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(22/02/2010 14:45:02)

Capgemini entend rester dans les télécoms

(Source EuroTMT ) Capgemini entend rester dans les télécoms. Contrairement à ce qu'affirmait le numéro 147 d'EuroTMT, dont nous avions relayé l'information, Capgemini indique qu'il n'a aucune intention de se désengager du secteur des télécoms. Le Groupe y réalise 8 % de son chiffre d'affaires. Il fournit des prestations de services informatiques et de conseil à de nombreux acteurs majeurs de ce secteur. (...)

(22/02/2010 14:36:00)

Google: mécène de la fondation Wikimédia

Confirmé vendredi dernier par Wikimédia, les deux millions d'euros alloués par Google serviront à amortir « les coût fixes » de l'organisation. Les infrastructures techniques seront donc financées en premier lieu afin d'améliorer les capacités du site et de fluidifier le trafic. Malgré une coopération de quelques années, c'est la première subvention qu'accorde Google à Wikimédia. Les deux firmes se sont d'ailleurs récemment entendues sur la traduction des contenus de l'encyclopédie en proposant des outils Google aux utilisateurs souhaitant traduire les articles du site. Ce don de la firme de Mountain view s'ajoute à celui fait six mois plus tôt par le fondateur d'Ebay, Pierre Omidyar. Les deux souhaitent faire de Wikipédia une référence du net en la rendant plus simple d'accès et plus accessible pour les internautes. Lancée il y a sept ans, Wikipédia est aujourd'hui enrichie et modifiée quotidiennement par plus de 100 000 internautes, ils ont été plus de 240 000 à participer à la collecte de fonds en 2009 qui a atteint 8 millions d'euros. Cela représente environs trois quarts des revenus prévus par la fondation pour l'année fiscale en cours se terminant en juin 2010. Le co-fondateur de Google, Serguey Brin, a récemment décrit l'encyclopédie en ligne comme « l'un des plus grands triomphes de l'internet ». (...)

(22/02/2010 13:43:57)

PTC s'offre des outils de modélisation des émissions de carbone

Avec le rachat de la start-up californienne Planet Metrics, fondée en 2007, l'éditeur américain PTC, spécialiste du PLM (product lifecycle management), complète ses solutions visant à évaluer l'impact de la fabrication des produits sur l'environnement. Il y a un an déjà, il avait acquis dans ce domaine la société Synapsis Technology et son logiciel de mise en conformité des produits industriels aux réglementations environnementales (Reach, RoHS, WEE...). En juin dernier, il mettait ensuite la main sur Relex et son logiciel conçu pour améliorer la fiabilité des produits. Cette fois, PTC s'offre une technologie permettant aux industriels de modéliser et d'optimiser leurs émissions de carbone. Le logiciel Planet Metrics intègre une base de données de profils environnementaux et met en oeuvre des outils d'analyse pour identifier les points les plus sensibles aux différentes étapes de la fabrication (matériaux, conditionnement...) et de la chaîne d'approvisionnement, jusqu'à l'élimination des déchets. L'ensemble des outils ainsi rachetés par PTC sont rassemblés au sein de sa solution d'analyse de produits InSight. Sur son premier trimestre fiscal, clos le 2 janvier dernier, le spécialiste du PLM a enregistré une progression de 48% sur ses ventes de licences, à 74,8 M$ (29% de son chiffre d'affaires) et un léger recul de 3,3% sur son activité de services, à 183,6 M$. Son chiffre d'affaires total a progressé de 7,5% sur la période, à 258,4 M$. Sur la même période, son principal concurrent Dassault Systèmes, était encore en retrait sur ses ventes de licences. (...)

(22/02/2010 13:40:37)

HP-Cisco : un divorce consommé et prévisible

Après le rachat de 3Com par HP, la rupture entre ce dernier et Cisco ne faisait plus de doute. Le divorce a été annoncé dans une vidéo par Keith Goodwin, senior vice-président de Cisco. Le contrat de « system integrator » de HP ne sera pas renouvelé lors de son expiration le 30 avril prochain. Le partenariat durait depuis plus de vingt ans. HP était « Cisco certified channel partner » de Cisco ce qui lui ouvrait l'accès aux informations produits et aux avantages commerciaux consentis par Cisco à ses intégrateurs. Keith Goodwin a expliqué que la relation était passée du mode « partenariat » au mode « conflictuel » ces derniers mois. Seul restera en place un accord pour assurer le suivi des clients obtenus par les deux « ex » au cours de leur partenariat. Une discorde latente Pour certains analystes, les raisons de cette discorde sont à rechercher dans l'évolution des métiers des deux sociétés et notamment dans les problématiques des datacenters. Avec l'avènement de la virtualisation, plusieurs entreprises se concurrencent sur ce marché en forte croissance, IBM, Dell, Oracle et HP. Cisco a souhaité également participer à l'aventure à travers ses plateformes de serveurs Blade UCS (Unified Computing System). « En commercialisant de serveurs, il était clair qu'HP n'allait plus référencer certains équipements réseaux de Cisco », souligne Steve Schuchart de Current Analysis. De meilleurs prix La plupart des analystes pense que cette annonce ne représente pas de risque pour les clients, mais peut se révéler une chance. Ainsi, Nikos Theodosopoulos, analyste chez USB Warburg pense que « la concurrence entre les deux groupes va s'accentuer aux cours des prochaines années avec une guerre des prix pour remporter des marchés ». De son côté, Ovum estime que « HP a besoin de Cisco, plus que Cisco n'a besoin de HP, car les effets de l'acquisition 3Com prendront du temps à se produire ». Steve Schuchart ajoute optimiste que « les clients ne devraient pas avoir à choisir entre l'un et l'autre ». Mais Gordon Haff d'Iluminata s'attend lui à ce que les deux sociétés encouragent leurs clients « à standardiser leur existant par des incitations financières attractives ». Ce dernier ajoute que « cette re-verticalisation du domaine IT est le dernier étage d'un cycle qui a vu la fin d'un monde propriétaire comme les mainframes vers la décentralisation à travers l'architecture ouverte des PC et les réseaux Ethernet ». (...)

(22/02/2010 12:16:13)

HP améliore sa solution Agile Accelerator

Ces améliorations concernent la planification des ressources, qui concourt à établir une meilleure répartition du temps et des ressources dans les projets logiciels. «Il est extrêmement important de ne pas perdre de temps à décider qui va faire quoi, et de faire en sorte qu'il n'y ait pas de latence dans le processus » a déclaré Mark Sarbiewski, directeur de produits senior des solutions et logiciels HP. L'Agile Accelerator d'HP chapeaute le Centre de qualité HP, lequel établit les modalités, réalise les tests et analyse les échecs en matière de gestion, de même qu'il régit l'exécution des tests et des rapports selon un référentiel unique. «Tous les 7 à 10 ans, la technologie fait un bond en avant » déclaré le responsable produit et d'ajouter « l'informatique doit apporter aux entreprises, le bon logiciel, avec les fonctionnalités dont elles ont besoin, au bon moment ». Dans son audit, il a observé les comportements. D'un côté, les responsables des achats se plaignent du temps nécessaire pour obtenir les nouveaux logiciels suivant les évolutions dans leur domaine d'activité et du bénéfice tiré des investissements en la matière. De l'autre, les spécialistes de l'IT constatent un nombre excessif de validation des processus, ralentissant le déploiement de solutions pour l'entreprise. Une étude récente menée auprès de 1300 professionnels de l'informatique par le cabinet Forrester Research a montré que 35 % des personnes interrogées se sont plus ou moins engagés dans une sorte de développement agile. Dave West, analyste senior chez Forrester Research, a déclaré « la méthode Agile est une réalité. Elle continue à gagner du terrain dans les entreprises ». L'étude a révélé que 64 % ont utilisé ce mode de développement pour faire les corrections de mi-parcours, en raison des nombreuses inconnues que les développeurs rencontrent au long des processus. Mais alors que Agile gagne en popularité, 35 % des personnes ayant répondu au sondage déclarent avoir utilisé un mélange de méthodes de développement, combinant « agile » et d'autres moyens. Timothy Perry, directeur de la technologie du département « retraite et protection sociale » chez Genworth Financial, client de l'Agile Accelerator de HP et de son centre de qualité, a déclaré que « quand il s'agit de réaliser des logiciels, la société a un pool de développement composé d'équipes différentes qui ont des habitudes différentes. Certaines utilisent la méthodologie Agile et d'autres non ». Selon lui, « les dirigeants de Genworth Financial ne s'intéressent pas tellement à la méthodologie employée, mais uniquement à la livraison des logiciels dont ils ont besoin. Ils ne se soucient pas de la date. Ils veulent accélérer le développement et attendent toujours une qualité élevée», a déclaré Perry. Selon lui, la technologie Agile de HP permet de donner une certaine cohérence à tous les niveaux, sur la manière dont le logiciel est construit et déployé. Elle permet d'estimer et de répartir l'effort, et de maintenir une bonne traçabilité des progrès et des demandes des développeurs, mais également de tester les résultats. (...)

(22/02/2010 11:43:38)

Pour une bonne intégration des réseaux sociaux en entreprises.

La notion de réseau social appartient à la sociologie et est loin d'être neuve. Elle a été introduite par l'anthropologue John A. Barnes en 1954. Cependant, c'est sa traduction sous la forme de plates-formes sur Internet qui lui donne toute sa signification actuelle. Aujourd'hui, plus aucune entreprise, même de petite taille (à l'exception peut-être des boutiques de quartier), ne peut plus se permettre de ne pas avoir de site web, au minimum une vitrine de présentation et de contact. Le développement des réseaux sociaux interdit de la même façon aux entreprises de les ignorer : leurs clients, leurs partenaires, leurs salariés voire leurs concurrents y sont déjà.Y être, soit. Mais pour faire quoi, avec quels moyens, quels profits et quelles stratégies ? L'objectif du dernier ouvrage de Christine Balagué et David Fayon, Facebook, Twitter et les autres... Intégrer les réseaux sociaux dans une stratégie d'entreprise, est précisément de répondre à cette question. Pour commencer, les auteurs s'attachent à préciser ce qu'est un réseau social, à quoi les individus utilisent les différents types, pourquoi et avec quelles conséquences. Une fois ce contexte indispensable posé, les auteurs s'attachent à tous les usages possibles des réseaux sociaux en ligne pour les entreprises : communication pure, publicité en ligne classique, échanges avec des prospects ou des clients, recrutement de salariés ou de partenaires... Sans oublier les risques, limites et, bien entendu, manières de mesurer l'efficacité de la stratégie mise en oeuvre. Les outils périphériques comme les agrégateurs sont également étudiés. Enfin, l'ouvrage se projette sur les enjeux de demain, à commencer par la question de la pérennité économique des réseaux sociaux en ligne. Sur le fond, le seul sujet qui manque, finalement, c'est l'usage interne aux organisations des réseaux sociaux avec les enjeux de management et les risques liés aux indiscrétions voire aux félonies des salariés ou ex-employés. L'ouvrage est loin d'être un exposé théorique. Il alterne analyses, interviews d'acteurs du domaine, anecdotes, schémas et exemples. Il en est très agréable à lire. (...)

(22/02/2010 11:42:01)

OpenERP lève 3 millions d'euros pour poursuivre son expansion

Fruit d'un projet Open Source lancé en 2005 par le Belge Fabien Pinckaers, le progiciel de gestion intégré OpenERP (initialement TinyERP) vient de bénéficier d'un apport financier appréciable. Son éditeur, désormais renommé OpenERP, a décroché 3 millions d'euros auprès de trois investisseurs : d'une part, la société de capital risque Sofinnova Partners, principal contributeur, et d'autre part, le fondateur de Free Xavier Niel et Olivier Rosenfeld, administrateur de Free. Reçus sous forme d'augmentation de capital, ces fonds permettront à la jeune pousse de renforcer ses efforts de développement et la qualité de son logiciel, ses services de maintenance et la version SaaS de son offre (commercialisée en mode locatif et hébergée sous le nom d'Odoo). Ils lui serviront aussi à densifier son réseau international d'intégrateurs pour se concentrer sur son métier d'éditeur.

En quelques années d'existence, la société belge a réussi un joli parcours. Son logiciel rassemble une communauté de trois cents personnes et dispose d'intégrateurs dans 26 pays. Ce progiciel de gestion intégré (développé en Python sur base de données PostgreSQL) fournit toutes les fonctions de base pour gérer une PME, jusqu'à 500 personnes : de la comptabilité au suivi des stocks, en passant par la gestion de la relation client. Il s'adresse aussi aux toutes petites entreprises, à partir d'un salarié. Le logiciel à installer sur site se télécharge gratuitement et les services d'accompagnement (formation, support, maintenance...) sont facturés. Il rassemble maintenant quelque 500 modules et son éditeur dénombre quotidiennement un millier d'installations. Dans la foulée, Fabien Pinckaers, PDG fondateur, dit enregistrer chaque jour plus de cent demandes de renseignements pour des services d'intégration, d'où la nécessité de conforter le maillage de partenaires. Depuis l'été 2009, l'éditeur propose aussi une version en ligne, Odoo (Open ERP On Demand), facturée à partir de 39 euros par mois sur un semestre pour un utilisateur.

Une communauté dynamique de développeurs

« Nous avons vu beaucoup de dossiers dans l'Open Source en 2009 et c'était le meilleur, explique Olivier Sichel, associé de Sofinnova. OpenERP arrivait avec une offre existant à la fois sous une forme classique et en mode SaaS. La qualité du logiciel nous a convaincus. » Celui qui fut PDG de Wanadoo de 2002 à 2004 met aussi en avant « la richesse de la solution en nombre de modules fonctionnels », ainsi que « la vision de Fabien Pinckaers et sa capacité à animer une communauté extrêmement dynamique de développeurs ». Parmi les clients de l'éditeur figurent déjà des utilisateurs tels que l'ENA, La Poste ou le Canton de Vaud. Mais, au-delà des clients, ce sont surtout les partenaires intégrateurs qui ont confirmé « que l'offre se détachait du lot, par sa flexibilité, son caractère modulaire et son architecture, pointe Olivier Sichel. Nous avons vu beaucoup de partenaires, fait plusieurs entretiens avec chacun d'eux ». Il cite notamment Smile, en France, ou Akretion, au Brésil, qui ont sélectionné l'offre. « Pour eux, ce sont des choix qui sont autant d'implications que pour nous ».

Sur son blog, Fabien Pinckaers souligne l'importance d'avoir ouvert le capital de son entreprise à des actionnaires ayant une bonne connaissance des contraintes et des objectifs de l'édition de logiciels en Open Source et qui « partagent notre vision ». La société compte ouvrir prochainement un bureau aux Etats-Unis. Elle s'est déjà implantée en Inde. Sur le terrain des ERP en Open Source évoluent depuis plusieurs années déjà les offres françaises ERP 5 (de Nexedi) et Neogia, le projet américain Compiere, ADempiere (fork de Compiere), qui a pris son envol il y a un peu plus de trois ans et vient de lancer sa communauté francophone, ou encore l'Espagnol OpenBravo (lui aussi basé au départ sur Compiere).

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