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(05/02/2007 16:56:26)
Atos, toujours à la peine au Royaume-Uni, hérite d'un nouveau président en France
Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 5,39 Md€ (+1,5%) Marge opérationnelle : 5% (-2,6 points) D'un trimestre à l'autre, les ennuis que rencontre Atos Origin restent les mêmes : le groupe continue de pâtir d'une prestation médiocre au Royaume-Uni et en Italie, qui affecte la croissance de ses revenus et sa rentabilité. En raison du retard pris pour la signature de nouveaux contrats et de l'expiration de quatre grands accords non renouvelés sur le sol britannique (qui engendrent un recul de l'activité de 12,6% pour Atos UK), ainsi que de « conditions difficiles en Italie », Atos Origin voit son chiffre d'affaires progresser de seulement 1,5% en organique sur l'ensemble de l'exercice. Sans tenir compte des performances réalisées au Royaume-Uni, les revenus du groupe afficheraient une croissance de 5,4%. Pour les mêmes raisons, la marge opérationnelle n'atteint que 270 M€, soit 5% du CA, quand elle s'élevait à 7,6% un an plus tôt. Soucieux de rassurer les investisseurs et d'afficher des indicateurs plus flatteurs, le groupe a annoncé la mise en place d'un plan de transformation sur trois ans, qui devrait coûter 270 M€, dont 160 M€ en 2007. Le plan poursuit trois objectifs : l'accélération de la croissance organique, l'amélioration de l'efficacité et la globalisation des opérations. Il prévoit notamment la délocalisation de 20% des activités d'intégration de systèmes et l'organisation mondiale de la fonction achats en vue de réduire les coûts. Il mettra également en place un nouveau comité exécutif chargé d'harmoniser et de mutualiser le travail réalisé dans chaque filiale et rassemblant les patrons des grands pays. La SSII table sur un exercice 2007 fort, avec une croissance organique du chiffre d'affaires de 8,5% et l'augmentation de la marge opérationnelle au Royaume-Uni et en Italie. Bernard Bourigeaud, le président du directoire, espère même y « renouer avec la rentabilité [et] doubler, d'ici à 2009, la marge opérationnelle [pour l'ensemble du groupe] ». Dans le cadre de son plan de transformation, Atos Origin a procédé au changement des dirigeants pour le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l'Italie, la Belgique et la France. Pour l'Hexagone, c'est Didier Zeitoun qui prend les rênes et rejoint, de fait, le comité exécutif. Après être passé par Accenture, Altis et Odyssée Conseil en Organisation, il rejoint Atos Origin en 2000. Quatre ans plus tard, il prend la présidence des activités d'intégration de systèmes pour la France. (...)
(05/02/2007 16:40:58)Intel aurait arrosé Dell pour rester son fournisseur exclusif
Jusqu'où peut-on aller pour décrocher un marché ? Selon l'action de groupe en cours contre Dell, jusqu'à verser un milliard de dollars de marges arrière par an. Ce serait la somme reçue par le constructeur texan pour conserver Intel comme fournisseur exclusif de processeurs x86, au détriment d'AMD. La plainte a été déposée par l'avocat William Lerach, of Lerach Coughlin Stoia Geller Rudman & Robbins LL, pour le compte des actionnaires de Dell. Elle vise plus spécifiquement les manipulations comptables effectuées par le constructeur et son comptable, PriceWaterhouseCoopers, pour camoufler ces pots-de-vin et gonfler ainsi la valeur des actions de Dell. Certains dirigeants de Dell auraient profité de cette hausse injustifiée pour vendre leurs parts et faire une plus-value de 3,3 milliards de dollars. Ces accusations font suite à d'autres procédures en cours aux Etats-Unis et au Japon où AMD accuse Intel de verser des pots-de-vin aux constructeurs, parmi lesquels Dell, pour l'évincer de leurs produits. Les enquêtes en cours ne devraient pas être jugée avant 2009. Toutefois, sur cette affaire en particulier, Chuck Malloy porte-parole d'Intel, dénie toute implication de sa société : « A première vue, certaines des allégations concernant Intel ont pu être inventées. Bien qu'elle reprennent des accusations portées dans d'autres affaires en cours, il n'y a pas de nouvelles plaintes. Intel rejette toutes les prétentions du plaignant et s'attelle d'ores et déjà à sa défense». La société en aura besoin. Avant de s'attaquer à Dell et Intel, William Lerach était déjà responsable des actions de groupe contre Enron et WorldCom. (...)
(05/02/2007 15:57:55)La FSF songe aux mesures de rétorsion suite à l'accord Novell-Microsoft
Novell pourrait bientôt ne plus avoir le droit de distribuer Linux, selon Reuters. La FSF (Free Software Foundation) se donne deux semaines pour décider d'agir - ou non - à l'encontre de l'éditeur, suite à l'accord que ce dernier a signé avec Microsoft en novembre dernier. Eben Moglen, conseiller juridique de la Fondation, cité par la dépêche Reuters, explique que le conseil d'administration n'a pas encore arrêté sa décision, mais que des voix s'y sont élevées pour punir Novell. La même dépêche indique que du côté de Novell, on a choisi de ne pas s'exprimer tant que la FSF ne se serait pas déterminée. En fait, reprise et précisée par Linux-Watch, l'information porte davantage sur la façon dont la version 3 de la GPL pourrait empêcher à l'avenir ce genre d'accord. Qui vient rappeler aux entreprises que Linux vit sous la menace constante de brevets susceptibles d'être opportunément retrouvés ici ou là. La FSF détient les droits sur le compilateur et la librairie C Concrètement, la FSF ne pourrait pas interdire à Novell d'éditer une distribution Linux, précise Loïc Dachary, président de FSF France. « La FSF ne peut interdire que des logiciels pour lesquels elle détient les droits d'auteur. » Soit quelques morceaux du noyau, jugés « non signifiants », mais surtout des éléments aussi importants que la librairie C et le compilateur. La FSF pourrait s'opposer à la redistribution de ces éléments logiciels en vertu d'un article de la GPL, continue Loïc Dachary, qui précise que quelqu'un qui ajouterait un brevet pour interdire la redistribution se verrait lui-même interdire de diffuser le logiciel. Pour l'heure, Novell n'a pas fait usage de ses brevets pour s'opposer à quoi que ce soit. Mais « Microsoft et Novell signant un pacte de non-agression mutuelle, cela signifie implicitement qu'ils ont des armes pour agresser ceux qui ne font pas partie de leur accord », estime le président de FSF France. (...)
(05/02/2007 14:42:59)Business Objects étend son offensive vers les PME au reste du monde
Business Objects vient d'annoncer une offre d'analyse décisionnelle spécialement adaptée aux entreprises de taille moyenne. En France, ce n'est pas sa première du genre ; l'éditeur a déjà monté des solutions packagées pour les PME, distribuées dans le cadre de partenariats spécifiques. Et, sur ses 4 000 clients hexagonaux, les grandes entreprises ne pèsent que 4 %, ce qui révèle l'importance que tiennent déjà les PME dans sa base installée (39 000 clients dans le monde dont 30 000 dans les entreprises de taille moyenne). Cette fois, pourtant, la solution annoncée, Business Objects Crystal Decisions, est la première à avoir été formalisée par Business Objects (BO) à un niveau mondial. De surcroît, elle est commercialisée dans le cadre d'une organisation globale, spécialement mise en place par l'éditeur pour attaquer à l'unisson le marché des moyennes entreprises dans tous les pays qu'il couvre. Les outils décisionnels qui la composent sont ni plus ni moins ceux de la suite décisionnelle Business Objects XI. « Nous n'avons pas réécrit le code car notre offre de Business Intelligence était déjà simple d'accès, commente Jean-Pierre Brulard, vice-président de Business Objects pour l'Europe de l'Ouest, l'Afrique et le Moyen Orient et DG de la filiale française. Ce qui différencie principalement cette offre PME de l'offre traditionnelle de BO, c'est l'intégration déjà réalisée entre les outils de la suite afin de dispenser de cette tâche des clients pourvus de ressources informatiques limitées. Trois versions adaptées à la taille de l'entreprise Pour s'adapter aux différentes tailles de PME visées (jusqu'à 250, 500 ou 1 000 employés), Business Objects décompose cette offre en trois produits pour serveurs, le déploiement s'effectuant en mode Web. Le premier produit, Business Objects Crystal Decisions Standard Edition, est d'ores et déjà livré et disponible sous Windows et Linux. Le prix de sa licence démarre à 20 000 euros pour cinq utilisateurs simultanés (soit une vingtaine d'utilisateurs différents possibles). Les deux autres produits annoncés, Professional et Premium Edition, arriveront aux deuxième et quatrième trimestres de cette année. Comme on pouvait s'y attendre, ces trois éditions se distinguent d'abord par leurs capacités de déploiement et leurs fonctions d'administration. La Standard Edition s'installe sur un seul serveur, ce qui la limite à une centaine d'utilisateurs. En outre, elle ne peut puiser ses informations qu'à une seule base. Pour bénéficier de l'intégration de données entre deux bases (à choisir entre SQL Server, Oracle et DB2), il faudra attendre la Professional Edition. Quant à la Premium, elle apportera une couverture fonctionnelle plus large avec des outils de gestion de la performance (planification et simulation budgétaires, notamment). (...)
(02/02/2007 17:54:22)Luc François Salvador devient PDG de Sogeti
Sogeti - filiale de Cap Gemini - a un nouveau PDG. Serge Kampf, jusqu'alors Président, est remplacé dans ses fonctions par Luc-François Salvador. Celui-ci occupait la direction générale de Groupe Sogeti depuis qu'il avait succédé à Georges Cohen, le créateur de Transiciel, en avril 2005. Luc-François Salvador n'est pas un nouveau venu dans l'univers Cap Gemini. Il a en effet passé près de trois décennies au sein du groupe où il a, notamment, dirigé la branche Exploitation. Dans un communiqué, Sogeti rappelle qu'il a « participé au renouveau en 2002 du Groupe Sogeti à travers l'acquisition de Transiciel ». (...)
(10/01/2007 15:12:28)Brocade se paie Silverback Systems
Le spécialiste du stockage réseau Brocade vient de racheter l'Américain Silverback Systems, constructeur de processeurs de réseau, technologie permettant d'accélérer les flux de données en environnement SAN. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé, mais Brocade confie dans un communiqué que "l'acquisition reste sans impact". La société explique miser sur l'expertise de Silverback dans le iSCSI pour enrichir sa gamme de produits, notamment de commutateurs Fibre Channel. Silverback développe des processeurs de réseau sous la gamme iSNAP (IP Storage Network Access Processor), qui supporte les protocoles iSCSI et RDMA (Remote Direct Memory Access). SilverBack représente le troisième rachat de Brocade en 2006. Le constructeur, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 750,6 M$ en 2006 (+ 30,7%), s'est offert son concurrent McData pour 713 M$ en août, et Nuview (gestion des environnements SAN) pour 60 M$ en mars. (...)
(22/12/2006 17:28:21)Entente sur le prix des DRAM : un dirigeant de Samsung en prison
Le président de la branche américaine de Samsung va passer dix mois en prison et payer une amende de 250 000$ pour le rôle qu'il a joué dans la vaste entente illicite orchestrée par les fabricants de DRAM. Young Hwan Park a plaidé coupable devant un tribunal californien et a ainsi reconnu avoir violé la législation antitrust. L'ancien vice-président des ventes devient le cinquième responsable de Samsung à visiter les geôles d'outre-Atlantique depuis que le ministère de la Justice a ouvert son enquête sur les pratiques de fixation des prix des mémoires vives La procédure a été initiée en décembre 2003 par le DoJ (Department of Justice). En trois ans, quatre fabricants et 18 personnes ont été poursuivis. Les personnes "qui choisissent de s'engager [dans ce genre de pratique] savent quelles peuvent en être les conséquences - amendes et emprisonnement", résume Thomas Barnett, un membre de la division antitrust au DoJ. Young Hwan Park s'était entendu avec d'autres fabricants sur le prix des DRAM vendues aux OEM entre avril 2001 et juin 2002. Dell, HP, Apple et Gateway sont, selon le DoJ, les constructeurs qui auraient pâti de la vile entente. En novembre 2005, Samsung a été condamné pour ces agissements à 300 M$ d'amende. Hynix Semiconductor, le numéro deux mondial des mémoires DRAM, a dû quant à lui débourser 185 M$ en mai 2005. En janvier 2006, c'était au tour du Japonais Elpida Memory de se voir condamné (84 M$). Deux ans plus tôt, en octobre 2004, l'Allemand Infineon payait 160 M$ pour les mêmes raisons. (...)
(22/12/2006 11:19:10)Bull se débarrasse de sa filiale italienne déficitaire
Bull a annoncé aujourd'hui la cession de sa filiale italienne à Eunics, la société d'intégration et de service informatique filiale de l'opérateur d'infrastructures télécoms transalpin Eutelia SpA. Aux termes de l'accord noué entre les deux sociétés, Eunics devient le distributeur exclusif des produits Bull en Italie pour une durée de 5 ans et va reprendre l'ensemble des salariés italiens de Bull. Eunics assurera notamment la vente et le support des solutions du constructeur français. Il fournira aussi des services de support aux clients existants de Bull en Italie. Dans un communiqué, Bull précise que cette cession n'est que la première étape de sa restructuration en Italie. Selon la firme, "cette première opération, qui est ferme, sera complétée dans les jours qui suivent par d'autres mesures en Italie". Depuis un an, Bull pointait du doigt les difficultés de sa filiale italienne pour expliquer la dégradation de ses résultats opérationnels. En juin 2006, la firme avait tout d'abord estimé à 19 M€ la perte opérationnelle pour ses activités transalpines sur l'ensemble de l'année 2006, alors qu'elle prévoyait à l'origine un résultat à l'équilibre. En octobre 2006, Bull avait profité de l'annonce de ses résultats pour dresser un portrait calamiteux de la situation de sa filiale en précisant que le CA du premier semestre 2006 était en recul de 28% par rapport à l'année antérieure et que les commandes enregistrées au premier semestre étaient en chute libre de 51% sur un an. Après avoir limogé les principaux dirigeants de la filiale et achevé un plan social portant sur plus de 150 suppressions d'emploi, Bull tablait alors sur un vaste plan d'économies afin de ramener la filiale à l'équilibre avant fin 2008. La mise en oeuvre de ce plan est désormais entre les mains d'Eunics. (...)
(22/12/2006 17:18:46)Les ventes de PC aux Etats-Unis ne progressent plus
Si le marché mondial des PC a affiché une croissance de 9,1% au troisième trimestre 2006 par rapport à la même période de l'année précédente, les performances réalisées aux Etats-Unis contrastent nettement avec les autres régions du monde où les ventes ont bondi de 13,5% sur le même intervalle. C'est la principale conclusion à tirer des chiffres publiés par le cabinet IDC ce 20 décembre. Les ventes de PC aux entreprises et consommateurs américains n'ont en effet pas progressé en un an. Les vendeurs ont donc dû compter sur les marchés dits mâtures et, surtout, les économies émergentes, pour voir leurs machines trouver davantage d'acquéreur qu'au troisième trimestre 2005. La contre performance du marché américain n'est qu'une demi-surprise. Les Etats-Unis donnent en effet des signes d'essoufflement depuis quelques années : la croissance annuelle des ventes atteignait 10% entre 2003 et 2005 et était retombée à seulement 5% au cours de la première moitié de 2006. Toutefois, personne ne s'attendait à ce qu'elle devienne nulle aussi rapidement, estime IDC. Si le lancement de Vista et les cycles de renouvellement de parc des entreprises devraient redonner des couleurs en 2007à un marché américain atone, les prévisions sur le long terme se cantonnent à une croissance qui ne dépassera pas 8% entre 2008 et 2010. En dépit des signes d'essoufflement des ventes aux Etats-Unis, de nombreux constructeurs n'ont pas senti le vent tourner. Dell et Intel ont ainsi adopté une stratégie peu appropriée aux circonstances en baissant leurs prix - et en affectant par conséquent leurs revenus - pour tenter de conserver leurs parts de marché. Les constructeurs de PC devraient avoir écoulé 66,1 millions de machines à la fin 2006 aux Etats-Unis. Dans le reste du monde, IDC table sur 163,3 millions de ventes. La plus grosse part de la croissance continue d'être issue des marchés émergents et des ventes de PC portables : l'Europe et le Japon affichent en effet des croissances qui marquent le pas depuis plusieurs trimestres, à la fois sur le segment des machines à destination des professionnels que des particuliers. IDC estime que les ventes aux Etats-Unis atteindront 70,7 millions d'unités en 2007, soit une croissance de 6,9%, avant de progresser de 7,7% en 2008. A titre de comparaison, les ventes mondiales devraient bondir de 11,3% l'an prochain et de 10,9% en 2008. (...)
(21/12/2006 17:16:40)Trois sociétés ont choisi l'offre de support Suse par Microsoft
Microsoft vient de révéler les noms de deux banques et d'une filiale de compagnie d'assurance spécialisée dans la gestion de documents ayant souscrit à son offre de support technique pour la distribution Linux de Novell (Suse Enterprise Linux) : le Crédit Suisse, Deutsche Bank et AIG Technology. Cette annonce fait suite à l'accord de partenariat conclu en novembre dernier entre Microsoft et Novell. Dans le cadre de cet accord, Microsoft s'est engagé à distribuer des certificats ouvrant droit à du support technique pour un serveur fonctionnant sous Suse Enterprise Linux. Microsoft prévoit de distribuer 70 000 de ces certificats au cours des cinq prochaines années. Seize mille certificats auraient déjà été activés. Peu de détails ont été communiqués sur les déploiements concernés chez le Crédit Suisse, Deutsche Bank et AIG Technology. Le montant facturé par Microsoft pour les prestations de support reste notamment sous silence. Mais Microsoft et Novell ont néanmoins relevé le fait que le Credit Suisse n'était pas, jusqu'alors, utilisateur de Linux. (...)
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