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(27/10/2010 16:37:33)
La frilosité gagne les jeunes informaticiens des Mines
Dans un secteur économiquement morose, le placement des ingénieurs IT des Mines de Nantes reste globalement bon : 94% des diplômés de la promotion 2009 sont en activité contre 76,4% au niveau national (source enquête 1er emploi de la Conférence des Grandes Ecoles). « Le taux net d'emploi des jeunes informaticiens se maintient », commente Emmanuelle Michel, responsable des relations entreprises et stages aux Mines de Nantes, et d'ajouter : « mais la poursuite des études croît de manière significative, avec une augmentation du nombre de thésards.» De plus, un étudiant sur deux intègre l'entreprise où il a effectué son stage de fin d'études.
Augmentation sensible des CDD
« Avant la crise, les élèves prenaient davantage de risques en postulant auprès de sites institutionnels comme l'Apec ou de portails d'entreprises », note la représentante de l'école des Mines qui considère que les candidats sont devenus plus frileux. Autre fait notable : le taux d'embauches à durée déterminée (CDD) a augmenté de façon sensible. C'est, à l'évidence, une conséquence directe de la crise économique qui se traduit par la frilosité des entreprises, même si taux de CDI signé par les diplômés des Mines de Nantes reste à un niveau élevé (85%). Sur le plan de la rémunération, les jeunes diplômés de l'informatique sont cependant encore gagnants : en deux ans, le salaire moyen d'un jeune informaticien des Mines est passé de 34 800 € à plus de 35 000 € alors qu'il a diminué d'environ 2% au niveau national.
Illustration: l'école des Mines de Nantes. Crédit photo: D.R
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L'Isep mise sur une pédagogie orientée projet
Approche par compétences, pédagogie par projet, coupure dans l'enseignement. Tels sont les temps forts de la réforme du cycle ingénieur engagée il y a deux ans par l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris). «Nous avons décidé de revoir l'ensemble de la pédagogie afin de mieux motiver les futurs ingénieurs, favoriser leur insertion professionnelle et renforcer leur efficacité dès leur entrée sur le marché du travail », expose Michel Ciazynski directeur général de l'Isep. Ainsi, les cours, les travaux dirigés et pratiques ont été en partie remplacés par une méthode basée sur l'apprentissage par projets, alors que l'ancien modèle était basé sur l'utilisation de connaissances théoriques.
Des parcours qui se substituent aux options
A l'Isep, les étudiants sont les acteurs principaux dans la construction de leurs connaissances et le développement de leurs compétences. Réunis en petits groupes, ils travaillent sur des projets à caractère professionnel, s'inspirant d'une réalité industrielle, avec un semestre en informatique et un autre en électronique et signal. : Autre pan de la réforme : une logique orientée « parcours », qui remplace celle des options : à présent, le tronc commun se limite à la première année et les élèves peuvent ensuite choisir un parcours parmi ceux qui figurent au programme et qui intègrent un ensemble de modules dans quatre domaines techniques : informatique, réseaux et télécoms, électronique, signal et image.
L'Isep a également choisi d'appliquer une « coupure pédagogique », pont entre la fin de la classe préparatoire et l'entrée en cycle d'ingénieurs qui aide les jeunes à se familiariser rapidement avec le monde de l'entreprise et avec les différents métiers de l'informatique. Durant le mois de septembre, les 200 élèves de première année sont sensibilisés aux différents domaines de l'ingénierie. Pour découvrir les métiers et compétences qui s'y rattachent, des conférences métiers proposent des témoignages d'ingénieurs en poste, et des conférences thématiques sur différents sujets. Une trentaine de visites d'entreprises sont également organisées par l'Isep, chaque élève effectuant entre trois à cinq visites, en groupe de sept à trente, encadré par un professeur.
Des stages en entreprise dès la seconde année
L'autre évolution majeure du cycle ingénieur réside aussi dans l'introduction de parcours à visée professionnelle à partir de la seconde année, qui débute par un stage en entreprise de quatre à six mois. Dix parcours standards sont proposés aux élèves en informatique, traitement du signal et de l'image, électronique,, télécommunications et réseaux. A l'arrivée, élèves et entreprises semblent plutôt satisfaits. «L'apprentissage par la pratique s'inscrit parfaitement dans notre coeur de métier », souligne Annie Meheust, DRH de Capgemini FSGBU (Financial services global business) France. « Nous travaillons effectivement tous en mode projet, aussi bien en informatique que dans les fonctions de support », considère-t-elle. Selon la DRH, l'approche projet dispensée par l'Isep permet de disposer de candidats à la fois autonomes et « agiles », capables de s'adapter aux évolutions technologiques et également au contexte multiculturel.
Sarra Ghaib, élève de l'Isep en 3ème année raconte : « J'ai pu avoir accès à un tout un panel de métiers IT, dans différents secteurs d'activité, comme le conseil, le bâtiment, ou encore l'énergie. En seconde année, j'ai choisi la formule de l'alternance, en suivant parallèlement des cours en marketing, finance, comptabilité et conduite de projet, et j'ai finalement su que je voulais créer ma propre société. » De son côté Charles Couraud, étudiant en première année, se réjouit de la coupure pédagogique proposée par l'établissement. «Outre la découverte des différents métiers du secteur IT, le fait de travailler en groupe est plus motivant », estime le jeune homme qui indique vouloir se diriger vers l'univers des réseaux et des télécoms. D'après lui, il n' y aurait pas d'absentéisme grâce à ce mode d'apprentissage en mode projet.
Illustration : Elèves du cycle ingénieur de l'Isep. Crédit photo : Cédric Helsy.
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La Cnil rappelle les règles liées à la cybersurveillance des salariés
En effet, tous les dispositifs de cybersurveillance des salariés doivent faire l'objet d'une part d'une déclaration à la CNIL, comme n'importe quel traitement nominatif sans dispense, d'autre part d'une information des salariés. Dans l'affaire dont il est question, une entreprise employant un coursier avait installé un dispositif de géolocalisation de son véhicule de service. Or ce dispositif n'avait pas fait l'objet des formes obligatoires : il n'avait pas été déclaré à la CNIL et le salarié n'avait pas été informé de son existence et de ses modalités.
C'est donc sur la base de relevés illégaux que l'employeur avait licencié le coursier, coupable d'usage personnel de son véhicule de service, pratique interdite par note de service de l'employeur. Les preuves illégales ne pouvant pas être invoquées, le licenciement a donc été déclaré sans cause réelle et sérieuse par le Conseil des Prud'hommes et confirmé par la Cour d'Appel saisie. La CNIL s'est réjouie de cette nouvelle jurisprudence qui renforce celle établie depuis des années.
Object Direct recrute en formant aux technologies Web
Le dispositif de formation que vient de mettre en place la société de services Object Direct est un peu particulier. Les cours, qui se déroulent en soirée, s'adressent notamment à celles et ceux qui désirent postuler auprès de l'entreprise. Animés par des consultants formateurs, ils sont également ouverts aux salariés de la société dans le cadre de leur plan de formation annuel. Les candidats et les collaborateurs sont accueillis au sein du centre de formation interne à l'entreprise. Ils pourront suivre gratuitement ensemble des formations sur les technologies Microsoft .Net, J2EE/ Spring3 et HTML5 (*). Le premier programme est planifié à Grenoble de novembre à janvier 2011.
Une initiative en support d'un plan de recrutement
Cette année, la maison mère Viseo a lancé un plan de recrutement portant sur une centaine de postes, dont 35% pour Object Direct. Partant du constat qu'une partie des postulants ne sait pas ce qu'apporte réellement une société spécialisée technologiquement par rapport à une SSII généraliste, il est apparu naturel à Franck Priore, directeur général d'Object Direct, d'ouvrir ce type de formations aux candidats pour qu'ils dépassent le cadre des entretiens de sélection.
Pourront donc s'inscrire les ingénieurs et consultants qui justifieront des pré-requis demandés (correspondant à un premier niveau de maîtrise de ces technologies). Une démarche d'intérêt pour les postes ouverts au sein d'Objet Direct ainsi que leur CV seront demandés aux participants, comme contributions. Les formations en soirée se déroulent sur un format plus court que les stages classiques. Organisées sur les sites de la SSII à Paris, Lyon et Grenoble, elles peuvent rassembler jusqu'à 18 participants, sur une tranche horaire de 18h30 jusqu'à 22h30. Le repas sera offert et les candidats disposent d'un ordinateur pour deux. Chacun ne pourra s'inscrire qu'à une seule formation de deux soirées complémentaires.
(*) Deux modules sur .Net (Architecturer une application XAML avec le pattern MVVM et le Mapping objet/relationnel avec NHibernate), la convergence J2EE6/Spring 3 et comment développer une application en HTML5 compatible avec la majorité des smartphones.
Illustration : extrait des spécifications HTML5 (crédit : W3C)
Les freelances IT tributaires des intermédiaires
iDirect.fr, en partenariat avec l'association professionnelle des informaticiens Munci, livre les résultats d'un sondage sur la sous-traitance mené auprès de freelances du secteur informatique. L'enquête a été conduite, du 11 au 16 octobre 2010, auprès des adhérents de iDirect, des consultants indépendants ayant une ancienneté moyenne de cinq ans et demi. L'étude montre d'abord que les missions sont majoritairement obtenues au travers d'un intermédiaire (66,46%).Il peut d'agir de SSII qui n'ont pas dans leurs salariés le profil demandé ou d'entreprises commerciales n'effectuant que du placement de freelances.
Puis viennent les cas de double-intermédiaires (16,31%), des missions obtenues sans aucun partenaire (15,37%) et enfin de celles effectuées avec plus de deux partenaires (1,86%).
Une marge de 27,48% pour les intermédiaires
Le sondage révèle également que les freelances sont parfois présentés à l'entreprise cliente comme étant des salariés de SSII (35,73% des cas). Mais dans la majorité des cas, le donneur d'ordre sait que le consultant est un indépendant revendu par une société tierce.
Enfin la marge moyenne des intermédiaires est de 27,48%, selon les freelances. Toutefois iDirect.fr émet une réserve sur ce point. La société indique que les indépendants n'obtiennent jamais copie du contrat client, qu'ils n'ont souvent qu'une affirmation verbale d'un agent commercial qui n'a aucun intérêt à faire connaître sa marge réelle. Le nombre de réponses à 20%, ratio souvent présenté comme standard, est d'ailleurs important, considère iDirect.fr, puisqu'il représente un tiers des réponses. Ces 27,48% en sus du prix freelance correspondent à un peu plus de 21% du prix payé par l'entreprise cliente.
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Apec 2010 : la reprise de l'emploi IT se confirme
Dans l'informatique, neuf entreprises sur dix ont recruté au troisième trimestre 2010, contre huit sur dix au troisième trimestre 2009. C'est ce qu'indique la note de conjoncture trimestrielle publiée aujourd'hui par l'Association pour l'emploi des cadres. Les prévisions de recrutements progressent en outre de 4 points et, pour 58% des entreprises de la high-tech, le volume de recrutement des cadres est plus élevé par rapport à l'an passé : dans l'informatique, 21% des entreprises ont ainsi prévu de recruter des cadres au cours du quatrième trimestre 2010.
Forte demande pour des profils systèmes, réseaux et données
S'agissant du volume des postes à pourvoir par secteur, l'informatique fait encore une fois partie des domaines où les hausses se sont fortement accélérées depuis le début de l'année. Dans l'IT (qui représente 23% de l'ensemble des offres d'emploi des cadres au global), la progression du nombre d'offres s'est maintenu à un haut niveau : + 67% au cours du troisième trimestre 2010, soit 20 147 annonces publiées par l'Apec au cours de cette même période, après + 69% enregistré au deuxième trimestre 2010. S'agissant des offres par fonction, c'est une fois encore l'informatique, avec 3 offres sur 10, qui enregistre l'une des hausses les plus élevées avec + 91%. La plus forte demande de cadres se situe dans le domaine des système, réseaux, données (+ 93%) et dans celui de l'informatique de gestion (+ 87%). L'Apec précise, par ailleurs, que 69% des entreprises qui ont embauché au troisième trimestre indiquent avoir engagé des jeunes diplômés.
Une offre IT pour 29 candidatures
Dans la filière high-tech, une offre a attiré en moyenne de 29 candidatures Toutefois, cette catégorie aurait amorcé un mouvement de baisse. Enfin, 71% des recruteurs IT déclarent qu'il leur a été difficile de trouver des candidats adaptés au poste, dont 16% « très difficile ». L'Apec souligne qu'il faut mettre en relation ce jugement avec le fait que le nombre moyen de candidatures par offre a reculé pour cette fonction.
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L'Isen ouvre un concours accessible aux lycéens
L'Institut supérieur de l'électronique et du numérique (Isen) s'est associée à six établissements de la Fédération d'écoles supérieures d'ingénieurs et de cadres (Fesic) et au réseau des grandes écoles Esiee pour créer un concours d'admission qui vise les lycées. A Partir de cette année, les futurs bacheliers qui veulent intégrer l'Isen (à Bitche, Brest, Lille, Orléans, Toulon ou Rennes), devront s'inscrire au Concours Puissance 11 via le portail www.admission-postbac.fr. Cet examen amplifiera la visibilité de l'école et offrira un accès plus simple aux lycéens qui trouveront les programmes de l'Institut sur le même portail que la majorité des formations proposées en France. L'admission au concours consiste en une évaluation de dossier, de même que des épreuves écrites communes qui auront lieu à la mi mai 2011 dans 42 centres d'épreuves en France et à l'étranger. 1 600 places sont offertes aux candidats qui souhaiteraient passer ces épreuves.
Des exigences pédagogiques communes
La Fesic, réseau d'établissements privés associatifs de l'enseignement supérieur français, rassemble 27 grandes écoles d'ingénieurs et de management. Créée il y a 40 ans, elle a pour mission de mutualiser les expériences et les pratiques de chacune des écoles pour faire évoluer leurs formations, promouvoir l'ensemble des écoles et les représenter auprès des pouvoirs publics. Les établissements appartenant à la fédération ont des exigences pédagogiques communes: internationalisation des cursus, développement de la recherche, coopération avec les entreprises et les divers acteurs de l'enseignement supérieur. Le réseau rassemble les écoles suivantes : CPE Lyon, EPMI, Escom, Eseo, HEI, ISEP, ESIEE Amiens, et ESIEE Paris.
L'Esiee Paris est un établissement d'enseignement créé et géré par la CCIP dans le cadre de sa mission d'enseignement. Il forme des ingénieurs qui se prédestinent aux carrières des sciences et technologies de l'information et de la communication, et des cadres tournés vers les fonctions de management dans les entreprises de technologies avancées.
Illustration : l'Isen Brest (crédit photo : D.R.)
Ray Ozzie, évangéliste du cloud, quitte Microsoft
L'architecte logiciel en chef de Microsoft, Ray Ozzie, quitte le navire en faisant valoir ses droits à la retraite. Nous n'avons pas de plans pour le remplacer a simplement indiqué le PDG de l'éditeur de Remond, Steve Ballmer, qui a écrit une note aux employés de la société, également publié sur le site Internet maison. Steve Ballmer est resté vague sur la date exacte de départ de Ray Ozzie. Il va rester « un certain temps », pour assurer la transition entre les équipes et les projets en cours explique le PDG de Microsoft. « Pendant cette évolution et avant qu'il se retire, il se concentrera ses efforts dans le domaine plus large du divertissement où Microsoft a de nombreux investissements en cours, at-il dit.
L'éditeur n'a pas l'intention de le remplacer. « Le rôle de l'ASC [Chief Software Architect] était unique et je ne vais pas remplir ce rôle après le départ de Ozzie Ray » précise Steve Ballmer et d'ajouter « il a joué un rôle crucial dans la bascule vers le cloud et nous a correctement positionné pour le succès futur ». Le dirigeant rappelle la note « Internet Services Disruption » écrite il y a 5 ans et qui « a stimulé la réflexion de la société et a aidé à catalyser nos efforts sur le cloud. » Dans cette note, Ray Ozzie a déclaré que Microsoft avait besoin d'orienter son activité vers un nouveau modèle de services financés par la publicité et les logiciels. « Ce modèle a le potentiel pour avoir un impact fondamental sur la manière dont nous et les autres développeurs fabriquons, livrons et monétisons des innovations ». Azure, la Plateform as a Service (PaaS) de Microsoft, est l'exemple de ce type de produits prôné par Ray Ozzie. Cette orientation s'est ensuite étendue à des versions hébergées de produits tels que SharePoint, Exchange et Office Communications.
Une réorganisation fatale
Mais peu après le lancement d'Azure, la société s'est réorganisée et les destinées de la plate-forme sont passées sous la direction de Bob Muglia, qui s'occupait de l'activité Server et and Tools Business. À l'époque, certaines personnes se demandaient quel serait le rôle de Ray Ozzie dans l'entreprise une fois Azure hors de son contrôle. Il a rejoint Microsoft en 2005 comme agent technique en chef lorsque le géant du logiciel a acquis sa compagnie, Groove Networks. Il était surtout connu à l'époque pour être l'un des créateurs de Lotus Notes. Il a été une grande force de Microsoft, car il était un des représentants de l'époque des spécialistes en informatique, qui ont grandi avec les premiers ordinateurs. Lorsque Bill Gates a démissionné, Ray Ozzie a été logiquement pressenti pour le remplacer comme architecte logiciel en chef.
L'ASC a une fois estimé qu'il avait accumulé 10 000 heures derrière un ordinateur depuis sa deuxième année au collège. Il est né la même année que Gates et ils avaient tous deux connus leurs premières expériences avec l'informatique en utilisant des ordinateurs GE sous Time Sharing.
Crédit Photo : D.R
(...)(19/10/2010 11:17:33)Monster réitère ses journées virtuelles de recrutement
Monster, spécialiste de la gestion de carrière en ligne, lance la troisième édition des Monster edays, ses journées virtuelles de recrutement. Jusqu'au 29 octobre, les candidats peuvent postuler en ligne et de façon interactive, avec les entreprises 24h/24 et 7j/7, partout en France ou à l'international. Grâce à des vidéos intégrées aux annonces, ils ont la possibilité de découvrir, de l'intérieur, l'environnement de travail des recruteurs. Des chats (vidéo et texte), faisant office d'entretiens d'embauche, autorisent la communication en direct avec des responsables d'entreprises de différentes agences régionales. Des outils permettent également aux employeurs de suivre les visites et les candidatures sur le stand et d'accéder à la base de CV qualifiée de Monster. « A la différence des salons traditionnels, cette formule permet aux exposants de toute région d'être visibles sur un plus grand laps de temps », expose Laurence Bricteux, directrice du marketing chez Monster, et d'ajouter : de leur côté, les postulants peuvent envoyer leurs questions quelque soit l'endroit où ils se trouvent, se promener dans les allées, visualiser les stands des exposants, postuler aux offres, et rebasculer à tout moment vers notre site d'offres d'emploi. »
Accéder à des candidatures de qualité
Cette année, la manifestation, qui compte sur 110 000 visiteurs uniques, accueille une quinzaine d'entreprises de tous les secteurs, dont celui de l'IT, représenté par des éditeurs (Cegid, Microsoft, NeoSoft), des SSII (Cella, CSC) et des fabricants de périphériques sans fil pour téléphonie mobile (comme Parrot). Au menu, des postes couvrent différents profils correspondant à tous niveaux d'expérience et de qualification, en région parisienne, en province, comme à l'étranger. Pour CSC, il s'agit de la seconde participation. "Nous souhaitions renouveler l'opération car elle nous a permis d'accéder à des candidatures de qualité que nous n'avions pas pu toucher par la voie des petites annonces", témoigne Sophie Vandermeersch, responsable du recrutement chez CSC. Pour elle, cette formule établit également un lien de proximité avec les candidats, au travers des chats, ce qui n'est pas possible lors des salons traditionnels, du fait d'un fort afflux de visiteurs.
La SSII compte donc sur le côté interactif de la manifestation pour l'aider à réaliser 500 embauches d'ici la fin de l'année, dont une majorité de profils expérimentés pour des postes situées en Ile-de-France. "Etre présent sur ce type de salon revient moins cher - soit entre 5 000 à 15 000 euros NDLR- que de passer par un cabinet de recrutement", considère la représentante de CSC. "Cette formule a également pour avantage de renforcer notre visibilité et d'attirer des candidats qu'on n'a pas l'habitude de toucher", indique t-elle.
Restait la formation à l'outil, seule ombre au tableau lors des précédentes éditions. Cette année, l'accompagnement semble avoir été réalisé bien en amont par Monster. "Un tour d'horizon sur les nouveautés proposées dans le cadre de cette édition a été effectuée" précise Sophie Vandermeersch. Plusieurs heures ont notamment été consacrées au fonctionnement des stands, aux questionnaires adressés aux candidats et à la mise en ligne de témoignages.
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