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(16/01/2008 18:39:19)
Sun-MySQL : interview de Zack Urlocker, vice-président de MySQL
LeMondeInformatique.fr : Jusqu'à présent, MySQL n'avait levé que quelques millions de dollars. Comment expliquez-vous que Sun ait dépensé un milliard de dollars pour racheter MySQL ? Zack Urlocker : Du point de vue de MySQL, c'est un aboutissement, pour nos clients et pour nous. Et cela marque aussi un engagement significatif de Sun envers l'Open Source et la couche LAMP. Cela s'intègre aussi parfaitement dans la stratégie Open Source de Sun, avec OpenSolaris, Java, NetBeans, OpenOffice, etc. Certes, mais comment expliquer que Sun ait dépensé un milliard de dollars ? Sun ne commente pas sur les détails financiers. Quel message voulez-vous faire passer à votre communauté ? Je crois que c'est un grand engagement envers l'Open Source. Nous voulons être clairs sur le fait que Marten Mickos, CEO de MySQL, continuera de diriger les opérations au sein de Sun. MySQL fera partie de la division Software de Sun, et Marten Mickos sera sous la responsabilité de Rich Green. L'équipe de management et les fondateurs de MySQL sont tous à bord. Ce que je voudrais ajouter, c'est que cette acquisition nous donne plus de ressources que ce que nous avions en tant que société indépendante. Cela nous permet de viser un public plus large, car l'expertise de MySQL était vraiment sur les entreprises du Web et les petites et moyennes entreprises, tandis que Sun s'adresse aux grands comptes. C'est un grand vote de confiance qui va nous permettre de faire croître notre business à un rythme bien plus grand que ce qu'on aurait pu connaître en tant qu'indépendant. Toutefois, il y avait des avantages à être indépendant. Désormais, vous faites partie d'un grand groupe qui vend aussi des solutions logicielles, un système d'exploitation, du matériel... Je comprends l'objet de cette question. Mais depuis quelques années, Sun a vraiment opéré une transition. Sun supporte désormais Linux et Windows, travaille avec Intel, AMD, IBM, Dell... C'est une entreprise très ouverte aujourd'hui. Il n'y aura aucun changement pour nous, MySQL continuera de supporter Linux, Windows, PHP, Perl, Python... mais il y aura des améliorations dans le futur : support de Solaris, de Dtrace [outil d'administration, ndlr], et d'autres élément du portefeuille Sun. Prévoyez-vous des évolutions prochaines de la feuille de route produits, ou cela se fera à plus long terme ? Pas de changement à court terme. Les équipes de management et d'ingénierie de MySQL continueront comme avant, mais désormais nous bénéficions de davantage de ressources. Nous donnerons plus de détails sur la feuille de route dans quelques mois. De même, les nouvelles offres de support de Sun seront dévoilées à ce moment ? Oui. Les deux sociétés ont des modèles de souscription déjà en place. Donc je ne pense pas qu'il y ait de changement radical. (...)
(16/01/2008 17:32:24)Google, interdit par un professeur de l'université de Brighton
Le géant des moteurs de recherche contribuerait-il à faire baisser le niveau des étudiants ? C'est en tout cas le point de vue d'une enseignante de l'université de Brighton, un établissement situé dans le sud-est du Royaume-Uni, rapporte nos confrères de The Register. Tara Brabazon, professeur de communication dans cette université britannique, a en effet décidé d'interdire l'utilisation de Google et de l'encyclopédie en ligne Wikipedia à ses étudiants, estimant que ces outils participaient pour beaucoup à la qualité médiocre de leurs devoirs. Selon cette dernière, « l'université à la Google » est constituée d'idées superficielles, élaborées fugacement, en surfant à la va vite. Elle considère qu'il faudrait apprendre aux étudiants à analyser leurs connaissances, avant de leur délivrer un savoir-faire technique. Pour le professeur, la baisse de fréquentation des bibliothèques, conjuguée à la diminution du nombre de librairies et, de ce fait, à celle des stocks de livres, conduisent les étudiants à s'appuyer sur Google, bien plus pratique pour résoudre toute question complexe. L'enseignante souhaiterait, pour sa part, l'instauration d'une relation plus subtile entre l'analogique et le numérique. « Je veux que mes étudiants prennent la peine de lire des pages imprimées et ne se basent pas uniquement sur une information digitalisée sous forme de pixels », a t-elle déclaré à l'occasion d'une conférence. En réaction à son boycott à l'université de Brighton, Google a indiqué : « Nous considérons qu'un maximum de connaissances renforce les compétences de chacun, à l'échelle mondiale. C'est pour cette raison que nous nous sommes engagés à démocratiser l'accès à ces informations ». Google reconnaît toutefois que certains ont tendance à publier des informations erronées, qu'ils croient justes, comme cela peut notamment se produire sur l'encyclopédie collaborative en ligne Wikipedia. Pour éviter de s'appuyer sur des données erronées, Google rappelle qu'il est dangereux de consulter une seule et unique source. Si tel est le cas, elle ne devrait être exploitée qu'en tant que simple suggestion, recommande le moteur de recherche. (...)
(16/01/2008 16:38:04)VMware achète Thinstall, spécialiste du client ultra-léger
VMware vient de mettre la main sur Thinstall, un éditeur qui a mis au point une façon originale de déporter les applications personnelles. Son produit Virtualization Suite permet de créer un exécutable/runtime d'une application qui tourne sur un poste sans que l'installation d'un client soit nécessaire. C'est un pas plus loin que ce que peut faire, par exemple, SoftGrid (racheté par Microsoft) qui nécessite l'installation d'un client. ThinInstall a porté ses efforts de développements sur les applications bureautiques de Microsoft. Cela a eu au moins l'heur de plaire à VMware. Thinstall travaillait depuis la mi-2006 en partenariat avec Citrix. Ces relations devraient sans doute changer d'esprit suite au rachat par VMware qui cherche de toute évidence à être de plus en plus en concurrence directe avec Citrix au niveau de la virtualisation du poste client. (...)
(16/01/2008 16:03:52)Sun rachète MySQL pour 1 Md$
Contrairement à ce que prédisait une rumeur qui courait depuis le début de 2007, MySQL, éditeur de la base de données Open Source la plus populaire, n'entrera finalement pas en Bourse. MySQL a préféré accepter une offre d'achat de Sun. Qui, pour un milliard de dollars (dont 800 M$ en cash), s'offre une place de choix aux côtés d'Oracle, IBM et Microsoft, sur un segment dont il était absent. Il fut un temps où Sun disait être le point de .com. Aujourd'hui, Jonathan Schwartz, patron de Sun, revendique le M de LAMP, l'acronyme derrière un grand nombre de sites Web : L pour le système d'exploitation Linux, A pour le serveur Web Apache, M pour MySQL et P pour les langages de script PHP/Perl/Python. Dans son blog, Jonathan Schwartz explique : « MySQL est de loin la plateforme la plus populaire sur laquelle les développeurs modernes créent des services en réseau. De Facebook, Google et Sina.com aux entreprises de la finance et des télécoms, les architectes cherchant performance, productivité et innovation se sont tournés vers MySQL. » Sun va étoffer les services de support de MySQL pour séduire les grands comptes Jonathan Schwartz assure que la transition sera extrêmement simple, dans la mesure où « Sun s'est déjà engagé dans le modèle économique qui est au coeur du succès de MySQL : d'abord investir afin de faire croître les communautés d'utilisateurs et de développeurs, puis proposer des services commerciaux qui attirent - sans emprisonner - les clients payants ». Sun s'engage ainsi à proposer des services de support propres à décider des grandes entreprises qui auraient pu, jusque-là, avoir des réticences à contracter avec MySQL pour des projets critiques. Avec des accents lyriques, le patron de Sun estime que cette acquisition marque « le début d'une nouvelle ère de l'Internet ». Pour Jonathan Schwartz, Sun est désormais « positionné au centre du Web ». Si MySQL n'a pas (pas encore ?) délogé les Oracle, IBM ou autres Sybase ou Teradata des départements clés des grandes entreprises, la base a connu une croissance fulgurante, et est extrêmement populaire dans le domaine universitaire. Ce qui convient parfaitement à Jonathan Schwartz. Il est temps, dit-il, d'arroser la racine des arbres. « C'est une chose de dire qu'on est très attaché à l'éducation, c'en est une autre que d'y investir de l'argent. » (...)
(16/01/2008 15:38:33)Microsoft annule sa conférence annuelle sur les systèmes mobiles et embarqués
Destinée aux développeurs pour périphériques mobiles et système embarqués, la « Mobile and Embedded DevCon » ou MEDC constituait un rendez-vous annuel majeur entre Microsoft et ses clients aux Etats-Unis. L'an dernier, cette conférence réunissait encore plus de 8000 personnes autour des technologies de l'éditeur. On est donc fort étonné d'apprendre que l'évènement qui devait cette année se tenir en mai à Las Vegas vient d'être annulé. Selon les informations postées sur des blogs par deux collaborateurs américain et allemand de Microsoft, l'éditeur renverrait les personnes inscrites au MDEC vers deux autres conférences : Embedded Systems Conference Silicon Valley qui a lieu à San José en avril et le TechEd 2008 organisé par Microsoft à Orlando. La raison de cette suppression semble résider dans le fait que les technologies liées à la mobilité et à l'embarqué sont de plus en plus présentes dans les problématiques de l'entreprise. Dès lors, une conférence à part ne se justifierait plus. C'est du moins ce que laissent entendre les deux blogueurs. Que les développeurs inscrits au MDEC se rassurent toutefois : des conférences ont été prévues à leur intention à l'occasion du TechEd, Microsoft ayant pour la première fois séparé cet événement en deux temps aux Etats-Unis avec une semaine destinée aux développeurs et l'autre aux entreprises. Coté Europe, difficile aujourd'hui de prédire comment sera couvert ce contenu destiné aux développeurs de la mobilité et de l'embarqué, Microsoft France n'était même pas au courant de la suppression du MEDC aux Etats-Unis. De fait, Microsoft domine aujourd'hui certains secteurs du marché de la mobilité comme celui des caisses enregistreuses de la grande distribution. Bill Gates aurait affirmé lors de la conférence « Consumer Electronics Show » qui s'est tenue à Las Vegas ce mois-ci que les ventes de solutions embarquant Windows Mobile atteindraient les 20 millions cette année. On peut donc en conclure que les systèmes pour l'embarqué et la mobilité restent un enjeu important pour l'éditeur. Et ce d'autant plus que Microsoft serait toujours derrière Symbian et pourrait bien être devancé par l'Iphone, selon certains analystes du marché dès la fin de cette année. Du coup, derrière l'argument avancé par les blogueurs, on peut se demander si la raison à cette suppression n'est pas simplement due au fait que Microsoft ne trouverait plus ces conférences rentables. Suppression de la PDC, maintenant de la MEDC, on regroupe tout, on limite la facture et tant pis pour le côté paillettes ! Reste à savoir combien de temps le WinHEC va survire. (...)
(16/01/2008 14:56:10)BEA accepte l'offre d'achat d'Oracle pour 8,5 Md$
Trois mois après avoir rejeté l'offre d'achat d'Oracle, BEA a finalement accepté de se vendre, pour un montant évalué à 8,5 Md$. Hier encore, à la conférence utilisateurs parisienne de l'éditeur, Mike Piech, responsable marketing des offres WebLogic et Tuxedo, assurait que « BEA se voit comme une société indépendante : tous les investissements et les feuilles de route produits sont faits dans cette optique ». De fait, depuis la première offre d'achat d'Oracle le 12 octobre dernier pour 6,7 Md$, BEA n'a eu de cesse d'affirmer vouloir rester indépendant. Un discours toutefois infléchi quelque temps après, suite à la fronde d'un gros actionnaire, estimant que les intérêts des actionnaires n'étaient pas pris suffisamment en compte par la direction de BEA. L'éditeur avait alors laissé entendre qu'à partir de 8,15 Md$, il pourrait accepter une offre. Oracle estimait alors que personne n'irait proposer mieux que ce qu'il avait offert. Comprendre : il faudrait être fou pour dépenser plus que 17 $ l'action. Or, l'accord intervenu aujourd'hui fixe un prix de 19,375 $ par action. (...)
(16/01/2008 14:19:19)Bulletin : Sun rachète MySQL
Sun vient d'annoncer son intention de racheter MySQL, leader des bases de données Open Source, pour 1 Md$. La rédaction vous tiendra informé d'ici à la fin de la journée. (...)
(16/01/2008 12:11:24)La modernisation du marché du travail est en route
Et de trois. En signant à son tour le projet d'accord sur la "modernisation du marché du travail" mis au point vendredi entre syndicats et patronat, la CFE-CGC valide, après FO et la CFTC, le texte que le gouvernement s'est engagé à traduire sous forme de loi. Reste la CFDT qui doit se prononcer jeudi, et la CGT, qui a fait savoir qu'elle ne signerait pas. Mais, quoiqu'il en soit, l'accord est validé, car paraphé par une majorité de syndicats. Le contrat à objet défini, CDD d'une durée de 18 mois minimum et destiné aux cadres et ingénieurs, a donc toutes les chances d'être appliqué. Les aménagements apportés à la version finale du projet - comme la précision de la durée du projet ou l'instauration d'une commission de suivi - ne devraient pas avoir de conséquences trop graves sur les informaticiens. Considérant notamment qu'il existe assez peu de projets d'une durée supérieure à 18 mois dans la branche, certaines associations professionnelles d'informaticiens se considèrent en effet rassurées par l'instauration de ce nouveau contrat de travail. La semaine prochaine, les signataires de l'accord seront reçus par Xavier Bertrand, ministre du Travail, des relations sociales et de la solidarité, qui prévoit de présenter un texte de loi à la fin du premier semestre 2008. (...)
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