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(12/02/2010 17:54:17)

SAP confirme la démission de John Schwarz et remplace Erwin Gunst

Après la réorganisation au sommet effectuée par SAP en début de semaine, avec le départ du PDG Léo Apotheker, remplacé par deux co-PDG, l'éditeur allemand de solutions de gestion poursuit, comme prévu, le remaniement de ses équipes de direction. Lundi dernier, Hasso Plattner, co-fondateur de SAP et président du conseil de surveillance de la société, avait effectivement indiqué que d'autres changements allaient être opérés.

Malgré son retrait officiel des activités opérationnelles en 2003, Hasso Plattner n'a jamais pu se résigner à s'en détacher réellement. Pour preuve, c'est lui qui a suggéré au conseil de surveillance de ne pas renouveler le mandat de Léo Apotheker et c'est également lui qui a tenu la conférence de presse pour l'annoncer, le 8 février. Parmi les départs notables, on apprend ainsi la démission de John Schwarz, président de l'activité SAP Business Objects, responsable de l'écosystème et du développement, et membre du comité exécutif de l'éditeur allemand (ci-dessus, à gauche).

Directeur général de Business Objects lors de son acquisition par SAP en 2007, il était entré en 2008 au comité exécutif de l'éditeur allemand. Dans un communiqué, il a déclaré que cette décision était personnelle et qu'elle lui permettrait de prendre du recul pour envisager de quelle façon il pourrait poursuivre sa contribution à une industrie dont il a fait partie pendant 38 ans. Hasso Plattner a déclaré regretter la démission de John Schwarz, acteur clé de l'intégration réussie de Business Objects « en un temps record ».

SAP entérine par ailleurs le remplacement de son directeur général (COO, chief operating officer), Erwin Gunst, qui avait, de fait, déjà quitté la société pour raisons de santé (ci-dessus, à droite). Il est remplacé par Gerhard Oswald (ci-dessous), membre du comité exécutif de l'éditeur, responsable à l'échelle mondiale, du service et du support (collaborateur de SAP depuis presque trente ans, précise le communiqué officiel).

Enfin, Peter Lorenz, vice-président exécutif, responsable des PME, se voit hissé au rang de 'corporate officer'. (...)

(12/02/2010 17:16:30)

25 mesures proposées pour améliorer la relation administrations-citoyens

Le 12 février 2010, le groupe « d'experts numériques » sollicité à l'automne dernier par Bercy a remis son rapport sur l'amélioration de la relation numérique entre usagers et administration au ministre du Budget et de la Réforme de l'Etat Eric Woerth et à la secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet. Il préconise 25 mesures pour améliorer la relation entre administrations et usagers dont dix plus particulièrement mises en avant (à partir de la page 8 du rapport). Trois axes ont été dégagés dans lesquels s'inscrivent les mesures proposées : améliorer la présence de l'administration sur Internet en la rendant plus claire et identifiable ; accroître la personnalisation des services (dans la lignée de mon.service-public.fr) ; et enfin améliorer les interactions entre usagers et administrations en donnant davantage la parole à ceux-ci. Premières mesures pour les sites web publics La commission était composée de Franck Riester (député de Seine-et-Marne), Yseulys Costes (PDG de la société 1000mercis), Rachel Picard (directrice générale de voyages-sncf.com), Henri de Maublanc (fondateur d'aquarelle.com), Fabrice André (directeur de la relation client Orange France), Philippe Lemoine (PDG de LaSer), Arnaud Beaufort (directeur général adjoint de la Bibliothèque nationale de France) et Benjamin Bejaum (co-fondateur de Dailymotion). Elle a cherché à appliquer aux administrations françaises les meilleures pratiques disponibles en matière de relation clients/usagers/citoyens. « Contrairement aux idées reçues, la France n'a pas à rougir » de son e-administration a cependant rappelé Franck Riester dans son intervention. Les premières mesures proposées, les plus emblématiques peut-être, concernent les sites web publics. Plus de 10 000 ont été recensés. Aucun n'a la même ergonomie ou la même charte graphique, y compris au niveau de symboles nationaux comme le drapeau ou la Marianne. La commission a donc proposé de diviser par dix le nombre de sites pour éviter les redondances et rationaliser les accès, de concevoir une charte graphique et ergonomique (une signature claire et identifiable des sites publics), et de trouver une politique cohérente en matière d'URL et de noms de domaines. Eric Woerth a rappelé qu'il avait déjà supprimé le très contestable administration24h24 qui a rejoint service-public.fr, fêtant ses dix ans. [[page]] Bien entendu, le développement de la e-administration est à l'ordre du jour ainsi que celui du paiement électronique, y compris pour régler des frais aux collectivités locales (cantine, crèche...). Bien que les services de Bercy soient incapables de nous le confirmer depuis un mois, cela pourrait concerner le projet TIPI. Un arrêté du 22 décembre 2009 portant création d'un traitement automatisé de données à caractère personnel dénommé « TIPI » (titres payables par internet) a ainsi été déjà publié au Journal Officiel. Dans la droite ligne de l'annonce d'IDéNum, la commission a également souligné l'importance de disposer d'un système d'identification unique, de préférence de type signature électronique, pour l'ensemble des sites publics, tout en tenant compte des préconisations de la CNIL en la matière. Côté interactions, la commission a proposé que les administrations renvoient des rappels aux citoyens, « par exemple pour signaler par mail ou SMS l'échéance d'un passeport » s'est enthousiasmée Nathalie Kosciusko-Morizet. Surtout, Arnaud Beaufort a souhaité la mise en place d'un forum type « Yahoo Questions/Réponses » ou « Comment ça marche » où les citoyens pourraient s'entraider sur leurs démarches administratives, les mots de citoyens ordinaires pouvant être plus compréhensibles que le jargon administratif. Se pose alors la question de la responsabilité si une erreur est mentionnée sur un tel site, par exemple sur l'interprétation de règles fiscales. « Nous faisons le pari de la qualité (gagné par Wikipédia) et, en plus, le site sera modéré et les réponses de l'administration seront marquées comme telles, distinguées de celles des simples citoyens » nous a répondu Arnaud Beaufort lors de la conférence de presse. Enfin, un « Etat Lab » sera mis en place pour, à la manière des applications sur Facebook, des acteurs tiers puissent y proposer des applications innovantes en terme de services et utilisant les données administratives. Nathalie Kosciusko-Morizet n'a toutefois pas précisé quels seraient les financements des projets. Les fonds issus du Grand Emprunt seront en partie mobilisés à cette fin. (...)

(12/02/2010 16:37:51)

Tribune de Nicolas Andreu, Devoteam : Quel bilan pour le SMSI après 4 ans de mise en oeuvre ?

Largement exploité à travers le monde, le Système de Management de la Sécurité de l'Information (SMSI) a été normalisé il y a officiellement 4 ans (la norme ISO/IEC 27001, publiée en octobre 2005 est d'ailleurs désormais complétée d'autres normes y compris sectorielles : la série 27000). En France, la situation est singulière. Le nombre des certifiés peine à atteindre les 5% de ceux dénombrés aux Japon (source : http://www.iso27001certificates.com/, Japon : 3378, France : 12 publiés dont Areva et La Française des Jeux). Pourtant, de très nombreuses sociétés témoignent publiquement de l'apport réel d'un SMSI au sein de leur entreprise sans forcément avoir un objectif de certification. Pour poursuivre la lecture de la tribune de Nicolas Andreu de Devoteam BU Sécurité, rendez-vous sur notre Blog Experts LeMondeInformatique.fr (...)

(12/02/2010 15:39:14)

Motorola se scinde en deux entités : mobiles/décodeurs et équipements pro

Après un première tentative Motorola saute finalement le pas de la scission. Un temps amorcé puis abandonnée pour restructurer l'activité téléphone mobile déficitaire, la création de deux entités indépendantes a été annoncée hier par la codirection de Motorola. La première, appelée « Motorola's Mobile Devices and Home businesses » comprendra l'activité terminaux mobiles, ainsi que les décodeurs. La deuxième entité, nommée « Enterprise Mobility Solutions and Networks businesses », intègre la branche professionnelle (talkie-walkie, lecteur de code-barres, etc...) ainsi que les équipements pour les réseaux mobiles, y compris l'activité réseau sans fil. Pour cette dernière, l'utilisation du nom Motorola devrait être accordée sans frais. La scission annoncée sera effective à partir du 1er trimestre 2011. Chaque société sera indépendante et cotée en Bourse. « Nous pensons que cette structure fournit une grande flexibilité opérationnelle et stratégique aux deux sociétés, les positionne pour le succès et renforce la valeur à long terme pour les actionnaires », a expliqué Greg Brown, qui prendra la présidence de l'entité professionnelle. Une stratégie ambitieuse et risquée De son côté Sanjay Jha, qui dirigera l'entité grand public, a justifié l'association téléphones mobiles et décodeurs, par le souhait du « consommateur de bénéficier d'une expérience uniforme pour consommer, créer, partager du contenu, dans un environnement collaboratif à l'aide d'une connectivité n'importe où, n'importe quand ». En combinant ses activités mobiles et décodeurs, Motorola espère fournir une expérience « multi-écrans » via son service Motoblur (réseau social sur mobile). Ce dernier permettra de partager du contenu entre les plateformes mobile et domestique. Au dernier CES de Las Vegas, Motorola avait d'ailleurs présenté un équipement baptisé « The Mover» permettant de basculer du contenu du mobile au décodeur et inversement. A noter que l'activité terminale mobile a enregistré une perte opérationnelle de 132 millions de dollars au quatrième trimestre 2009 contre 595 millions de dollars, un an plus tôt. Depuis, Motorola a adopté une nouvelle stratégie en misant sur la plateforme smartphone Google Android. Une vingtaine de terminaux Android doivent être lancés en 2010. Enfin, si les dirigeants se déclarent confiants dans la réalisation de cette scission, elle est néanmoins soumise à quelques contraintes, dont l'exemption d'impôt. (...)

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