métiers (BPM), ce qui devrait renforcer la concurrence avec des acteurs comme BEA Systems (WebLogic), IBM (WebSphere) ou WebMethods. Dans la foulée, les outils d'intégration NetWeaver Exchange Infrastructure changent de nom, devenant NetWeaver Process Integration. Désormais, les processus métiers pourront réagir en temps réel à un événement ou une alerte (la modification d'une donnée, par exemple). Une première version de cette offre sera livrée à quelques clients en décembre prochain. De l'importance du BPM Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Gary Barnett, associé du cabinet d'études britannique Bathwick, fait remarquer que « si les offres de BEA ou IBM présentent l'inconvénient d'être purement technologiques alors que celle de SAP a l'avantage d'associer la technologie et les applications, en revanche, l'offre d'infrastructure de SAP ne sera jamais aussi indépendante des applications sous-jacentes que peuvent l'être celles d'IBM ou de BEA. » Quoi qu'il en soit, Gary Barnett estime que SAP se devait d'étendre les capacités de NetWeaver pour suivre la demande autour des services Web et du BPM émanant de ses clients. « Tout se situe effectivement au niveau des processus métiers. Cela signifie qu'il n'est pas possible de laisser tout un chacun fournir les outils qui vont permettre de modifier les processus que vous exécutez. » Parmi les annonces faites à TechEd figure aussi la mise à jour d'Enterprise Services Repository, le référentiel destiné à gérer les services Web. Celui-ci supporte maintenant la version 3.0 du standard UDDI (Universal Description, Discovery and Integration). (...)

(03/10/2007 08:42:39)

Microsoft se paye le comparateur de prix Jellyfish.com

Microsoft vient de mettre la main sur le comparateur de prix Jellyfish.com, qui reverse aux consommateurs une partie des commissions perçues sur leurs achats. Pour Microsoft, cette acquisition constitue un levier pour accroître son offre de services liés au e-commerce et à la recherche en ligne, même si aucun détail n'a filtré sur la façon dont l'éditeur compte intégrer le site à ses activités. Microsoft n'a pas davantage indiqué le montant de la transaction. « Nous pensons que la technologie [de Jellyfish] possède un potentiel d'applications intéressant dans notre optique de renforcement dans l'e-commerce en tant que composante de Lice Search », explique simplement le groupe de Redmond. Les annonceurs choisissent le montant de la commission qu'ils acceptent de verse à Jellyfish pour chaque transaction réalisée. Au moins la moitié de ces sommes sont ensuite renversées aux consommateurs après un délai de 30 à 60 jours. Le mécanisme, baptisé « pay per action » permet aux vendeurs, selon Jellyfish, de mener leur activité en ligne sans risque et d'éviter notamment les dérives inhérentes à l'e-commerce comme la fraude au clic. Selon le site, plus de cinq millions de produits sont référencés. (...)

(03/10/2007 08:40:24)

GFI met la main sur le Groupe BTD

GFI vient d'annoncer l'acquisition du Groupe BTD, SSII française fondée en 1981 et implantée en région parisienne et à Rennes. Le montant de l'opération n'a pas été divulgué. " Une entreprise bénéficiaire et complémentaire de GFI Informatique dans ses compétences et ses implantations. Une très belle acquisition ", s'est félicité Jacques Tordjman, PDG de GFI Informatique. Implantée pour l'essentiel en région parisienne avec une agence à Rennes, le Groupe BTD a réalisé, lors de l'exercice 2006, un chiffre d'affaires consolidé de 54 M€ pour un résultat opérationnel courant d'environ 8% et un résultat net de 4,2%. Il regroupe environ 800 personnes et revendique des spécialités verticales dans la banque, les télécommunications et l'industrie, et des expertises horizontales dans les domaines des ERP, la Business Intelligence et les infrastructures. Un cocktail que GFI estime donc très complémentaire du sien, notamment avec des compétences PeopleSoft alors que le Groupe dirigé par Jacques Tordjman est plutôt connu pour son orientation vers Oracle. L'acquisition de 100% des actions du groupe BTD a été financée par un emprunt moyen terme de 30M€, le solde étant assuré par l'autofinancement. L'opération fait grimper l'endettement net de GFI à 45%, mais le pourcentage n'inquiète pas son PDG : " Notre taux d'endettement est encore très raisonnable, parmi les plus bas des grands de ce marché. Il ne nous gênera pas pour atteindre nos objectifs et donc mener à bien d'éventuelles autres opérations de croissance externe." De fait, la croissance organique ne suffira pas à honorer les objectifs du Plan stratégique 2010 de l'entreprise qui prévoit d'atteindre le milliard d'euros de chiffre d'affaires de 2010 pour 9% de résultat opérationnel... Le 12 septembre, pour le compte du premier semestre 2007, la SSII a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 3,8% à 331,9 ME pour un résultat opérationnel courant en augmentation de 1,7 ME à 20,9 ME. Avant l'acquisition du Groupe BTD, GFI informatique regroupait environ 5200 personnes dans l'Hexagone pour une quarantaine d'agences, mais aussi 9 implantations en Europe du Sud, Europe du Nord, Canada et Maroc où la plateforme offshore qui regroupe aujourd'hui une soixantaine d'ingénieurs est désormais opérationnelle. (...)

(02/10/2007 19:20:59)

Steve Ballmer explique la stratégie de Microsoft aux PME françaises

Le patron de Microsoft Steve Ballmer a pris une heure, cette après-midi, au cours de sa tournée parisienne, pour rencontrer une cinquantaine de PME françaises. Le matin, Steve Ballmer avait déjà rencontré une quinzaine de grands comptes. Mais il s'agissait cette fois, comme l'a fait le maître de cérémonie Bertrand Launay, directeur de la division entreprises, collectivités locales et partenaires de Microsoft France, de bien faire passer le messages aux entreprises qui ne font pas forcément partie du CAC 40 : « Vous comptez pour nous. » Ces entreprises de taille moyenne, qui comptent « entre 500 et 1000 PC », pour reprendre la définition que nous a donnée Bertrand Launay, ont donc eu droit à une explication de la stratégie de Microsoft par Steve Ballmer 'himself', qui a encore une fois déployé son talent d'orateur, mêlant humour et énergie. Ainsi, en réponse aux questions de la salle, Steve Ballmer a évoqué la compétition avec Google à la fois « dans le domaine de la recherche, où Google est un acteur dominant (je crois que je peux employer ce terme...) », et dans le domaine bureautique « où nous sommes... très forts ». Rappelant que dans le passé, Excel et Word ont su profiter du manque d'intérêt des acteurs dominants de l'époque pour les interfaces graphiques, Steve Ballmer a expliqué que Microsoft ne commettrait pas cette erreur : « Nous n'offrirons pas d'ouverture à Google, nous embrassons cette notion de logiciels et de services. » Le thème du « Software + services » était en effet au coeur du discours du CEO de Microsoft. Rien de bien neuf pour qui avait déjà suivi les annonces sur le « Software + services ». En résumé : des postes et des logiciels clients puissants, pour faciliter la productivité individuelle, alliés à des outils en ligne, pour faciliter la collaboration entre collègues et le nomadisme. « Le meilleur du desktop, de l'entreprise, du online et des appareils mobiles », a affirmé Steve Ballmer, qui dénigrait dans le même temps les simples offres de logiciels en ligne, accessibles via un navigateur. Quiksilver a adopté Silverlight pour son site communautaire Le côté pratique de la conférence était assuré par Marc Jalabert, responsable de la division plateformes d'entreprise, qui a fait une courte démonstration de ce que Microsoft, ses partenaires et le service informatique de Quiksilver ont développé pour refaire entièrement le site Web de ce fabricant de vêtements de sportswear. Au menu : un site de commerce électronique, bâti avec Commerce Server, et un site communautaire pour les fans de surf, qui a permis de suivre en vidéo HD et en direct l'étape française de la compétition de surf. Ce site exploitait Silverlight 1.0 pour la présentation, et le serveur de streaming de Silverlight pour la diffusion en continu de la vidéo. Ironie de la chose, nous a expliqué Marc Jalabert par la suite, seuls les utilisateurs de Mac au sein de la société Quiksilver ont pu accéder au site, l'autre moitié des utilisateurs travaillant sur Windows 2000, que ne supporte pas Silverlight... (...)

(02/10/2007 18:01:52)

Sun (ré)intègre le stockage à la division serveurs

«Je vais radicalement augmenter l'implication de Sun dans le stockage. Comment ? Je vais combiner nos équipes Stockage et Serveurs pour créer un nouveau groupe au sein de Sun connu comme notre équipe Systèmes. » Par cette annonce sur son blog, Jonathan Schwartz, PDG de Sun, annonce encore une réorganisation de la partie stockage de sa société à l'heure où celle-ci supprime de 4 à 5000 postes dont un nombre indéterminé dans les deux divisions. John Fowler, qui dirige pour l'instant la division Serveur prendra la tête de cette nouvelle entité. Pour lui, cette fusion sera source d'innovation : « nous allons consacrer beaucoup d'énergie au point d'intersection entre le lieu où vous stockez vos affaires et celui où vous faites les calculs. Vous nous verrez aussi dépenser beaucoup d'énergie sur notre portefeuille logiciel. Nous voulons avoir une plateforme réellement ouverte autour de Solaris pour permettre l'exploitation du stockage et de ses capacités, ainsi que l'utilisation d'autres matériels, logiciels et technologies en provenance de Sun. » Pour John Webster, analyste au cabinet d'étude Illuminata, avec cette fusion Jonathan Schwartz mise une fois de plus sur la propriété intellectuelle de Sun : « Jonathan essaie de tirer partie des droits de Sun dans le monde de Solaris de toutes les manières possibles et le stockage est l'une d'entre elle. Assembler ces deux organisations fait donc tout à fait sens de ce point de vue ». Plus simplement, c'est aussi une excellente façon de rationaliser ses ventes : « C'est logique d'avoir le stockage et les serveurs dans la même division car ils sont souvent vendus ensemble », explique Charles King du cabinet Pund-IT. « Vous vous adressez aux mêmes clients, il y a de véritables économies d'échelle à faire en centralisant ainsi le marketing et la publicité. » (...)

(02/10/2007 17:13:30)

Sony et Qimonda feront DRAM commune

Le Japonais Sony et Qimonda, spécialiste allemand des composants mémoires, fondent au Japon Qreatic Design, une joint venture 50/50. Sa mission consiste à concevoir des composants mémoires DRAM haute performance et basse consommation pour des design embarqués ou spécifiques. Qreatic Design est présenté par Qimonda comme son premier effort de diversification en dehors du monde de la micro-informatique. Qimonda regroupe l'activité mémoire d'Infineon, société créée par Siemens pour se désengager des semiconducteurs. Au quatrième trimestre 2006, Qimonda se plaçait au troisième rang mondial derrière Hynix et Samsung (...)

(02/10/2007 16:23:19)

Semestriels : Oberthur CS délocalise, réduit ses coûts et améliore sa marge

Résultats encourageants pour Oberthur Card Systems au 1er semestre en dépit d'un plan de restructuration. Le spécialiste des technologies de cartes à puce annonce un chiffre d'affaires de 278 M€, en hausse de près de 14%, pour un résultat d'exploitation de 5,9 M€. Une marge notamment liée à un processus de délocalisation des sites de production industriels de la France et des Amériques vers l'Asie et notamment la Chine. Au niveau géographique, le développement du chiffre d'affaire connaît des fortunes diverses : si celui qui a été dégagé en Europe ­ depuis longtemps en précurseur en matière de cartes à puce ­ croît de 24% par rapport au semestre précédent, la tendance est inverse en Amérique du Nord où les revenus baissent de 7,2% sur la même période. La palme à l'activité en Asie avec une croissance des ventes de près de 30%, mais sur un chiffre d'affaires de 20 M€ (soit 7% du total contre 25% à l'Amérique du Nord et 68% à l'Europe). (...)

(02/10/2007 12:25:25)

La start-up Seemage séduit tant Dassault Systèmes, qu'à la fin il la croque

Seemage, éditeur français installé à Sophia Antipolis, vient d'être racheté par le fournisseur de solutions de CAO Dassault Systèmes, séduit par l'expertise que la start-up a su développer dans le domaine de l'accès aux informations techniques sur les produits. L'éditeur de Catia avait commencé par nouer un partenariat avec Seemage il y a tout juste un mois, qui faisait le pont entre le PLM (Product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits) de Dassault et son offre de vue en 3D. Dassault Systèmes dit en effet vouloir démocratiser l'accès aux données 3D de CAO (conception assistée par ordinateur) et leur exploitation, avec l'ambition de faire de la 3D « un média universel ». Au catalogue de Seemage figure un outil de visualisation comme Viz qui permet d'ouvrir différents modèles de CAO dans leur contexte - avec définitions, concepts de conception... -, sans pourtant disposer des logiciels qui les ont créés (Adobe développe un concept similaire pour son PDF). L'éditeur propose également Mockup pour manipuler des fichiers de CAO pouvant contenir plusieurs milliers de pièces. Tout cela, précise Seemage, sans « connaissance préalable des applications de CAO ». Les solutions de visualisation et d'exploitation de fichiers 3D de Seemage avaient déjà su retenir l'attention d'investisseurs comme TechFund Capital Europe, Sophia Euro Lab et Primaveris. L'entreprise fait par ailleurs partie des candidats ayant été sélectionnés par Microsoft dans le cadre de son programme Idées (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up), des sociétés triées sur le volet (25 par an seulement) pour le caractère innovant de leur produit et pour leur potentiel international. Outre la France, Seemage est également installé aux Etats-Unis (dans le Massachusetts). (...)

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