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(15/02/2010 14:23:21)

Petit déjeuner LeMondeInformatique/CIO : Mieux gérer le patrimoine applicatif pour bien migrer vers Windows 7

La bonne conduite des projets de migration vers Microsoft Windows 7 est un enjeu majeur pour de nombreuses directions informatiques. Ce petit déjeuner permettra de détailler des expériences concrètes de migration et de présenter les outils et solutions qui sécurisent la gestion de ce type de projets. Au-delà du système d'exploitation, les interventions permettront de préciser les processus d'anticipation qui garantissent l'optimisation de l'ensemble du système d'information et qui portent sur la gestion du cycle de vie de l'ensemble du capital applicatif de l'entreprise. Pour vous inscrire cliquez sur ce lien : petit déjeuner dédié au processus de migration vers Microsoft Windows 7 et à la gestion du cycle de vie des applications (...)

(15/02/2010 14:57:36)

Datacenter en conteneurs : le retour d'APC

Intégrés à des conteneurs d'expédition de 6 à 12 mètres bourrés de serveurs haute densité et de baies de stockage, les datacenters conteneurisés permettent aux entreprises d'ajouter rapidement des capacités de calcul à un centre de données existant, ou d'apporter une puissance informatique supplémentaire sur un théâtre d'opérations, dans le domaine militaire, par exemple. Néanmoins, les conteneurs actuels doivent toujours être raccordés à une unité électrique et à un système de refroidissement, de sorte que, la plupart du temps, il faut les placer à l'intérieur ou à proximité des centres de données existants. « Le nouvel engin d'APC devrait fournir aux entreprises une plus grande liberté quant au lieu où elles souhaitent installer leurs centres mobiles, » a déclaré Steve Carlini, directeur de la gestion produits chez APC. Le marché des conteneurs est encore relativement maigre et aujourd'hui peu d'entreprises manifestent de l'intérêt pour poser leurs datacenters dans un entrepôt au milieu de nulle part.

Une réserve de puissance immédiatement disponible


Mais certains fournisseurs, encouragés par certains analystes, les considèrent comme une option sérieuse pour remettre en route leurs services après un sinistre, en particulier pour les entreprises qui opèrent dans zones à risques, exposées à des catastrophes naturelles comme les tremblements de terre. Microsoft a même émis l'idée d'installer un centre de données en conteneurs dans chaque ville pour pouvoir offrir ses services en ligne. L'entreprise trouve la solution très économique en terme d'énergie, et la localisation de centres mobiles à proximité des clients permettrait d'éliminer la latence du réseau. Rappelons au passage que Google dissémine déjà à travers le globe ses datacenters conteneurisés conçus en interne.

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Peu de ventes mais déjà plusieurs fournisseurs


APC a déjà développé des produits modulaires et les vends en Australie via un partenariat avec Datapod (voir vidéo). Ce vendeur commercialise plusieurs modules utilisant la technologie APC, dont un système Utilitypod avec refroidisseur et générateur intégrés. « Cette année, APC envisage de vendre ses propres infrastructures modulaires, plus largement, » a déclaré Steve Carlini, précisant que « l'entreprise ne sait pas encore si elle choisira de les vendre directement aux clients ou à travers des partenaires selon le modèle Datapod. » IBM, déjà partenaire d'APC, avait déclaré le mois dernier qu'il utiliserait l'InfraStruXure signée APC pour fournir l'électricité et le système de refroidissement de son data center portable modulaire. Dans le même temps, d'autres fournisseurs sont apparus, notamment Sun Microsystems (aujourd'hui intégré à Oracle), Rackable Systems (devenu SGI), IBM, Hewlett-Packard et Dell. « Les ventes restent encore relativement confidentielles, néanmoins, il s'est vendu 60 centres de données conteneurisées l'an dernier dans le monde entier, » a indiqué Steve Carlini, citant des chiffres d'IDC. Les volumes restent faibles en partie parce que peu d'entreprises achètent tous leurs équipement en une fois. Mais il faut dire aussi que ces produits sont chers. Le POD de HP, un Performance Optimized Data Center de 6 mètres, coûte environ 600.000 dollars, équipements informatiques non compris.

Retour au source pour APC


D'une certaine façon ce sera, pour APC un retour sur le marché du conteneur. En effet, c'est en 2004, que la société a commencé à proposer des centres de données en conteneurs. A l'époque c'était totalement nouveau. « On les amenait dans les évènements et les foires commerciales, à l'arrière d'un camion. On finissait bien par en vendre un certain nombre, mais l'idée de fournir un datacenter portable pour zone à risques ne suscitait pas encore d'intérêt, » se souvient Steve Carlini. En 2007, APC entre dans le giron de Schneider Electric, qui fabrique des générateurs et des systèmes de refroidissement. L'an dernier, l'entité Schneider Electric-APC a cessé la commercialisation de ses conteneurs pour mettre en place sa nouvelle stratégie. «Nous sommes de retour avec une approche différente. Nous fabriquons toujours un module informatique, mais, nous avons plus de modules électriques à notre catalogue », a déclaré Steve Carlini. Ce dernier n'a pas donné de détails sur les produits qu'APC va mettre sur le marché mais il a laissé entendre que l'entreprise proposerait plusieurs options, y compris des «modèles de référence» pouvant être optimisés en capacité de calcul, en efficacité énergétique ou en coût. Les solutions APC utiliseront des racks standards capables de s'adapter à tout type de fournisseurs. Le datacenter mobile d'APC et Datapod en vidéo

(...)

(15/02/2010 11:54:26)

Après des semestriels catastrophiques, Risc Group annonce une restructuration musclée

Le 9 février dernier, se tenait un Comité d'entreprise de Risc Group avec l'annonce de 146 licenciements. L'effectif total du groupe passera de 653 collaborateurs au 30 juin 2009 (date de clôture de l'exercice annuel) à 320 annonçait parallèlement la direction dans un communiqué financier. Ces mesures montrent l'ampleur des décisions prises par le nouvel actionnaire de référence, l'éditeur STS entré au capital fin octobre, pour redresser une entreprise en grande difficulté. Les résultats du 1er semestre 2009-2010 (clos au 31 décembre dernier) parlent d'eux-mêmes. Risc Group affiche un chiffre d'affaires (CA) de 33,6 millions d'euros (ME) en baisse de 16,6% par rapport à la même période de l'exercice précédent (et à périmètre constant). Les deux activités du groupe ne sont pas logées à la même enseigne, tandis que la division inbox (TPE de 5 à 100 postes) chute lourdement de 32%, l'activité IT Solutions (PME de plus de 100 postes) progresse de 8%. L'activité TPE est tellement affectée que les filiales allemande et italienne qui s'en occupent sont mises en sommeil et vont simplement s'occuper des parcs installés, pour la France la société parle de « productivité commerciale insuffisante ». Pour les PME, Risc Group parle également d'améliorer la productivité commerciale, l'activité tenant la route grâce à la récurrence de ses contrats. D'une manière plus globale, la société va mettre en place un département qualité. Le nouvel actionnaire trace clairement la route : « tendre vers plus de qualité et moins de quantité » ; « exigence de rentabilité plutôt que de croissance trop rapide ». STS compte également jouer sur les synergies entre les deux sociétés. (Sollicitée à plusieurs reprises, la direction n'a pas souhaité nous commenter ces informations du fait de la présence en bourse des deux sociétés.) (...)

(15/02/2010 11:26:24)

Les projets du secteur public ne subissent pas la crise selon une étude Markess

Même dans le secteur public, l'année 2009 restera une année à part. Les investissements informatiques se sont stabilisés note Markess. Une estimation globale qui cache de fortes disparités. Entre ministères, puisque certains baissent leurs budgets informatiques, alors que d'autres ne peuvent le faire car ils sont absorbés par des projets pluri-annuels. La différence est également, entre les administrations centrales qui ont toutes marqué un coup d'arrêt en 2009 et les collectivités locales qui se montrent plus optimistes, du moins dans leurs déclarations. Pour 2010, la même différence se retrouve. Les grands projets de modernisation tiennent en haleine les DSI des grands ministères dans un contexte d'austérité budgétaire. Les collectivités locales se déclarent plus sereines dans leurs projets. Toutefois, leurs budgets en cours d'élaboration montrent de fortes pressions à la baisse, notamment dans les départements du fait du non transfert des financements liés au transfert des compétences. Derrière ces éléments purement budgétaires, d'autres logiques guident de plus en plus les orientations informatiques, notamment celles de la mutualisation et de la rationalisation. Les administrations centrales se portent vers de grands projets inter ministériels comme Chorus pour la comptabilité publique, ou le projet en cours dans les achats. Les collectivités locales s'y mettent par le biais des intercommunalités. Des projets de long terme. A plus court terme, mais dans le même ordre d'idées on observe la montée de projets de rationalisation. Sur ce sujet, dans les priorités relevées par Aurélie Courtaudon, chargée d'études à Markess arrivent en tête le décisionnel, suivi du collaboratif et enfin de la dématérialisation. Le besoin de pilotage arrive en tête [[page]] Un tiercé qui en dit long. Le décisionnel monte en puissance partout dans le secteur public, le besoin d'indicateurs et de pilotage se fait sentir que ce soit pour l'activité IT ou pour l'ensemble des dépenses publiques. Le collaboratif prend plus de poids pour faire travailler différentes directions ensemble et décloisonner. Quant à la dématérialisation, elle n'est pas nouvelle dans le secteur public, mais affecte désormais tous les secteurs et tous les niveaux d'activité. Les collectivités locales en particulier s'y mettent avec le contrôle de légalité ou la signature électronique pour les élus. Les prestataires scrutent évidemment ces tendances avec intérêt. L'étude met toutefois en tête des prestations demandées par les DSI le conseil et la conduite du changement, avant les procédures plus classiques d'intégration et de déploiement (**). Les administrations cherchent d'abord à analyser leurs dépenses et leurs projets informatiques avant de passer commandes. Elles entrent elles aussi dans une autre logique. La crise les a affectées, comme le privé, mais avec des conséquences différentes : des budgets peu réduits dans l'immédiat, mais placés sous stricte observation pour l'avenir. (*) Etude basée sur 70 entretiens en ligne de DSI d'administrations, 30 entretiens avec des prestataires et 200 en face à face tout au long de l'année. (**) Markess évalue le marché des logiciels et services dans l'administration à 6,6 milliards d'euros en 2009, il passerait à 6,7 en 2010, pour atteindre 7 en 2011, soit une progression de 2,9% par an. (...)

(15/02/2010 11:52:05)

MWC 2010 : Union des opérateurs autour des applications mobiles

24 opérateurs mobiles ont profité de la grande messe de la téléphonie mobile pour créer la « Wholesale Applications Community » pour réunir les plateformes de vente d'applications et donner aux développeurs, un point d'entrée unique auprès des membres de la GSMA (Association des opérateurs de téléphonie mobile). Ces derniers vont maintenant débuter le travail d'harmonisation des communautés de développeurs et leur donner un portail pour distribuer leurs applications en simplifiant les processus de validation.De son côté les développeurs vont pouvoir travailler sur des standards communs de développement, qui devront être prêts dans les 12 prochains mois. Les standards devront être indépendants des terminaux et des systèmes d'exploitation. Cette annonce est la réponse des opérateurs mobiles à l'App Store d'Apple et à l'Android Market de Google, qui sont liés à un type de smartphone et à un système d'exploitation. Elle est aussi une manière de reprendre la main, alors que plusieurs constructeurs et opérateurs ont décidés de se lancer dans l'aventure de la distribution d'applications. Le succès d'Apple avec plus de 3 milliards d'applications téléchargées aiguisent les appétits et les opérateurs entendent bien revenir sur ce lucratif marché. Il reste maintenant à savoir si cela n'est pas trop tard... La Wholesale Applications Community comprend notamment AT&T, China Mobile, Deutsche Telekom, NTT DoCoMo, Orange, Telefonica, Telenor Group, Sprint, Verizon Wireless et Vodafone. Plusieurs fabricants de smartphones, comme LG Electronics, Samsung et Sony-Ericsson soutiennent aussi cette initiative. (...)

(15/02/2010 11:50:25)

IBM annonce un super NAS pour le cloud

La baie, également appelée, Sonas (Scale Out Network Attached Storage) s'adresse aux grandes et moyennes entreprises. Cet outil utilise la technologie General Parallel File System (GPFS)qui fonctionne notamment sur le supercalculateur d'IBM. IBM indique que ce système offre aux entreprises un accès à des milliards de fichiers au sein des architectures de cloud computing. « IBM Sonas apporte une réponse au cloud computing qui est de fournir des fichiers, n'importe où, n'importe quand ». « Chaque jour transite sur les réseaux l'équivalent de huit fois les informations contenues dans l'ensemble des bibliothèques américaines » souligne Doug Balog, vice président des systèmes disques pour IBM et d'ajouter « les sociétés n'ont pas seulement besoin de réduire les coûts de stockages des données, mais également de les localiser et d'y accéder de manière ubiquitaire et instantanée ». La baie Sonas apporte une automatisation du classement des données, l'exploration des données peut migrer entre différents types de disques avec un niveau plus ou moins importants de performances en fonction de règles préétablies. Terri McClure, analyste pour Entreprise Strategy Group, compare le SONAS avec la solution Hewlett Packard X9720 regroupant les serveurs de fichiers, ou les produits de Isilon Systems (OneFS) et Panasas. Récemment, Dell a annoncé le rachat de Exanet, spécialiste du NAS en mode cluster. (...)

(15/02/2010 11:27:51)

Fibre optique : France Télécom a l'ambition modeste

( Source EuroTMT ) Pour tous ceux qui attendaient de France Télécom un grand plan national de déploiement de la fibre optique capable de remobiliser ses salariés autour d'un grand projet d'avenir à l'image du plan télécoms des années 70, l'annonce faite mercredi 10 février par l'opérateur historique, va constituer une déception. FT a bien indiqué qu'il reprenait ses investissements dans les réseaux FTTH, 2 milliards d'euros d'ici à 2015. Cette enveloppe apparait aussi modique que les objectifs que s'est fixé le groupe : couvrir 9 millions de foyers d'ici à 2015, l'opérateur aura alors déployé au moins un réseau FTTH par département métropolitain et dans trois départements d'outre-mer à cette date. Cette enveloppe ne concerne que les zones très denses définies par l'Arcep, ainsi que les principaux centres urbains figurant dans la zone moyennement dense. C'est-à-dire là où les investissements devraient être, a priori, rentables. Pour le reste, France Télécom s'en remet aux collectivités locales (pour les zones peu denses) et à de futurs accords de co-investissement avec ses concurrents dans la zone moyennement dense, un premier accord d'expérimentation de mutualisation ayant déjà été conclu avec SFR. Cet accord devrait être ouvert à Free qui a annoncé son intention de s'y associer. Et l'effort financier qui sera consenti pour ces zones sera d'autant moins élevé que l'opérateur et ses concurrents devraient bénéficier d'aides publiques telles que prévues dans le cadre du grand emprunt et les co-investissements réalisés par les collectivités locales. Pour les analystes financiers, cette annonce constitue donc une bonne nouvelle : le montant de l'investissement, légèrement inférieur à ce qu'ils attendaient, ne devrait pas se traduire par une hausse globale des investissements réalisés par l'opérateur. [[page]] En clair : la fibre optique ne va pas peser sur le cash-flow, donc sur la rémunération des actionnaires. D'autant que France Télécom va dépenser très progressivement l'enveloppe allouée au FTTH : 100 millions en 2010, 283 millions en 2011 puis en 2012. L'accélération interviendra l'année suivante avec 444 millions d'euros par an entre 2013 et 2015. Compte tenu de l'environnement économique toujours incertain, France Télécom joue donc clairement la prudence. Selon Exane, France Télécom pourrait espérer capter une part de marché comprise entre 30 % et 45 % sur les zones couvertes par son plan d'investissement : soit entre 2,7 millions et 4,05 millions d'abonnés au très haut débit à l'heure où l'opérateur revendique 33 000 clients à son offre fibre. Ce qui serait (même dans le cas du scénario le plus conservateur) une excellente nouvelle pour France Télécom, sa part de marché DSL dans ces zones étant assez faible. Ces niveaux de prises d'abonnement permettraient aussi de faire tomber le coût par abonné à un niveau (entre 494 € et 741 €) très inférieur au coût par abonné estimé dans le passé (entre 1 000 € et 1 500 €). Cette annonce devrait, toutefois, avoir pour mérite de débloquer la situation dans la fibre optique, ses principaux concurrents ne pouvant faire moins. Free devrait ainsi communiquer sur son propre plan lors de la présentation de ses comptes 2009, prévue le 23 mars. Mais le réel décollage commercial de la fibre optique ne devrait pas intervenir avant 2011. Au plus tôt. (...)

(15/02/2010 12:03:00)

Mobile World Congress 2010 : cap sur la 4G

Plus grand événement au monde consacré à la téléphonie mobile, le Mobile World Congress accueille cette année plus de 1.300 exposants. 47.000 visiteurs professionnels sont attendus par les organisateurs, et quelque 2.400 journalistes de 76 pays. Ce rendez-vous intervient alors que l'industrie des télécommunications semble avoir tourné la page de la crise. Même si en 2009, il s'est vendu un peu moins de téléphones portables qu'en 2008 (environ 1,1 milliard d'unités en recul de 4%), les trois derniers mois de l'année ont été bons en termes de ventes, surtout sur le segment des smartphones. Des Applications mobiles à foison Ces appareils multifonctions (Internet, mails, musique, photo/vidéo, etc.), conçus à l'origine pour un usage professionnel, sont aujourd'hui les produits phares de la sphère grand public. Leur croissance (+16,2% selon Canalys) est portée par le succès de l'iPhone et des modèles concurrents exploitant Windows Mobile ou Google Android. Les applications mobiles, véritable moteur de l'iPhone, constituent d'ailleurs l'une des grandes tendances de ce Mobile World Congress. Un espace dédié aux applications (App Planet) sera ouvert dans le hall 7 du salon. La plateforme Android de Google, de plus en plus plébiscitée par les fabricants, sera l'une des grandes attractions de cette édition 2010 avec la venue d'Eric Schmidt, patron du géant du Web. Microsoft est également très attendu. Steve Ballmer, PDG du groupe, devrait dévoiler au cours d'une conférence de presse la dernière version de Windows Mobile. [[page]] Tous les ténors mais pas Apple ni LG L'offre produit ne sera pas pour autant mise de côté. Les ténors du marché (Samsung, HTC, LG, Sony Ericsson, RIM, etc.), à l'exception d'Apple, qui préfère se concentrer sur ses propres événements, présenteront leurs nouvelles gammes de smartphones à écran tactile. Leader mobdial du marché, Nokia sera cette année très discret avec un petit espace sur le stand de sa branche infrastructures, Nokia Siemens. Samsung prévoit notamment de dévoiler pour la première fois ses appareils doté de Bada, son propre système d'exploitation ouverte. Aux traditionnels acteurs de la téléphonie mobile devraient une nouvelle fois se joindre les fabricants de PC. Attirés par ce marché, Dell, Acer, ou encore Asus (avec le fabricant de GPS Garmin), présenteront leurs terminaux grand public. Enfin, côté réseaux, il sera question de norme 4G/LTE (Long Term Evolution). Cette technologie, appelée à remplacer la 3G dans les prochaines années, promet des transferts très haut débit encore plus importants (jusqu'à 100 Mbits/s). Des offres commerciales ont déjà été lancées il y a quelques mois en Scandinavie et des tests menés en France par Alcatel-Lucent. (...)

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