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(25/02/2010 18:10:04)

SAP lance des outils de BI en ligne pour les utilisateurs occasionnels

Lorsqu'il a présenté son interface d'interrogation intuitive Polestar, il y a deux ans, Business Objects affichait déjà son ambition de mettre les fonctions décisionnelles à la disposition du plus grand nombre dans l'entreprise. SAP a, depuis, repris cette technologie dans sa solution Explorer commercialisée en 2009 et il la propose désormais en ligne avec les logiciels décisionnels de BO déjà disponibles en mode SaaS, sous le nom de SAP BusinessObjects BI OnDemand. Avec cette offre, SAP souhaite apporter des fonctions décisionnelles aux utilisateurs occasionnels. L'éditeur assure que son interface d'exploration et de visualisation de données Explorer permet à un utilisateur 'inexpérimenté' d'effectuer des recherches parmi des données provenant de différentes sources en s'appuyant d'abord sur son expérience métier. Selon lui, il n'est pas nécessaire de se former pour commencer à travailler avec cette suite BI qui, en outre, accompagne ses utilisateurs tout au long des différents processus. L'utilisateur pourra notamment effectuer du reporting et partager ses rapports avec d'autres personnes à l'intérieur et à l'extérieur de l'entreprise, de façon sécurisée. Il sera même possible de récupérer des données exploitées dans les applications de gestion de la relation client hébergées sur la plateforme de Salesforce.com. La commercialisation de l'offre s'appuiera sur une tarification à l'usage. (...)

(25/02/2010 18:00:29)

Cisco investit dans une start-up de sécurité appliquée à la virtualisation

La virtualisation, qui consiste à gérer plusieurs systèmes d'exploitation simultanément sur une même machine, est un procédé en pleine expansion dans le domaine des entreprises et les compétences en la matière sont recherchées. Ainsi, la société HyTrust, spécialisée dans la création des équipements et des logiciels dédiés à la virtualisation, attire de plus en plus les regards. Cumulant un capital de 5,5 millions de dollars après la sortie de ses premiers produits, en avril dernier, la start-up américaine a été honorée du prix « Best of Show » au salon de la virtualisation VMworld 2009. Elle y a également été inscrite au top 10 des start-up « à surveiller de près » pour 2010. L'apport de 10,5 millions de dollars de la part de d'investisseurs tel que Cisco (alliée ici à d'autres firmes informatiques) arrive comme une preuve de confiance supplémentaire pour la société. Parier sur l'avenir Si HyTrust se démarque, c'est parce qu'elle privilégie la sécurité entre utilisateurs de machine virtuelles. Les analystes perçoivent en effet la technologie HyTrust comme la solution au nombreux problèmes d'authentification des plateformes communes Vmware. Dans les faits, la virtualisation se symbolise par une plateforme commune entre tous les systèmes d'exploitation (OS), il est donc essentiel qu'un administrateur ait autorité sur les différentes options de contrôle de la machine virtuelle, afin de ne pas risquer de conflits entre les administrateurs de chaque OS. La jeune pousse a enfin indiqué que les fonds récoltés serviront au développement et à la branche marketing de la société. Cisco, NetApp et VMware travailleraient actuellement sur un projet permettant d'aller encore plus loin dans la virtualisation en isolant, non plus des systèmes d'exploitations, mais plusieurs applications partageant les mêmes ressources physiques. (...)

(25/02/2010 17:35:05)

HP évangélise les petits data center au Green IT

En lançant son service Small Footprint Assessment, HP vise essentiellement les opérateurs de datacenters de moins de 500 m2. HP n'est pas le premier sur ce secteur, puisque d'autres fournisseurs comme Dell proposent déjà une offre « verte » destinée aux petites entreprises. Ces services, répartis en trois groupes, consistent à réaliser un audit des infrastructures, une analyse des capacités, et un diagnostic énergétique des petits centres de calcul afin d'améliorer leurs performances et à réduire leurs coûts d'exploitation. En effet, les PME, mêmes celles qui disposent de datacenters de taille modeste, sont confrontées aux mêmes problèmes que les entreprises de grande taille, à savoir une hausse des coûts d'exploitation, l'inadaptation de leurs infrastructures, une surface limitée, et une énergie disponible insuffisante. Leur taille est même, à plus d'un titre, un désavantage. Ainsi, contrairement à une entreprise qui possède déjà un datacenter de grande capacité, l'entreprise de petite taille, confrontée à une demande croissante de capacité informatique, est plus susceptible de se retrouver limitée en espace disponible et en capacité énergétique. «Typiquement, nous avons remarqué que souvent, les petits centres arrivent à tourner en limite de capacité, » a déclaré Bill Kosik, spécialiste Green IT pour les datacenters chez HP. Autre contrainte spécifique, « alors que les centres de grande taille sont plutôt établis dans des bâtiments indépendants avec leurs propres systèmes d'approvisionnement en énergie et de refroidissement, les petits partagent souvent leurs locaux et leurs ressources avec d'autres locataires, » explique l'ingénieur d'HP. Enfin, le retour sur investissement pour les mises à niveau de certaines infrastructures, comme l'installation d'un nouveau système électrique ou d'un nouveau système de refroidissement, n'est pas nécessairement meilleur dans un datacenter de petite taille comparé à des unités plus grandes. Un check-up énergétique Avec son service Basic Capacity Analysis, le dispositif d'HP vient évaluer la capacité énergétique et les besoins en refroidissement du datacenter concerné, et le compare à ses capacités informatiques, de manière à proposer aux opérateurs un processus d'affectation de ressources plus efficaces. Il permet aussi d'estimer si l'infrastructure existante est adaptée aux besoins actuels et d'apprécier ses possibilités de développement futur. L'analyse de l'état des infrastructures et des capacités de fonctionnement permet également de faire un bilan de santé du data center, notamment d'identifier les installations obsolètes ou dégradées et de mettre en évidence les éléments à risque. « Dans l'infrastructure existante, nous cherchons aussi à localiser les éléments présentant un risque, et à déterminer si et comment ils peuvent affecter la bonne marche du centre de données, » a déclaré Bill Kosik. Le check-up est complété par un bilan en énergie (Energy Efficiency Analysis) de manière à établir l'efficacité énergétique du centre et de ses équipements de refroidissement. Ce processus implique la mesure détaillée de l'énergie consommée au niveau des compteurs. Ces services proposés par HP s'emploient à prendre en compte les spécificités des petites entreprises, notamment en matière d'objectifs et de budgets. Par exemple, ils ne font pas directement appel à des solutions technologiques comme la virtualisation, la mise en place de clients légers, ou autres. Ainsi que le fait remarquer le spécialiste green, la réduction du nombre de serveurs ou la quantité d'unités de stockage dans un datacenter suffit à réduire les besoins en énergie et en refroidissement. En d'autres termes, selon Bill Kosic, « une utilisation plus efficace des technologies peut permettre des économies exponentielles. » (...)

(25/02/2010 17:03:19)

Annuels France Télécom : en recul, mais tourné vers l'avenir

Le nouveau patron de France Télécom, Stéphane Richard, directeur général, a annoncé un nouveau plan de développement, il sera rendu public avant l'été. En attendant, et en compagnie de Didier Lombard (qui devient président non exécutif au 1er mars), il a rendu publics les chiffres de l'exercice 2009. Ils montrent un chiffre d'affaires en baisse de 1,8%, à base comparable, avec 45,94 milliards d'euros contre 50,95 pour 2008. Ce chiffre d'affaires exclut désormais les activités au Royaume-Uni, intégrées dans la joint-venture nouée localement avec Deutsche Telekom. L'opérateur estime que ce chiffre d'affaires serait positif, de +0,2%, sans les impacts règlementaires imposés dans les différents pays d'implantation. France Télécom les dénonce à plusieurs reprises dans son bilan, citant par exemple : les baisses imposées sur les terminaisons mobiles en Pologne depuis le mois de juillet, les prix de vente en gros et sur le marché de détail, les tarifs d'itinérance. La régulation aurait privé France Télécom d'un milliard de recette en 2009. Concernant la rentabilité, le résultat net part du groupe, ressort à 4,84 milliards d'euros en baisse de 6,4%. Le cash-flow organique progresse de 4,2% atteignant 8,35 milliards d'euros. L'endettement recule de 35,86 à 33,94 milliards d'euros. La France serait relativement préservée, avec une croissance de 0,1% de son CA 2009 (23,6 milliards d'euros), le mobile progressant de 2,6%, mais le résidentiel baisse de 1,5%. Les autres grands pays d'implantation sont en baisse : Royaume-Uni -3,4% (à 5,1 milliards d'euros de CA), Espagne : -4,4% (à 3,8 milliards d'euros de CA), Pologne -8,8% (à 3,8 milliards d'euros de CA). L'opérateur double ces chiffres financiers de données commerciales plus positives sur ses bases clients dans le grand public. Il mentionne néanmoins la baisse de son activité entreprise de 3,5% sur l'année (à 7,55 milliards d'euros de CA), une baisse due à celle de l'activité économique. Les services d'intégration et d'infogérance sont les plus touchées (peu de contrats signés, résiliation des contrats non rentables), la partie « réseaux avancés » bénéficie en revanche d'une croissance de 4,6%. Pour l'exercice 2010, l'opérateur s'attend à une stabilité de son activité. Les investissements représenteraient 12% du chiffre d'affaires avec une amplification dans la fibre optique. (...)

(25/02/2010 16:40:40)

Une proposition de loi pour mieux protéger les données personnelles

Une proposition de loi « visant à mieux garantir le droit à la vie privée à l'heure du numérique » vient d'être enregistrée par la commission du Sénat des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d'administration générale, où siège Alex Türk, le président de la CNIL. Cette proposition n'est qu'un avant-projet dont aucune date d'application ne peut être fixée pour l'heure. Il n'est même pas certain qu'elle aboutisse, sans oublier les multiples amendements qui vont survenir au cours du travail parlementaire. Cependant, ce qu'elle apporte pourrait modifier sensiblement la loi « Informatique et Libertés ». La première mesure prévue complète le Code de l'Education en imposant aux écoles un devoir de sensibilisation des enfants et adolescents à leurs droits et aux bonnes pratiques en matière de préservation de leurs données personnelles et de leur vie privée. Vérifier la présence de fichiers illégaux La proposition de loi prévoit également une obligation pour les entreprises et administrations de disposer d'un Correspondant Informatique et Libertés dès lors qu'elle met en oeuvre un traitement de données sensibles soumis à autorisation de la CNIL (et non pas seulement à déclaration). Elle limite les finalités des fichiers de police et de sécurité nationale. La CNIL verrait ses pouvoirs renforcés, notamment avec l'apparition d'une procédure très proche de la perquisition dans sa forme pour vérifier la présence de fichiers illégaux dans des locaux professionnels, avec création un délit d'entrave à cette « perquisition ». Elle pourrait être amenée à apporter un témoignage ou une expertise au cours de procédures judiciaires. Les acteurs du marketing direct sont visés par une disposition pas très contraignante pour les acteurs honnêtes : l'obligation de prévenir tout inscrit dans leurs bases en cas de cession à des tiers (les fameux « partenaires ») en laissant un droit d'opposition gratuite pour les personnes concernées. Enfin, les sanctions frappant les contrevenants à la loi « Informatique et Libertés » seraient doublées. (...)

(25/02/2010 16:24:20)

L'éditeur d'ERP Infor veut augmenter sa notoriété

Alors qu'il figure au Top 5 mondial des éditeurs d'ERP, derrière SAP et Oracle, dans la roue de Sage et probablement devant Microsoft, l'Américain Infor reste encore mal connu. Pour remédier à ce manque de notoriété, il a lancé fin 2009 une campagne publicitaire (d'un coût total de 20 M$) qui se poursuit en février par un affichage dans les gares et les aéroports en Europe. « Elle est un peu agressive, provocatrice, reconnaît Benoît de la Tour, vice président senior et directeur général de la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique. Outre-Atlantique, cette campagne s'est notamment illustrée dans la presse sous la plume du caricaturiste du New Yorker, Steve Brodner. Sur un mode satirique, elle campe l'éditeur face à des concurrents qualifiés de « gros ERP » qui semblent peu à l'écoute du client et moins prompts à répondre à ses besoins [On peut retrouver cette illustration sur le site de Steve Brodner]. Le message est également axé sur la réduction de la facture globale : « Avec Infor, le coût total de possession est plus bas, traduit Benoît de la Tour. Notre agence a fait un important travail en amont pour préparer la campagne. Beaucoup de nos clients nous ont dit que lorsque le sponsor de leur projet devait présenter le budget au président de l'entreprise, le manque de notoriété d'Infor entraînait un niveau de justification supplémentaire ». Les partenaires eux-aussi ont souffert du manque de visibilité. Un expert de l'industrie du logiciel à la tête de la stratégie Les efforts sur l'image ne visent donc pas seulement les clients à gagner mais aussi la très confortable base installée (70 000 clients dans le monde) dont les dépenses de maintenance assurent la moitié du chiffre d'affaires annuel de 2 Md$. Des clients plutôt fidèles et surtout, candidats potentiels aux extensions fonctionnelles. Le portefeuille européen compte 17 000 clients dont 3 800 en France. « C'est aussi ce qui nous a permis de traverser les trous d'air », souligne Benoît de la Tour. Les premières semaines de 2010 ont également vu le recrutement de Bruce Richardson, nommé responsable de la stratégie (chief strategy officer) de l'éditeur. Analyste d'AMR Research pendant de nombreuses années, il a déjà vécu plusieurs cycles d'expansion/récession dans l'industrie informatique et connaît particulièrement bien le marché des progiciels de gestion. Détenu par le fonds d'investissement Golden Gate Capital et dirigé par Jim Schaper, Infor a racheté en quelques années plusieurs dizaines d'éditeurs, parmi lesquels Baan et SSA (produit BPCS) dont il a fait évoluer les ERP, sous le nom de LN et LX. Son catalogue comporte aussi les progiciels intégrés Adage (d'ex Agilisys/SCT), adapté aux industries de mélange (agro-alimentaire, chimie/pharmacie...), et SyteLine, ainsi que de nombreuses solutions périphériques, spécialisées sur la chaîne logistique (SCM), le cycle de vie des produits (PLM), la relation client (CRM), la gestion de la performance économique (EPM), les outils financiers, ou encore les ressources humaines, en France notamment avec l'absorption d'Anaël. [[page]] Cent nouveaux clients en France en 2009 A Paris, fin janvier, l'éditeur a réuni ses clients français, dans le cadre de sa conférence Inforum. Ce rendez-vous lui permet de faire le point sur la stratégie SOA (architecture orientée services) qu'il conduit sur les nouvelles versions des logiciels, même si beaucoup d'utilisateurs exploitent encore d'anciennes versions. Dans un contexte économique difficile, la filiale a réalisé en 2009 une progression de 7% sur ses ventes de licences et de 5% sur son chiffre d'affaires, indique Benoît de la Tour. Toutefois, ce ne sont pas les ERP qui ont tiré les ventes de licences, mais les produits complémentaires et notamment la gamme de logiciels financiers Anaël. « Ces équipes sont là depuis très longtemps, elles ont une relation très forte avec les clients », rappelle le vice président pour l'Europe. Il précise aussi que le marché s'est caractérisé par de plus petites transactions et par des ventes croisées sur les solutions étendues (décisionnel, SCM, GMAO) : « Nous avons vendu à notre base installée des services qui peuvent les aider à traverser la crise, en améliorant la gestion de leurs entrepôts ou du transport, ou en dématérialisant les factures, par exemple ». Sur l'année écoulée, Infor France a tout de même engrangé cent nouveaux clients. Une vingtaine de clients ont opté pour le programme de migration Flex L'Hexagone a donc plutôt fait bonne figure dans une zone EMEA où les ventes de licences de l'éditeur ont baissé de 7% en un an. « Nos équipes ont été très stables au travers des différentes acquisitions, confirme celui a fut directeur général d'Infor France. Certains collaborateurs sont dans les entreprises depuis trente ans. Il y a une proximité très forte avec les clients ». Cette base installée reste encore attachée aux anciens produits alors que les efforts de R&D autour des architectures orientées services se font autour des versions plus récentes, reconnaît Benoît de la Tour. Or, ces nouvelles offres permettent aux entreprises de faire évoluer régulièrement leurs applications en réalisant de petites mises à jour plutôt que de lourds projets de migration, en s'appuyant sur la technologie Infor Open SOA. Encore faut-il que les clients les aient adoptées. Pour les y inciter, Infor a lancé l'an dernier son programme Flex, décliné en deux formules, Flex Upgrade et Flex Exchange. « Celui-ci propose au client, soit d'évoluer vers la dernière génération du logiciel qu'il utilise, soit de passer à une autre solution du catalogue, plus adaptée à ce que son entreprise est devenue », rappelle Benoît de la Tour. Dans le deuxième cas, il faut être suffisamment incitatif et veiller à ne pas ouvrir la boîte de Pandore. Si l'évolution est trop coûteuse, le client risque de remettre l'éditeur en concurrence. « Notre objectif, c'est de ne pas perturber le système d'information, de ne pas être disruptif. En premier lieu, il n'y a pas de redevance logicielle associée à cet échange ; on ne demande pas au client de racheter sa licence. Ensuite, le client acquiert à l'avance le droit de pouvoir évoluer. Il peut l'activer quand il le souhaite. Nous vendons cette mise à jour avec des services prépackagés vendus au meilleur coût. Nous présentons Flex comme une assurance sur l'avenir. » Une vingtaine de clients français ont déjà été séduits par Flex Upgrade ou Flex Exchange. En Europe, Infor en compte environ 50. « En France, les choses vont s'accélérer car nous allons lancer le programme Flex sur l'offre Anaël, notamment sur Gaël », prévoit Benoît de la Tour en rappelant que toutes les solutions ne sont pas éligibles en même temps au programme. (...)

(25/02/2010 16:10:41)

CA affine sa stratégie cloud en rachetant 3Tera

A ceux qui doutent des projets de CA dans l'environnement « nuage informatique », l'éditeur américain vient d'ajouter une nouvelle brique à sa stratégie cloud. L'acquisition de 3Tera apporte la solution AppLogic assurant la migration en douceur du cloud privé à la version publique. Cette opération succède aux rachats de Cassatt l'été dernier et Oblicore en début d'année. Elle sera effective d'ici quelques semaines. Pour Jay Fry, Vice-Président de la branche stratégie de CA , « le plus intéressant avec 3Tera est d'apporter à nos clients la possibilité de prendre leurs applications existantes et de les porter ensuite sur un cloud privé ou public, via une interface élégante (sic) ». Pour James Staten, analyste principal de Forrester Research « avec les solutions de 3Tera, l'éditeur ne devrait pas uniquement s'adresser aux fournisseurs de contenus, mais également à d'autres clients entreprises qui souhaitent convertir leur infrastructure interne virtuelle dans un environnement cloud » et d'ajouter « que cette orientation amènera l'éditeur américain à travailler sur d'autres solutions concurrentes de celles de VMware par exemple ». Les analystes rappellent également que les offres de 3Tera sont limitées à la plateforme Xen, utilisée par Amazon. Mais les responsables de CA indiquent que la compatibilité avec les solutions VMware et Hyper-V de Microsoft est à l'étude et devrait intervenir très rapidement. (...)

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