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(15/01/2008 16:26:17)
BEA explique Genesis à ses utilisateurs français
BEA tenait aujourd'hui son « Convergence Day » au Cnit de Paris-La Défense, un événement important dans le calendrier de l'éditeur, qui réunit ainsi chaque année ses principaux utilisateurs, prospects et partenaires. Alfred Chuang, cofondateur et toujours patron de BEA, a fait le déplacement, pour faire la promotion de son nouveau concept Genesis, dans un court discours résumant son 'keynote' de l'édition européenne de BEA World, qui s'est tenue à Barcelone en octobre dernier. Insistant sur la fin des progiciels intégrés et sur l'essor des mashups, ces services composés par les utilisateurs eux-mêmes, Alfred Chuang explique que l'avenir appartient aux « Dynamic business applications », un terme issu des analyses du cabinet Forrester, désignant des applications conçues pour être changées, et non pas simplement personnalisées. Un avenir rendu possible par la généralisation des SOA, les architectures orientées services. La réponse de BEA à ce challenge s'appelle « Genesis », « une initiative qui embrasse et étend tout ce que fait BEA », a sommairement expliqué Alfred Chuang, qui promet un lancement de la première étape de Genesis dès cet été. Dans un entretien avec Lemondeinformatique.fr, Mike Piech, directeur marketing senior pour les familles de produits WebLogic et Tuxedo, a indiqué que chaque nouvelle version d'un produit BEA comporterait désormais des spécificités liées à Genesis, tandis que certaines fonctionnalités seront délivrées en tant que modules autonomes. Dans tous les cas, a insisté Mike Piech, les produits BEA déjà installés dans l'entreprise seront pris en compte par les nouvelles technologies estampillées Genesis au même titre que le reste de l'existant : pas besoin de tout migrer. La première déclinaison de Genesis concernera les éditeurs souhaitant proposer leurs applications en mode Saas (Software as a service, ou application hébergée). « Parmi les exemples de fonctionnalités, il y aura la capacité de gérer plusieurs instances pour des clients différents, et de superviser l'usage du logiciel pour la facturation. » Genesis mêle mashups et Web 2.0 dans un monde post-SOA Mike Piech était monté sur scène pendant le discours d'Alfred Chuang pour effectuer et commenter une démonstration d'une application Genesis : un portail Web pour une marque automobile fictive, proposant plusieurs vues selon les utilisateurs (client, vendeur, concessionnaire, designer...), et privilégiant des techniques ainsi que des façons de travailler très Web 2.0 : collaboration via messagerie ou tableau blanc, glisser-déposer d'éléments applicatifs générant automatiquement des mashups... « La première démonstration live que j'ai vue moi-même de Genesis », a ensuite glissé Laurent Matringe, DG de BEA France, en guise de conclusion. Or, cela n'avait pas grand-chose de live, nous a ensuite avoué Mike Piech. Il s'agissait d'une vidéo retraçant ce que Genesis pourrait, à terme, offrir. Il reste, avant cela, beaucoup de travail à faire. Non seulement pour parvenir à cette création instantanée de mashups, mais aussi pour encadrer ce que pourront et ne pourront pas faire les utilisateurs. « Parmi les challenges à résoudre, indique Mike Piech, à chaque fois que j'effectue un glisser-déposer, j'augmente significativement la charge du service applicatif. D'où l'intérêt de la virtualisation pour ajouter dynamiquement des ressources. » Le DG France de VMware, partenaire de l'événement, avait d'ailleurs eu l'insigne honneur de monter sur scène le matin, BEA ayant multiplié ces derniers temps les annonces en matière de virtualisation. Toutefois, même avec de la virtualisation, les risques restent importants pour l'équipe d'exploitation. « Je ne peux pas prétendre que nous ayons déjà toutes les réponses », répond Mike Piech. (...)
(15/01/2008 15:42:10)Hector, le supercalculateur le plus puissant de la Grande-Bretagne
La Grande-Bretagne vient d'inaugurer le plus puissant supercalculateur jamais construit sur son sol. Doué d'une puissance équivalente à celle développée par 12 000 PC, le Cray XT4, nom de son constructeur américain, baptisé Hector (pour High-End Computing Terascale Resource) est capable d'une puissance de 60 teraflops. Hébergé dans le centre dédié à la recherche informatique de l'université d'Edimbourg, Hector sera utilisé par la communauté scientifique pour étudier les mouvements des courants, pour l'industrie aéronautique ou pour élaborer des scenarii complexes liés au réchauffement climatique. Selon le Top 500 des supercalculateurs mondiaux, Hector, en dépit de sa puissance phénoménale et de son coût de 113 M£, se place au 17e rang du classement. Surclassé par BlueGene/L d'IBM qui, avec ses 212 992 processeurs, développe une puissance de calcul de 478 teraflops. Hector est motorisé par 11 328 puces. (...)
(15/01/2008 15:39:17)La recherche des PME soutenue par la Commission européenne
La Commission européenne a présenté hier, lundi 14 janvier, à des chercheurs réunis à Bruxelles une action Marie Curie destinée à financer des projets d'échanges de personnel entre entreprises et universités. Cette action, intitulée "Partenariats et passerelles entre les entreprises et les universités" octroiera, d'ici à 2013, 400 M€ à des projets d'échange. Destinée aux petites entreprises, qui représentent la plus grande partie du secteur privé européen, c'est l'unique possibilité, pour une seule PME alliée à un partenaire universitaire, de demander un financement communautaire de la recherche. La conférence du 14 janvier a donné l'occasion de rappeler les succès de précédents partenariats industrie/recherche et d'examiner les obstacles actuels à la mobilité entre les secteurs public et privé. Elle se composait notamment d'ateliers aidant les participants à élaborer des partenariats de recherche de qualité et à profiter autant que possible d'un éventuel contrat, dans le cadre d'un programme ouvert à tous les organismes actifs dans le domaine de la recherche. Les partenariats doivent rassembler au moins un organisme de recherche privé et un organisme de recherche public, provenant d'au moins deux pays participant au programme-cadre. Financement sur 4 ans couvrant 100% des coûts Les pays participant au 7e programme-cadre sont les 27 États membres de l'Union européenne, la Norvège, l'Islande, la Suisse, le Liechtenstein, Israël, la Croatie, la Serbie, l'ancienne République yougoslave de Macédoine, l'Albanie et la Turquie. Le soutien offert est destiné à des échanges de savoir-faire et d'expérience sous forme de détachements réciproques de chercheurs, à des activités de recherche et de mise en réseau, au recrutement de chercheurs expérimentés extérieurs au partenariat, à l'organisation d'ateliers et de conférences et à l'acquisition d'équipements de recherche par les PME. Le financement s'étale généralement sur 4 ans et couvre jusqu'à 100 % des coûts du projet. Aucun financement complémentaire n'est requis. Le deuxième appel de propositions est désormais ouvert, jusqu'au 25 mars 2008. La part du budget disponible pour le présent appel s'élève à 45 M€. (...)
(15/01/2008 13:55:02)Résultats : SAP dépasse les prévisions au 4e trimestre
SAP vient de communiquer pour son quatrième trimestre fiscal des résultats préliminaires supérieurs aux prévisions des analystes. Sur les trois derniers mois de l'année 2007, le chiffre d'affaires de l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) s'est élevé à 3,25 Md€ (4,8 Md$), soit une progression de 10% par rapport au quatrième trimestre 2006. Le chiffre d'affaires issu des ventes de logiciels et de services associés a progressé de 13%, à 2,48 Md€. Sur l'ensemble de l'année 2007, le chiffre d'affaires total de SAP s'établit à 10,26 Md€ (+9%) et les ventes de logiciels et de services associés à 7,44 Md€ (+13%). A taux constant entre dollar et euro, les ventes de logiciels et de services du quatrième trimestre ont en fait progressé de 17% et le chiffre d'affaires total de 13% par rapport à 2006. La marge opérationnelle du groupe, en revanche, a reculé à 26,5% (contre 27,3% en 2006), une baisse que SAP attribue aux investissements qu'il a effectués dans sa suite de gestion intégrée en ligne, Business ByDesign, une solution destinée aux PME que l'éditeur héberge et propose d'exploiter comme un service (SaaS). Cette offre, annoncée en septembre dernier, est déjà utilisée par plusieurs entreprises pilotes et sa commercialisation doit se généraliser au cours des prochains mois. Région EMEA : +13% sur les ventes de logiciels et services Si l'ensemble des zones géographiques a contribué aux bons résultats du quatrième trimestre pour les ventes de logiciels et de services associés, l'éditeur souligne en particulier la progression de la région Asie/Pacifique/Japon où ces ventes ont augmenté de 27%, à 0,30 Md€ sur le quatrième trimestre, et devraient atteindre 0,96 Md€ sur l'année (+19%). Dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), ces ventes se sont établies à 1,40 Md€ (+13%) et à 3,98 Md€ (+13%) sur l'année. La croissance a été moins marquée sur le continent américain où les ventes de logiciels et de services associés ont progressé de 7%, à 0,78 Md€, au quatrième trimestre (2,5 Md€, +9% sur l'année). (...)
(15/01/2008 13:45:21)HP dope sa gamme de serveurs pour PME
HP a intégré quatre nouveaux serveurs rack à sa gamme Proliant. Destiné au marché des PME, ils incluent tous un ensemble de logiciels et de services spécialement conçus pour ces sociétés, comme Lights Out pour les administrer à distance. Côté technique, deux de ces quatre serveurs, les HP Proliant DL 160 G5 et 180 G5, sont basés sur les nouveaux quadri-coeurs Xeon d'Intel, tandis que les HP Proliant DL 165 G5 et DL 185 G5 utilisent des Opteron bi-coeurs (ils pourront recevoir des processeurs Barcelona dès que ceux-ci seront disponibles). Ils sont tous dotés de disques SATA avec une capacité de stockage allant jusqu'à 10, 5 To. Le modèle le moins cher est commercialisé à partir de 1 499 $. (...)
(15/01/2008 12:04:11)50% des demandes pour les administrateurs de bases de données et les développeurs, selon Freelance.com
Pour cette seconde semaine de début d'année, Oracle conforte sa place de numéro un leader dans le top 10 des compétences les plus demandées sur des missions de courte durée. Oracle accroît même sa part de près d'un point et demi, au détriment principalement de Java, qui repasse derrière SAP.
La tendance observée la semaine dernière se confirme donc, les bases de données et les langages de programmation constituent les principales demandes de ce début d'année. Les deux spécialités sont d'ailleurs presque à égalité et représentent 50% de la demande.
La plateforme Microsoft confirme par ailleurs son maintien, puisque les demandes aussi bien en .Net, SQL Serveur, Visual Basic et Visual Studio figurent en bonne place dans le classement. A l'inverse, SAP recule au quatrième rang des compétences les plus demandées, après avoir occupé la première du podium pendant plusieurs semaines.
L'index se stabilise, à un niveau toujours supérieur à la moyenne constatée en 2007.
(...)
Une suite pour dégraisser les machines virtuelles
Partant du constat que les administrateurs de salles de serveurs « pistent leurs machines virtuelles en utilisant des feuilles de calcul Excel », John Suit, directeur technique de Fortisphere, a présenté hier une suite de logiciels dédiée à l'administration des machines virtuelles. Baptisée Virtual Essentials, elle se compose de deux parties. La première, Insight, suit et administre les machines virtuelles dès leur création et tout au long de leur cycle de vie. Et ce quel que soit l'hyperviseur employé (VMware, Xen Server, ou Hyper-V). La deuxième, Foresight, s'applique à faire respecter les règles d'administration au coeur de chaque machine virtuelle pour éviter les redondances d'informations inutiles ou, au contraire, s'assurer que toutes figurent à la bonne place. Si aucun prix n'est communiqué officiellement, la suite devrait avoisiner les 10 000 $, maintenance comprise. (...)
(15/01/2008 10:28:23)Le système de publicité de Facebook est toujours en service
Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook, défend bec et ongles son bébé Beacon. Il a confirmé sur 60 Minutes, une émission télévisée de CBS, que son système de publicité était toujours en service, en dépit de l'amas de reproches récoltés ces dernières semaines (non respect de la vie privée, exploitation de données personnelles dans un but lucratif auprès des annonceurs), mais qu'il allait évoluer afin de devenir « un bon outil ». En termes d'améliorations à faire, le site Techcrunch souligne par exemple un effort côté visibilité : « Beacon serait parfait si l'internaute acheteur savait qu'il envoie une information à ses amis au moment de la transaction, et si ces amis acceptent de recevoir de tels messages ». Pour rappel, Beacon est une plateforme publicitaire qui offre aux annonceurs (moyennant finances) un accès direct vers les informations concernant les membres du site communautaire, afin de les aider à mieux cibler leurs campagnes publicitaires. Autre détail contesté, si l'utilisateur clique sur une bannière publicitaire, elle est automatiquement transmise à l'ensemble de son réseau. Mark Zuckerberg a justifié sa position en déclarant : « Facebook emploie 400 salariés, nous devons faire du bénéfice pour soutenir la société ». Il a par ailleurs affirmé que Facebook ne serait pas introduit en bourse en 2008. (...)
(15/01/2008 10:25:07)Salesforce.com vise 1 milliard de dollars sur son prochain exercice
Marc Benioff, PDG de l'éditeur Salesforce.com, se plaît à souligner l'adoption croissante du mode SaaS (software as a service) qui conduit les entreprises à consommer les logiciels comme un service. Un modèle sur lequel il a exclusivement misé, dès la création de sa société en mars 1999, en proposant un logiciel de gestion de la relation client (GRC) à utiliser en ligne sur la base d'un abonnement. Fort du million d'abonnés qu'il vient de franchir en décembre dernier, Marc Benioff prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 1 Md$ sur son exercice 2009 qui débute en février 2008. Ce faisant, il rejoindrait le groupe restreint des éditeurs qui dépassent le milliard de dollars de chiffre d'affaires. Parmi ceux-ci figurent notamment Business Objects (1,254 Md$ en 2006), BEA Systems (1,4 Md$), Dassault Systèmes (1,157 Md€) et SAS (1,9 Md$), Cognos n'en étant également pas très loin (979 M$) sur son exercice 2006. Devant eux, Adobe (3,15 Md$), SAP (9,4 Md$), Oracle (18 Md$), Computer Associates, IBM, HP et Microsoft (51 Md$ au 30 juin 2007). La concurrence n'inquiète pas Salesforce.com En 2008, la société de Marc Benioff a lancé Force.com qui fournit aux entreprises et aux éditeurs tiers un cadre et des outils pour effectuer des développements d'applications, ces dernières ayant vocation à s'exécuter sur la plateforme de Salesforce. L'intérêt étant d'épargner aux entreprises de redévelopper des fondements que Salesforce.com a déjà mis en place. Le PDG rappelle que la consolidation du marché du logiciel se poursuit et il affirme que lui-même ne s'inquiète pas de la présence ou de l'arrivée sur le marché de la GRC en ligne d'acteurs aussi importants qu'Oracle (avec Siebel On Demand), Microsoft, avec Dynamics CRM Live, ou encore SAP. De façon assez présomptueuse, Marc Benioff estime qu'aucun de ces fournisseurs « n'a la capacité de fournir un service multi-instance (multi-tenant) qui puisse réellement concurrencer les solutions existantes ». (...)
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