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(24/02/2010 12:44:39)

La Commission européenne examine des plaintes contre Google

Foundem.co.uk, un comparateur de prix sur internet basé au Royaume-Uni, ejustice.fr, site français spécialisé dans le droit et de Ciao.de, un moteur de recherche allemand, récemment acquis par Microsoft, voilà le trio dévoilé par Google et qui ont déposés plainte pour abus de position dominante auprès de la Commission européenne. Comme à son habitude dans ce genre de cas, l'institution européenne, qui a confirmé sa saisine, va commencer par examiner les trois plaintes en questions et déterminera ensuite s'il y a matière à poursuivre l'enquête ou non. Piloté par Microsoft ? Révélée hier par le Wall Street journal, le moteur de recherche s'est empressé de réagir sur l'affaire via son blog officiel :« En attendant de recevoir de plus amples informations, nous pouvons déjà affirmer que nos opérations commerciales se font toujours dans l'intérêt de nos utilisateurs et de nos partenaires, elles sont toujours conformes aux lois européennes » et d'ajouter « Nous avons toujours eu de bonnes relations avec Ciao.de qui a longtemps été le partenaire de Google. Les plaintes ont commencés en 2008, lorsque Ciao s'est allié avec Bing, le moteur de recherche de Microsoft ». Le site eFoundem, quant à lui fait partie, de l'organisation ICOMP « qui a notamment été fondée par Microsoft » précise le post. Face à ces sous-entendus, la firme de Redmond n'a souhaité faire aucun commentaire. (...)

(24/02/2010 15:07:10)

Yahoo labs : l'utilisateur au centre de la recherche

« Bing et Yahoo search sont toujours concurrents » affirme Yoelle Maarek, directrice de recherche de Yahoo Labs en Israël. « C'est comme aux jeux olympiques, poursuit-elle. On court les uns contre les autres et on se remet en question mais c'est toujours pour le bien de l'utilisateur ». Ainsi, si l'accord entre le portail et la firme de Redmond offre bien la gestion de la régie publicitaire au premier, et la gestion des serveurs, climatiseurs et autres matériels au second, les deux moteurs de recherches ne seront en aucun cas fusionnés. Loin derrière Google en part de marché, ils vont s'entraider et se concurrencer pour devenir plus compétitifs. Améliorer l'expérience utilisateur «Depuis plusieurs années, l'évolution des moteurs de recherche patine. Il faut désormais jouer sur l'expérience utilisateur » affirme la chercheuse en soulignant, que pour rendre un moteur de recherche plus attractif, il faut simplifier sa façon de donner des résultats. Yahoo, après avoir intégré la « recherche rapide » qui proposait des mots « types » de recherches pour anticiper les requêtes utilisateur, se tourne maintenant vers ce qu'on appelle les « liens modules », qui offrent la possibilité aux sites, bloggeurs ou entreprises, d'agrémenter leurs liens des pages de recherche par des images et des liens précis, pour interpeller l'utilisateur. La directrice ajoute qu'en plus de sa volonté de simplicité, c'est le comportement entier de l'utilisateur qui a changé. «Le but aujourd'hui n'est plus de chercher mais de trouver directement» précise-t-elle. Ainsi découvre-t-on le prochain objectif de Yahoo : le « Woaw effect » (effet de surprise). Il consiste, pour les développeurs, à afficher un patchwork de pages internet, directement depuis le moteur de recherche. « Un moyen d'afficher directement une réponse plutôt qu'un lien vers celle-ci » S'adapter à l'utilisateur mais respecter sa vie privée Aujourd'hui, Yahoo affirme utiliser l'historique des utilisateurs pendant 90 jours à peine, contre 9 mois pour Google et 6 mois pour Bing. Yoelle Maarek a en effet expliqué qu'il était tentant, pour les moteurs de recherche, d'utiliser des donnés privées d'utilisateurs afin de leur proposer des liens ciblés et sponsorisés. « Cela m'exaspèrerait au plus haut point » confie-t-elle. Le portail Yahoo qui souhaite éviter ce genre d'abus prévoit donc à l'avenir, de faire coïncider les recherches d'un utilisateur avec le contexte dans lequel il se trouve. « Si un utilisateur lit les pages Sport du portail Yahoo et qu'il tape une requête dans la barre de recherche, notre moteur orientera les réponses sportives en premier lieu ». Une manière de cibler l'intention et non pas l'individu lui-même. (...)

(24/02/2010 10:14:56)

Le marché du cloud computing en Europe a crû de 20% en 2009

Les offres de type « cloud computing » vont fortement croître dans les années à venir, confirme l'étude réalisée par le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC) pour le compte de la Commission Européenne. En 2009, malgré la crise, le marché a ainsi atteint 4 milliards en Europe avec une croissance de 20% et une part de 1,5% dans le marché des logiciels et service. D'ici 2015, cette part devrait passer à 13%. Cette croissance sera dopée par la crise. En effet, le recours aux infrastructures et logiciels mutualisés et vendus sous forme de services évite de devoir investir lourdement au départ d'un nouveau projet. De plus, la mutualisation permet une baisse du coût total. Cependant, à court terme, ce sont les créations de clouds privés qui soutiendront la croissance de ce marché. Selon PAC, « avec le Cloud Computing, une partie de l'informatique va progressivement se transformer en une industrie « lourde » basée sur des centres de production fortement automatisés. » (...)

(23/02/2010 17:27:17)

Les Européens ne se ruent pas sur les services IT externalisés en Inde

Si un certain nombre d'entreprises européennes envisagent d'évaluer les services IT en offshore, elles y recourent encore peu, constate Sudin Apte, analyste de Forrester, basé à Pune, dans le Maharashtra, près de Mumbai. Selon lui, cela s'explique par une combinaison de facteurs parmi lesquels des structures d'organisation reposant sur des équipes seniors et une réticence à laisser s'exiler un peu trop loin une partie des projets. A l'exception notable des britanniques, qui font plus volontiers appel à l'offshore, les entreprises d'Europe de l'Ouest préfèrent, selon le consultant, étoffer leurs équipes informatiques internes avec du personnel issus de sous-traitants travaillant dans leurs locaux. L'analyste remarque qu'elles ne sont pas si pressées de réduire leurs coûts en externalisant à l'étranger. Au contraire, elles souhaitent en priorité respecter les règles sociales en vigueur dans leur pays et ne pas supprimer de postes chez elles. L'Inde exporte environ 5 Md€ de services IT vers les pays d'Europe de l'Ouest, Royaume-Uni excepté, ce qui représente environ 5% du marché total des services IT de la région. De fait, les sociétés d'infogérance indiennes préfèrent gérer elles-mêmes leurs équipes et fournir leurs services depuis leurs installations offshore, ce qui n'a guère gagné les faveurs des Européens, juge l'analyste. Même les pays d'Europe de l'Est, qui pouvaient s'attendre à bénéficier de leur proximité géographique et culturelle avec l'Europe occidentale n'ont pas non plus récupéré plus d'activité sur ce marché. Selon Forrester, les installations « near-shore » en Europe centrale et orientale exportent en valeur moins de 500 M€ de services vers les pays d'Europe de l'Ouest, toujours sans tenir compte du Royaume-Uni. S'adapter à la demande européenne Néanmoins l'outsourcing est privilégié par certains groupes européens ayant une dimension internationale et qui ont déjà recours à des prestataires offshore en Inde. Ils le font principalement parce qu'ils sont concurrencés par de grandes entreprises américaines qui utilisent déjà des ressources « low-cost » en offshore. La démarche ne rencontre pas la même adoption auprès des entreprises dont les activités restent localisées en Europe. Un certain nombre d'outsourcers indiens, qui avaient cherché à faire croître leurs activités en Europe, ont intensifié ces efforts après avoir vu décliner leurs revenus aux Etats-Unis en raison de la crise économique. Parmi eux, Infosys Technologies et Wipro ont par exemple installé des centres de services en Europe de l'Est. Malgré ces initiatives, l'Europe ne pèse toujours qu'une petite part des revenus des prestataires indiens de services externalisés. Au dernier trimestre 2009, le premier acteur indien sur ce marché, Tata Consultancy Services, a généré 18,5% de son chiffre d'affaires au Royaume-Uni et 10,7% dans les autres pays d'Europe de l'Ouest, alors que les Etats-Unis représentaient 52% de ses revenus. Certains concurrents, parmi lesquelles des SSII multinationales, louent les services d'équipes IT à des entreprises d'Europe de l'Ouest, juste pour avoir « un pied dans la place », explique Sudin Apte. Ils évoluent ensuite progressivement vers des projets d'infogérance mis en oeuvre dans des implantations « near-shore » en Europe de l'Est. A la suite de quoi, certains de ces projets sont finalement déplacés vers des localisations offshore. Il est vrai que la plupart des fournisseurs de services indiens se sont montrés plutôt rigides dans leur approche de l'Europe, estime l'analyste de Forrester. Mais, même si ces SSII modifient leur démarche, elles ne doivent pas s'attendre à une explosion de la demande venant des pays d'Europe de l'Ouest, excepté au Royaume-Uni. Dans trois ou quatre ans, estime Sudin Apte, le volume de services IT exportés par l'Inde vers l'Europe de l'Ouest ne représentera sans doute pas plus de 12 à 15% du marché total des services IT sur la région (sans inclure le Royaume-Uni). (...)

(23/02/2010 16:12:27)

DMP : un consortium comme hébergeur unique

Par un communiqué de presse, l'agence des systèmes d'information partagés de santé (ASIP-Santé) a annoncé avoir choisi le consortium industriel mené par les groupes Atos Origin et La Poste, et également constitué des sociétés Atos Wordline, Santeos, Extellia, HSC, Softway Medical Services, Evalab pour héberger le DMP (dossier médical partagé). Depuis le dernier plan de relance du DMP, et la création de l'ASIP-Santé, la nouvelle équipe a en effet choisi d'abandonner le principe de multiplicité des hébergeurs (plus ou moins un par région) au profit d'un hébergeur national unique. Le consortium qui vient d'être choisi hébergera donc l'ensemble des dossiers médicaux personnels partagés des patients résidant en France et assujettis aux régimes sociaux français. Le marché n'étant pas encore notifié et donc susceptible de recours, les éléments économiques comme les détails concrets du projet ne sont pas actuellement disponibles. (...)

(23/02/2010 16:11:40)

Fibre optique : mutualisation contractualisée, déploiement officialisé

Il y a encore quelques mois, les opérateurs menaient bataille sur la mutualisation des réseaux de fibres optiques au sein des immeubles. Certains comme Free militaient pour la pose de plusieurs fibres et la location du surplus aux autres opérateurs. Orange, lui, souhaitait le déploiement d'une seule fibre et louer la capacité de cette fibre. L'ARCEP s'est prononcé en faveur de l'opérateur alternatif en soulignant que la méthode de déploiement assurait une plus grande concurrence. Après ces tergiversations, le régulateur français des télécoms s'est félicité lundi de la publication par les opérateurs de leurs offres d'accès à leurs réseaux de fibre optique. Pour le gendarme des télécoms, « la publication de ces offres rend effectif le démarrage par les opérateurs du déploiement mutualisé de la fibre optique jusqu'aux logements. » Les opérateurs (France Télécom, SFR, Numéricable et Free) vont ainsi pouvoir discuter entre eux du déploiement de réseaux mutualisés dans les zones très denses. L'Autorité publie à cette occasion un guide sur la fibre optique dans les immeubles à destination des bailleurs, syndics, copropriétaires et locataires. Ce document, téléchargeable sur Internet, a vocation à répondre aux questions relatives à la fibre optique, son cadre réglementaire et la manière dont va se dérouler l'équipement des immeubles. (...)

(23/02/2010 14:47:05)

Stockage : Iron Mountain acquiert Mimosa

L'opération de 112 millions de dollars permet à Iron Mountain, société dédiée à la protection des informations de stockage, d'acquérir Mimosa, créateur de la plateforme NearPoint, solution capable d'archiver les messages d'Exchange, les données échangées sur Sharepoint et tout autre fichier. Cette technologie s'intégrera à la baie d'Iron Mountain fournie en mode SaaS. L'apport de Mimosa offrira aux clients des solutions hybrides de modèle d'archivage permettant de garder des données à demeure, alors que d'autres seront déplacées sur le cloud. (...)

(23/02/2010 14:16:45)

ARM s'attaque à la facture énergétique avec le microcontrôleur M4

Le microcontrôleur Cortex M4 annoncé par le fondeur va être intégré aux appareils électroménagers - machines à laver et réfrigérateurs notamment - et à d'autres dispositifs domestiques pour faire la chasse au gaspillage. L'architecture du microcontrôleur M4 apporte également plus de fonctionnalités et automatise le fonctionnement des appareils, réduisant la consommation électrique et le coût de la facture énergétique des ménages. ARM a déjà mis sous licence toute sa gamme de processeurs Cortex, y compris Cortex-One que l'on retrouve dans les smartphones et certains ordinateurs de type netbook. La ligne M de contrôleurs qui intègre une CPU de petite taille, peu gourmande en énergie pourra en association à d'autres composants, remplir des fonctions spécifiques dans les appareils, les véhicules ou les casques audio. Ainsi, le M4 peut très bien exercer des fonctions de base comme la lecture de fichiers audio sur des mini-casques ou des opérations de minuterie dans les machines à laver. Ce processeur est plus efficace énergétiquement et plus petit que ses prédécesseurs. La lecture de fichiers MP3 sur casque demande seulement 0,5 milliwatts. La durée de vie de la batterie sera donc allongée. « En même temps qu'ils gagnent en fonctionnalités, les appareils domestiques ont de plus en plus besoin d'embarquer des dispositifs de ce type », explique Shyam Sadasivan, chef de produit de la division processeurs chez ARM. Par exemple, les machines à laver embarquent des capacités de calcul pour traiter les algorithmes de base afin de s'assurer qu'elles se mettent en marche à une certaine heure - les heures de pointe par exemple - ou qu'elles tournent à une certaine vitesse pour économiser l'énergie. « Les appareils ménagers sont équipés d'un certain nombre de traitement de données qui aident à réduire les coûts énergétiques, et un processeur plus rapide y contribuera certainement », a confirmé Michael Kanellos, analyste senior chez GreenTech Media. On peut citer le cas du dégivrage des réfrigérateurs actuels qui se met en marche à intervalles réguliers pendant les heures de pointe, augmentant probablement la facture d'électricité. « Un petit microprocesseur Arm M4 avec des capacités de contrôle en réseau peut aider à gérer le fonctionnement de ce dégivrage plus efficacement », conclut l'analyste. De son côté le responsable ARM imagine également une nouvelle génération d'appareils domestiques embarquant des moniteurs de contrôle par exemple. « Pour les systèmes de sécurité, nécessitant plus de puissance de calcul, le M4 sera capable de compresser les données audio et vidéo à des taux plus élevés améliorant ainsi les systèmes de surveillance à domicile. » Une connectivité renforcée pour un usage diversifié D'après le chef de produit, « le microcontrôleur pourra également trouver sa place dans les compteurs intelligents, où il sera en mesure de collecter des données via le réseau et réguler rapidement les appareils ménagers pour limiter leur consommation en énergie » et d'ajouter « le microcontrôleur M4 est deux fois plus rapide que son prédécesseur, le Cortex M3, et pourra donc traiter des algorithmes complexes plus rapidement.» Aujourd'hui, de nombreux dispositifs ménagers peuvent être connectés au réseau, et les compteurs intelligents auront besoin de microprocesseurs plus rapides pour traiter les données en établissant plusieurs connexions simultanées. C'est pour cela que ce chipset supporte de multiples protocoles réseaux, le Bluetooth, ZigBee, Wi-Fi et Ethernet. Citant une étude du département américain de l'énergie de 2008, le consultant Michael Kenellos a rappelé que l'éclairage représentait 25 % des coûts d'électricité d'un immeuble, suivi pour 13 % par les systèmes de refroidissement, et pour 12% par le chauffage. « Nombreux sont ceux qui laissent les lumières allumées après avoir quitté leur appartement. En ajoutant une unité de contrôle avec un processeur rapide et une capacité de mise en réseau, il devient possible d'éteindre les lumières à distance avec son téléphone portable par exemple », a t-il déclaré. ARM a annoncé la disponibilité de ses puces M4 d'ici la fin de l'année. (...)

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