Flux RSS
Carrière
2022 documents trouvés, affichage des résultats 481 à 490.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(29/03/2010 11:48:17)
Les informaticiens de la SNCF en grève
Non, il ne s'agit pas d'un poisson d'avril, mais bien d'un mouvement social : le jeudi 1er avril, les informaticiens de la SNCF sont appelés à cesser le travail durant vingt-quatre heures. Lancé à l'initiative des fédérations syndicales des cheminots CGT, Unsa, Sud-Rail, et CFDT, le préavis couvre l'ensemble du personnel informatique de la SNCF, y compris les prestataires. L'objet de la mobilisation : le choix fait par la direction d'une co-entreprise avec IBM, imposé comme contrepartie du contrat SNCF-Geodis. Baptisé Ulysse, le projet consiste à livrer la gestion de la sous-traitance des prestations informatiques de la SNCF à IBM. Pour les syndicats, cette réorganisation pourrait entraîner la délocalisation de centaines d'emplois d'informaticiens vers des pays comme l'Inde ou l'Europe de l'Est. Pire, Sud Rail prévoit même que sur les bassins d'emploi de Lyon, Nantes, Lille et Paris où la SNCF a implanté ses directions informatiques, ce projet provoquera la disparition de plus de 1 000 emplois. Et que les salariés des entreprises de services informatiques sous-traitantes (SSII) seront les premiers touchés. (...)
(24/03/2010 12:41:52)Apec : chute de 26% des offres IT par rapport à février 2009
En février dernier, l'Apec a reçu 6 960 offres d'emploi de cadres destinées aux professionnels de l'informatique, soit une baisse de 26 % par rapport à l'an dernier. La fonction IT fait ainsi partie, avec les services techniques et la R & D, de celles qui affichent un recul plus important que la moyenne. Au total, l'informatique a tout de même représenté un total de 63 253 offres en cumul sur douze mois, entre mars 2009 et février 2010. Les métiers du secteur ayant subi une baisse du nombre d'offres sont ceux liés à la maîtrise d'ouvrage (- 38%), à l'informatique de gestion (-31%), à l'informatique industrielle (-28%) à l'exploitation et à la maintenance (-27%) aux systèmes réseaux et données (-26%). A l'inverse la demande autour des métiers du Web, des sites et des portails Internet a bondi de 266%, sur la période de mars 2009 à février 2010, par rapport à celle de mars 2008 à février 2009, soit 3 383 offres supplémentaires déposées au cours de cette période. (...)
(24/03/2010 11:33:59)Siemens externalise sa branche informatique SIS
Siemens va supprimer des emplois dans ses activités de services informatiques (SIS) et restructurer cette branche, en vue d'engranger 500 M€ d'investissements additionnels d'ici à 2012. Ce plan prévoit la suppression de 4 200 emplois dans le monde, dont 2 200 en Allemagne, sur un effectif total de 35 000 salariés. Cette réduction d'effectifs touchera en premier lieu les salariés travaillant sur les principaux sites allemands. Concernant les 2 200 réductions d'emplois hors Allemagne, la plupart - environ 1 700 - auront lieu en Europe. La France n'est pas épargnée, l'équipementier télécoms ayant annoncé le 9 mars, en Comité central d'entreprise (CCE), l'externalisation de sa branche informatique SIS basée à St-Denis (Seine-St-Denis), selon la CFTC. Le syndicat souhaite le report de ce projet et considère que ce dernier ne garantit en rien l'activité en France mais qu'au contraire elle organise la délocalisation vers SIS Italie, Belgique et Espagne. Le syndicat exprime également ses craintes sur les risques d'un passage à la convention collective Syntec qui pourrait avoir pour conséquence une baisse importante des avantages pour les salariés et notamment des indemnités de licenciements en cas de plan social.
(...)
Après Areva, Benoit Tiers devient CTO de Sanofi-Aventis
Sanofi-Aventis a annoncé dans un communiqué de presse que Benoît Tiers a été nommé Chief Technology Officer (CTO) de Sanofi-Aventis avec effet au 22 mars 2010.
Il rapportera à Bruno Ménard, vice-président systèmes d'information de Sanofi-Aventis, qui a un profil plutôt financier. Rappelons que ce dernier est l'actuel président du Cigref (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises). Benoît Tiers est, quant à lui, président de l'EOA (European Outsourcing Association) et représentait déjà Areva au Cigref.
A 46 ans, Benoît Tiers quitte le poste de DSI du groupe Areva, poste qu'il occupait depuis 2005. En tant que DSI d'Areva, il avait fait obtenir une triple certification à sa direction : ISO 9001, 14001 et 27001 (voir son interview dans « En savoir plus »). Il était auparavant PDG du prestataire de services informatiques Euriware, filiale du groupe Areva.
Cette double expérience de DSI et d'ancien patron de société de service sera mise à profit pour mettre en place au sein de Sanofi-Aventis une entité interne visant à délivrer aux métiers des services opérationnels et d'infrastructures informatiques. Cette démarche est proche de celle de nombreux groupes du CAC 40, notamment Axa (lauréat 2009 du Trophée Entreprises et Société de l'Information de la conduite du changement pour cette mise en oeuvre). (...)
La SSII Acti recherche plus d'une centaine d'informaticiens
Après avoir recruté un peu plus d'une centaine de nouveaux collaborateurs en 2009, Acti France (530 collaborateurs en France, 650 au total) annonce un plan de recrutement encore plus ambitieux pour l'année 2010. La société de conseil et de services informatiques a en effet décidé d'ouvrir entre 130 et 160 postes d'ingénieurs, essentiellement en Ile-de-France , dans des domaines diversifiés : « il s'agit de chefs de projets et d'ingénieurs spécialistes de .Net et Java/J2EE, précise Marie Mercedes Allongues, directeur marketing, communication et responsable des ressources humaines chez Acti, de concepteurs, d'ingénieurs d'études, d'administrateurs systèmes Unix, d'administrateurs de bases de données, de consultants MOE et MOA, de consultants banque et finance de marché ». Les profils seront des confirmés, en grande majorité, ou ayant une première expérience de deux ans. Le niveau de diplôme exigé : Bac + 5 (70%) , Bac +4 (20%) et Bac +2 (10%).
(...)
Salaires 2010 : peu d'espoir d'augmentation
L'enquête publiée par le cabinet de recrutement Hays le démontre : 2010 ne sera toujours pas l'année des augmentations. La conjoncture des années 2008 et 2009 a eu un impact important sur les recrutements et de fait sur les politiques de rémunération. Entre crise et restructuration, les salaires des informaticiens ont stagné en 2009. Dans les systèmes et réseaux, la pénurie des candidats constatés ces dernières années s'est réduite en particulier grâce aux licenciements en masse du secteur, principalement en SSII. Les fonctions du middle et du top management au sein des DSI ont particulièrement souffert de la situation. Ces profils ne sont pas toujours remplacés et les DSI préfèrent limiter le nombre d'intermédiaires entre les ingénieurs techniciens de production et de direction. « Désormais un profil classique d'ingénieur système et réseaux ne suffit plus, précise Anthony Collins, directeur adjoint de la division informatique et télécoms chez Hays. Il lui faut désormais disposer d'une valeur ajoutée pour négocier son salaire. »
Dans des secteurs en vogue malgré la conjoncture, tels que l'e-commerce, le web 2.0 et le multimédia les salaires sont également en berne sauf pour les experts qui peuvent les négocier à la hausse. «Ce sont des marchés porteurs, mais encore en devenir, précise Anthony Collins. Le niveau de rémunération n'a en général pas augmenté en 2009. Dans ces secteurs, il correspond plutôt à celui de 2008, et est, dans certains cas, revu à la baisse, dans les systèmes et réseaux par exemple».
[[page]]
La tendance est donc à la morosité, sauf pour des profils très spécifiques. Exemple : maîtrise de Spring Struts Hibernate pour des ingénieurs Java/J2EE, maîtrise de Net 3.5 SQL Server 2005/2008 pour les spécialistes de .net.
Les métiers du conseil et de la MOA sont également en perte de vitesse, avec peu de postes ouverts en 2009. Même constat pour le secteur des ERP et du décisionnel, avec peu de recrutements et quasiment pas d'évolution salariale. E l'avenir n'augure rien de bon « Si la reprise budgétaire ne se manifeste pas rapidement, 2010 pourrait être une année difficile, tant pour les salaires que pour l'emploi », prévient le directeur adjoint d'Hays. Cependant ce marché est très cyclique et lorsque la reprise se confirme l'emploi et les salaires reprendront rapidement le bon chemin. » Il ajoute « Il faut, néanmoins, rester lucide. Le secteur de l'informatique est devenu un secteur comme les autres, qui s'est industrialisé et qui ne retrouvera jamais son essor des années 1998-2001 et de 2005-2007 ».
(...)
Plus de 1 500 entreprises IT défaillantes, selon la Coface
Entre fin février 2009 et fin février 2010, 1 507 entreprises du secteur de l’informatique et de l’électronique ont été placées en redressement ou en liquidation judiciaire, soit 19,5% d’augmentation sur un an. Tel est le triste constat dressé par la Coface dans son observatoire des défaillances, ce qui place le secteur de la high-tech au 16ème rang sur un total de 22. Sur le seul mois de février 2010, 131 entreprises de l’IT ont du mettre la clé sous la porte.
Le climat est un peu moins morose du côté des télécoms, où l’on compte néanmoins 176 entreprises défaillantes entre février 2009 et février 2010 , soit + 7,3%. d’augmentation sur douze mois.
Au final, pas moins de 6 972 emplois devraient être impactés par ces difficultés.
L’un des effets les plus dévastateurs de la crise a été la multiplication des défaillances des PME, précise la Coface ; celles-ci ont vu leur nombre de fermetures progresser, beaucoup plus vite que les autres catégories d’entreprises. Ainsi, durant l’été 2009, la hausse des défaillances des sociétés de taille moyenne a atteint les 80%, contre 55% pour les micro-entreprises, tous secteurs confondus.
Avenir Telecom conclut les négociations de son plan social
Le groupe spécialisé dans la distribution de produits de téléphonie mobile va supprimer 69 postes sur un effectif total de 792 personnes en France. Ce PSE (Plan de Sauvegarde de l'Emploi) concerne principalement des collaborateurs basés à son siège de Marseille. Les suppressions d'emploi toucheront les services administratifs et des postes d'encadrement des activités de vente directe et indirecte. De fait, aucun des employés animant l'un des 160 points de ventes de l'enseigne Internity (l'activité vente directe du groupe Avenir Telecom) n'est concerné. En toile de fond de cette mesure, on trouve évidemment des difficultés économiques. La conjoncture économique n'explique pas tout Sur les 9 premiers mois de son exercice 2009-2010, le groupe Avenir Telecom avu son chiffre d'affaires baisser de 18,8% à 453,2 M€. Si la conjoncture économique des mois passés explique en partie la baisse des ventes, l'entreprise ne cache pas qu'il ne s'agit pas de la raison principale de ses difficultés. « En France, le marché de la téléphonie est devenu un marché de renouvellement alors que nous avons basé notre croissance sur la conquête d'abonnés. Or, la reconduction d'un abonnement est beaucoup moins rémunératrice qu'une ouverture de ligne », explique Philippe Gimié, le DRH d'Avenir Telecom. S'ajoute à cette évolution du marché celle de la politique des opérateurs qui privilégient de plus en plus leur propre réseau de boutiques et la vente directe en ligne au détriment des distributeurs indépendants. Enfin, Avenir Telecom invoque le fait qu'il n'a pas profité comme il se doit de la déferlante de l'iPhone sur le marché français. Comme l'explique son DRH, « nos négociations avec Apple ne nous ont pas permis de distribuer ce produit dans plus de 50 de nos magasins, sur 160 au total, avant les fêtes. Il nous a donc été impossible de développer une véritable communication autour de ce produit et de profiter à plein de l'effet qu'il a créé sur le marché de la téléphonie ». Aujourd'hui revenu sur une structure de coûts qui garantit sa compétitivité, Avenir Telecom se doit de jouer sur de nouveaux leviers de croissance. L'entreprise mise notamment sur l'accroissement de son activité de vente d'accessoires en Europe. Elle espère également voir les revenus de son site web marchand progresser d'avantage tout en reconnaissant que son décollage se fait en douceur. (...)
(17/03/2010 11:23:53)La SSII Viveris recherche 150 informaticiens
Après avoir gelé ses recrutements en 2009, la SSII Viveris - 650 collaborateurs - prépare la reprise et annonce un plan d'embauches de 150 ingénieurs en 2010. Les postes sont à pourvoir principalement en Ile-de-France et visent l'ensemble des métiers de l'informatique : il s'agit de débutants, mais également de profils confirmés, des chefs de projet, des développeurs et des spécialistes de l'informatique de gestion, notamment. Créer le site de e-commerce d'un groupe industriel, concevoir une application améliorant la gestion de logements sociaux, réinventer un système de contrôle de gestion, réaliser des systèmes électroniques à haute technicité, sont autant d'exemples de projets sur lesquelles ces nouvelles recrues seront mobilisées. (...)
(11/03/2010 12:23:16)Stéphane Richard s'entoure de femmes à la direction de France Télécom
Au premier rang, on remarque Delphine Ernotte, directrice exécutive, adjointe pour les opérations en France. Elle sera chargée de mettre en oeuvre le projet d'entreprise en France, et en particulier elle veillera à la poursuite effective des chantiers lancés par les directeurs d'unités et sera garante de la cohésion des équipes et de la mise en service du nouveau contrat social. Elle aura la responsabilité de mettre en oeuvre le renouveau opérationnel et managérial de France Télécom en France. Elle prendra appui sur le comité de direction ainsi que sur les Directeurs Territoriaux.
[[page]]
On a forcément remarqué l'arrivée de Christine Albanel, ancienne ministre de la Culture. Elle est directrice exécutive, en charge de la Communication, du Mécénat et de la Stratégie dans les Contenus. Christine Albanel se verra également confier à terme la Communication interne du Groupe. Agée de 54 ans, elle est agrégée de lettres modernes, Conseiller d'État. Elle a occupé les fonctions de Présidente de l'Établissement Public de Versailles. Christine Albanel a débuté sa carrière en tant que chargée de presse à la Présidence de la République de 1979 à 1981 puis comme chargé de mission auprès du Directeur de l'information et de la communication de la ville de Paris de 1982 à 1986. Après deux ans à Matignon (1986-1988), elle a poursuivi son parcours en étant Directeur adjoint du cabinet du Maire de Paris, puis, de 1995 à 2000, Conseiller pour l'éducation et la culture auprès du Président de la République. En 2000, elle a été nommée Conseiller d'État.
[[page]]
Parmi les autres promotions, Alice Holzman, 41 ans, Essec, est actuellement Directrice de la Communication France. Après un début de carrière chez Gemini Consulting comme consultante dans le domaine Marketing et Ventes, elle a rejoint le groupe France Télécom-Orange en 1995 où elle a lancé les premières offres mobiles Grand Public. En janvier 2006, elle a été nommée Directrice Marketing Mobiles puis Directrice Générale Déléguée d'Orange France SA .
Odile Roujol est nommée Directrice de la Communication France et prend la responsabilité de la communication externe et interne. HEC 1989, elle a mené une grande partie de sa carrière dans le secteur de la Beauté et du Luxe, notamment aux États-Unis.
Avant de rejoindre France Télécom-Orange en septembre 2009 en tant que Directeur Marketing Client pour les activités grand public d'Orange en France, elle était Directeur Général International de Lancôme au sein du groupe l'Oréal. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |