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(11/05/2010 10:23:16)

Selon une étude, 14% des Français pourraient acheter un iPad

Près de 8 Français interrogés sur 10 aimeraient pouvoir tester l'iPad, et 14% l'acheter, selon un sondage publié lundi 10 mai par la société Toluna, spécialisée dans les enquêtes en ligne. Globalement, les consommateurs sont encore partagés vis-à-vis de la tablette qu'Apple commercialisera en France à partir du 28 mai. Les personnes qui souhaitent acquérir l'iPad sont principalement motivées par l'accès au Web (60%), les emails (58%), les photos et vidéos (51%), la consultation de journaux et magazines numériques (46%), des livres électroniques (45%), et les applications (39%). Les réseaux sociaux ne sont un motif d'achat que pour 26% des sondés.

L'impression laissée par l'iPad aux Français est assez mitigée. 32% considèrent en effet que la tablette d'Apple est une simple évolution de l'ordinateur, 27% estiment qu'il s'agit d'une révolution, 18% d'un gadget, et 16% déclarent que l'iPad est un produit informatique comme un autre.

Cette enquête a été réalisée le 10 mai auprès d'un échantillon de 1.017 personnes âgées de 18 ans et plus.

(...)

(11/05/2010 09:54:11)

Un BPM normalisé chez Coface et BNP Paribas

Le 4 mai dernier, BNP Paribas et Coface ont fait part de leur expérience en matière de gestion des processus métiers (BPM ou Business Process Management). Les entreprises modélisent ainsi de manière informatisée leurs processus métiers afin d'améliorer la satisfaction de leurs clients, de développer une meilleure capacité d'adaptation et de réduire les coûts. Pierre-André Carcault, représentant de la compagnie d'assurances Coface, s'est attaqué il y a neuf ans, à la refonte du système d'information du groupe. Couvrant quatre domaines que sont l'assurance-crédit, l'information, le recouvrement et l'affacturage, la Coface est aujourd'hui très automatisée.

De l'UML au BPMN

Lorsque le projet a été initié, la norme BPMN (Business Process Modeling Notation) n'existait pas. Afin de gérer ses processus métiers, le groupe avait donc opté pour la notation de type UML (Unified Modeling Language), qui est un outil d'analyse permettant de cartographier les processus sous forme de diagrammes. La gestion des processus était abordée de manière organisationnelle et orientée vers la technique, contrairement au BPM, orienté vers la dimension métier. Cette méthode atteint là sa limite car pour Pierre-André Carcault, « il est difficile de communiquer sur des processus trop techniques ». Il ajoute qu'il « est difficile de déployer une nouvelle version d'un processus qui prenne en compte les nouveautés et les changements organisationnels ». La méthodologie du groupe a changé. Désormais l'automatisation des processus sera centrée sur les cas où les interventions humaines prédominent. «Nous sommes dans l'optique de mettre les processus dans les exécutions, quand il peut y avoir une interruption, quand il y a l'homme derrière. »

BNP Paribas privilégie la norme BPMN

Pour sa part, Lionel Loiseau, Responsable du Centre de Compétences BPM à BNP Paribas, revient sur son expérience de la gestion des processus métier. Au quotidien, il répond au besoin d'accompagnement des différents métiers du groupe. BNP Paribas est présent vingt-quatre pays à travers quatre divisions (banque de détail, Investment Solutions, banque de financement et d'investissement, et les multiples fonctions des différents sièges).
Pour l'heure, le groupe bancaire n'applique pas l'analyse de type BPM à tous les niveau de l'étude des processus. Il n'y a recours que pour l'exécution. « Par niveau il y a des normes. Pour les trois premiers, nous utilisons les outils Aris [plateforme de l'éditeur IDS Scheer, racheté par Software AG en 2009]. Pour la mécanisation, BNP Paribas utilise la norme BPMN car c'est un modèle organisé et à visée d'automatisation. » En effet, pour les étapes préalables que sont l'identification des métiers, des activités et de l'organisation, BNP Paribas s'en remet à la solution « Aris », depuis plusieurs années.


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Comme pour la Coface, la norme BPMN n'existait pas lors de la mise en place initiale du projet d'étude des processus. Une migration progressive est en cours, la plateforme Aris mettant à disposition des outils permettant de migrer les modèles vers la norme BPMN.

En ouverture de la conférence, Gilbert Raymond, consultant SOA chez Softeam, a présenté la méthodologie type mise en place par les entreprises afin de gérer leurs processus métier. Un processus peut se définir comme une suite d'activités corrélées permettant d'expliquer comment l'entreprise fournit un produit ou un service à partir d'une demande émanant d'un client.

SOA et BPM

L'entreprise doit d'abord identifier ses processus métiers et les découper en un certain nombre d'activités. Dans cette étape, Gilbert Raymond recommande de ne pas être trop exhaustif et d'éviter une sur-décomposition car « l'objectif n'est pas de savoir comment le personnel travaille à son poste » mais plutôt de comprendre comment s'enchaînent les différentes activités de chacun. L'entreprise obtient ainsi une vision globale de son fonctionnement.

Une fois que les processus sont cartographiés, l'entreprise détermine quels sont les risques liés à l'automatisation, les contraintes auxquelles elle devra faire face et choisit le degré d'automatisation qui sera mis en place. Enfin, elle décide de modéliser les processus métiers. Mais cela nécessite un véritable savoir-faire. C'est la phase la plus coûteuse du BPM. Certaines entreprises décident de s'arrêter à l'identification, qui leur déjà donne une bonne vision de l'organisation et leur donne des bases pour l'optimiser. Dans ce cadre d'analyse, un standard été créé, le BPMN (Busines Process Management Notation), que Gilbert Raymond défini comme « un langage de description de processus métier ». (...)

(11/05/2010 09:47:12)

L'off-shore reste mal-aimé en France

« La défiance des dirigeants des plus grandes entreprises françaises vis-à-vis de l'externalisation de leurs services informatiques en Inde est davantage liée à la crainte d'une complexification de leur gestion qu'à des réserves sur les compétences et les capacités professionnelles des prestataires indiens », indique Frédéric Micheau, Directeur Adjoint du Département Opinion et Stratégie d'Entreprise de l'Ifop pour commenter l'étude que cet institut a réalisé sur la perception de l'off-shore pour le compte de la SSII indienne HCL. L'externalisation étant vue comme un moyen de baisser les coûts (74% des répondants) et de se simplifier la vie, c'est tout de même un commentaire très acide pour HCL.

Selon l'Ifop, seulement 37% des moyennes et grandes entreprises françaises (plus de 200 salariés) délèguent leur informatique à un prestataire extérieur au moins. 21% seulement ont recours à l'off-shore, en général en ayant un prestataire français en intermédiaire. Les réticences sont encore vives, même si l'externalisation est vue pour un moyen d'accroître la rentabilité pour 52% des répondants.

Les compétences des ingénieurs indiens sont reconnues comme un atout pouvant inciter à externaliser en Inde pour 19% des répondants, 40% jugeant que l'abondance de ressources humaines est aussi un grand avantage. Le bon rapport qualité/prix des prestataires indiens est reconnu par 77% des entreprises, la qualité intrinsèque par 68% et les compétences comme équivalente aux infénieurs français par 84%. Mais 72% des répondants considèrent qu'il existe des freins importants à l'externalisation en Inde. 49% mettent ainsi en avant la complexité de gérer une relation à distance et 31% la barrière de la langue.

Illustration : Crédits D.R. (...)

(11/05/2010 09:43:28)

Créer plus facilement sa boutique sur eBay

Créer sa boutique sur eBay avec Neteven est possible depuis longtemps déjà. Mais jusqu'ici, le système se cantonnait, pour schématiser, à offrir à ses utilisateurs des fonctions de publication de produits et de prise de commandes. L'application de Neteven qui sous-tend le dispositif permet aux marques de personnaliser le design de leurs boutiques à leurs couleurs, de gérer le cycle de vie des produits (ventes flash, programmes de réductions, mise en avant des meilleurs ventes...), d'exporter les rapports de vente dans les systèmes de gestion internet, de créer des modèles d'e-mail et d'automatiser leurs envois...

Comme par le passé, la création des boutiques nouvelles génération proposée par Neteven sur eBay est gratuite. Elle n'est cependant pas ouverte à tous. Seules les marques à forte notoriété auront l'aval du site d'enchères. Dans le domaine de l'IT et des télécoms, Dell et les magasins Internity ont déjà ouvert leurs boutiques. D'autres acteurs de renoms évoluant sur leurs marchés devraient les imiter prochainement.

Pour autant, la solution proposée aux marques à forte notoriété est également accessible à des fabricants et des revendeurs moins connus. Toutefois, ils ne disposeront pas de ce qui constitue finalement le grand atout des boutiques de marques, à savoir la forte visibilité que leur offre eBay sur ses pages. En revanche, qu'il soit estampillés boutique de marque ou non, les vendeurs qui possèdent leur shop in the shop sur eBay devront payer un pourcentage de leurs ventes au site d'enchères et, dans une moindre mesure, à Neteven. (...)

(11/05/2010 09:31:36)

La conférence développeurs 2010 d'Apple affiche déjà complet

Si vous vouliez participer à la prochaine conférence développeurs d'Apple et que vous n'avez pas encore acheté votre ticket d'entrée, c'est malheureusement trop tard pour vous. Il faudra attendre l'édition 2011. Huit jours à peine après l'annonce des dates prévues pour la WWDC (Worldwide Developers Conference) 2010, tous les tickets d'entrée ont déjà été vendus. « Sold out » annonce discrètement mais clairement le site de la conférence (http://developer.apple.com/wwdc/). C'est la troisième année de suite que les aficionados de la marque se ruent de cette façon sur le précieux sésame qui leur permettra de franchir les portes du Moscone Center de San Francisco du 7 au 11 juin prochains. Apple promet d'y rassembler 1 000 de ses ingénieurs et 5 000 développeurs. Et pourtant, le prix du ticket a été relevé de 300 dollars pour cette édition, à 1 595 dollars l'unité.

La WWDC 2008 fut la première à afficher complet dans l'histoire du groupe. Mais il est vrai que ce fut cette année-là que le constructeur californien inaugura ses sessions sur le kit de développement d'applications pour l'iPhone, rappellent nos confrères de MacWorld. Cette fois, on espère en apprendre davantage sur l'iPhone OS 4, présenté en avril.

L'an dernier, Steve Jobs, encore souffrant, n'était pas là pour le traditionnel discours d'ouverture. Cette année, on espère de lui une  nouvelle annonce de produit remarquable lors de la WWDC. Le mois dernier, un prototype égaré de l'iPhone v4 a suscité beaucoup de rumeurs.

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(10/05/2010 17:28:29)

L'UTT et Argonne soutenus pour développer des nano-systèmes optiques hybrides

Le Partner University Fund, (PUF), programme de soutien pour des partenariats innovants franco-américains, a retenu le projet de recherche développé par l'Université technologique de Troyes (UTT) et l'Institut de recherche américain Argonne National Laboratory (ANL). Quelque 220 000 dollars seront ainsi consacrés sur trois ans au développement de nano-systèmes optiques hybrides élargissant les fonctionnalités des matériaux (couleur, luminosité, absorption...). Ces nano-systèmes pourront trouver des applications dans des domaines tels que l'énergie (éclairage, systèmes photovoltaïques,..) et les télécommunications (circuits optiques intégrés,..). Le rapprochement entre l'UTT et l'ANL figure parmi les 12 projets retenus par le Partner University Fund au titre du programme 2010-2013, parmi 80 candidats.  Il est destiné à s'étendre aux réseaux respectifs des partenaires, incluant Northwestern University et l'université de Bourgogne.

Créé en mai 2007 à l'initiative conjointe de donateurs privés américains et du gouvernement français, le programme PUF (Partner University Fund) a pour objectif de soutenir des partenariats innovants entre des institutions françaises et américaines d'enseignement supérieur dans les domaines de la recherche et de la formation aux niveaux Master, doctorat et post-doctorat. Son système de financement permet aux équipes de recherche et de formation de définir les modalités du soutien financier d'une façon qui convienne à leurs contextes et besoins respectifs : recherche commune, publications, mobilité de professeurs et étudiants, création de doubles diplômes, etc.

Illustration : Le site de l'Institut de recherche Argonne National Laboratory (crédit photo : ANL)

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