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(16/01/2008 11:57:44)

Le W3C fait un grand pas en avant pour le Web sémantique

2008 pourrait bien être l'année du décollage du Web sémantique. Le W3C, consortium en charge des standards du Web, vient de publier trois recommandations SPARQL, langage de requête qui permet d'exploiter toute la puissance de l'approche sémantique des données RDF (Ressource Description Framework). Grande marotte de Tim Berners-Lee, pape du Web et patron du W3C, le Web sémantique vise à créer un environnement en ligne dans lequel toutes les données sont reliées entre elles de façon logique pour former une information ultra-pertinente. On ne retient plus alors que le sens des données, et non plus leur place dans un document texte. A l'instar de ce qu'on obtient avec les résultats d'une recherche Google. Place à l'information pure décloisonnée issue de sources multiples et hétérogènes, fi des formats et des méthodes de stockage. Pour l'heure, le Web sémantique n'a pas percé à cause de sa complexité à la mise en oeuvre, mais également par la pauvreté des outils de développement et de la faible implémentation des standards. Parmi les technologies qui encadrent le Web sémantique, on retient RDF - la base du concept -, OWL (Ontology Web Language) qui décrit les ontologies (les liaisons logiques entre les méta-données) et GRDDL (Gleaning Resources Description from Dialects of Languages) qui extrait les micro-formats XML d'un document vers le RDF. Aujourd'hui, le W3C ouvre en grand le requêtage sur RDF en publiant les recommendations SPARQL Query Language for RDF, SPARQL Protocol for RDF et SPARQL Query Results for XML Format, trois spécifications développées par le groupe de travail RDF Data Access Working Group du consortium. Cette publication devrait ainsi doper le nombre d'implémentations de SPARQL au sein de frameworks sémantiques. On en dénombre aujourd'hui 14, dont Jena développé par les laboratoires HP. (...)

(16/01/2008 10:23:18)

Steve Jobs ouvre son MacWorld avec un MacBook ultrafin

L'édition 2008 de MacWorld, qui se tient à San Francisco du 15 au 18 janvier, s'est ouverte sur l'annonce du « portable le plus fin du monde », si l'on en croit Steve Jobs, fondateur et patron d'Apple. Il aura toutefois fallu attendre les deux tiers de son discours d'ouverture, devant un public tout acquis à sa cause, pour que Steve Jobs mette fin au suspense qu'Apple avait tenté de créer au sujet de cet « Air » à venir. Ménageant ses effets, Steve Jobs a présenté une enveloppe de papier kraft, dont il a lentement extrait... un MacBook ultrafin. Son épaisseur varie de 0,46 mm à 2 cm pour un poids de 1,3 kg. L'Air d'Apple est donc le troisième portable dans la gamme Apple qui comptait déjà le MacBook et le MacBook Pro. Il devrait être vendu 1699 E, et offrira un écran 13,3 pouces avec rétro éclairage LED, un disque dur de 1,8 pouce (celui utilisé dans les iPods) de 80 Go (SSD 64 Go en option, « un peu cher mais rapide », précise Steve Jobs), 2 Go de ram, un clavier confortable et rétro éclairé. Coté processeur, on retrouve bien sûr Intel avec un Core 2 Duo à 1,6 ou 1,8 GHz. Cette puce pour portable ultra-mobile gravée en 45 nm se greffe à une carte mère extrêmement compacte. La moitié de la taille habituelle. « Il a fallu un grand talent d'ingénierie pour caser un Mac dans cette taille », souligne Steve Jobs. La batterie du MacBook Air n'est pas amobile Il s'agit donc d'un portable extrême mais qui sacrifie certains éléments. Il n'y a qu'un seul port USB, pas de connecteur Ethernet, pas de lecteur optique interne (un module externe est vendu 89 E), pas de lecteur de cartes mémoires, ni d'interface 3G+. Et grande nouveauté sur un PC portable, la batterie n'est pas amovible ! Un trait issu des produits multimédias d'Apple, mais qui a suscité beaucoup de critiques parmi les utilisateurs. Heureusement, les interfaces sans fil courantes sont bien là (802.11n et Bluetooth 2.1). Dernier point notable, le grand pavé tactile est de type multipoints, ce qui permet d'offrir les agréables fonctions de zoom et de manipulation inaugurées avec l'iPhone et l'iPod Touch. Dernière annonce côté matériel, Apple croit fermement à la disparition des câbles et propose le Time Capsule, un disque dur externe sans fil doté de la fonction de sauvegarde incrémentale maison, Time Machine. En clair, il sera possible de transférer ses fichiers sur ce disque dur sans passer par un câble Ethernet, USB ou Firewire. (...)

(16/01/2008 10:00:35)

Annuels Intel : indicateurs en hausse mais contrariés par les bas prix

Résultats 4e trimestre Chiffre d'affaires : 10,7 Md$ (+10,5%) Bénéfice net : 2,27 Md$ (+51%) Résultats exercice fiscal Chiffre d'affaires : 38,3 Md$ (+8,2%) Bénéfice net : 7 Md$ (+38%) Intel conclut son exercice 2007 sur des ventes de processeurs et de chipsets record à 38,8 Md$, en hausse de 8,2%. L'ensemble des indicateurs s'inscrit en croissance avec un bénéfice net progressant de 38% (7Md$) et un bénéfice d'exploitation de 45% (8,2 Md$). L'année fiscale du fondeur se termine cependant sur un revenu inférieur à celui prévu par les observateurs (10,7 Md$ contre une estimation de 10,8 Md$) en raison de la faiblesse des prix des composants NAND. La concurrence restant très forte sur ce marché, Intel anticipe des prix restant bas en 2008. Pour éviter de pâtir de ces maigres niveaux, le groupe espère basculer une partie de ses activités liées aux mémoires flash sur Numonyx, une joint venture avec STMicro et Francisco Partners. L'année a été marquée par la sortie des processeurs Penryn, en novembre. Gravés en 45 nm, ils ont d'abord pris place dans les stations de travail avant de toucher, en janvier, les serveurs, les portables et les desktops. Au total, 32 CPU gravés en 45 nm ont été lancés en 2007. En 2008, le fondeur devrait lancer ses processeurs Montevina, et mettre ainsi à jour sa plateforme mobile Centrino. Menlow, la plateforme pour UMPC devrait également voir le jour dans le courant de l'année ainsi que Nehalem, la prochaine architecture de processeurs prévue pour la fin de l'année. Intel table sur la croissance des marchés de la mobilité et des serveurs en 2008 pour doper ses ventes de processeurs. Le groupe espère également profiter du créneau représenté par les marchés émergents pour écouler ses produits, notamment ses serveurs et portables. Pour le premier trimestre 2008, Intel prévoit un chiffre d'affaires compris entre 9,4 Md$ et 10 Md$. (...)

(16/01/2008 09:28:26)

Criteo lève 7 millions d'euros pour se développer à l'étranger

La start-up française Criteo annonce une levée de fonds d'un montant de 7 M€. Trois ans après sa création, l'éditeur de logiciels de « recommandation et d'amélioration des performances des sites d'affiliation, d'e-commerce et de bannières publicitaires », comme il se définit, finalise ainsi sa deuxième opération financière (3 M€ récoltés il y a 18 mois). Cette levée a été réalisée auprès des investisseurs historiques (Eleia Partners et AGF Private Equity) avec le soutien d'un partenaire complémentaire, à savoir Index Ventures, qui compte dans son portefeuille des sociétés comme Skype, Netvibes, Photoways, ou encore MySQL. Chaque investisseur bénéficie d'un siège au sein du conseil d'administration de la société. L'éditeur compte sur cette levée de fonds pour accroître sa visibilité, se développer à l'étranger (notamment en Grande-Bretagne) et recruter une dizaine de personnes (ils sont actuellement 25 collaborateurs, situés à Paris). Criteo a développé un moteur de recommandation prédictive en temps réel qui permet d'exploiter au mieux les catalogues de ses clients. Son outil analyse le comportement de l'internaute au moment de l'achat, puis fouine dans une base de données qui sélectionne les produits correspondant le mieux à son profil, en prenant en compte les évaluations laissées par la communauté des acheteurs précédents. Ce moteur est déclinable dans divers secteurs comme la musique, les livres, la mode ou encore le cinéma (Criteo compte parmi ses clients Allociné ou UGC). La technologie est disponible en Saas (software as a service), l'application est alors hébergée par Criteo. Elle peut être facturée de deux manières, soit sous forme de rémunération au clic (en fonction de la volumétrie du chiffre d'affaires généré grâce à l'outil de l'éditeur), soit sur la base d'un forfait prédéfini. Criteo affirme fournir chaque jour et en temps réel plus de 15 millions de recommandations personnalisées pour 4000 sites Internet, et accroître le panier de leurs clients de 40%. Le chiffre d'affaires de la société reste quant à lui confidentiel. (...)

(16/01/2008 08:41:42)

Les réseaux 40 et 100 Gbps devraient générer plus de 4 milliards de dollars en 2016

En mettant fin au débat en juillet dernier entre partisans du haut débit par l'adoption du standard 802.3ba, l'IEEE semble avoir ouvert des perspectives de marché colossales. C'est du moins ce qu'on peut conclure du dernier rapport du Cir (Communications Industry Researchers), société spécialisée dans l'analyse du marché des télécommunications, qui estime que les réseaux 40 et 100 Gbps devraient générer 4,3 Md$ en 2016. Pour mémoire, l'IEEE a décidé de regrouper les deux vitesses dans un seul standard, 802.3ba avec plusieurs interfaces physiques définies pour chaque vitesse. Le Cir explique cet envol du marché du 40 et 100 Gbps par la fin de la « guerre froide » née dans les années 80 entre les acteurs des marchés de la voix et des données. Offrant le plus haut débit, le standard 802.3ba mettrait en effet tout le monde d'accord, y compris l'ITU qui serait prêt à encapsuler le 40 et 100 Gbps dans son propre format OTN (Optical Transport Network), remplaçant du SONET/SDH. Cette décision de l'IEEE devrait dans un premier temps profiter au 40 Gbps d'après le Cir. La demande en débit ne cesse de s'accroître, qu'il s'agisse d'échanges au sein des datacenters, sur Internet ou même domestiques. Ces besoins gourmands en bande passante sont aujourd'hui couverts par l'agrégation de liens 10 Gbps qui devraient rapidement évoluer vers le 40 Gbps et ce d'autant plus que ce nouveau standard de l'IEEE peut s'appuyer sur les technologies optiques et de modulation, actuellement en phase d'industrialisation. A terme, le 40 Gbps devrait concerner tous les types de réseaux, mais le Cir prévoit qu'il sera d'abord utilisé pour relier les serveurs au sein de datacenters, de clusters et de SAN. En 2016, ce marché du 40 Gbps devrait représenter 3,1 Md$. Le 100 Gbps, pour sa part, devrait surtout être utilisé entre switches, ces connexions représentant la moitié du marché du 100 Gbps. Enfin, pour étayer ses conclusions, le Cir s'appuie également sur plusieurs signes du marché qu'il estime significatifs tels que l'enthousiasme de l'industrie pour les semi-conducteurs InP (Indium Phosphide) ou la prolifération de nouveaux schémas de modulation (dont PolMux DPQSK). Autre signe encourageant, les actuelles discussions autour des MSAs (Multi Source Agreement) et l'arrivée (chez Molex notamment) des premiers transcepteurs QSFP MSA, des boîtiers d'interconnexion 40 Gbps par agrégation de 4 canaux 10 Gbps. (...)

(16/01/2008 08:39:11)

La région Ile-de-France rejoint l'April pour soutenir davantage le logiciel libre

Après avoir rejoint l'Adullact (Association des Développeurs et des Utilisateurs de Logiciels Libres pour les Administrations et les Collectivités Territoriales), la région Ile-de-France vient d'adhérer en tant que personne morale à l'April (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre). Autant l'adhésion à l'Adullact peut être purement opportuniste puisque cette association réalise essentiellement des développements mutualisés de logiciels métiers, autant celle à l'April ne peut qu'avoir une dimension politique. De fait, l'April remarque que la région développe une stratégie volontariste en termes de « rééquilibrage » de son parc logiciel, autrement dit de choix volontaire de logiciels libres lorsque c'est possible. Cité par l'April, Jean-Paul Huchon, président de la région, indique d'ailleurs que l'objectif de l'adhésion est bien de « participer au développement de l'écosystème du logiciel libre ». Après l'adhésion de la petite commune de Pierrefitte-sur-Seine en fin d'année dernière, l'ambition de l'April est de multiplier les adhésions de collectivités locales pour créer au plus vite un groupe de travail dédié au sein de l'association. Les collectivités locales sont classiquement dotées d'un système d'information aux petites applications métiers très nombreuses et une migration d'environnement de travail, notamment au niveau du poste de travail, y est donc particulièrement difficile. On y trouve d'ailleurs les réticences les plus fortes contre le futur RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité). Les collectivités locales constituent donc une terre de mission particulièrement difficile pour les promoteurs du logiciel libre. (...)

(16/01/2008 08:32:07)

Les dépenses du secteur public dans l'IT progresseront de 800 M€ d'ici 2009

La dernière étude de Markess International sur le marché des logiciels et des services IT dans le secteur public évalue à 6,28 Md€ le montant des dépenses en informatique réalisées par les administrations centrales et locales françaises en 2007. Un investissement consacré pour plus de 63% au recours à des prestataires de services et, pour le reste, à l'acquisition de logiciels et de progiciels. Dans l'ensemble, les administrations centrales ont consacré 4,6% de leur budget global à leurs dépenses en informatique. Cette proportion n'atteint que 2% du budget des administrations locales. Les 8 premiers prestataires auxquels elles ont fait appel sont, dans l'ordre, Atos Origin, IBM Global Services, Thales, Cap Gemini, Steria, Bull, Accenture, Groupe LogicaCMG avec Unilog et Sopra Group. En 2008 et 2009, les dépenses totales en logiciels et services IT du secteur public devraient augmenter de 6,1% par an en moyenne pour s'élever à 7,07 Md€ à l'issue de cette période. La part des logiciels et des services devrait être la même que celle évaluée pour l'année passée. A travers l'analyse de 250 projets jugés prioritaires dans les administrations, il apparaît que sur ces deux années les chantiers liés à la gestion des contenus dématérialisés (numérisation des contenus, GED, systèmes de publications des contenus) devraient être les plus nombreux avec 13% du nombre des projets identifiés. Les problématiques liées à l'infrastructure arrivent en seconde position avec 10% des projets en volume. Viennent ensuite les projets liés aux ressources humaines satellites des grands chantiers de SIRH (systèmes d'information ressources humaines). A noter la progression des projets d'archivage électronique et de stockage qui occupent eux aussi la troisième place avec 9% des volumes contre 5% en 2007. (...)

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