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(31/07/2007 12:45:32)

Monster supprime 15% de ses effectifs

Mauvaise nouvelle pour Monster. Victime de résultats financiers jugés insuffisants au second semestre 2007 ( bénéfice opérationnel reculant à 42,4 M$, contre 59,3 M$ l'an dernier, résultat net en chute de 28% à 28,6 M$), l'un des géants du recrutement en ligne lance un plan de réduction des coûts, qui se traduit par la suppression de 800 emplois, soit 15% des effectifs. Les coupes concerneront essentiellement l'Amérique du Nord, et épargneront les équipes commerciales, du moins dans un premier temps, a indiqué le groupe dans un communiqué. Le spécialiste du recrutement sur Internet a également précisé qu'il comptait centraliser ses fonctions de ressources humaines et de finances. Grâce à cette réorganisation, Monster entend réaliser des économies de 150 à 170 millions de dollars par an. (...)

(31/07/2007 12:11:04)

Web 2.0 : Wikia développe un moteur de recherche participatif

Baptisé Wikia et conçu par la société du même nom, voici que naît un moteur de recherche qui a pour ambition de concurrencer les mastodontes du marché, tels que Google, Yahoo ou encore Microsoft. Jimmy Wales, fondateur de Wikia et de Wikipedia, prétend même « apporter une dimension humaine à la recherche en ligne, contrairement à des moteurs comme Google, qui se basent sur des procédures d'indexation et de classement entièrement automatisées ». Pour développer son moteur de recherche, Wikia va s'appuyer sur la technologie d'indexation de Grub, une société que l'éditeur a rachetée il y a quelques mois. Son principe : un robot d'indexation de pages Web, fonctionnant sur un mode du calcul distribué, permet aux internautes d'utiliser les ressources inexploitées de leur machine pour participer à un effort général d'indexation. Les volontaires devront télécharger sur leur ordinateur un petit programme. Ce dernier recevra quotidiennement de nouvelles missions de la part du serveur central, naviguera sur des dizaines de sites, puis renverra les contenus trouvés. Avec Grub, Wikia dispose ainsi d'une immense puissance de calcul, sans pour autant devoir entretenir de coûteux parcs de serveurs dédiés à l'indexation - comme le fait Google. Le projet a par ailleurs été passé sous licence open source. Les internautes seront également mis à contribution pour la qualification des résultats. Ils auront la possibilité d'éditer les pages de résultats de recherche (pour faciliter la distinction entre homonymes, par exemple). Ces résultats seront exploités au moyen d'une autre technologie open source, Lucerne. La première version de Wikia devrait voir le jour avant fin 2007. En associant la puissance de la machine à l'esprit d'analyse humain, Wales estime être en mesure de « proposer une alternative convaincante aux actuels ténors du secteur de la recherche en ligne ». A une seule condition : que les internautes jouent le jeu, dans l'esprit participatif du Web 2.0. (...)

(31/07/2007 11:34:36)

Iliad prend son ticket pour la téléphonie mobile 3G (mise à jour)

Ce mardi, tous les candidats à la très onéreuse licence de téléphonie mobile UMTS devront avoir déposé leur candidature à l'Arcep, l'Autorité de régulation des télécoms. Longtemps pressentie pour cette quatrième licence 3G, Iliad, la maison mère de Free, a attendu la veille de la date limite pour se déclarer officiellement. Face au tarif demandé par l'Etat (619 ME plus 1% du CA généré), Numericable et Neuf Cegetel ont jeté l'éponge. De son côté, Iliad est bel et bien sur les rangs, mais pas à n'importe quel prix. Maligne, la maison mère de Free pose ses conditions dans un communiqué aux allures de plaidoyer. Après avoir échoué dans sa demande - rejetée par le Conseil d'Etat - pour l'annulation de cet appel à candidature (aux motifs de conditions financières trop importantes), Iliad a finalement trouvé un intérêt à se positionner à la table des opérateurs mobiles avec Bouygues Telecom, SFR et Orange. « Les marges très élevées des opérateurs mobiles historiques, la baisse continue des charges de terminaison d'appels sur réseaux mobiles, la portabilité des numéros, la faculté d'obtenir rapidement un accord d'itinérance ainsi que la forte baisse du coût des équipements dessinent le cadre d'un modèle économique de développement attractif, reposant sur une offre simple, accessible à tous et sans engagement de longue durée », explique la société dans son communiqué. Candidat, oui mais... Evidemment, après avoir tenté d'annuler les conditions financières de l'attribution de cette 4e licence, Iliad pose ses conditions. Sachant qu'en cas de succès, le directeur général d'Iliad Maxime Lombardini estime l'investissement total « entre 1,8 et 1,9 milliard d'euros », l'opérateur demande un aménagement des modalités financières et notamment un échelonnement des paiements. Deuxième condition, « l'accès aux bandes de fréquences 900 MHz concomitamment aux fréquences 2,15 GHz », à la portée plus importante. Enfin, Iliad met la pression sur ses (éventuels) futurs concurrents en poussant à la coopération pour la mise en place des infrastructures, sous la surveillance de l'Arcep. La guerre est déjà commencée, Maxime Lombardini estimant qu'ils pratiquent des prix élevés. Si Iliad était retenu par l'Arcep le 29 février 2008, avant validation par le gouvernement, le groupe pourrait alors proposer une véritable offre 'quadruple play' : Internet, TV, téléphonie fixe et mobile. Et vendre une partie de son réseau à un éventuel MVNO (opérateur virtuel) comme l'a confirmé son DG. Maxime Lombardini a en effet déclaré au journal Les Echos vouloir « répliquer dans le mobile ce que nous avons su faire dans l'Internet : des offres simples, accessibles, innovantes et sans engagement de longue durée ». A moins qu'Iliad ne jette l'éponge, ce qui peut encore être le cas, devant la barrière financière à l'entrée de ce marché. Pour autant, la société n'abandonnerait pas son idée de disposer d'une offre de téléphonie mobile et se tournerait alors vers une position de MVNO. Enfin, si une autre de ses exigences était satisfaite : cela se ferait uniquement, a ajouté Maxime Lombardini, « si le régulateur a la volonté d'imposer des conditions plus favorables aux MVNO ». (...)

(30/07/2007 19:02:16)

Microsoft dévoile sa stratégie en matière d'applications en ligne

Ray Ozzie, architecte logiciel en chef de Microsoft, vient de donner des détails sur la stratégie de l'éditeur dans le domaine des applications proposées en ligne. « Notre approche de la fourniture de services va se faire dans le cadre d'une plateforme qui donnera à chacun de nos produits les atouts de coût, de vitesse, d'échelle et de tarification que permet justement le modèle de la plateforme. » Cette infrastructure multi-usages, baptisée Microsoft Services Platform (MSP), supportera tant les applications de Microsoft que celles de ses partenaires. Ray Ozzie a indiqué que les douze à dix-huit prochains mois verront, sur ce terrain, la sortie de technologies et d'offres de services qui s'inscriront dans le cadre de cette plateforme en ligne que Microsoft bâtit, et cibleront tout autant le grand public que les entreprises et les développeurs. L'architecte en chef a précisé que la plateforme se composait de quatre niveaux. Elle démarre avec des services de base que Ray Ozzie compare à la couche physique du réseau. Ceux-ci incluent de volumineux centres de données et des batteries d'ordinateurs. MSP devrait également comporter des services d'infrastructure pour le stockage et des services de plateforme pour la gestion d'identité et de présence, ou encore pour la mise en ligne de publicité. La dernière couche apportera des applications pour les différentes catégories d'utilisateurs (individuels, professionnels, développeurs). [[page]]Selon Peter O'Kelly, du Burton Group, il ne s'agit pas d'une stratégie de défense de la part de Microsoft, mais bel et bien d'une offensive. L'analyste juge que la concurrence, en particulier Google, a alarmé Microsoft à un niveau qui n'avait plus été atteint depuis l'époque où Netscape l'avait défié. « Sans Google, Microsoft n'aurait probablement pas été aussi agressif dans ce domaine », estime Peter O'Kelly. Les investissements réalisés par Microsoft sont visibles dans le cadre de ses divisions produits et plus clairement encore dans la construction de ses centres de données, notamment à San Antonio et sur un autre site américain, non encore révélé. Les investissements sur la partie « services en ligne » apparaissent également de façon évidente dans le récent rapport fiscal livré à l'occasion des résultats annuels de l'éditeur. Ray Ozzie s'est offert le luxe de déclarer que Microsoft était le seul acteur de son secteur à avoir le souffle pour proposer une offre de service qui couvre le spectre allant des attentes du grand public à celles des entreprises. Il n'a pas détaillé les services à venir au cours des prochains mois. Sur ce point, le PDG Steve Ballmer avait été plus disert début juillet. Il avait précisé à des partenaires que Microsoft allait fournir le même genre de fonctionnalités qu'il livre aujourd'hui dans des logiciels packagés comme Windows Server, Active Directory et Operations Manager, et que la plateforme offrirait à la fois des services pour les particuliers (comme Windows Live et Office Live) et pour les entreprises (messagerie Exchange hébergée, fonctions de collaboration et solutions telles que Dynamics CRM - gestion de la relation client). (...)

(30/07/2007 17:42:09)

Steria veut s'offrir Xansa pour une place en Grande-Bretagne

Steria vient de proposer 472 M£ (soit 700 ME) afin de racheter une société de services britannique. Baptisée Xansa, cette SSII devrait permettre à Steria de renforcer sa position en territoire anglophone. Principalement dans le domaine de l'outsourcing pour les institutions financières, spécialité de Xansa, indique le cabinet PAC. D'après Pierre Audoin Consultants, Xansa est 16e du marché britannique, Steria 25e. « En proforma sur 2006, cette acquisition permettrait à Steria de rentrer dans le top 15 des fournisseurs de services informatiques sur le marché UK », avec un CA cumulé sur ce marché de 571 M£, loin derrière EDS (2,24 Md£), IBM (2,15 Md£) ou Fujitsu (1,57 Md£). Capgemini (1,28 Md£) et Atos Origin (642 M£) seraient encore devant. Objectif : 2 MdE en 2008 La SSII française précise que cette transaction entraînera la création d'un acteur IT européen pesant près de 1,8 milliard d'euros de chiffre d'affaires, et « couvrant l'ensemble de la chaîne de valeur des services informatiques ». Steria ne cache pas son ambition de procéder à de futures acquisitions, que ce soit en France ou sur le marché britannique, avec pour objectif de porter son chiffre d'affaires à 2 MdE à l'horizon de 2008 (contre 1,26 MdE en 2006). « Cette acquisition est la meilleure dont nous aurions pu rêver en raison de la combinaison des actifs des deux sociétés, notamment dans les marchés en croissance tels que les services publics et les marchés financiers », a déclaré lors d'une conférence de presse François Enaud, gérant et PDG de Steria. Selon le calendrier indicatif fourni par Steria, la transaction devrait être finalisée mi-octobre 2007. Le groupe a publié un résultat net en hausse de 8,4% et un résultat opérationnel en progression de 13,8% au 1er semestre 2007. (...)

(30/07/2007 16:37:48)

Business & Decision finalise le rachat d'Inforte

La SSII française Business & Decision vient de finaliser le rachat d'Inforte, une société de services américaine spécialisée dans les projets de gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les solutions décisionnelles. Inforte a notamment développé une expertise sur l'offre d'analyse de données de l'éditeur allemand SAP. Cette acquisition, initialement annoncée en mai dernier, permet à Business & Decision de renforcer sa présence outre-Atlantique, outre-Manche et en Inde, et de s'installer en Allemagne. Basé à Chicago, Inforte compte quelque 250 collaborateurs et dispose de bureaux à Atlanta, Delhi (Inde), Londres et à Hambourg. (...)

(30/07/2007 15:46:49)

Trois semaines après Intel, Cisco investit dans VMWare

150 millions de dollars, c'est la somme que Cisco s'apprête à débourser pour investir dans VMWare, spécialiste de la virtualisation logicielle. Au terme de cette opération, l'équipementier réseau devrait s'emparer de 1,6% du capital de la filiale d'EMC. Côté administratif, l'arrivée d'un membre de Cisco au sein du conseil de direction de VMWare est à l'étude. Au début du mois, Intel injectait pour sa part 218,5 M$ chez ce même éditeur (ce qui correspond à 2,8 % du capital). VMWare profite ainsi d'argent frais pour poursuivre ses développement sur un marché hautement concurrentiel, tandis que Cisco et Intel s'assurent une présence dans une technologie promise à un bel avenir. VMWare avait été racheté 635 M$ par EMC en 2004, et le constructeur a introduit en Bourse un dixième du capital. (...)

(30/07/2007 15:24:53)

Pas de certification GIE CB pour une éventuelle Kedra Box

On ne sait toujours pas si Iliad se lancera sur le marché des professionnels avec la marque Kedra comme les rumeurs l'annonçaient. Mais une chose est sûre, contrairement à ce qu'indiquait le site kedra.fr (désormais fermé), l'hypothétique boîtier ADSL/GSM Kedra Box n'a pas été approuvé par le G.I.E. Cartes bancaires. Interrogé par lemondeinformatique.fr, le groupement a indiqué qu'« il n'y a pas de traces de certification de notre part, donnée à la société Iliad ni au produit Kedrabox ». La maison mère de Free n'ayant toujours pas souhaité nous répondre, le lancement d'une offre destinée aux professionnels sous la marque Kedra reste à l'état de rumeur. Seule certitude : selon le bulletin des annonces légales obligatoires, Iliad détient bien plus de 50% des parts dans la société Kedra. (...)

(30/07/2007 13:43:46)

Microsoft cherche la certification Open Source pour ses licences Shared Source

Microsoft tente de se faire admettre par la communauté Open Source. A l'Oscon, la Convention O'Reilly Open Source qui s'est tenue à Portland du 23 au 27 juillet, Bill Hilf, responsable de la stratégie plateforme de l'éditeur de Windows, a indiqué que Microsoft allait soumettre ses licences Shared Source à l'OSI (Open Source Initiative, l'organisme garantissant la validité de la marque Open Source), afin qu'elles puissent être certifiées et considérées comme de véritables licences Open Source. Les intentions de Microsoft sur ce dossier sont également commentées sur « Port 25 », un blog tenu par le laboratoire Open Source Software de Microsoft. Russ Nelson, qui siège au comité d'approbation des licences de l'OSI, a confirmé qu'il s'attendait à ce que Microsoft soumette ses licences Shared Source à l'OSI d'ici une semaine. Cette décision semble bien accueillie. Sur le blog qu'il tient sur CNET, Matt Asay, l'un des membres du bureau de l'OSI, y voit un signe de respect pour « la communauté ». Il juge même que Microsoft fait partie des quelques grands acteurs qui comprennent vraiment l'Open Source, « même si je n'aime pas toujours la façon dont ils travaillent avec la communauté Open Source ». Pour Zack Urlocker, vice-président marketing de l'éditeur de base de données MySQL AB, ce pas est très significatif. Il montre que Microsoft cherche à adapter ses pratiques pour réussir dans cette communauté qui existe en dehors de lui. Rappelons que dans le cadre de son initiative Shared Source, Microsoft a ouvert le code source de ses produits selon trois modèles de licences précisant les conditions d'accès et de diffusion. La moins restrictive, la Microsoft Permissive Licence (Ms-PL), permet de consulter, modifier et redistribuer du code source dans un but commercial ou non. La Microsoft Community Licence (Ms-CL), qui cible les développements collaboratifs, est soumise à des conditions spécifiques et assortie d'accords de réciprocité. Quant à la Microsoft Reference Licence (Ms-RL), elle autorise uniquement la consultation du code source, en excluant toute modification ou redistribution, même non commerciale. (...)

(30/07/2007 13:37:33)

KPN veut racheter Getronics pour muscler son offre de services IT

L'opérateur télécoms néérlandais KPN vient d'annoncer une offre de rachat en cash de la société de services informatiques belge Getronics. Le montant de la transaction s'élève à 766 ME, soit 6,25 euros par action. A travers cette acquisition, l'opérateur entend essentiellement muscler son offre de services IT. "Les services convergés entre informatique et télécoms constituent notre priorité aujourd'hui", résume Jean-Claude Vandenbosch, directeur général de Getronics Belgique et France. Ad Scheepbouwerde, PDG de KPN, a déclaré pour sa part que la combinaison des activités de Getronics avec celle de KPN "apportera immédiatement de la valeur ajoutée, et transformera notre division de technologies de l'information et de la communication". Dans une même logique de convergence informatique / télécommunications, Belgacom avait déjà racheté la SSII Telindus l'année dernière. Bénéfices en baisse et suppression d'emplois A l'issue de la transaction, plusieurs centaines d'emplois devraient être supprimés, et la direction de Getronics sera remaniée. Klaas Wagenaar, l'actuel directeur général de la société, quittera notamment ses fonctions. KPN a profité de cette annonce de rachat pour avancer la publication de ses résultats. L'opérateur a enregistré au deuxième trimestre 2007 un bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciations et amortissements (Ebitda) de 1,28 MdE, soit une baisse de 400 ME (-7,2%) par rapport à la même période en 2006. Douze analystes interrogés par Reuters prédisent à KPN un excédent brut d'exploitation aux alentours de 1,23 MdE. Getronics compte 900 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de 125 ME. Les deux sociétés avaient engagé des discussions préliminaires en 2006, sans toutefois parvenir à se mettre d'accord. "Il y a eu entre-temps des changements majeurs au sein de Getronics. L'entreprise s'est séparée de beaucoup d'actifs dont nous estimions la vente nécessaire", a précisé Ad Scheepbouwer, le directeur général de KPN. L'offre, qui devrait être formellement lancée en septembre, a obtenu le soutien unanime des deux conseils de direction et de surveillance des groupes. (...)

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