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(30/08/2007 16:58:20)
MIBS : fusion et accord de distribution au programme de la rentrée
MIBS, filiale d'IB Group, vient de signer un partenariat avec Fujitsu Siemens Computers. La SSII française distribuera les produits et services du groupe germano-japonais (intégration, virtualisation, automatisation). Le constructeur annonce être à la recherche d'autres partenaires au profil similaire. MIBS a par ailleurs indiqué que le projet de fusion avec la SSII Overlap était en bonne voie. « Ce rapprochement industriel va dans le sens de la concentration des sociétés de service et d'intégration, analyse Loïc Villers, PDG d'IB Group. Grâce à cette fusion, nous mettrons en commun des compétences complémentaires, MIBS évoluant essentiellement dans l'univers HP, et Overlap majoritairement dans le monde IBM. » Georges Horocks, actuellement PDG d'Overlap, prendra la tête de l'ensemble. « Chaque entité devrait garder son identité pour le moment », précise encore la direction. Filiale de IB Group, MIBS emploie 180 personnes en France et a réalisé un chiffre d'affaires de 137 M€ en 2006, en hausse de 52% par rapport à l'année précédente. Overlap compte 280 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires de 116,3 M€ (exercice clos le 30 avril 2007). (...)
(30/08/2007 15:27:02)Open XML : la France s'oriente vers un Non
Après l'Inde et le Brésil, la France, représentée par l'Afnor (Agence française de normalisation), pourrait s'opposer à la normalisation ISO du format Open XML de Microsoft. Si, après deux journées de session houleuse la décision finale doit encore être prise par l'Afnor, il semblerait que les membres de la commission - à l'exception de Microsoft - soient parvenus à un consensus général sur la position à adopter. Ce serait ainsi « non, avec commentaires ». La position officielle de l'Afnor est attendue dans les heures qui suivent la publication de cet article. Lire l'article de Bertrand Lemaire sur www.cio-online.com (...)
(30/08/2007 14:04:38)Yahoo poursuit sa réorganisation
Premier mouvement d'ampleur chez Yahoo, depuis le remplacement, au mois de juin, du PDG Terry Semel par Jerry Yang. Le portail vient d'annoncer, par la voix de Susan Decker, présidente du groupe nommée dans la foulée de l'arrivée de Yang aux commandes, le départ de Gregory Coleman, vice-président des ventes. Il sera remplacé par Hilary Schneider, qui a rejoint Yahoo en 2006.
Gregory Coleman paye ainsi les performances déclinantes du portail, incapable de rivaliser avec Google, d'augmenter ses parts de marché et, par conséquent, de faire progresser ses ventes de publicité. Yahoo doit en outre faire face au succès des sites communautaires comme MySpace ou FaceBook, dont le nombre croissant de visiteurs se fait au détriment de l'audience du portail.
Un constat que dénonçait Jerry Yang, lors de son accession au poste de PDG. Le nouvel homme fort de Yahoo se donnait alors 100 jours pour esquisser un plan stratégique visant à remettre le groupe sur la voie du succès.
Les responsabilités qu'exerçait Gregory Coleman seront transférées dans la nouvelle division, Global Partners Solutions, dont l'objet sera d'organiser les relations avec les annonceurs, les partenaires et les éditeurs.
Jerry Yang remplace Terry Semel à la tête de Yahoo
Fronde au sommet de Yahoo (...)
Panne WGA : Microsoft invoque l'erreur humaine
« Rien de plus qu'une erreur humaine. » C'est en ces termes que Microsoft a qualifié le hoquet technique des serveurs du service d'authentification WGA (Windows Genuine Advantage). Le 24 août, le service, chargé de vérifier l'authenticité de Windows et Vista, a enregistré un dysfonctionnement de ses analyses, notamment du service d'activation, et ce pendant 19 heures. L'éditeur de Redmond invoque sur son blog une défaillance humaine et non pas une simple coupure de service. Alex Kochis, chef de produit WGA, écrit qu'un nouveau logiciel - non validé - a été accidentellement chargé sur les serveurs de production hébergeant le système, alors non-préparés aux changements. L'éditeur affirme également avoir mis en place quelques procédures d'alertes et de récupérations plus en amont afin que de tels problèmes ne se reproduisent pas. (...)
(30/08/2007 12:10:06)L'intersyndicale d'Unilog fait la lumière sur l'affaire Didier Herrmann
: La tentative d'éviction de Didier Herrmann, président du directoire d'Unilog, par les dirigeants de la SSII britannique Logica suscite inquiétudes et réactions, parmi les représentants du personnel d'Unilog (groupe Logica). Devant l'urgence de la situation, et suite à une succession d'informations peu claires et imprécises, l'intersyndicale CGT, CFDT, CFTC et CFE-CGC a décidé de rappeler les faits, dans un communiqué adressé à l'ensemble des salariés d'Unilog. Tout commence le 28 mai, date où LogicaCMG annonce le départ « en retraite » de Martin Read, CEO et directeur général, à la suite d'un avertissement sur résultat au Royaume-Uni. C'est Jim Mc Kenna qui reprendra le flambeau par intérim. Un choix auquel Didier Herrmann n'adhère pas, rapporte le Comité central d'entreprise. A cette occasion, le président du directoire d'Unilog demande un audit indépendant des comptes de la SSII britannique, qui lui est refusé, le groupe se contentant d'un rapport interne, sans effet ni conséquence. Fin juillet, le board décide que les responsables opérationnels devront rapporter non plus à Martin Read, mais à Jim Mc Kenna, bien que sa prise de fonction en tant que PDG intérimaire ne soit effective qu'au 21 septembre. Un renvoi qui requiert la convocation du conseil de surveillance S'appuyant sur son contrat de travail, qui prévoit qu'il doit rapporter directement au CEO et non au COO, Didier Herrmann refuse de se mettre sous la coupe de Jim Mc Kenna, avant que sa prise de fonction soit effective. Plutôt que d'attendre que cette nomination soit officielle, LogicaCMG prend la décision de renvoyer Didier Herrmann, d'abord du board, puis de ses fonctions de président du directoire d'Unilog. Reste que son renvoi en tant que responsable opérationnel doit être voté par une Assemblée générale, qui elle-même nécessite la convocation du Conseil de surveillance. Selon les représentants du personnel, les membres du board auraient d'abord tenté de négocier la démission de Didier Herrmann. Puis les choses se seraient accélérées devant son refus. L'intersyndicale rapporte que Seamus Keating, directeur financier de LogicaCMG, aurait adressé trois courriers entre le 30 juillet et le 7 août, pour exiger la réunion en urgence du Conseil de surveillance, pour le nommer président du directoire en lieu et place de Didier Herrmann et pour convoquer l'Assemblée générale. Ce Conseil de surveillance a bien eu lieu le 13 août. Mais, il a été décidé de différer la convocation de l'Assemblée générale à une prochaine réunion prévue début septembre, après publication des résultats du 1er semestre. Ce délai paraissant visiblement insupportable aux dirigeants, ceux-ci viennent d'assigner Unilog en référé pour obtenir la convocation de l'Assemblée générale par voie judiciaire, rapporte l'intersyndicale. (...)
(30/08/2007 10:04:24)Windows Server 2008 n'arrivera qu'en...2008
Microsoft a fait glisser de quelques mois la date de sortie de Windows Server 2008. Attendu dans les dernières semaines de 2007, la RTM (Release to Manufacturer) de Windows Server 2008 ne sera disponible qu'au cours du premier trimestre 2008. Chez Microsoft France, on explique ce report par la communauté de code entre Ws Server 2008 et Vista, son client. Autrement dit, lancement de Ws Server 2008 et finalisation du Service Pack de Vista sont liés. Il est vrai que le SP1 de Vista comporte, entre autres améliorations, l'optimisation de ses capacités de communication. En revanche, on ignore qui de Windows Server 2008 ou du SP1 de Vista a retardé l'autre. Toutefois, que ceux qui avaient noté la période du 11 au 13 février comme celle de la fenêtre de lancement officiel de Windows Server 2008 se rassurent. La grand'messe aura bien lieu à ce moment. (...)
(30/08/2007 10:02:37)Service Pack en vue tant pour Vista que pour Windows XP
Début 2008 pour Vista, plus tard pour Windows XP, les deux systèmes d'exploitation individuels de Microsoft recevront un Service Pack. Ce sera le troisième pour Windows XP et le premier pour Vista. Ces deux SP, dont Microsoft ne disait pas un mot jusque-là, entrent en phase bêta d'ici deux semaines. Celui d'XP, qui concerne un parc installé sans commune mesure avec celui de Vista, sera avant tout composé du cumul des nombreuses rustines émises chaque mois par Microsoft depuis le SP2 de 2004. La seule amélioration fonctionnelle sera la mise à disposition du client NAP (Network Access Protection), la brique manquante au contrôle d'accès sécurisé au réseau version Microsoft. Pour Vista, il en est tout autrement. Ce Service Pack géant -1 Go à l'aune de la bêta- va bien au-delà du cumul de correctifs puisqu'il contient aussi des éléments pour l'amélioration des performances et de la fiabilité ainsi que pour l'administration du poste client. Le SP1 améliorera la fiabilité de Vista avec des périphériques aussi divers que les cartes graphiques, les imprimantes et les écrans externes sur les portables. Microsoft souligne aussi une meilleure fiabilité dans certaines configurations réseau, l'entrée et la sortie du mode veille et, enfin, pour les configurations mises à jour à partir de Windows XP. Le SP1 de Vista embarque aussi le support des derniers standards matériels. Les améliorations de performance promises avec le SP1 porteront sur : - la vitesse de copie et d'extraction des fichiers, - le temps de réveil à partir des différents modes d'hibernation, - la jonction d'un domaine et le délai de logon, - la vitesse d'Internet Explorer et la réduction de sa consommation processeur. Enfin, la SP1 substitue les outils actuels de gestion de politique de groupe. Ils sont remplacés par des versions plus complètes. A lire l'énumération du contenu du SP1 de Vista au niveau de l'amélioration des performances on ne peut s'empêcher de penser que, malgré son report de plusieurs mois, la sortie de Vista était définitivement prématurée. (...)
(30/08/2007 09:58:16)Semestriels Sopra : croissance portée par les activités ISS et Axway
Sopra Group vient de publier ses résultats pour le premier semestre de l'année. La SSII française affiche un chiffre d'affaires de 483,3 M€, en hausse de 9,1% par rapport au même semestre de l'année dernière, dont 7,5% en croissance organique. Le résultat opérationnel courant s'établit, quant à lui, à 34,5 M€, et la marge opérationnelle courante ressort à 7,1%. Le résultat net est ostensiblement en hausse (22,7%), avec 21,1 M€ engrangés. Plus en détail, l'activité ISS France (Intégration de systèmes et de solutions) et ISS Europe - qui représentent respectivement 59,7% et 21,6% du CA de la société - enregistrent une bonne performance, avec une croissance de 7,7% et de 6,7%. Pour la filiale Axway, créée en 2001 et spécialisée dans l'intégration des applications d'entreprise (EAI), le chiffre d'affaires s'établit à 67,2 M€ au premier semestre (+ 27,4%). Cette excellente performance résulte notamment de la signature de plusieurs contrats, ainsi que de la consolidation de l'activité B-to-B d'Atos Origin au sein d'Axway en Allemagne. Déception en revanche pour la branche Conseil de la SSII, le résultat opérationnel passe de 2,5 à 2,2 M€. Sopra Group explique cette chute par les frais occasionnés par la réorganisation de l'équipe dirigeante. Pour l'exercice en cours, Sopra Group confirme donc ses prévisions de croissance organique supérieure à celle du marché (entre 6 et 8%, d'après le Syntec), ainsi qu'une amélioration de sa marge opérationnelle. La SSII, qui fêtera en janvier prochain ses quarante ans, a réalisé un chiffre d'affaires de 897,7 M€ en 2006, et emploie 10 700 personnes dans le monde (dont 7300 en France). (...)
(29/08/2007 18:11:46)Semestriels Cegid : croissance soutenue sur fond d'évolution du capital
Au fil des mois, Cegid s'est mis en ordre de marche pour faire face à une forte croissance, ainsi que l'ont rappelé ce matin Jean-Michel Aulas et Patrick Bertrand, président et directeur général du groupe lyonnais, à l'annonce des résultats du premier semestre 2007. Sur les six premiers mois de l'année, l'éditeur de logiciels de gestion a enregistré une progression de 13 % de ses ventes de licences et de services (41 % du chiffre d'affaires), par rapport au premier semestre 2006, et une augmentation de 29,6 % de son résultat net, à 5,7 M€. Dans les revenus de la maintenance (46 % du CA), en augmentation de 3 %, on note une nette progression de la part de l'outsourcing (+14 %) qui représente 5 % du chiffre d'affaires total (environ 6 M€ sur le semestre). Pour mieux illustrer ses performances (jugées « brillantes » par son président), Cegid communique aussi son résultat opérationnel courant avant actions gratuites : 12,4 M€, représentant 11 % du chiffre d'affaires, en hausse de 30,5 % par rapport à 2006 (où il pesait 8,9 % du CA). Patrick Bertrand rappelle par ailleurs la bonne tenue de l'action Cegid depuis le début de l'année. Pour le deuxième semestre 2007, l'éditeur prévoit aussi de bonnes performances (traditionnellement meilleures sur les six derniers mois de l'année). Il axe résolument sa stratégie sur ses quatre domaines de compétence, les PGI (progiciels de gestion intégrés) généralistes, les solutions métiers, les outils de finance et la gestion des ressources humaines. Enfin, parallèlement à sa cible historique des PME, Cegid poursuit sa conquête des grands comptes avec des résultats probants (+ 18 % sur son chiffre d'affaires réalisé dans les entreprises de plus de 1 000 salariés). Cegid suscite les appétits Interrogé sur l'élargissement du capital de la société, Jean-Michel Aulas est revenu sur la mission de conseil confiée à Lazard Frères. Les trois principaux actionnaires étudient effectivement l'arrivée de nouveaux investisseurs, ce qui suscite « un fort appétit » de la part de partenaires potentiels (groupes industriels et financiers), reconnaît le président de Cegid sans pouvoir en dire plus pour l'instant. La position de l'éditeur sur le marché comptable, notamment, est intéressante - un peu plus de 60 % des experts comptables travaillent avec ses solutions. Jean-Michel Aulas précise néanmoins que l'heure de la retraite n'a pas sonné pour lui, évoquant une volonté forte des « partenaires » à maintenir en place le management de Cegid. On en saura davantage après le 15 septembre (date de remise des propositions aux actionnaires). Expertise métiers et développement international Au cours du semestre, l'éditeur a achevé de se désengager de ce qui ne constituait pas son coeur de métier, en revendant ou externalisant à SCC ses activités liées au matériel. Il a par ailleurs renforcé son expertise métier, l'un de ses principaux fers de lance, avec le rachat d'AS Infor, acteur du commerce spécialisé (il compte à ce jour 10 000 points de vente équipés). Cegid a également poursuivi sa stratégie d'implantation à l'international, avec des déploiements en Asie (orchestrés par Cegid Hong-Kong) et un accord avec un groupe canadien pour localiser son offre comptable pour l'Amérique du Nord. (...)
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