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(05/09/2006 18:08:07)
Les entreprises européennes adoptent massivement les technologies IP
Le cabinet d'analystes Forrester estime, à l'issue d'un sondage portant sur 301 entreprises européennes, que celles-ci se sont clairement engagées dans la voie de l'adoption des technologies IP, réseaux privés virtuels et voix sur IP en tête. En effet, le tiers des entreprises sondées assure avoir déployé des VPN MPLS. Seulement 16 % des entreprises du vieux continent n'envisageraient pas de suivre le mouvement (contre 37 % en 2005). Selon Forrester, 22 % des entreprises européennes prévoient tout de même de continuer d'augmenter leurs investissements en matière de services de transmission de données vétustes tels que Frame Relay (soit 9 % de moins qu'en 2005). Près de 40 % des entreprises européennes auraient comme priorité de migrer leurs communications vocales sur IP cette année. 11 % des entreprises sondées auraient déjà achevé cette migration et 30 % prévoient de le faire l'an prochain. Globalement, elles sont 47 % à avoir prévu d'augmenter leurs investissements en matière de voix sur IP cette année, contre 30 % l'an passé. Enfin, près du tiers des entreprises européennes doivent déployer, d'ici fin 2006, une solution de télécommunications associant mobile et réseau sans fil. 60 % des entreprises sondées en étudieraient actuellement la faisabilité. Toutes sont poussées par le « coût élevé » de la téléphonie mobile dans l'Union, et en particulier dans le cadre de l'itinérance trans-frontalière. (...)
(05/09/2006 18:12:18)Fibre optique : les Hauts-de-Seine agréent six candidats
Le déploiement d'un réseau en fibre optique dans les Hauts-de-Seine vient de franchir une étape décisive. Selon nos confrères des Echos, six opérateurs candidats* ont été agréés par le Conseil général. L'objectif du département est de permettre, à l'horizon 2013, un accès à très haut débit à l'ensemble de la population et des entreprises des Hauts-de-Seine. "Nous préparons l'après-ADSL, explique Martin de Mijolla, le directeur des systèmes d'information des Hauts-de-Seine. Les services nouveaux que demanderont les usagers dans un avenir proche nécessiteront une connexion très haut débit. La fibre optique constitue la solution technologique fondamentale, qui garantit en outre un débit symétrique". De la grande entreprise au particulier L'Assemblée départementale vise quatre types de clientèle susceptibles d'être raccordés au réseau très haut débit : les grandes entreprises, qui peuvent d'ores et déjà profiter d'une connexion en fibre si elles sont prêtes à en supporter le prix et pour lesquelles l'objectif est de parvenir à un tarif moindre ; les TPE, pour lesquelles le très haut débit permettra l'accès à une gamme de nouveaux services à moindre coût ; les services publics, notamment l'enseignement - toutes les salles de classes devraient être équipées d'une connexion en 2007 ; l'ensemble du public résidentiel du département - seule une partie de la population peut aujourd'hui profiter de l'ADSL2+, une inégalité théoriquement corrigée en 2013. Le Conseil général n'a pas vocation à être opérateur Pour le département, il ne s'agit pas de se poser en fournisseur de service : "nous ne prétendons pas être opérateur, note Martin de Mijolla. Le Conseil général se concentre sur ce qu'il est seul à pouvoir faire : mettre en place l'infrastructure qui permettra aux opérateurs d'offrir les services concurrentiels qu'ils sont prêts à offrir". Concrètement, l'appel d'offre lancé en avril 2006 vise à désigner un délégataire de service public. Celui-ci sera chargé de déployer et d'administrer le réseau pendant 20 ou 25 ans. Il sera donc l'investisseur et devra gérer son risque économique en agissant dans le cadre des contraintes de service public contenues dans la convention qu'il signera avec le Conseil général. Parmi ces contraintes se trouvent l'obligation de desservir l'ensemble du territoire départemental, la neutralité vis-à-vis des opérateurs télécoms clients, le respect d'une base tarifaire publique déposée et contrôlée, etc. Le délégataire qui sera désigné - probablement au cours du premier semestre 2007 - n'acheminera pas directement les flux vers les utilisateurs. Pour cela il s'appuiera sur des opérateurs télécoms ou autres FAI qui activeront la fibre préalablement installée. Le coût du déploiement du réseau sera donc entièrement à la charge du délégataire de service public, le Conseil général ne prenant en charge que le montant de la subvention qu'il accordera à ce dernier en fonction des contraintes qui lui incombent et du contenu du cahier des charges. Au total, la subvention accordée par l'Assemblée départementale pourra atteindre 25 ME au cours des trois premières années, et ne dépassera pas 70 ME sur six ans. *Les six candidats sont France Télécom, LDCollectivités, Vinci, MGP Contracting, Tutor et Axione.
(...)(05/09/2006 18:09:39)Sun et Unisys poursuivent les fabricants de DRAM
Sun et Unisys ont lancé, conjointement, des poursuites à l'encontre de plusieurs fabricants de mémoires DRAM auxquels ils reprochent leur collusion sur les prix. Un peu plus tôt dans l'année, les deux plaignants avaient déposé plainte séparément. Désormais, ils unissent leurs doléances et se tournent conjointement devant un tribunal américain. Parmi les entreprises auxquelles Sun et Unisys reprochent de s'être entendues sur la fixation de leurs prix figurent notamment le Sud-Coréen Hynix Semiconductor, l'Allemand Infineon, les Japonais Elpida et Mitsubishi Electric, les Taïwanais Mosel Vitelic et Manya Technology. Les poursuites à l'encontre des fabricants de DRAM tendent à devenir une habitude pour les constructeurs depuis que le Département américain de la Justice a ouvert une enquête en 2002. L'an passé, Samsung a été condamné à payer une amende de 300 M$ et Hynix s'est vu infliger une pénalité de 185 M$. (...)
(05/09/2006 18:24:17)Recrutement : pensez aux éditeurs
Les éditeurs sont moins présents sur la scène du recrutement que dans les SSII. Ils présentent toutefois comme leurs partenaires des opportunités d'emploi en ce moment. Cegid, le groupe détenu par le célèbre patron de l'Olympique Lyonnais Jean-Michel Aulas (ayant fusionné avec son homologue CCMX il y a deux ans), est par exemple en pleine campagne de recrutement, comme son homologue, l'éditeur de progiciels de gestion intégré Lawson (fruit lui aussi d'une fusion avec le suédois Intentia). Le premier cherche à pourvoir 70 postes d'ici à la fin de l'année (30 ingénieurs commerciaux, 20 consultants formateurs et 20 développeurs ayant une bonne maîtrise de Forms 9, 10, de PL/SQL ou de Delphi) le second une trentaine, dont une dizaine de consultants juniors, des spécialistes de la production, de l'EDI (échanges de données informatiques) et des directeurs de projets. Les besoins concernent des profils techniques, fonctionnels et commerciaux. Et des exigences particulières leur sont associées sur les compétences attendues qui tiennent notamment aux spécialisations « verticales » (par secteur d'activité, hôtellerie, BTP, mode, etc.) des éditeurs. « Pour le déploiement des solutions de gestion chez nos clients, nous avons besoin de personnes qui soient capables de faire le pont entre l'informatique et les utilisateurs, des consultants ayant à la fois des compétences techniques et métier», résume Didier Serrat, directeur général adjoint de Cegid. Il ajoute que les spécificités touchent aussi les profils commerciaux. « Nous cherchons des personnes capables de vendre des projets complexes et de grande ampleur. Il faut des collaborateurs capables de négocier des installations touchant des réseaux de plusieurs centaines de magasins et impliquant d'installer de nombreux matériels et logiciels ». (...)
(05/09/2006 12:16:10)Accenture ouvre son 10e centre en Inde
Et de dix. La SSII Accenture vient d'ouvrir son dixième centre en Inde. Il sera localisé dans la ville de Gurgaon, près de la capitale Delhi, "pour se rapprocher du personnel le plus qualifié", précise la SSII. Pour ce centre, Accenture devait proposer quelque 1 100 postes à la main d'oeuvre locale, principalement recrutée dans le vivier régional de compétences en développement (le NCR - National Capital Region). Le centre devrait se focaliser sur des prestations de services d'externalisation d'applications et d'infrastructure et enfin d'intégration. Les neufs autres centres indiens de la SSII sont répartis dans cinq villes: Bangalore, Chennai, Hyderabad, Mumbai et Pune. Au total, Accenture emploie plus de 19 000 personnes en Inde. (...)
(04/09/2006 17:59:42)Les Etats-Unis et l'Asie dopent les ventes de semi-conducteurs
Les fortes ventes de semi-conducteurs en Asie-Pacifique et aux Etats-Unis ont permis au secteur d'atteindre un revenu mondial de 21,1 Md$ au mois de juillet, selon les chiffres publiés par la Semiconductor Industry Association (SIA). Ce chiffre est en progression de 11,5% par rapport à la même période de l'année précédente et de 1,8% en séquentiel. La SIA note que le recul des prix des puces a contribué à réduire celui des appareils destinés aux consommateurs. "Par exemple, le prix moyen d'un PC a perdu approximativement 7% sur un an", note la SIA. Environ 40% des semi-conducteurs vendus sont destinés aux ordinateurs. Ces performances devraient permettre à l'industrie des microprocesseurs d'établir un record de ventes cette année en dépassant la barre des 241 Md$. Evolution des ventes de microprocesseurs (données SIA) (dollars américains)
| Régions | Juillet 2006 | Juillet 2005 | Evolution |
| Amériques | 3,69 Md$ | 3,13 Md$ | 17,7 % |
| Europe | 3,17 Md$ | 3,05 Md$ | 4,0 % |
| Japon | 3,86 Md$ | 3,57 md$ | 8,2 % |
| Asie-Pacifique | 9,38 Md$ | 8,27 md$ | 13,4 % |
| Total | 20,10 Md$ | 18,02 Md$ | 11,5 % |
L'UE planche sur la création d'un super-régulateur des télécoms
Bruxelles réfléchit à la création d'un régulateur européen pour le secteur des télécoms. Une idée qui, si elle séduit certains acteurs, suscite le scepticisme de la majorité d'entre eux. L'idée est développée dans une étude* sur l'avenir de la régulation des télécoms. La Commission européenne s'interroge notamment sur la pertinence de la mise en place d'une instance pan-européenne chargée de traiter avec les principaux acteurs et particulièrement avec les opérateurs historiques. Parmi les organisations et les personnes interrogées, "plusieurs ont suggéré qu'un contrôle communautaire renforcé engendrerait une meilleure harmonisation à travers l'Union européenne", explique l'exécutif communautaire dans un communiqué. Pour la majorité des intervenants, si des mécanismes de régulation améliorés sont nécessaires, la mise en place d'un super-régulateur se heurte à de nombreuses difficultés. Au palmarès, non exhaustif, des embûches évoquées, la faiblesse des régulateurs nationaux côtoie le manque de services pan-européens et l'inégale application de mécanismes de régulation existants. Les régulateurs nationaux jugés inefficaces S'il ne faut retenir qu'un élément des multiples pistes avancées par les parties interrogées dans l'étude, "c'est que l'exécution de la régulation doit être poursuivie et, dans certains cas, améliorée", lit-on dans le document. Sur la mise en place d'une autorité européenne de régulation (ERA, pour European regulatory authority), le rapport conclut que "la plupart des acteurs interrogés y sont opposés". Certaines entités, notamment des opérateurs alternatifs, estiment toutefois qu'une ERA serait utile pour imposer les éléments de régulation aux grandes structures car le régulateur n'aurait alors aucun intérêt au maintien des statu quo nationaux. Les régulateurs nationaux étant décrits comme laxistes ou inefficaces pour imposer les mécanismes de régulation aux opérateurs historiques. *Preparing the Next Steps in Regualtion of Electronic Communications, réalisée par Hogan & Hartson et Analysys. (...)
(05/09/2006 09:34:25)Selon Ovum, la main d'oeuvre externalisée des entreprises anglaises va doubler d'ici trois ans
Selon un rapport publié par le cabinet d'études Ovum pour le département britannique du commerce et de l'industrie, le recours massif à l'offshore par l'industrie anglaise du logiciel et des services informatiques devrait se traduire par un recul annuel de près de 6% des effectifs du secteur entre 2006 et 2008. Au cours de la même période le nombre de travailleurs "offshore" employés au service de l'industrie informatique britannique devrait doubler à près de 130 000. Selon Ovum, la part de l'offshore dans les services rendus par la plupart des grandes SSII britanniques devrait dépasser les 20% en 2008 et, dans certains cas, elle devrait même atteindre 50%. Cette proportion pourrait encore s'accroître si le secteur public anglais autorise ses fournisseurs à recourir à l'offshore. (...)
(05/09/2006 09:33:56)Avocent achève l'acquisition de LanDesk
Avocent a finalement achevé vendredi l'acquisition de LanDesk, pour environ 400 M$ dont la moitié en numéraire et le solde en actions. Essentiellement connu pour ses solutions KVM (contrôle de plusieurs postes), Avocent avait créé la surprise en août en annonçant son intention de racheter LanDesk, une ex-filiale d'Intel réputée pour ses outils logiciels d'administration de parc, d'administration réseaux et systèmes, de gestion de correctifs et de "service Desk". Officiellement, Avocent explique le rachat par son besoin de diversifier ses sources de revenus dans de nouveaux secteurs. (...)
(04/09/2006 17:53:20)L'absence de contrôle d'accès au réseau peut coûter cher
Les malwares ne constitueraient finalement pas les attaques les plus dangereuses pour les réseaux des entreprises. Selon une étude (1) réalisée par le cabinet américain Trusted Strategies, commanditée par l'éditeur Phoenix Technologies -qui développe le BIOS de nombreux PC-, les attaques résultant du vol de mots de passe et d'identifiants, attaques par définition quasi-indétectables en temps réel, représenteraient un danger bien plus important. Selon le pire scénario, elles entraîneraient des dégâts financiers plus dramatiques pour l'entreprise. Presque 1,5 M$ pour un réseau pénétré par un simple vol d'accès privilégiés, contre un petit 2 400$ pour une attaque par virus ou vers, nous indique le cabinet. Sur ce constat, Trusted Strategies pointe du doigt la faible proportion des entreprises à avoir déployé un rempart technologique adapté. Selon lui, 84% des attaques (2) auraient pu être évitées si, à la sempiternelle protection que constitue le couple identifiant / mot de passe, s'ajoutait un contrôleur des entrées sur le réseau. A l'image du NAC (Network Admission Control) de Cisco. Le principe vise à autoriser ou non l'accès au réseau de l'entreprise en identifiant et analysant l'état de l'ordinateur portable ou la station de travail. Dans 80% des cas, nous précise Trusted Strategies, la plupart des attaques proviennent d'une source extérieure à l'entreprise, depuis un ordinateur personnel amateur. Une source dès lors facilement identifiable -et donc facilement "bloquable". Le marché du NAC promis à un bel avenir Le marché du NAC n'en est qu'à ses balbutiements, indiquait Infonetics en janvier dernier. Ne pesant pour l'heure que 323 M$, le NAC devrait croire d'un faramineux 1000%, à 3,9Md$, d'ici à 2008. Tiré notamment par les formules 'tout intégrées" des appliances. Sur ce marché en plein expansion, Cisco, Microsoft et le Trusted Computing Group tirent déjà leur épingle du jeu. Cisco, n°1 du marché, propose sa passerelle de quarantaine NAC (Network Admission Control), et attire quelques ténors, notamment IBM. Microsoft, de son côté, développe NAP (Network Access Protection) et se pose en une alternative à NAC. Enfin, plus ouvert, le Trusted Computing Group travaille sur la spécification TNC (Trusted Network Connect). (1) baptisée Network Attacks: Analysis of Department of Justice Prosecutions 1999- 2006. (2) celles ayant été rapportées au ministère de la Justice américaine, entre mars 1999 et février 2006. (...)
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