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(04/03/2010 16:28:26)

Socialtext enrichit sa solution de microblogging

La version 4.0 de la plateforme permet de créer et de segmenter les messages en différents canaux, d'intégrer un moteur de recherche aussi bien sur les messages, que sur le profil des groupes et des personnes. Eugne Lee, PDG de Socialtext, explique que « la popularité de Signal a engendré des volumes de message de plus en plus importants et il était nécessaire d'intégrer un filtre sur les différentes activités ». Cette version facilite aussi la création de groupes collaboratifs. A la différence d'un forum de discussion conventionnel, un groupe Socialtext peut disposer de sa propre page d'accueil, des espaces de travail dédiés et la possibilité de gérer les différentes notifications entre les membres. L'administrateur administre les niveaux de sécurité et définit les règles d'accès aux groupes. Socialtext est une des nombreuses solutions (Jive, NewsGator, etc.) de suites collaboratives, adaptant les outils grand publics au monde professionnel, comme les blogs, le wiki, les forums, la syndication de contenus. (...)

(04/03/2010 16:02:36)

IBM développe des interconnexions optiques pour ses prochaines générations de puces

La société d'Armonk a en effet créé un dispositif de faible puissance électrique qui permet de transférer des informations à grande vitesse utilisant la lumière. "Le dispositif, appelé un détecteur d'avalanche photonique, est le plus rapide de son genre et pourrait permettre des avancées qui auront des implications importantes pour l'avenir de l'électronique», explique IBM dans un communiqué et une vidéo(voir plus bas). Dépasser la barrière de l'exaflop Le dispositif, détaillé dans un article publié par la revue Nature, est capable de transmettre des données à des vitesses allant jusqu'à 40 Gbit par seconde, en utilisant une alimentation électrique de 1,5 volts. Les signaux lumineux sont transportés sur des circuits de silicium au lieu des fils de cuivre traditionnellement utilisés pour transporter des signaux électriques entre les puces. L'appareil, qui repose sur la technologie actuelle des semi-conducteurs, est particulièrement intéressant sur le plan éco énergétique car il utilise une puissance environ 20 fois moindre que les précédents dispositifs, précise IBM. L'objectif des chercheurs est de construire une puce d'interconnexion optique qui permettrait la construction d'ordinateurs offrant des performances d'un exaflop, équivalent à 1.000.000.000.000.000.000 opérations à virgule flottante par seconde (flops). Pour mettre ce dernier point en perspective, un ordinateur d'un exaflop serait à peu près 600 fois plus rapide que l'ordinateur le plus puissant du monde, le Cray XT5 « Jaguar » du Laboratoire national d'Oak Ridge au Tennessee, qui atteint 1,75 pétaflop, ou 0,0175 exaflop. (...)

(04/03/2010 15:01:56)

Microsoft imagine des datacenters ultra-modulaires

A la conférence Datacenter Dynamics à New York, le responsable de Microsoft sur le sujet, Kevin Timmons, a dévoilé un prototype, utilisé par son unité, pour créer les prochaines générations de datacenter. Et cette vision est radicalement différente de ce que propose aujourd'hui l'éditeur et ressemble aux solutions mises en place par Google. La firme de Redmond teste actuellement ce que Timmons appelle IT PACs ou composants IT pré-assemblés de petite taille. Ces unités sont indépendantes et peuvent être assemblées en dehors des sites et connectées ensemble pour recréer un centre de calcul. Microsoft explique qu'il est confronté à la même problématique que les opérateurs de datacenters. Ils ont besoin d'une évolution rapide de leur capacité dans des délais courts, mais la construction de nouveaux bâtiments prend du temps et demande beaucoup d'investissements. La solution est donc dans « l'ultra-modularité ». « A la place de payer 400 millions de dollars ou plus pour construire des bâtiments, Microsoft préférera acheter des terrains, construire des sous-stations équipées d'unités modulaires et les faire évoluer en fonction de la demande » explique Timmons. Reste que l'usage d'un bâtiment ou d'un entrepôt permet de se prémunir contre les intempéries. Un refroidissement étudié Les unités seront assemblées avec des composants disponibles commercialement. Une seule personne peut construire un module en quatre jours. Les serveurs seront empilés en rangs, serré entre des conduits d'évacuation de chaleur et les prises d'air. Pour le refroidissement, l'air ambiant sera recyclé par les serveurs pour maintenir une température équilibrée au sein du conteneur. L'unité n'utilisera pas d'éléments extérieurs ou additionnels pour le refroidissement. Un responsable du projet a spécifié que les terrains choisis devront être dans une zone tempérée pour fournir un refroidissement suffisant. Les matériaux utilisés pour la coque, seront l'acier et l'aluminium, facilement recyclables. Les besoins en eaux nécessiteront un raccordement à un simple tuyau et une pression au même niveau que les résidentiels. Les équipes de développement ont travaillé sur différentes tailles de conteneurs, pour rendre les unités plus facilement transportables. En moyenne, les modules pourront comprendre entre 1200 et 2100 serveurs et consommés entre 400 et 600 kilowatts. (...)

(04/03/2010 14:53:02)

L'inquiètude monte après le brevet sur les fils d'infos accordé à Facebook

Facebook vient de se doter d'une arme redoutable: la validation du brevet, relatif à « la méthode diffusant la mise à jour d'informations à l'intérieur d'un réseau social », autrement dit, Facebook devient le seul réseau social à pouvoir utiliser légitimement le fil d'informations personnelles incluant la mise à jour des statuts, photos, liens et vidéos. Déposé quelques jours après la création de Twitter et avant même l'ouverture de Facebook au grand public en août 2006, ce brevet va permettre à l'entreprise fondée par Mark Zuckerberg, valorisée à plus de 10 milliards de dollars, d'assoir son autorité sur les tous autres réseaux sociaux, dépendant du fil d'informations (Neewsfeed). «En s'en servant bien, ce brevet pourrait devenir une mine d'or » explique Rob Enderle, un analyste du cabinet d'étude Enderle Group. Une arme absolue pour Facebook Les destins de Twitter, Myspace et même GoogleBuzz, sont en effet dans les mains du créateur de Facebook qui peut, suivant son bon vouloir, décider de poursuivre ou non l'un de ces sites devant la justice, pour lui interdire l'utilisation du Newsfeed, ou l'obliger à payer des droits d'utilisation en lui vendant une licence du fil d'information. Se félicitant de l'obtention de ce brevet et considérant le newsfeed comme étant « au coeur du succès de Facebook depuis 2006», le porte parole de Facebook, Brandee Barker n'a pas communiqué sur les décisions futures. (...)

(04/03/2010 13:21:14)

Bluestar Silicones industrialise et externalise la gestion de son SI

Le fabricant de silicones (anti-adhérants, élastomères de spécialité, produits médicaux, résines...) Bluestar Silicones possède une douzaine d'implantations dans sept pays (France, Allemagne, Angleterre, Espagne, Italie, Norvège, Finlande). Il souhaitait industrialiser ses infrastructures informatiques pour réduire le coût total de possession tout en améliorant la qualité de service et en respectant les contraintes propres à chaque pays. L'industriel a choisi d'externaliser la gestion des infrastructures informatiques (systèmes et réseaux) chez Sogeti. Ce dernier a mis en place un plan d'industrialisation et d'amélioration continue. L'industriel a effectué ce choix d'abord en raison de la démarche de proximité de Sogeti et en second lieu de la compétence propre de la société sur ce type de projets. Le transfert s'est effectué en deux mois et a d'ores et déjà abouti à une baisse du coût total de possession ramené au poste de travail de l'ordre de 20%. L'objectif à terme est une baisse de 40%. Sogeti a effectué une standardisation de l'architecture réseau, la mise en place d'une supervision sur l'ensemble des infrastructures, la télédiffusion des patches applicatifs, la standardisation des systèmes d'exploitation avec automatisation des installations sur les postes de travail en cinq langues. A terme, le projet devrait aboutir à une virtualisation des postes de travail. Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)

(04/03/2010 09:37:55)

Cebit 2010 : SAP place l'innovation et la confiance en tête de ses priorités

Pour leur première conférence de presse en tant que co-PDG de SAP, hier mardi 2 mars, au Cebit, Jim Hagemann Snabe et Bill Mc Dermott ont voulu montrer que leur tandem à la tête de la société allemande tenait la route. L'un présidant au développement des produits (solutions de gestion et d'infrastructure), et l'autre, responsable des ventes mondiales. Voilà moins d'un mois qu'ils ont succédé à Léo Apotheker. Ce dernier était alors seul aux commandes de l'éditeur depuis le 1er juin 2009, après un an de co-direction avec Henning Kagermann. Sous les flashes des photographes, pendant plusieurs minutes avant de prendre la parole, les nouveaux dirigeants n'ont pas été avares de sourires et d'accolades pour attester de leur complicité, gage, parmi d'autres critères plus concrets, de leur capacité à reprendre les rênes de l'entreprise. C'était l'un des buts de cette apparition publique, puisque que les deux hommes n'avaient pas d'annonces à faire, hormis réaffirmer leurs objectifs de croissance et leur volonté de restaurer la confiance, en interne et vis-à-vis des clients. SAP organise par ailleurs sur le Cebit l'étape nationale de son World Tour, à l'occasion duquel il présente les dernières évolutions sur ses logiciels, notamment sur ses trois lignes d'ERP pour PME.

Développements itératifs au sein d'équipes restreintes

A Hanovre, hier, Jim Hagemann Snabe a rappelé brièvement la feuille de route sur les produits, en indiquant que SAP innovait autant sur la technologie que sur les fonctions applicatives. Et d'énumérer, outre la Busines Suite 7, les fonctions d'analyse décisionnelle reliées aux processus, les outils fournis OnDemand, l'ERP hébergé Business By Design [NDLR : qui passe du megatenancy au multitenancy], les applications mobiles et les technologies de traitement en mémoire [in memory], chères au co-fondateur de SAP, Hasso Plattner, et qui permettront d'opérer « à une vitesse jamais vue encore », a insisté hier le co-PDG responsable de la conception des produits.
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L'un des points intéressants de la conférence a porté sur les nouveaux modes de développement que SAP cherche à étendre au sein de ses équipes. Depuis plusieurs mois déjà, certains développeurs travaillent en petits groupes de dix personnes sur certaines portions d'applications et présentent leurs avancées aux clients toutes les quatre semaines pour recueillir leurs impressions. « Cette méthodologie n'est pas nouvelle, mais elle était principalement utilisée par de petites sociétés. Là, nous cherchons à la mettre en place à l'échelle de 12 000 développeurs ». Avec des réactions étonnantes, constate Jim Hagemann Snabe. « Les gens se sentent plus impliqués et sont fiers de présenter ce qu'ils ont fait aux clients ». Pour l'instant, il estime que 20% des équipes concernées travaillent déjà ainsi et compte étendre la démarche à l'ensemble de la société.

Une entreprise heureuse et des clients confiants

Bill Mc Dermott a renchéri sur le sujet, estimant qu'il fallait motiver les collaborateurs dans leur ensemble, et laisser les développeurs mener leur barque afin qu'ils soient heureux. Ce faisant, il reprenait un voeu plusieurs fois formulé par Hasso Plattner lors de sa conférence du 8 février dernier. Le co-fondateur avait alors annoncé le changement de direction et confessé qu'il voulait faire de nouveau de SAP une société heureuse [des questionnaires de satisfaction internes avaient révélé un taux élevé de mécontentement]. A sa suite, les co-PDG parlent d'établir ambiance et confiance dans l'entreprise. Jim Hagemann Snabe a tenu aussi à réaffirmer qu'en dépit du caractère très global de l'entreprise, présente dans toutes les régions du globe, « nous n'avons jamais oublié que nous avions été créé en Allemagne ». Alors que les deux co-PDG sont respectivement Danois et Américain (les premiers, donc, à n'être pas allemands), ils ont tout deux assuré qu'ils passaient beaucoup de temps dans le pays d'origine de la société. « Nous voulons mettre nos clients au premier plan », ont-ils réitéré. « Si les clients ont de nouveau confiance dans SAP, alors nous retrouverons la croissance », a ajouté de son côté Michael Kleinemeier, patron de la filiale allemande. Emporté par l'enthousiasme du moment, Bill Mc Dermott a quelque peu cédé au lyrisme : « Si vous faites confiance à vos équipes, que vous aimez vos clients et qu'ils vous aiment, le reste suit ».

Des objectifs modérés pour 2010

Entre temps, les dirigeants avaient rappelé leurs objectifs financiers pour 2010 : +35% de marge opérationnelle à mi-parcours, 30 à 31% de marge sur l'exercice à taux de change constant et de 4 à 8% d'augmentation sur le chiffre d'affaires licences et maintenance par rapport aux 8,2 milliards d'euros de 2009. Ils espèrent retrouver une croissance à deux chiffres sur ces ventes dès que le marché repartira, sans savoir si cela interviendra en 2011 ou 2012. Et, s'ils ne s'interdisent pas de faire une acquisition importante si une opportunité pertinente se présente, ils entendent privilégier la croissance interne : « Le sang qui coule dans les veines d'un éditeur, c'est l'innovation ! ». Au passage, répondant aux rumeurs faisant de SAP lui-même une cible de rachat, Bill Mc Dermott rappelle que l'éditeur entend rester une société indépendante.

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