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(01/08/2007 14:43:55)

Philippe Germond prendra la présidence d'Atos Origin le 1er octobre

L'annonce est désormais officielle, Philippe Germond deviendra président du directoire d'Atos Origin a partir du 1er octobre 2007. Cette nomination ne surprend guère puisque l'ex vice-président du directoire et directeur général du groupe de services informatiques avait été désigné candidat officiel à la succession, le 12 juin dernier, par l'actuel président Bernard Bourigeaud. Lequel a également profité de l'occasion pour rappeler qu'il resterait dans le groupe jusqu'au 31 décembre 2007, en tant que membre du directoire, afin « d'assurer une transition en douceur ». Arrivé chez Atos Origin en décembre dernier, Philippe Germond était jusqu'ici membre du directoire en charge des régions Asie-Pacifique, Amérique du Nord et d'Atos Worldline. Il a exercé différentes fonctions de direction, notamment en tant que directeur général d'Alcatel (avant la fusion avec Lucent). Il a également occupé le poste de PDG dans différentes sociétés comme Cegetel (groupe Vivendi), SFR, Vivendi Universal Net, Vivendi Telecom International et fut membre du comité de direction de Vivendi Universal. (...)

(01/08/2007 14:44:49)

Les 50 000 blogs les plus actifs auraient généré un CA de 500 M$ en 2006

Une étude publiée par une Université du Texas et Chikita (un réseau de syndication de publicité qui recense 12 000 bloggeurs) indique que le "top 50 000" des blogs présents sur le Net aurait généré un chiffre d'affaires de 500 M$ en 2006. Mais il ne faut pas rêver, les blogs ne sont pas l'eldorado pour tout le monde : la majorité des revenus publicitaires est concentrée sur un très petit nombre de blogs. L'étude n'entre pas vraiment dans les détails, et sa méthodologie est assez discutable. L'université du Texas s'est en effet appuyée sur les seuls blogs appartenant au réseau publicitaire Chikita, en extrapolant les résultats. Et la popularité des blogs a été calculée selon l'indice Technorati, qui n'est pas forcément le plus représentatif. Autre reproche que l'on peut faire à cette publication, elle ne précise pas clairement ce qu'est un blog. En gros : où s'arrête le blog et où commence le site Internet ? On reste dans le flou. Par ailleurs le rapport n'a pas pris en compte le fait que les blogs peuvent avoir d'autres sources de revenus difficilement quantifiables, comme des économies de personnels ou l'absence de frais de communication. Bref, l'étude pêche par plusieurs côtés. Le rapport soulève néanmoins un point intéressant, l'économie "bloggesque" ne répond pas à la loi des 20/80. Cette règle, également appelée loi de Pareto, veut que 80% des richesses soient détenues par 20% des acteurs économiques. L'étude révèle que le top 1% des blogs accapare approximativement 20% des revenus (soit 100 M$ pour 500 blogs), le top 5% des blogs s'attribue 50% des revenus, le top 10% des blogs 80% des revenus, et le top 15% des blogs 90% des revenus. L'une des raisons de ce phénomène pourrait être la valeur « sociale » de la publicité sur un blog, expliquent les auteurs de l'étude : la publicité sur un site serait comparable à celle présente dans un centre commercial, et celle sur les blogs comparable à celle dans un club privé. (...)

(01/08/2007 12:31:49)

Semestriels Bull : croissance des services en phase avec l'objectif

Résultats 1er semestre 2007 (comparé à la même période de l'exercice précédent) CA : 550,2 ME (-1,6%) Résultat net : 4,5 ME (+15%) Présentant ce matin les résultats de son groupe au premier semestre 2007, Didier Lamouche, PDG de Bull, s'est livré aux figures imposées de la discipline, en insistant sur les signes positifs. Ainsi, a-t-il souligné, « la croissance organique et le chiffre d'affaires des petites acquisitions compensent quasi entièrement la perte du CA de la filiale italienne », vendue en décembre pour cause de mauvais résultats rémanents. A l'époque, Didier Lamouche disait que l'Italie avait coûté 5 ME à Bull en cinq ans. Bull réalise donc un CA un peu en deçà de celui du premier semestre 2006 : 550,2 ME contre 559,2. Mais à périmètre comparable, « le chiffre d'affaires consolidé progresse de 4,6% », s'enorgueillit le patron du groupe informatique français. Cette croissance de l'activité à périmètre comparable s'explique d'abord par une stabilisation des performances de la division produits, « qui déclinait depuis plusieurs trimestres ». A périmètre comparable, toujours, le CA de la division est stable à 257 ME. Deuxième explication, l'activité de services, fer de lance de la stratégie de renouveau de Didier Lamouche, « croît deux fois plus vite que l'industrie », souligne le patron de Bull. « A périmètre comparable, le chiffre d'affaires des activités de services et solutions progresse de 13,5%, celui des activités de maintenance croît de 3,2%. » Revers de cette médaille, la trésorerie enregistre « un flux négatif » de 15,5 ME. « Nous avions signalé que nous anticipions une trésorerie tendue, et les résultats sont en ligne avec nos prévisions de ce point de vue », a commenté Didier Lamouche. Pour qui cela s'explique simplement par la croissance de l'activité de services et ne saurait donc inquiéter : dans une telle activité, « il faut embaucher avant de pouvoir reconnaître le paiement par les clients ». Bull considère la rumeur sur HP comme un hommage Bien entendu, les premières questions de la presse ont porté sur les rumeurs de rapprochement entre Bull et GFI d'une part, et Bull et HP d'autre part. Tout en indiquant qu'il ne saurait commenter des rumeurs, Didier Lamouche a apporté quelques précisions. Concernant GFI, que Fujitsu aimerait racheter, il a rappelé que les deux groupes se connaissent bien (récemment, Bull a revendu à GFI sa filiale monétique au Portugal) et discutent souvent... de beaucoup de choses. Puis il a évoqué ses ambitions dans les services : « Nos cibles principales sont en France, en Espagne et en Europe de l'Est. A vous de juger si le profil de GFI correspond. » Pour information, GFI est implanté à l'étranger en Espagne, au Portugal, en Suisse, en Allemagne, au Benelux, ainsi qu'au Canada et au Maroc. Concernant HP, les rumeurs se font insistantes en interne : le géant américain pourrait racheter le groupe français. Une perspective dont Didier Lamouche se dit flatté. Une rumeur de rapprochement « avec le numéro un mondial qu'est HP » aurait fait rire tout le monde il y a peu, a-t-il souligné. Et d'en conclure : « C'est un hommage aux équipes de Bull et à son management. » Toutefois, il n'y a rien d'officiel : « Aucune négociation n'est en cours et nous n'avons reçu aucune proposition formelle. » (...)

(01/08/2007 12:25:47)

Bull n'a "aucune négociation" officielle avec HP

Didier Lamouche, PDG de Bull, a précisé lors d'une conférence de presse téléphonique ce matin que son groupe n'avait reçu "aucune proposition formelle" de la part de HP. Une rumeur persistante sur le marché estime en effet que le groupe américain pourrait faire une offre, que nos confrères du site Web de Capital évaluaient à 720 ME. "Aucune négociation n'est en cours", a précisé Didier Lamouche, qui s'est dit flatté de l'existence même d'une telle rumeur, prouvant l'intérât que Bull pourrait avoir aux yeux du numéro un mondial de l'informatique. "C'est un hommage pour Bull et son équipe de management." (...)

(01/08/2007 10:04:19)

Iliad seul candidat à la 4e licence 3G

Lancé le 8 mars 2007, l'appel à candidature pour l'attribution d'une 4e licence UMTS s'est terminé mardi 31 juillet à 12h. L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes n'aura finalement reçu qu'un dossier, celui de Free mobile, filiale à 70% d'Iliad. Le montant pharaonique de la licence (619 M€) en aura donc dissuadé beaucoup qui espéraient pourtant rentrer dans le monde de le téléphonie mobile, aux côtés de SFR, Bouygues Telecom et Orange. L'Arcep va maintenant instruire le dossier et rendre son verdict - sachant que Free Mobile a posé ses conditions - fin février 2008. (...)

(31/07/2007 16:53:09)

Comm'Back passe entre les mains de Vecteur Plus

Le Lyonnais Comm'Back, fournisseur d'une base de données sur la configuration informatique des 35 000 premières entreprises françaises, vient de se faire racheter par Vecteur Plus, une filiale du Groupe Moniteur, spécialisé dans la veille commerciale et la détection d'appels d'offres publics et privés. Comm'Back a également constitué une base de données de 12 000 entreprises évoluant dans le secteur des technologies de l'information. La société, créée en 1994, fournit des contacts qualifiés (leads) pour accompagner la prospection commerciale et les démarches de marketing sur le marché de l'équipement informatique. Elle publie périodiquement un observatoire des projets informatiques en France. Vecteur Plus estime à 5 millions d'euros le chiffre d'affaires qu'il totalise avec Comm'Back dans le service aux entreprises du secteur de l'informatique et des télécommunications. Il table sur 15 % de croissance sur les trois prochaines années. En 2000 et 2004, Vecteur Plus avait déjà racheté OMP puis Servomap, deux sociétés investies dans la veille sur les marchés publics. (...)

(31/07/2007 15:49:37)

Trimestriels Alcatel-Lucent : Une perte nette plus lourde que prévue

Deuxième trimestre de l'exercice fiscal Chiffre d'affaires : 4,326 MdE Perte nette : 336 ME Le deuxième équipementier réseaux et télécoms mondial Alcatel-Lucent vient de publier ses résultats pour le deuxième trimestre de son année fiscale (clos fin juin). Le groupe a réalisé une marge brute de 1,447 MdE, avec une perte d'exploitation de 19 ME, pour un chiffre d'affaires de 4,326 MdE (contre 4,49 MdE sur le deuxième trimestre 2006). Le résultat net, en chute libre, est négatif. La perte s'élève à 336 ME (ce qui correspond à un résultat dilué par action de -0,15 euro). Durant la même période en 2006, le groupe avait enregistré un résultat net de 302 millions d'euros (0,18 euro par action). Les analystes du marché sont déçus par ces chiffres. Ils s'attendaient à un résultat d'exploitation plus important, et surtout à des pertes moins élevées. En revanche, ils prévoyaient un chiffre d'affaires un peu en-dessous de 4,3 MdE. Patricia Russo, directrice d'Alcatel-Lucent, reste toutefois optimiste. Elle juge, par exemple, que les bénéfices du rapprochement entre les deux sociétés se voient surtout à travers la croissance des commandes pour le deuxième trimestre. Le carnet de commandes du 30 juin 2007 est en effet beaucoup plus fourni que celui du 30 mars dernier. La directrice du groupe indique en outre que « 2007 est une année de transition. Dans une industrie en rapide évolution, nous continuons d'accomplir notre plan d'intégration. » Pour l'ensemble de l'exercice, Alcatel-Lucent mise sur une croissance des revenus égale à celle du marché des opérateurs, estimée autour de 5%. Au cours du deuxième trimestre, l'équipementier a supprimé 1 900 emplois dans le monde, ce qui porte le nombre de licenciements à 3 800 depuis le début de l'année. Ce chiffre correspond à plus de 30% de l'objectif du plan de restructuration de la société, qui prévoit le départ de 12 500 personnes sur trois ans (dont 1 470 en France). (...)

(31/07/2007 15:48:12)

Cisco veut se débarrasser de sa marque Linksys

A quoi cela sert-il de faire de la communication à la télévision pour une marque que personne - hors contexte professionnel - ne connaît ? Apparemment, Cisco vient enfin de se poser la question, et a décidé d'y répondre en tuant la marque Linksys, qui commercialise ses produits grand public et PME via le réseau de distribution traditionnel. L'équipementier avait racheté Linksys en mars 2003 pour attaquer le grand public et les PME. En fin de semaine dernière, John Chambers, le patron de Cisco, a confié à des journalistes de la presse européenne qu'il avait conservé le nom Linksys car il était davantage connu par le public américain que le nom Cisco. Mais que cet avantage n'en était guère un à l'international. La marque, a-t-il dit, est donc vouée à disparaître « à terme ». La filiale de Cisco s'est empressée de publier un communiqué pour préciser qu'à terme signifiait « à long terme ». « Les produits PME et grand public Linksys continueront d'être commercialisés sous la marque Linksys et de coexister sur le marché avec des produits grand public Cisco sur le court terme », indique Linksys. « Nous ferons des changements quand et si ces changements ajoutent de la valeur. » Pour Cisco, qui vient de sortir des produits de communication unifiée destinés aux petites entreprises, et vendus via un réseau de distribution, le plus tôt paraît visiblement le mieux. (...)

(31/07/2007 15:08:31)

Annuels Sun : les réductions de dépenses portent leurs fruits

Résultats exercice fiscal (au 30 juin 2007) Chiffre d'affaires : 13,87 Md$ Résultat net : 473 M$ Résultats quatrième trimestre Chiffre d'affaires : 3,83 Md$ Résultat net : 329 M$ Les profits annoncés par Sun Microsystems sur les trois derniers mois de son année fiscale sont finalement supérieurs aux attentes. C'est sur un bénéfice net de 329 M$ que le constructeur américain achève son quatrième trimestre, clos le 30 juin 2007. Il s'agit d'un redressement significatif lorsqu'on compare ce résultat à la perte nette de 301 M$ enregistrée par Sun l'an dernier sur la même période. L'embellie profite à l'ensemble de l'exercice qui fait apparaître un bénéfice net de 473 M$ (contre une perte de 864 M$ en 2006) pour un chiffre d'affaires global de 13,87 Md$, en progression de 6%. Ce n'est toutefois pas l'augmentation des ventes sur le quatrième trimestre qui a amené le retour à la profitabilité, mais les efforts réalisés par le constructeur pour diminuer ses dépenses. Le chiffre d'affaires n'a en effet progressé que de 0,18% sur les trois derniers mois, à 3,835 Md$. En particulier, les ventes de serveurs (machines Sparc et x64) ont baissé de 15%, à 90 000 exemplaires, par rapport à l'an dernier (-4% pour les serveurs x64). En revanche, Sun a réduit ses coûts administratifs, de fonctionnement et de recherche et développement. Mike Lehman, le directeur financier, a également précisé que Sun avait bénéficié de la baisse du prix des composants, notamment sur les mémoires. Les ventes de serveurs ont sans doute pâti des avancées des technologies de virtualisation qui permettent aux entreprises de mieux tirer parti de leurs serveurs plutôt que d'ajouter des machines supplémentaires. Un phénomène compensé en partie par le fait que, selon Jonathan Schwartz, PDG de Sun, les clients qui achètent aujourd'hui de nouveaux serveurs se tournent vers des modèles haut de gamme, ce qui avantage le constructeur.[[page]]« Ils achètent des [serveurs] plus généreusement configurés. Cela joue en notre faveur », a-t-il précisé en évoquant les solides ventes réalisées sur ses modèles SunFire T1000 et T2000, sur ses serveurs lames Netra UltraSparc et sur la combinaison regroupant le serveur X4500 et ses périphériques de stockage. Au passage, Jonathan Schwartz a indiqué que la ligne de serveurs Niagara, basée sur le Sparc T1, pesait 200 M$ dans le chiffre d'affaires du quatrième trimestre. Ses ventes ont progressé de 225% sur l'année fiscale, produisant un chiffre d'affaires de 550 M$. Au quatrième trimestre, contrairement aux ventes de produits en léger recul (2,49 Md$ contre 2,52 Md$ en 2006), les ventes de services ont progressé de 3%, à 1,3 Md$. Se servant de sa marge opérationnelle pour mesurer sa capacité à réduire ses coûts, Sun s'est donné pour but de porter celle-ci à 10% de son chiffre d'affaires pour son année fiscale 2009 (la marge opérationnelle correspond au chiffre d'affaires diminué des dépenses). Pour l'instant, elle représente seulement 2,2% sur l'ensemble de l'année 2007, mais sur le quatrième trimestre de l'exercice, elle s'est déjà élevée à 8,5 %. (...)

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