Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 7931 à 7940.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/09/2006 17:59:58)

Recrutement : un site de recrutement en ligne 100% SAP

L'acteur du recrutement en ligne britannique Job Board Enterprises network s'est engouffré dans la niche créée par la pénurie de compétences SAP déplorées par les SSII. Il a lancé au mois de juin un site portail consacré à l'emploi autour du progiciel de gestion intégré de l'allemand. Il y revendique 2700 petites annonces issues de sociétés et d'agences de recrutement cherchant des compétences SAP et assure ne publier que des propositions correspondant à des emplois réellement vacants. Il insiste sur ce point en raison des pratiques de certaines SSII qui consistent à lancer des procédures de recrutement en vue de projets et d'appels d'offre qu'ils ne sont pas sûrs de gagner. Des pratiques qui font gonfler le marché de l'offre artificiellement. Pour éviter que ce type de procédé ne se retrouve sur son site, thesapjobboard.com n'effectue pas de vérification directe sur les annonces publiées mais compte sur la relation de confiance qu'il entretient avec ses clients. « Nous avons une très bonne relation avec les agences de recrutement et nos clients directs. Nous les prévenons que nous n'acceptons que de « vraies » annonces d'emploi. Dans le cas contraire, cela pourrait léser la crédibilité des agences de recrutement. Pour elles, il serait inconscient d'avoir ce type de stratégie ». SAP Job Board présente l'intérêt d'être international. Disponible en quatre langues, il regroupe des offres d'emploi de nombreux pays. Il est par ailleurs gratuit pour les candidats qui l'ont déjà largement fréquenté. Quelques 25 000 visiteurs uniques sur le seul mois d'août sont revendiqués par la direction du site. Au top des fonctions les plus recherchées par les candidats sur le moteur de recherche du site, on trouve Abap (langage de développement du PGI SAP), MM (achats-stocks), SD (gestion commerciale) et CRM (gestion de la relation client). (...)

(01/09/2006 16:20:45)

Intel pourrait supprimer des milliers de postes

Les collaborateurs d'Intel pourraient éprouver douloureusement les réorganisations évoquées en avril dernier par Paul Otellini, leur président. Mardi prochain, le géant des processeurs devrait leur annoncer des réductions drastiques d'effectifs. Le Wall Street Journal et le New York Times, qui relatent la nouvelle, parlent de plusieurs milliers de suppressions d'emploi (sur 100 000 employés au total chez Intel). Cette annonce devrait intervenir dans le cadre de la présentation de l'étude qui avait été lancée par le fabricant américain pour examiner son activité. Selon le New York Times - qui rapporte les propos d'un collaborateur d'Intel souhaitant garder l'anonymat - Paul Otellini aurait prévenu ses employés hier, jeudi, par e-mail de la tenue d'une conférence web mardi prochain pour leur faire part des résultats de l'étude. Interrogé à ce sujet, Chuck Mulloy, le porte-parole d'Intel, a déclaré que le géant du processeur s'engageait à communiquer sur ses plans de réorganisation avant la fin du troisième trimestre, mais qu'il n'avait rien à dire pour l'instant. Il a qualifié de spéculations les présomptions de licenciements. Economiser plus d'un milliard de dollars Des restructurations de grande ampleur devraient de toute façon s'engager. Elles avaient été annoncées au printemps après un trimestre décevant et la révision à la baisse de ses prévisions pour l'année 2006. "Nous allons restructurer, réorganiser et retailler Intel pour l'avenir », avait asséné Paul Otellini, l'objectif étant de baisser les dépenses à hauteur de plus d'un milliard de dollars. Au mois de juillet, il avait déjà évoqué la suppression de 1000 postes d'encadrement. Intel se remet en ordre de bataille pour affronter la concurrence et récupérer les parts de marché perdues sur AMD. Dans cette optique, l'Américain a d'ailleurs lancé une offensive sur les processeurs double-coeur avec Core 2 Duo sorti en juin et sur les microprocesseurs avec Tulsa. (...)

(01/09/2006 16:17:55)

HP regagne du terrain sur EMC

Selon les derniers chiffres rendus publics par IDC, le marché mondial des systèmes de disques externes a progressé de 8,5% en valeur au second trimestre 2006 pour atteindre 4,2 Md$. Le marché total des systèmes de stockage sur disque a, quant à lui, progressé de 6% à 5,9 Md$. Au total, les différents constructeurs ont livré une capacité de stockage cumulée de 704 petaoctets, en hausse de 51,5% par rapport à la même période l'an passé. EMC domine le stockage en réseau Sur le marché du stockage externe, EMC et HP continuent de lutter pour la première place. Le géant californien a regagné du terrain sur EMC ce trimestre et détient désormais 19,3% du marché contre 20% pour EMC. IBM est en troisième position avec 13,2% devant Hitachi Data Systems, Dell et Sun respectivement crédités de 8%, 7,8% et 7,1% de parts de marché. EMC continue toutefois à distancer ses concurrents sur le marché du stockage en réseau, un marché qui a progressé de 11,4% sur un an. Le constructeur d'Hopkington contrôle 26,2% des ventes mondiales devant HP (21,1%) et IBM (11,6%). Selon IDC la croissance du marché a été tirée par le dynamisme des marchés NAS et iSCSI. NetApp en tête du marché iSCSI Il est à noter qu'HP devance EMC sur le segment des SAN ouverts (Fibre Channel et iSCSI) avec 25% des ventes contre 23 % pour son concurrent. Sur le marché du NAS en revanche, EMC contrôle 38,5 % des ventes devant NetApp avec 32,6%. Le marché iSCSI connaît la plus forte croissance avec une progression de 72,8%. Et passe pour la première fois la barre des 100 M$ trimestriels. Sur ce marché, NetApp reste n°1 avec 27,6 % des ventes devant EMC et ses 25%. (...)

(01/09/2006 16:19:03)

Nokia acquiert Gate5, un spécialiste de la navigation GPS

Nokia va faire l'acquisition de l'éditeur allemand Gate5, un spécialiste des solutions de navigation et de routage GPS. Selon Anssi Vanjoki, le patron de la division terminaux multimédia de Nokia, le marché de la navigation GPS est en pleine croissance. Cette année, il devrait se vendre près de 15 millions de terminaux d'assistance à la navigation, contre 8 millions en 2005. Nokia entend profiter de cet engouement pour intégrer les fonctions de navigation dans ses terminaux. L'un des intérêts des logiciels de Gate5 pour l'équipementier finlandais est qu'ils fonctionnent sur de multiples plates-formes dont Symbian, Linux, Windows Mobile, PalmOS et Java. Ce large support permettra au géant d'utiliser les solutions de Gate5 aussi bien sur ses téléphones multimédias Series N que sur les terminaux multimédias comme la tablette linux Nokia 770. (...)

(01/09/2006 16:16:37)

Alcatel va mettre la main sur l'activité UMTS de Nortel pour 320 M$

Après la fusion Alcatel/Lucent et le mariage entre les activités télécoms de Nokia et Siemens, le monde des équipementiers télécoms mobiles vient de connaître une nouvelle phase de concentration avec l'annonce par Alcatel du rachat des activités UMTS de Nortel Networks. Selon un accord signé entre les deux sociétés, Alcatel va reprendre l'ensemble des activités 3G de Nortel pour la somme de 320 M$. L'opération n'est pas une surprise complète. Au début du mois d'août, le cabinet d'analyse Oddo Securities avait évoqué le rachat par Alcatel des activités sans-fil de Nortel. A l'époque le prix cité par l'analyste était de 1,9 Md$ pour l'ensemble des activités cellulaires. La partie accès pur était alors estimée à environ 500 millions de dollars. 14 grands clients UMTS dans le portefeuille d'Alcatel Le rachat devrait permettre à Alcatel de devenir le numéro 3 du secteur, derrière Ericsson et Nokia, et de renforcer sa position sur le marché européen, notamment en France, en Espagne et au Royaume-Uni. Nortel est par exemple le fournisseur quasi-exclusif de Bouygues Télécom et est aussi l'un des grands fournisseurs d'Orange et de Vodafone. Au total, ce sont pas moins de 14 grands clients qui devraient rejoindre le portefeuille d'Alcatel, qui comptera ainsi près du quart des opérateurs UMTS mondiaux parmi ses clients. Selon les deux sociétés, la majorité des salariés de l'activité UMTS de Nortel devrait rejoindre les rangs d'Alcatel, une fusion qui devrait être simplifiée par le fait que les activités de recherche et développement 3G de la firme sont largement concentrées en France. Nortel se concentrera sur la 4G Nortel de son côté ne compte pas abandonner le secteur de la mobilité et il prévoit de se concentrer sur le développement de sa technologie 4G. Une décision qui s'explique sans doute en partie par les mouvements rapides du secteur en Asie et aux Etats-Unis. Ainsi plusieurs opérateurs ont choisi de faire l'impasse sur les technologies GSM/3G et commencent à déployer des réseaux basés sur des technologies comme WiMax. C'est par exemple le cas de l'américain Sprint Nextel qui a annoncé son intention d'investir 3Md$ dans un réseau mobile IP haut débit au standard WiMax. (...)

(01/09/2006 12:09:35)

Stockage sur bande: Tandberg rachète Exabyte, Quantum finalise le rachat d'ADIC

Alors que Quantum annonce officiellement l'acquisition définitive de son concurrent ADIC, un autre champion historique de la sauvegarde sur bande, Exabyte, annonce sa vente à Tandberg pour 28 M$. Exabyte, dont le chiffre d'affaires a atteint 170 M$ à sa belle époque, n'était plus que l'ombre de lui-même, depuis les ennuis rencontrés dans le développement de sa gamme Mammoth. Un produit qui aurait dû lui permettre de concurrencer le DLT développé par Quantum. Depuis 5 ans, la société enchaînait les pertes et elle avait même failli disparaître en 2003 après une perte record de 43 M$. Depuis deux mois, la firme était officiellement à vendre au plus offrant. Avec le rachat d'Exabyte, Tandberg met notamment la main sur la technologie VXA qui pourrait lui permettre d'offrir une alternative à des technologies comme le DDS ou l'AIT en entrée de gamme. Tandberg met aussi la main sur le savoir-faire en termes d'automatisation d'Exabyte. La firme norvégienne devrait conserver l'intégralité de la gamme d'Exabyte et assurer le support des équipements installés chez les clients. (...)

(01/09/2006 12:09:05)

Mark Canepa (ex-Sun) va prendre la direction d'Extreme Networks

Mark Canepa, l'ancien responsable de la division stockage de Sun Microsystems, va prendre la direction d'Extreme Networks, un spécialiste des réseaux Ethernet qui traverse actuellement une passe difficile. Canepar va remplacer à ce poste Gordon Stitt, qui conservera la présidence du conseil d'administration de la firme. Extreme vient de connaître une année fiscale pénible avec un recul de 1,7 % de son CA au niveau mondial et une chute de 12,7 % aux Etats-Unis. Le dernier trimestre de la firme s'est achevé sur une perte nette de 1,8 M$ sur un CA de 82,4 M$ (en fort recul par rapport aux 96,1 M$ au même trimestre de l'année précédente). (...)

(31/08/2006 17:58:26)

Observatoire Arcep: le dégroupage total en forte hausse

Selon le dernier tableau de bord du dégroupage publié par l'Autorité de régulation des communications électroniques et postales (Arcep) le dégroupage s'est poursuivi à un rythme soutenu au second trimestre. Sur un total de près de 11,1 millions de connexions à haut débit, dont 10,47 millions de connexions xDSL, près de 3,35 millions de connexions seraient aujourd'hui dégroupées. Dans la course au dégroupage, c'est le dégroupage total qui a les faveurs du public, avec 290 000 abonnés en dégroupage total supplémentaires par rapport au premier trimestre 2006. Le nombre d'abonnés en dégroupage partiel est, en revanche, en recul à 2,11 millions d'abonnés, contre 2,2 millions le trimestre antérieur. Un chiffre qui confirme qu'une partie du succès du dégroupage total est lié à la pression mise par les opérateurs alternatifs pour faire migrer leurs clients du dégroupage partiel vers le dégroupage total. En marge de ces chiffres sur le dégroupage, notons aussi que 1,88 millions d'abonnés d'opérateurs alternatifs restent desservis par leur opérateur au travers des offres de collecte (Bitstream) de l'opérateur historique. Si l'on s'en tient à ces chiffres, Orange contrôlerait plus de la moitié du marché xDSL en France mais ne détiendrait plus qu'une part de marché de l'ordre de 47% du marché global de l'internet en France. Le rythme de progression du dégroupage ralentit On peut aussi noter la poursuite du ralentissement du dégroupage. Alors que la croissance trimestrielle séquentielle était de 28% au premier trimestre 2005 et de 11,7% au premier trimestre 2006, elle n'était plus que de 6,3% au dernier trimestre. Sur douze mois, la croissance qui frisait les 60% au troisième trimestre 2005, n'était plus que de 33,5% au dernier trimestre. Ces chiffres semblent largement coïncider avec le ralentissement du dégroupage en France puisque les opérateurs alternatifs n'ont dégroupé que 96 nouveaux répartiteurs téléphoniques (NRA) au dernier trimestre, portant le total à 1251 en France. A titre de comparaison, le nombre de noeuds équipés en xDSL par France Télécom atteignait 11184 à la fin juin. Reste maintenant à savoir si les opérateurs alternatifs sont prêts à investir pour élargir l'emprise du dégroupage sur le territoire... (...)

(31/08/2006 18:00:52)

AMD et ATI travailleraient sur une plate-forme de référence pour portables

D'ici au 4e trimestre, AMD et ATI devrait proposer aux grands constructeurs de portables une plate-forme mobile concurrente de la plate-forme Centrino d'Intel. C'est en tout cas ce que rapporte le quotidien taïwanais Digitimes. AMD et ATI prépareraient une plate-forme connue sous le nom de Yokohama, qui combinerait les puces Turion 64 X2 du Texan avec les jeux de composants mobiles RS690M, RS690DC et RS790M du Canadien. L'objectif des deux protagonistes serait d'offrir une alternative aux nouveaux portables conçus autour de la plate-forme Napa64 d'Intel. De quoi avoir un avant-goût de ce à quoi pourrait donner naissance la fusion entre AMD et ATI. (...)

(31/08/2006 17:58:58)

Les fabricants d'électroménagers font condamner Google France

Google France, une nouvelle fois dans le collimateur de la justice française. Le moteur de recherche a, le 12 juillet dernier, été condamné pour publicité mensongère par le Tribunal de Grande Instance de Paris dans une affaire qui l'opposait au Gifam (Groupement interprofessionnel des fabricants d'appareils d'équipements ménagers) -ainsi que 19 de ses adhérents. Une dizaine d'autres marques sont intervenues volontairement. Le pharaonique moteur de recherches devra alors verser 30 000E d'indemnités au groupement et quelque 10 000E de dommages et intérêts à chacune des 28 sociétés. Google France fait appel. Au c?ur du procès, le système de publicité Adwords et l'intitulé "liens commerciaux" qui aurait permis d'exploiter des marques sans autorisation. Un verdict déjà rendu par la Cour d'appel de Paris dans un procès qui opposait Google à Vuitton. Selon le tribunal, la seule dénomination "liens commerciaux" serait trompeuse pour l'internaute, car elle établirait des relations commerciales -inexistantes- entre les sites résultant d'une recherche et ceux apparaissant sous la partie "liens commerciaux". Ainsi, sous cette bannière, une marque peut être associée à un autre site qui ne commercialise pas les produits de cette même marque (comme par exemple un comparateur de prix). Le site officiel de la marque s'en trouve également évincé. Pour Bernard Planque, délégué général du Gifam, "cela constitue un détournement de marque. Mais ce qui est inadmissible, c'est que Google y gagne beaucoup d'argent". Rappelons que Google se rémunère à chaque clic d'internaute. A l'issu de ce verdict, "qui n'est que provisoire", Bernard Planque ne se dit pas satisfait du jugement, car "il reconnaît la faute, mais ne la qualifie pas". Condamné à déployer un outil de contrôle de mot-clé Sur la forme, le tribunal a également tranché. Et pointé du doigt le système de positionnement au mot-clé des publicités d'Adwords. Les juges ont reconnu que Google a commis une faute en n'offrant aux annonceurs aucune possibilité de vérification de la disponibilité légale des mots-clés. Selon lui, le moteur de recherches aurait dû de manière pro-active fournir un dispositif de contrôle a priori. Le tribunal enjoint alors le moteur de recherche à mettre en place cet outil dans les quatre mois après la décision de justice. Google devra payer une astreinte de 1 500E par jour de retard. Chez Google France, on regrette que cela prenne une orientation judiciaire, "car il existe d'autres moyens pour y arriver". Et déclare par ailleurs faire appel. Ce procès "est une solution extrême, car il existe des moyens techniques, pour limiter l'usage des noms de marques. La procédure n'est pas automatisée. Il suffit de demander conseil à Google". Oui, mais a posteriori. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >