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(23/02/2010 13:44:55)
La mise en marché de l'innovation doit être renforcée rappelle le rapport Retailleau
La France compte 4 700 entreprises employant de 250 à 5 000 salariés, contre 2,4 millions de TPE/PME et 235 entreprises d'envergure mondiale. Ces structures de taille intermédiaire sont moins nombreuses que dans les pays comparables (Allemagne et Royaume-Uni), c'est pourquoi François Fillon a commandé ce rapport à Bruno Retailleau. Le sénateur relève plusieurs handicaps propres à cette catégorie d'entreprises. Elles bénéficient moins que les autres des guichets d'aide publique, mais supportent des charges fiscales plus lourdes. Pour les budgets publics, elles sont moins entendues que les grands comptes et pèsent d'un poids inférieur à celui des PME. Elles sont provinciales dans un pays très centralisé y compris économiquement. Pourtant ces ETI sont performantes. Elles pèsent 33% de l'emploi industriel, génèrent le tiers de nos exportations, elles ont une vision de long terme, préfèrent investir que se verser des dividendes, les relations sociales et la culture d'entreprises sont fortes. Il faut les aider, c'es tout l'intérêt de ce rapport très foisonnant. Il préconise la création d'un médiateur de l'entreprise, chargé de créer un small business act à la française. Ce médiateur aurait le statut d'une autorité administrative indépendante. Le cadre législatif et fiscal serait amélioré. Une convention collective de croissance permettrait de concilier souplesse et sécurité (intéressement financier accru des cadres et du personnel, fusion des délégués et des comités d'entreprise, atténuation des effets de seuil, dépénalisation du droit social). S'inspirer du SBIR américain Le rapport souhaite par ailleurs une meilleure régulation de la sous-traitance pour éviter que les grands comptes n'écrasent les ETI. Il préconise la création de leviers de croissance qui leur seraient propres : création de référents dans les territoires, soutien à l'innovation (sur le modèle du Crédit impôt recherche), appui à l'internationalisation. Enfin, et surtout en cette période, le rapport veut assurer de nouveaux financements bancaires et un meilleur environnement fiscal aux ETI. Dans le domaine du soutien à l'innovation, le rapport souligne que la mise en marché doit être plus fortement encouragée, la recherche dépendant encore trop de l'offre. Il rappelle les dispositifs collaboratifs qui existent déjà, comme ISI (Innovation stratégique industrielle) chez Oseo, le FUI (Fonds unifié interministériel) ou encore les consortia de l'Agence nationale de la recherche. « Ils correspondent au gabarit des ETI, mais pèsent peu sur les orientations des organismes scientifiques et des universités. Ils sont encore trop loin du marché », juge le rapport livré par le sénateur. Pour que l'innovation soit davantage pilotée par les besoins, il suggère de lier plus largement le financement des organismes de recherche à la mise en place de collaborations avec les entreprises en s'inspirant du SBIR (Small business Innovation Research) américain. Ce dernier prévoit par exemple de réserver à des collaborations avec les ETI une part de la dépense publique affectée aux organismes de recherche (2,5% dans le cas du SBIR). Le rapport propose de réactiver « la procédure passerelle Oséo qui associe une PME avec une grande entreprise autour d'une collaboration technique ou commerciale ». Oséo pourrait alors mettre en place un fonds de garantie des financements pour la mise en marche des innovations. Sur les efforts d'internationalisation, le rapport note par ailleurs que les besoins des ETI primo-exportatrices ne sont pas assez pris en compte et précise qu' « Ubifrance lancera un appel à prestations pour organiser une offre publique ou en partenariat public-privé ». (...)
(23/02/2010 12:07:18)Toshiba croit dans le secteur public
Régulièrement classé dans le top 5 des marques de PC les plus vendues(*), Toshiba préfère logiquement mettre en avant sa position de 3ème constructeur d'ordinateurs portables, sachant qu'il n'est plus présent sur le marché des PC de bureau. En 2009, il a ainsi réussi à maintenir sa part du marché des portables (environ 12%) malgré un manque d'agressivité assumé sur le marché grand public et dans la grande distribution. « L'an dernier, les meilleures nouvelles sont venues de l'activité B to B, notamment grâce à la progression des commandes du secteur public, et plus particulièrement du fait de nos résultats dans le cadre de l'Ecole Numérique Rurale », indique Alain Kergoat, Directeur du Marketing Stratégique de Toshiba France. Nommé à ce poste au printemps dernier, Alain Kergoat, qui gérait auparavant le marketing de la Division Systèmes informatiques du constructeur, a vu sa fonction étendue à l'ensemble de l'offre d'électronique grand public de Toshiba (ce qui comprend notamment les téléviseurs et les smartphones), avec pour mission de développer les synergies entre ces divisions historiquement cloisonnées. « Nos résultats dans le secteur de l'éducation ont été supérieurs à nos espérances, avec une part de marché qui a oscillé entre 25 et 30% selon les trimestres, affirme Alain Kergoat. Développer un marketing commun à l'informatique et à l'électronique grand public a réellement un sens, mais cela prend du temps et nous avons lancé la première campagne commune fin 2009.» Une approche verticale des marchés Cette stratégie confirme le peu d'enthousiasme de Toshiba sur le segment des netbooks. Non seulement il a été l'un des derniers à constituer une offre, mais il reste volontairement plus cher (d'au moins 30 euros) que ses concurrents. Autant dire que ses médiocres résultats sur ce segment hyperconcurrentiel ne l'attristent pas outre mesure. « Nous préférons nous focaliser sur la convergence entre les différents terminaux dotés d'un écran, depuis les téléviseurs jusqu'aux ordinateurs, en passant par les smartphones. Le rapprochement de ces technologies fait naître de nouvelles opportunités pour les revendeurs IT, dans des domaines tels que les hôtels, les collectivités, les cliniques, ou encore avec la montée en puissance de l'hospitalisation à domicile », conclut Alain Kergoat. (*) Selon le cabinet Gartner, Toshiba a été la 5ème marque de PC la plus vendue en Europe de l'ouest au 4ème trimestre 2009, avec 1 259 000 unités et une part de marché de 6,2%. (...)
(23/02/2010 12:03:27)F5 Networks virtualise son serveur spécialisé Big-IP Local Traffic Manager
L'équipementier, spécialisé dans les serveurs haute performance, annonce la disponibilité en évaluation de son appliance virtuelle, le Big-IP Local Traffic Manager (LTM). Elle combine virtualisation et l'aspect physique du contrôleur de délivrance d'applications. Cette version d'essai est téléchargeable sur le site http://www.f5.com/trial/. « Le réseau de délivrance d'applications est la base pour adopter une architecture flexible et le contrôleur avancé développé par F5 peut être la solution qui permet de délivrer dynamiquement les services », explique Erik Giesa, vice-président du marketing et gestion des produits F5 Networks. « Aujourd'hui, les départements IT peuvent réduire leurs temps de test en s'appuyant sur le Big-IP virtuel, qui appliquera les tests sur différentes configurations, avec les programmes iControl et iRules. Les résultats seront intégrés instantanément dans le serveur physique Big-IP. » En parallèle, l'équipementier propose une déclinaison d'entraînement sur le web de sa solution Big-IP LTM, baptisée « Essentials Training Class ». Cette formation est accessible à tout le monde, gratuitement. (...)
(23/02/2010 11:55:19)Un organisme européen émet des réserves sur l'ACTA
Le CEPD s'est rappelé aux bons souvenirs de la Commission européenne en regrettant de ne pas avoir été consulté sur l'ACTA. Cet accord commercial en discussion secrète depuis 2007 entre plusieurs pays, dont les Européens et les Américains, comprend plusieurs volets pour prévenir des actes de contrefaçons matérielles et immatérielles. Pour ces dernières, une fuite récente d'un document de travail dévoilait les éléments de la position américaine, soit une riposte graduée en trois temps ou la responsabilité civile des fournisseurs d'accès atténuée en cas de « coopération ». Peter Hustinx, président du contrôleur européen a indiqué que « s'il ne fait pas de doute que la propriété intellectuelle est importante pour la société et doit être protégée, elle ne doit cependant pas être placée au-dessus du droit fondamental à la vie privée et à la protection des données ». Dans son rapport, l'organisme indépendant émet des réserves sur la compatibilité des moyens proposés par l'ACTA avec le cadre réglementaire européen en matière de protection des données. On se souvient de la passe d'arme entre le Parlement européen et la France sur un article d'une directive, risquant d'entrer en conflit avec la mise en place de la loi Hadopi. Des recommandations consultatives Disposant d'un pouvoir purement consultatif, le CEPD a émis quelques recommandations qui serviront aux débats prévus au mois de mars au Parlement européen. Parmi ces conseils, l'autorité indépendante demande d'envisager des moyens moins intrusifs pour lutter contre le piratage sur Internet en estimant que le régime de riposte graduée n'est pas nécessaire. Il milite pour des surveillances ciblées. Les transferts de données entre les Etats ou les organisations privées doivent comprendre des garanties spécifiques inscrites dans l'accord. Le refus des eurodéputés sur l'échange de données bancaires Swift avec les Etats-Unis doit apporter un éclairage particulier sur ce sujet. Enfin, le CEPD appelle à la mise en place d'un dialogue public et transparent sur l'ACTA. Hermétiques, secrètes, les informations ne filtrent pas sur les négociations et les principales personnes concernées, les citoyens in fine ne sont pas associés à la réflexion. Plusieurs associations en France s'inquiète des nouvelles négociations qui vont débuter au mois d'avril en Nouvelle-Zélande. (...)
(22/02/2010 17:51:18)L'Icann pointe les inexactitudes de Whois
Plus des trois quarts des noms de domaine Internet enregistrés sont incomplets, invalides ou identifiés sous un faux nom. En outre, il s'avère impossible de retrouver 22% des propriétaires de sites Web. C'est ce que montre une enquête réalisée par l'Université de Chicago à la demande de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), régulateur d'Internet, pour vérifier la précision des résultats du service Whois (prononcer 'Who is ?), utilisé pour tracer les noms de domaine et s'assurer de leur disponibilité. Ce rapport détaille un certain nombre de problèmes rencontrés par les organisations chargées de gérer les noms de domaine d'un TLD ou des adresses IP pour une région définie (les registries).
L'enquête révèle ainsi que seuls 23 % des noms et adresses sont tout à fait précis, c'est à dire qu'ils satisfont aux critères déterminés par l'organisation de gestion des noms de domaine. 8 % ne fournissent pas d'informations détaillées ou portent un nom manifestement faux, et 14 % sont tout simplement injoignables. Selon Doug Brent, DG de l'Icann, cette étude est la première tentative sérieuse de vérifier la précision du service Whois. « L'enregistrement de noms de domaine se situe au niveau mondial. Déterminer sa précision représente plus qu'une simple évaluation de la validité d'un nom et d'une adresse. L'enquête a vérifié le lien existant entre le déclarant et le nom/adresse qui l'identifie. En d'autres termes, elle a montré qu'il était possible de posséder un nom et une adresse parfaitement valides, sans pour autant avoir la certitude qu'ils correspondaient bien au nom de domaine du déclarant. »
Problèmes connus, mais réponses difficiles
Le régulateur d'Internet, qui a déjà fait état de sa préoccupation quant à la précision du service Whois, s'est employé à informer régulièrement les bureaux d'enregistrement des noms de domaine (registrars) de certaines inexactitudes. Il a d'ailleurs augmenté le nombre de ses ressources dans ce domaine. Mais Doug Brent a indiqué qu'en l'état actuel, l'Icann ne pouvait pas aller plus loin. « Toute solution en vue d'améliorer la précision du Whois est étroitement liée aux pouvoirs de l'Icann qui, aujourd'hui, ne peut faire autre chose que d'enquêter sur les plaintes déposées pour ces inexactitudes », a-t-il ainsi admis. « Trouver des réponses à ce problème apparemment simple est, depuis des années, un défi pour la communauté Icann.
Parallèlement aussi, des solutions sont envisagées par les défenseurs de la propriété intellectuelle, les législateurs, les experts de la confidentialité de la vie privée et par ceux qui utilisent des alphabets non latin, souvent avec des objectifs différents ». Mais les choses pourraient bientôt changer. En effet, Doug Brent pense que la publication de l'étude va susciter plus de débats sur ce sujet. Il a également souligné que les engagements de l'Icann aux côtés du Département américain du Commerce, comprenaient un renforcement de la politique relative au service Whois, et a indiqué qu'il considérait l'examen périodique des progrès accomplis dans ce domaine comme un élément essentiel. (...)
Oracle développera une machine virtuelle Java unique
Le rapprochement entre Oracle et Sun se concrétisera notamment dans la réunion des machines virtuelles Java des deux sociétés, mais également par la mise en place d'une JVM (Java Virtual Machine) unique d'ici 18 mois à 2 ans, a précisé lors d'une webcast Mark Reinhold, ancien collaborateur de Sun désormais ingénieur en chef d'Oracle. Ce dernier explique que « cette intégration est délicate, dans le cadre d'un plan à long terme, car nous ne pouvons pas arrêter l'une des deux solutions sans créer un tremblement de terre et causer des défaillances sur les systèmes de nos clients ». Les développements sur chacun des environnements vont donc continuer sur le court-terme avant de subir une phase d'harmonisation. Chacune des machines dispose d'atouts particuliers, souligne l'ancien collaborateur de Sun désormais chez Oracle : « il y a quelque chose au sein de JRockit, qui nous a rendu jaloux depuis des années, la mission de contrôle. Par contre le code de HotSpot, notamment le compilateur de serveur, est plus sophistiqué ». Lors de ce Webcast, Mark Reinhold a dévoilé les évolutions du kit de développement Java 7, qui devrait servir aux prochaines éditions standards de Java : modularité, capacités multilingues, plus de productivité sur les nouvelles plateformes et adaptation aux terminaux mobiles. (...)
(22/02/2010 16:28:49)Philippe Jarre prend la tête de l'activité services d'IBM France
On sait désormais qui succède à Nicolas Sekkaki (à droite) à la tête de l'activité services d'IBM France, Global Technology Services (GTS). Il s'agit de Philippe Jarre (à gauche) qui occupait précédemment, à l'échelle d'IBM Corporation, le poste de directeur général de l'entité Business Continuity and Resiliency Services, une ligne de services d'IBM GTS couvrant les activités de continuité opérationnelle et reprise après incident. Fin 2007, il a notamment géré l'acquisition d'Arsenal Digital Solutions, spécialiste du stockage en ligne et de la récupération de données. Diplômé de Supelec en 1984, Philippe Jarre est entré chez IBM en 1988. Avant de prendre la direction de l'entité BCRS, il était vice président de l'activité Global Integrated Technology Services. A ce poste, il était basé à Somers (New York). Nicolas Sekkaki, quant à lui, prend la tête de SAP France, filiale française de l'éditeur allemand d'ERP. Il y remplace Pascal Rialland qui, après avoir occupé ces fonctions pendant quatre ans, rejoint maintenant le groupe de téléphonie mobile Omer Telecom, en qualité de directeur général, aux côtés du Président Geoffroy Roux de Bézieux. Omer Telecom est une co-entreprise des groupes Virgin, Carphone Warehouse et Financom. (...)
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