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(16/01/2008 18:02:00)
Les plans de N. Negroponte pour l'OLPC en 2008
Réalisation : IDGNS Boston Durée : 1mn28s (...)
(15/01/2008 18:19:04)Windows Server 2008 : les bêta-testeurs français aiment Terminal Server
A moins d'un mois du lancement officiel de la version 2008 de Windows Server (voir encadré pour la feuille de route 2008), une fonctionnalité pourtant simple semble enthousiasmer les premiers bêta-testeurs de cette version majeure du système d'exploitation serveur le plus utilisé sur notre planète. Il s'agit de la fonctionnalité Terminal Server (TS) qui, dans sa version 2008, permet de se connecter à distance via un simple accès sécurisé https alors qu'il fallait auparavant un VPN (Virtual private network, réseau privé virtuel). Là où, sur le moyen terme, les améliorations apportées pour gérer la "complexité croissante", comme dit Alain Le Hégarat, responsable ventes et marketing de la division Plateforme d'entreprise, seront probablement des atouts clés de Windows Server 2008, c'est bien la possibilité de connecter facilement des postes distants via une passerelle qui intéresse en premier lieu les utilisateurs. C'est ainsi que l'on trépigne presque d'impatience au CHU de Grenoble pour déployer TS 2008. Cet hôpital, dont la compétence informatique est reconnue au point que Cristal Net, son applicatif de gestion du dossier patient, a été adopté par plus de quarante établissements de santé, compte 500 postes qui utilisent déjà Terminal Server 2003. Pour la moitié d'entre eux, il s'agit de clients légers, pour l'autre de portables. "Les informations médicales des malades hospitalisés ne doivent pas quitter l'hôpital. Avec TS 2008, les médecins vont pouvoir se connecter de chez eux et continuer à travailler sur les dossiers de leurs patients", explique André Lescouarnec, en charge des 250 serveurs Windows de l'établissement. Autre atout de TS 2008, le passage en 64 bits de Windows Server 2008 permet de dépasser la limite de l'adressage mémoire à 4 Go. Les premiers tests semblent montrer que là où il fallait un serveur pour 60 utilisateurs, la même configuration pourra en accueillir 100 à 120. Enfin, TS 2008 intègre Easy Print qui permet d'utiliser le pilote d'impression du poste local. Un détail qui a son importance, tant pour la facilité d'utilisation que d'administration. Autre détail d'importance : il faudra que les postes clients soient équipés de la version 7 d'Internet Explorer. En version 2008, Terminal Server joue le rôle d'une banalisation des clients légers. Qui s'en plaindrait à par Citrix qui devrait perdre des clients sur les configurations les moins complexes. (...)
(15/01/2008 17:43:01)Infor réunit fonctions financières et décisionnel dans PM 10
Infor vient de faire évoluer sa solution de gestion de la performance financière, Infor PM, destinée aux groupes (gérant diverses filiales), grands ou moyens. L'offre regroupe en un seul produit l'application de gestion des processus métiers d'Extensity MPC (planification stratégique, élaboration budgétaire, consolidation et workflow) et les fonctions décisionnelles de Systems Union MIS (ETL, reporting avancé, analyse multidimensionnelle). « Ces deux grands domaines fonctionnels sont réunis au-dessus d'un seul référentiel de données », souligne Georges Vidal, consultant vente et avant-vente pour l'Europe sur la solution Infor PM. Depuis 2002, l'éditeur Infor, principalement détenu par le fonds Golden Gate Capital, a racheté une vingtaine d'éditeurs de logiciels, parmi lesquels Extensity et Systems Union, avec l'intention explicitement exposée de faire évoluer les différentes offres acquises et de les faire communiquer, à terme, sur la base d'une architecture orientée services (SOA). Cette stratégie a permis à Infor de conserver les portefeuilles de clients rachetés (le taux de rétention de sa base installée - 70 000 entreprises - atteint les 95%, selon AMR Research). Avec l'annonce d'Infor PM 10, la démarche se concrétise dans le domaine de la gestion de la performance. Sur ce terrain, Extensity bénéficiait déjà d'une certaine notoriété, ses capacités fonctionnelles ayant notamment été distinguées par le cabinet d'études américain Ventana Research. Le rapprochement avec les outils de MIS (racheté par Systems Union en 2003) permettent maintenant de disposer d'outils de Business Intelligence et d'intégration de données. « Infor PM 10 propose deux modes de stockage des données, poursuit Georges Vidal. Un mode de stockage relationnel, qui convient au traitement des processus financiers, et un mode de stockage multidimensionnel, mieux adapté pour traiter les volumes importants de données, dans le domaine commercial, notamment. » Au chapitre des nouveautés, en bref, notons l'apport d'outils pour contrôler la cohérence de la consolidation financière d'un groupe, la possibilité de tester plusieurs scénarios dans le module de planification et d'élaboration budgétaire et de réduire les cycles budgétaires à l'aide de circuits de workflow. Signalons aussi, avec Infor PM Office Plus, la capacité pour le contrôleur de gestion à intégrer lui-même, avec sécurité, des données d'un fichier Excel. Infor PM compte environ 2 000 clients dans le monde et 600 en Europe du Sud, dont environ 150 en France. (...)
(15/01/2008 17:38:28)Les universités françaises appelées à faire des efforts pour passer au numérique
Le constat du rapport commandé par Valérie Pécresse à Henri Isaac à propos du bilan du numérique dans les universités françaises est sévère. « Les universités sont encore trop faiblement présentes sur Internet et dans les réseaux de partage et d'échange en ligne autour de la connaissance », explique Henri Isaac, en soulignant que ce retard risque de « marginaliser » la France au niveau international. Le maître de conférences attribue ce retard à quatre freins majeurs : stratégiques, peu d'universités perçoivent le fait que le développement des ressources numériques peut constituer une source de valeur ; organisationnels, puisque la mise en oeuvre d'une politique numérique nécessite des adaptations structurelles coûteuses ; pédagogiques, car cela implique un changement des mentalités ; juridiques (notamment pour toutes les problématiques de droits d'auteur et de plagiat). Le rapport rappelle également l'arrivée d'une génération « native du digital », à savoir tous ces futurs étudiants qui ont grandi dans un univers 100% numérique (Internet, réseaux sociaux, téléphonie mobile, messagerie instantanée, iPod ou encore consoles de jeu vidéo). « Les universités devront accueillir des étudiants pour lesquels l'usage du numérique est totalement naturel et intégré dans leur vie quotidienne », car cet usage est devenu « central dans leur communication, leur langage, leur culture ». Or les universités ne sont pas du tout adaptées aux besoins et aux habitudes de cette génération Internet. Henri Isaac identifie un double objectif de politique numérique, « améliorer la qualité de service aux étudiants pour faciliter leur réussite dans le parcours universitaire » et « mettre l'université française au niveau des meilleures universités étrangères ». Pour atteindre ces buts, le rapport liste une série de propositions, comme numériser l'ensemble des documents pédagogiques afin d'en faciliter l'accès où que se trouve l'étudiant, développer l'enseignement à distance, garantir l'égalité des chances, lutter contre le plagiat ou encore améliorer la formation des enseignants. Reste à savoir qui paiera la facture, et convaincre les présidents des universités à allouer les budgets nécessaires au développement du numérique. Le rapport propose un contrat quadriennal cofinancé par le ministère pour subventionner la numérisation des universités françaises. En savoir plus Le rapport complet (...)
(15/01/2008 16:44:28)Deux administrateurs Oracle sur trois ne patchent pas leur SGDB
Quatre fois par an, régulièrement, Oracle poste son CPU (Critical Patch Updates) qui rassemble toutes les mises à jour de sécurité les plus importantes pour sa base de donnée. Et que font les administrateurs de ces bases ? Pour les deux tiers d'entre eux, strictement rien. C'est en effet le résultat d'un sondage mené par Sentrigo, revendeur américain de solutions de sécurité pour bases de données, auprès de 305 administrateurs Oracle provenant de 14 Oracle user group américains. Et dans le lot, seuls 10 % installent régulièrement les CPU, alors que 90 % d'entre eux n'ont pas installé le dernier lot de patches. Et 67,5 % des répondants n'ont même jamais installé un seul patch. Pour expliquer cette absence d'intérêt, Steve Markovich, directeur technique de Sentrigo a noté trois tendances majeures parmi les répondants. Primo, la plupart d'entre eux ne sont pas sensibilisés aux vulnérabilités pouvant affecter des bases de donnée. Deuxio, l'absence de certifications CPU pour les applications extérieures devant travailler avec une base Oracle est également un frein. Tertio, la sécurité n'est pas la préoccupation majeure de leurs employeurs qui les jugent sur la disponibilité et la performance de la base de donnée. « Au final, patcher une base de données est une opération complexe en soi », explique Steve Markovich. « Et si Oracle peut toujours rendre les choses de plus en plus facile, il faut que du côté client on reconnaisse que la sécurité doit faire partie d'une routine d'administration de base normale. » (...)
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