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(25/02/2010 15:15:03)

Citrix et VMware montent dans l'asset management IT

Citrix a annoncé l'acquisition de la société Paglo, spécialisée dans les solutions de gestion et de configuration d'actifs IT. L'acheteur devrait intégrer ces services au sein de son offre en ligne de contrôle à distance et de gestion des équipements IT, GoTOmanage. Ce dernier est le complément idéal de GoToAssist, service qui donne aux administrateurs le pouvoir de prendre la main sur les ordinateurs en cas de difficultés. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. De son côté, VMWare s'est portée, selon le blog du groupe, acquéreur de trois logiciels (Virtual Profiles, Pinpoint et Discover), ainsi que des équipes R&D de la société RTO Software. L'intégration des différentes applications au sein de la solution VMware View apporte aux administrateurs une meilleure gestion des profils utilisateurs au travers des machines virtuelles. Cette vue globale apportée par le logiciel Virtual Profiles est selon VMware « un élément critique de la virtualisation, pour bien comprendre son environnement, le répliquer, le synchroniser, etc. » Les logiciels PinPoint and Discover supervisent eux les performances applicatives en traçant le fonctionnement respectif des logiciels et des équipements. L'intégration des différents logiciels RTO sera effective d'ici mi-2010. (...)

(25/02/2010 11:51:11)

Intel promeut la puce Moorestown pour les tablettes

Récemment, la société Openpeak a présenté l'OpenTablet 7, une tablette de 500 grammes à écran tactile, optimisée pour le multimédia et les communications vidéo. Elle est la première du genre à être équipée d'un processeur à basse consommation de chez Intel : le Moorestown. « Etant donné leur faible coût et leur basse consommation, les prochains processeurs Atom accompagneront parfaitement ce marché» affirme, Suzy Ramirez, une porte-parole d'Intel. Ayant déjà présenté des smartphones LG équipés de Moorestown en janvier dernier, le fondeur souhaite de faire de cette tablette la première d'une longue lignée. Une arrivée tardive sur le marché « Intel fait bien de s'intéresser à de nouveaux marchés » explique le directeur des recherches du cabinet d'étude Mercury, Dean McCarron. « Les ventes des netbooks, majoritairement équipés par Atom, commencent en effet à diminuer, alors que celles des smartphones explosent ». Malgré cela, Intel reste fortement concurrencé par ARM, un autre fabricant spécialisé dans les processeurs basse consommation. La majorité des tablettes dévoilées au CES de Las Vegas en janvier dernier était en effet équipée de processeurs ARM, les sociétés comme Dell et Lenovo auraient déjà signé un partenariat avec lui pour toutes leur futurs terminaux nomades. Idem pour l''iPad d'Apple, équipée d'une puce Apple A4 qui intègrerait, selon des rumeurs, un processeur du fondeur de Cambridge. Un départ difficile pour Intel, explique le consultant: « Même en essayant coûte que coûte de réduire la consommation des processeurs Atom, Intel pourrait mettre des années avant d'arriver à concurrencer les processeurs de son principal concurrent ». (...)

(25/02/2010 11:51:08)

Fibre optique : le FTTH Council Europe salue les efforts de la France

Le FTTH Council Europe, conseil industriel assurant la promotion et le déploiement des réseaux à fibre optique, a indiqué que la France intègre le classement des pays européens les plus connectés en fibre. En valeur absolue, la France occupe le deuxième rang européen avec 308.000 foyers (sur 25 millions) ayant accès à Internet par fibre optique à domicile. « Nous avons le plaisir d'accueillir la France parmi les économies les plus avancées en matière d'accès à la fibre », a déclaré Karel Helsen, président du FTTH Council Europe. "Bien que le taux de pénétration de la fibre optique dans l'hexagone ne dépasse que légèrement le seuil requis de 1 %, l'entrée dans le classement d'une nation si vaste, après l'Italie en 2006, est d'une importance considérable à l'échelle européenne. Elle souligne une véritable accélération du déploiement de la fibre. » En matière de pénétration (taux d'abonnés à la fibre par rapport au nombre total de foyers), la France se classe en 12ème position du classement, dominé par les pays baltes et scandinaves (Lituanie, Suède, Norvège, Estonie, Danemark, etc.). Une accélération des déploiements Selon l'organisme, le nombre total d'abonnés en France à la fibre optique a connu une augmentation de 71% l'année dernière, passant de 180.550 foyers connectés en décembre 2008 à 308.200 en décembre 2009, dont 220.000 abonnés chez Numericable. De plus, le nombre de foyers éligibles à la fibre est passé de 4,5 millions à 5,7 millions sur la même période. Le FTTH Council Europe estime que le nombre d'abonnés français à la fibre optique devrait continuer de croître rapidement dans les prochaines années, du fait notamment du programme d'Orange sur 2010-2015 (2 milliards d'euros) et du gouvernement qui prévoit d'investir pour permettre aux zones moins denses de bénéficier de l'Internet très haut débit. Le régulateur a par ailleurs annoncé en début de semaine la publication des offres de référence des opérateurs sur la mutualisation de la fibre au sein des immeubles. (...)

(24/02/2010 17:52:56)

IBM apporte la déduplication au serveur Mainframe

IBM vient d'annoncer la sortie du serveur TS7680 équipé de ProtecTIER, une plateforme de protection et de déduplication des données. « L'arrivée de cette solution dans nos serveurs Mainframe va considérablement étendre nos capacités de stockage. » explique Cindy Grossman, vice-présidente de la section serveurs et stockages d'IBM. « L'annonce d'aujourd'hui va permettre à nos client de gérer encore plus de données avec moins d'infrastructures et de simplifier la protection des données tout en réduisant les coûts opérationnels ainsi que les dépenses d'énergie.» La technologie de déduplication ProtecTier permet, en temps réel, de découper un même fichier en plusieurs tronçons très petits, de les classer et de les indexer grâce à des références et réduit ainsi au maximum la création de doublons de fichiers. Elle a été intégrée par IBM en 2008, lorsque de l'acquisition de Dilligent Technologies. Qui, en utilisant un algorithme nommé HyperFactor, avait réussi à identifier chaque tronçon par une référence unique, permettant ainsi de stocker directement la trace de chaque fichier dans la mémoire vive, rapidité garantie. Le prix du TS7680 avoisine les 300.000 $ selon les différentes options de serveur choisis. (...)

(24/02/2010 16:55:39)

SGI acquiert Copan Systems

Le spécialiste du calcul haute performance et de solutions pour les datacenter a annoncé l'acquisition des actifs de Copan Systems, fournisseur de plateformes de haut niveau pour l'archivage et le stockage à long terme. A travers cette opération, estimée à 2 millions de dollars, SGI étoffe son offre de stockage en intégrant dans son portefeuille, la technologie MAID (Massive Array of Idle Disks), qui désactive les disques durs qui ne sont pas ou peu utilisés. En complément, SGI hérite aussi des fonctionnalités de « Disk to Disk » et VTL (Virtual Tape Library) facilitant la récupération instantanée de volumes importants de données. Dernièrement, SGI a annoncé une offre de cloud computing, baptisée Cyclone (...)

(24/02/2010 14:34:20)

Déchets électroniques : l'ONU avertit les pays en développement

Les pays en développement doivent se préparer à une avalanche de déchets électroniques provenant du marché des ordinateurs personnels, de l'électronique grand public et des appareils électroménagers, a fait savoir l'Organisation des Nations Unies dans une étude publiée lundi et réalisée par le Programme pour l'environnement des Nations Unies (UNEP) et l'EMPA, un laboratoire de test de matériaux situé en Suisse. Selon le rapport, d'ici 2020, le pourcentage de déchets électroniques générés par les anciens ordinateurs pourrait augmenter de 500 % en Inde, et de 200 à 400 % en Afrique du Sud et en Chine, par rapport au niveau de 2007. Les déchets électroniques provenant des téléphones portables mis au rebut en 2020 seront, eux, environ sept fois plus élevés en Chine et 18 fois plus élevés en Inde. Or, actuellement, les pays en développement ne disposent d'aucune infrastructure digne de ce nom pour le recyclage des déchets, indique l'étude. Notamment, il n'existe pas de filières de recyclage organisées et les méthodes d'élimination des déchets, y compris l'incinération des ordinateurs et des téléphones mobiles, pourraient sérieusement affecter la santé humaine et l'environnement. «Ce rapport rappelle une nouvelle fois l'urgence de mettre en oeuvre une procédure ambitieuse, exigeante et réglementée, de collecte et de gestion des déchets électroniques via la mise en place d'installations adaptées et de grande envergure en Chine, » a déclaré le sous-secrétaire général Achim Steiner, par ailleurs directeur exécutif de l'UNEP (United Nation Environment Programme), dans un communiqué. « La Chine n'est pas le seul pays à devoir affronter ce sérieux défi. L'Inde, le Brésil, le Mexique et d'autres vont également être confrontés à un accroissement des dégradations de leur environnement et à des problèmes de santé de leurs populations liés au recyclage des déchets électroniques, s'ils sont laissés à la seule charge du secteur privé», a affirmé M. Steiner. Une panoplie de méthodes L'étude met également en évidence le fait que les pays en développement sont devenus des territoires de dumping (bas coût) pour les déchets électroniques. En Chine, des recycleurs incinèrent ces déchets pour récupérer les métaux précieux, l'or en particulier, provoquant le dégagement de fumées toxiques dans l'atmosphère. Les téléphones mobiles contiennent du cuivre, du cobalt, de l'argent et de l'or, parfois à hauteur de 23% de leur poids, dit le rapport de l'ONU. Ces déchets contiennent également des substances dangereuses comme le plomb, le mercure (qui sert également à l'extraction de l'or) et l'arsenic, et l'incinération de ces composants entraîne les mêmes conséquences citées précédemment. Or, il est tout à fait possible de valoriser ces métaux précieux et d'autres matériaux en respectant l'environnement, à un coût peu élevé, explique le rapport. Une solution consisterait à envoyer les déchets électroniques vers des pays disposant d'installations suffisantes pour les trier, les démonter et les traiter, minimisant ainsi l'impact environnemental. Par exemple, les déchets électroniques en provenance des pays d'Europe centrale pourraient être traités par la Hongrie, bien équipé en ce domaine, indique le rapport. L'ONU suggère d'autres méthodes pour recycler efficacement les matériaux, comme la cryogénisation des composants provenant de l'électronique grand public et des appareils électroménager pour détruire les éléments dangereux, ou l'établissement de chaînes de démontage, manuelles ou automatiques, pour retirer les composants. Selon l'ONU, la méthode manuelle n'est pas seulement écologique et efficace. Elle pourrait également être source d'emploi et de profit durable pour les pays en développement. Beaucoup d'entreprises d'électronique font des efforts pour réduire les substances dangereuses dans la fabrication des ordinateurs et des produits grand public. Apple et d'autres fabricants de PC se sont engagés à éliminer progressivement des produits chimiques comme le brome présent dans les retardateurs de flamme et le chlorure de polyvinyle utilisé dans les composants et les circuits imprimés. En 2003, l'Union européenne a adopté le ROHS (Restriction of Hazardous Substances Directive), limitant l'utilisation de substances dangereuses dans les produits électroniques. Aux Etats-Unis, des efforts sont entrepris. Des ONG et des entreprises spécialisées dans la gestion de ces déchets réfléchissent à une certification respectant une charte morale et de sécurité pour promouvoir le recyclage responsable. (...)

(24/02/2010 13:04:19)

Maintenance SAP : le piège du retour au contrat standard

Il reste encore trois semaines à certains clients de SAP pour prendre une décision délicate. Doivent-ils revenir à un contrat de maintenance standard, facturé chaque année 18% du prix payé pour les licences qu'ils ont achetées (avec des ajustements réguliers en fonction de l'inflation)? Ou ont-ils au contraire intérêt à opter pour le contrat d'assistance avancée, Enterprise Support, tarifé à terme à 22%. Depuis janvier dernier, l'éditeur de solutions de gestion intégrées leur donne de nouveau ce choix, à l'issue de longues discussions avec ses clubs d'utilisateurs, un an et demi après la migration forcée vers une formule unique à 22%. Chaque client de la version Enterprise pourra même, au début de chaque année, décider de revenir à la version Standard s'il le souhaite.

Il y a des différences majeures entre les deux formules. SAP Standard Support fournit des services distants et des outils d'évaluation technique des systèmes, ainsi qu'une assistance 24 h/24 pour la résolution des problèmes techniques. Avec SAP Enterprise Support, l'éditeur s'engage à apporter une assistance pro-active, incluant l'accès aux extensions de fonctionnalités des 'Enhancement packages'. Et, surtout, le contrat est assorti d'un engagement de service (SLA) pour assurer la continuité des activités. Les entreprises concernées pèsent donc prudemment le pour et le contre avant de prendre leur décision.

Enterprise Support : plein tarif après le 15 mars


Revenir au contrat de base n'est pas sans risque. Et SAP ne se prive pas de le souligner. En effet, si les entreprises changent d'avis après le 15 mars, le coût d'accès à Enterprise Support sera directement facturé à 22%. Alors qu'en optant aujourd'hui pour ce service avancé, les entreprises ayant signé leur contrat de licences avant le 5 juillet 2008 (*) sont assurées que le coût du service n'atteindra 22% qu'à partir de 2016. SAP leur rappelle qu'en passant à Enterprise Support au 15 mars 2010, leur redevance ne sera que de 18,36% cette année et qu'elle n'augmentera ensuite que progressivement.

A l'occasion d'une Webconférence avec le club des utilisateurs américains de SAP, cette semaine, Ray Wang, analyste d'Altimater Group a distingué quatre groupes de clients :
- Les aguerris : ceux qui ont d'anciens systèmes SAP, stables, dont ils ne souhaitent pas étendre les fonctions et qui ont peu de contact avec l'éditeur. Ray Wang estime qu'ils peuvent se contenter du contrat Standard à court terme. Il leur suggère même d'étudier la possibilité de prendre en charge eux-mêmes leur maintenance ou de faire appel à un autre prestataire (comme Rimini Street aux Etats-Unis).
- Les indécis : ils ont quelques projets d'extension fonctionnelle autour de SAP, peu nombreux, mais qui nécessitent de faire appel au support. L'analyste d'Altimater leur conseille de tester Enterprise Support pendant un certain temps pour juger de l'intérêt du service pour eux.
- Les engagés mais 'a minima' : ils projettent des investissements supplémentaires dans leurs applications SAP et recourent aux services de support. Ray Wang leur recommande de conserver la formule Standard.
- Enfin, les inconditionnels, porte-drapeaux de l'offre : ils viennent de déployer leurs applications ou s'apprêtent à étendre celles qu'ils ont. Il est préférable qu'ils optent pour Enterprise Support dès maintenant. Mais ils pourraient aussi en profiter pour renégocier leur contrat de licences si certaines d'entre elles sont inutilisées.

(*) Tous les contrats de licences signés après le 5 juillet 2008 sont assortis d'une maintenance avancée à 22%. (...)

(24/02/2010 13:00:57)

Double-Take prend pied dans le Cloud

L'éditeur de logiciels de réplication va proposer à ses clients une option de cloud public. Celle-ci sera basée sur le service web d'Amazon qui offre un service de sauvegarde des serveurs sur le nuage. La solution Double-Take utilise donc ses applications de réplication adaptées à l'environnement du nuage informatique. Les clients pourront récupérer leurs données, leurs systèmes d'exploitation et leurs applications en cours avec un minimum d'interruption de service. Peter Laudenslager, directeur senior de la division Recovery Cloud de Double Take souligne que « les logiciels établissent un lien direct entre nos clients et le nuage en ne payant que la capacité qu'ils utilisent. Un mode de facturation qui représente des économies. ». Il se veut aussi rassurant en expliquant qu'« Amazon fonctionne sur Xen, mais cela est sans incidence sur nos clients qui travaillent sur VMware ou Hyper-V ». Le prix de l'option cloud de Double-Take est de 150 dollars par serveur et par mois, auquel il faut ajouter le coût du composant Amazon soit 100 dollars par mois. Enfin, le stockage est évalué de 20 à 25 cents par Gigabit par mois. Les prix européens seront dévoilés plus tard dans l'année. (...)

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