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(16/02/2010 11:18:52)
Facebook séduit de plus en plus les entreprises
Après les particuliers, les entreprises commencent à investir massivement Facebook pour améliorer leur communication. De simple gadget pour internautes solitaires, Facebook devient un outil de promotion. Le Comité international Olympique a ainsi dépassé la barre du million de fans des Jeux sur sa page Facebook. Dix inscriptions par seconde sont enregistrées sur le site communautaire "aux heures les plus chargées". Etonnanmment, plus de 55% des fans sont des femmes et un tiers environ sont âgés de moins de 17 ans. Autre exemple : Citroën vient de dévoiler la future DS4 sur Facebook. Ce vendredi matin, le groupe a présenté sur sa page Facebook le cliché officiel de la DS High Rider, un concept-car préfigurant la prochaine DS4 de la marque française. Après cette présentation en ligne, le constructeur aux chevrons exposera ce véhicule au salon de Genève, du 4 au 14 mars. Enfin, Eurostar - la compagnie qui opère les trains vers l'Angleterre, suite aux très désagréables perturbations de cet hiver s'est engagé à améliorer ses informations aux voyageurs, en utilisant par exemple Facebook ou Twitter. Illustration : le concept car DS4 de Citroën (D.R.) (...)
(16/02/2010 11:19:56)Crédit Agricole SA choisit Polyspot pour agrèger ses informations de veille et d'analyse
Les 160 000 collaborateurs du groupe Crédit Agricole utilisent les services de la Direction des Etudes Economiques (DEE) de Crédit Agricole SA (Casa) pour disposer de toute l'information utile sur l'évolution économique, les analyses sectorielles et les autres formes d'informations professionnelles dont ils peuvent avoir besoin. La DEE agrège ou produit pour cela des publications d'économistes, des études d'ingénieurs sectoriels et des fonds documentaires sectoriels. Mais les informations sont très variées par nature et nombreuses. Pour en faciliter l'accès, la DEE a mis en oeuvre un portail web unique d'accès à l'ensemble du contenu qu'elle délivre basé sur un moteur de recherche agrégeant tous les types de documents (vidéos, textes, etc.) de toutes les sources sélectionnées (internes ou externes). Ce portail est disponible sur tous les intranets du groupe. Ce portail, baptisé ECO, est basé sur le moteur Polyspot Entreprise Search. Il permet notamment tous les types de recherche habituels, y compris les « suggestions thématiques », et la navigation par facettes (regroupements de résultats sur des critères), ainsi que la sauvegarde des requêtes fréquentes et les alertes programmables. Bien entendu, chacun n'accède aux différents documents qu'en fonction de ses droits propres. (...)
(15/02/2010 17:33:36)Avec Cyclone, SGI invite au calcul scientifique dans le cloud
Sous le nom de Cyclone, SGI vient de lancer une offre de cloud computing reposant sur ses technologies de supercalculateur et spécifiquement consacrée à des applications techniques et scientifiques. Le constructeur, racheté au printemps dernier par Rackable Systems, met ainsi à disposition une puissance de calcul à la demande qui s'exploite suivant deux modes. D'une part, les entreprises peuvent louer du temps de calcul pour faire tourner leurs propres applications sur les technologies HPC de SGI. D'autre part, elles peuvent accéder sur Cyclone à une quinzaine d'applications scientifiques parmi les plus utilisées dans le domaine de la mécanique des fluides et du calcul de structure (OpenFoam, Numeca, Acusolve, LS-Dyna), de la modélisation moléculaire (Gaussian, Gamess, Namd, Gromacs, Lammps), de la biotechnologie (Blast, Fasta, Hmmer, ClustalW) et du Web sémantique (OntoStudio). « Cette puissance de calcul à la demande répond à des besoins bien identifiés, explique Patrice Gommy, directeur marketing de SGI France. Elle vise à la fois les entreprises qui ne peuvent pas investir dans des technologies de supercalculateur et celles qui sont déjà équipées mais qui, pour une étude particulière, doivent accéder à une puissance 'pic' à un moment donné ». Un service tarifé un dollar l'heure de processeur HPC L'heure de calcul sur Cyclone est facturée un peu moins d'un dollar par processeur. Sur cette base, on peut estimer par exemple qu'il en coûtera mille dollars pour exploiter en environnement HPC la capacité de mille processeurs pendant une heure. Les offres de calcul à la demande existent depuis longtemps. Mais, « jusqu'à présent, la puissance de calcul en ligne était généralement réservée à certains utilisateurs, dans certains centres de recherche notamment », précise Patrice Gommy. Avec cette offre de cloud, toute entreprise peut maintenant y accéder. A noter qu'en France, Bull prévoit lui aussi de lancer cette année des services de calcul à la demande sur HPC dans le cloud. Voilà déjà quelques années que SGI pensait à fournir ce type de service. Le rapprochement avec Rackable Systems, spécialistes des datacenters, a accéléré le mouvement. « Nos technologies sont très complémentaires », souligne le directeur marketing de SGI France, qui rappelle que les datacenters de Google, Youtube et Facebook reposent sur les serveurs de Rackable, de même que les cloud Azure de Microsoft et EC2 d'Amazon. Mémoire partagée, mémoire distribuée et clusters GPU Quant à la technologie SGI utilisée pour Cyclone, elle va permettre d'accéder à trois types d'architecture, explique Patrice Gommy. Suivant la nature de ses applications, le client retiendra celle qui lui apportera des performances optimisées. «Pour les applications ayant d'importants besoins en mémoire (de 1à 4 To), les clients s'appuieront sur une machine SMP à mémoire partagée, typiquement, par exemple, dans le domaine de la modélisation moléculaire.» A l'inverse, si la nature de l'application requiert plutôt d'optimiser les échanges entre processeurs, Cyclone propose des architectures à mémoire distribuée avec des noeuds de clusters interconnectés en technologie QDR Infiniband ou Gigabit Ethernet. Par ailleurs, Cyclone va aussi permettre aux entreprises qui le souhaitent de tester leurs applications avec des processeurs graphiques, dans une architecture hybride, connectant un cluster classique à des clusters de type GPU. Conçus pour le traitement de l'image et la visualisation, les GPU apportent dans certains cas des puissances de calcul très supérieures aux processeurs classiques pour autant que les applications aient été redéveloppées pour en tirer parti. « Mais toutes ne s'y prêtent pas, rappellent Patrice Gommy. Certains clients prêts à investir sur ce terrain nous ont donc demandé, auparavant, de leur mettre à disposition des architectures de types GPU afin d'y valider leurs applications ». Cette offre de cloud computing repose sur deux datacenters installés aux Etats-Unis, l'un situé en Californie, au siège de SGI, l'autre dans le Wisconsin. (...)
(15/02/2010 16:46:52)Feu vert européen du rachat de 3Com par HP
Le projet d'acquisition de l'équipementier 3Com par HP, annoncé en novembre 2009 pour 2,7 milliards de dollars, était soumis à l'autorisation des autorités de la concurrence américaine et européenne. La Commission et plus exactement les services de la direction générale de la concurrence se sont donc penchés sur la question et ont rendu un avis positif. L'exécutif communautaire « est parvenu à la conclusion que la concentration ne risquait pas de poser des problèmes de concurrence. L'enquête de la Commission a confirmé que l'entreprise issue de la concentration continuerait à être exposée à une concurrence mondiale importante permettant aux clients de choisir parmi un éventail d'autres fournisseurs pour leurs commutateurs et leurs routeurs ». Avec cette acquisition, HP renforce son portefeuille de produits, notamment sur le marché de la commutation et concurrencer directement Cisco. (...)
(15/02/2010 15:36:20)MWC 2010: Nokia et Intel fusionnent leur OS Mobile
Nokia et Intel ont annoncé la fusion de leur système d'exploitation mobile, sous l'appellation Meego, basé sur un noyau Linux et qui s'adresse aux smartphones aux netbooks, aux télévisions connectées ainsi qu'aux tablettes. Le système d'exploitation devrait intégrer le coeur de Moblin, créé par Intel et l'interface utilisateur proposé par Nokia au sein du kit de développement de Maemo. « La première version de Meego doit arriver le second trimestre et les premiers terminaux dans la seconde moitié de 2010 » a confirmé Renée James, vice-président senior de l'activité Logiciels et Services d'Intel. Dans un premier temps, seul Nokia a indiqué vouloir équiper certains de ses mobiles de Meego, mais des discussions avec d'autres partenaires sont engagées. Le constructeur finlandais indique par la voix de Kai Öistämö, vice-président exécutif de l'activité terminaux, que cette annonce « ne remet pas en cause la stratégie sur Symbian, qui sera utilisé pour les smartphones d'entrée de gamme ». Le système d'exploitation supportera l'ensemble des plateformes Atom d'Intel et ARM. Le code source et le SDK de Meego, hébergés au sein de la Linux Foundation, seront dévoilés dans les prochaines semaines sur un site dédié, meego.com. (...)
(15/02/2010 15:07:54)MWC 2010 : Un forfait Orange pour surfer sur son mobile à l'étranger
A l'occasion du salon Mobile World Congress de Barcelone (du 15 au 18 février), Orange annonce le lancement d'une offre conçue pour surfer sur Internet depuis un mobile à travers l'Union européenne. Baptisé "Travel data daily", ce forfait facture le surf à raison de 2 euros par 2 mégaoctets (Mo), soit environ 80 à 100 emails sans pièces jointes, 80 à 100 pages Web (texte) consultées, ou quelques milliers de messages sur Twitter. Cette offre, incluse dans le programme Orange Travel, sera proposée à partir de février 2010 à tous les clients des pays européens couverts par Orange. En France, les utilisateurs de smartphones, dont les clients possédant un iPhone, bénéficieront, dans un premier temps, d'une offre à 5 euros pour 10 Mo. "Pour le prix d'un café, nous permettons ainsi à nos clients de poursuivre leurs activités courantes", explique Olaf Swantee, Directeur exécutif en charge de l'activité mobile chez Orange. "Cette offre n'a pas été conçue pour les plus gros utilisateurs qui utilisent l'internet mobile pour télécharger de la musique ou des jeux mais pour les clients qui désirent tous les jours consulter leur messagerie, poster ou télécharger des images sur des sites ou réseaux sociaux, où qu'ils se trouvent au sein de l'Union Européenne". (...)
(15/02/2010 16:00:03)MWC 2010 : Windows Mobile 7 dévoilé en avant-première
Sans surprise Microsoft a donc dévoilé son OS Windows Mobile 7 à l'occasion du MWC de Barcelone. Depuis plusieurs semaines, les spéculations allaient bon train. Cette annonce arrive à point nommé pour redonner un coup de fouet à une plate-forme mobile en perte de vitesse auprès des clients qui attendaient cette sortie plusieurs fois repoussée. Windows Mobile 7 arrive avec une interface reposant en grande partie sur celle du baladeur maison Zune HD. Microsoft a également couplé sa plate-forme mobile et son offre grand public Xbox Live pour proposer des jeux et des services de réseautage social. Plusieurs fabricants de téléphones mobiles, dont HTC et Acer, et des opérateurs, dont SFR, ont déjà indiqué qu'ils proposeront des smartphones Windows Mobile 7 à l'automne 2010. Après un Windows Mobile 6.5 peu attractif, un public toujours en attente Pour améliorer son système d'exploitation Windows Mobile, Microsoft a bien développé une plate-forme mobile provisoire, Windows Mobile 6.5, mais face aux solutions animées par Android ou IPhone, elle paraissait obsolète. Microsoft accuse une perte de vitesse et a vu ses parts de marché décliner. Certes, la firme de Redmond est toujours classée en troisième position dans le palmarès des plates-formes pour smartphones aux États-Unis, derrière RIM et Apple. Avec 18% du marché, Windows Mobile est également bien positionné devant Palm et Google. Et si, avec 1% de parts de marché en moins au dernier trimestre, Windows Mobile a perdu sa seconde place, la chute que pourrait connaitre l'une des autres plates-formes (à l'exception probable de l'iPhone) si elle accusait des retards et des échecs équivalents à ceux de Microsoft, serait en proportion beaucoup plus dramatique. Enfin, la baisse relativement faible de parts de marché de Windows Mobile peut être attribuée en grande partie à la lassitude et à l'impatience. À mesure que les utilisateurs perdent ou cassent leurs anciens appareils tournant sous Windows Mobile, ou qu'ils soient amenés à changer de fournisseur de téléphonie mobile, ils s'orientent souvent vers un autre smartphone. Car la plate-forme Windows Mobile actuelle n'est pas très attractive ni très convaincante par rapport à celle de l'iPhone ou d'Android. [[page]] Un inconditionnel de Windows Mobile nous a fait part de son expérience : « Je représente personnellement cette entreprise. J'ai tenu aussi longtemps que je le pouvais - j'ai même remis en service un vieux téléphone pendant des mois en attendant patiemment la nouvelle version de Windows Mobile. Je n'ai pas trouvé Windows Mobile 6.5 suffisamment attractif, mais j'avais besoin d'un smartphone et je ne pouvais pas continuer à attendre Windows Mobile 7. Donc, maintenant j'ai un iPhone... Pour l'instant. » L'éditeur a donc encore un public qui attend impatiemment de voir ce qu'il est capable d'apporter. Même en troisième position, Microsoft peut récupérer la distance qui le sépare d'Apple et retrouver la seconde place. Et si Windows Mobile 7 pouvait répondre à ces attentes, cela pourrait même être un défi pour le BlackBerry de RIM ! Des atouts à valoriser, dont une intégration aux outils de l'entreprise Malgré les problèmes auxquels Microsoft a dû faire face avec son système d'exploitation mobile, il occupe toujours une place dominante dans les systèmes d'exploitation serveur, les OS de bureau, les logiciels de productivité pour les entreprises, la messagerie et le marché des navigateurs Internet. Moqueries et sifflets mis à part, il est difficile de mettre en cause le potentiel d'une plate-forme qui peut parfaitement s'articuler avec les systèmes et les outils sur lesquels repose le monde de l'entreprise. RIM, Apple, Palm, et maintenant Google, tous reconnaissent et respectent la présence de Microsoft dans le monde professionnel. Ils savent aussi que l'intégration avec des outils Microsoft - notamment Exchange Server - est essentielle pour réussir auprès des entreprises. Peu importe ce que cela leur coûte, et que bien souvent certaines solutions soient lourdes ou maladroites. La demande d'un système d'exploitation mobile signé Microsoft, qui apporte des outils natifs s'intégrant naturellement avec les solutions serveur, l'environnement de productivité bureautique est une garantie, parce que Windows Mobile est tout à fait adapté pour offrir un usage transparent et familier à ceux qui utilisent déjà les outils Microsoft en entreprise. Attendre de Microsoft qu'il apporte des innovations uniques ou relève la barre en matière de systèmes d'exploitation mobiles est sans doute sujet à déception. En supposant que Microsoft peut au moins améliorer Windows Mobile, pour faire en sorte que les téléphones Windows soient plus ou moins à égalité avec les smartphones de prochaine génération comme l'iPhone d'Apple ou le Droid de Motorola serait déjà suffisant. À condition que Microsoft pointe dans la bonne direction. Microsoft a un public gagné d'avance, si tant est qu'il ne joue pas à perdre. (...)
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