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(10/02/2010 14:18:14)

La Cour des comptes pointe le retard dans la dématérialisation des feuilles de soins

Le rapport 2010 de la Cour des Comptes pointe qu'il reste encore des gisements d'économies grâce à la dématérialisation à réaliser à la sécurité sociale. Pour la Cour des Comptes, le dispositif SESAM Vitale n'a pas encore atteint son plein potentiel. L'assurance maladie a encore reçu 150 millions de feuilles de soins papier en 2009, ce qui représente une dépense évitable de 200 millions d'euros par an. Un satisfecit est cependant accordé à la CNAM TS. Plus de 1,1 milliard de feuilles de soins sont traitées de façon électronique chaque année contre 330 millions en 2001 et 904 millions en 2005. Leur nombre continue de progresser de 3,8 % sur les neuf premiers mois cumulés de 2009. Le remboursement des soins est assuré en quelques jours sans autres formalités ni coûts d'affranchissement. Selon la CNAMTS, le traitement d'une feuille de soins électronique ne coûte que 0,27 € en moyenne, contre 1,74 € pour une feuille de soins papier reçue par la Poste. Il en résulte une économie de 1,5 milliard environ par an (hors dépenses informatiques spécifiques, dont le montant total ne peut être isolé). Les professionnels libéraux trainent encore des pieds Ceci dit, pourquoi 150 millions de feuilles de papier circulent encore ? La Cour répond que si les assurés doivent être incités à ne pas oublier leur carte Vitale et les services informatiques à améliorer encore leur fiabilité, ce sont surtout les professionnels libéraux de santé qui sont en cause. En 2008-2009, pas moins de 41% des spécialistes, 27% des généralistes, 24% des dentistes, 22% des infirmiers et 20% des masseurs kinésithérapeutes n'émettaient en effet encore aucune feuille de soins électronique. La solution ? Mettre à l'amende ces personnels de santé encore réfractaires selon la Cour. Elle rappelle que c'est donc bien tardivement que l'article 53 de la loi du 21 juillet 2009, dite « Hôpitaux, patients, santé, territoires », a prévu la mise en oeuvre, qui aurait dû intervenir au 1er janvier 2010, d'une contribution à la charge des professionnels de santé refusant la délivrance de feuilles électroniques. Cette contribution serait de nature à optimiser l'usage du système SESAM Vitale, mais à condition qu'elle soit fortement dissuasive. La Cour refuse de considérer comme valables les excuses avancées telles que les problèmes pratiques évoqués par certains professionnels (utilisation d'un lecteur portable de carte Vitale en cas de soins à domicile, professionnels de santé trop âgés pour s'informatiser, assurés ne disposant pas de carte Vitale). Ces points ne sont plus de nature à empêcher la généralisation de la carte Vitale affirme la Cour qui veut que la contribution devienne effective sans plus tarder. [[page]] Un parc applicatif hétérogène et inégale Par ailleurs, la Cour réagit à la CNAMTS qui déclare que 99,99% des télé-transmissions sont réussies. La Cour indique que ce taux ne comprend pas les situations où la télé-transmission n'a pu être mise en oeuvre. Quant au solde très faible de 0,01%, il représente cent mille tentatives d'envoi échouant encore chaque année. Ces échecs résultent d'incompatibilités ponctuelles comme de l'hétérogénéité des postes de travail des professionnels. L'ancienneté de certains de leurs logiciels comme la qualité inégale des mises à jour et de la maintenance qui leur incombent sont à l'origine de nombreux dysfonctionnements. Ces logiciels font certes l'objet d'une validation initiale sous la responsabilité de l'agent comptable de la CNAMTS, mais leurs évolutions et mises à jour sont rarement testées. La Cour rappelle qu'il existe un nombre élevé d'éditeurs (plus de 150) et de logiciels médicaux (plus de 300). De tout cela résultent des anomalies techniques et des risques de captation de données confidentielles. Avec plusieurs années de retard, la définition d'une nouvelle configuration de référence est maintenant en bonne voie. Des temps de réponse plus rapides devraient apporter des gains de temps. Pourquoi les médecins sont-ils réfractaires ? La Cour rappelle les enseignements d'une étude à base d'entretiens réalisée en 2007 pour la caisse primaire d'assurance maladie de Paris auprès de 16 médecins peu ou prou réfractaires à SESAM Vitale. Elle avait confirmé que l'on peut les classer en : - « insoumis / révoltés», qui affichent une franche hostilité vis à vis d'un système qu'ils perçoivent comme allant à l'encontre de leur éthique médicale ; - « conservateurs / traditionalistes », qui refusent l'informatique et tout changement dans leur culture «papier et oral», avec la peur d'une technique non maîtrisée et du «virtuel» ; - « prudents», qui, très «experts» avec leur système et leurs logiciels informatiques très performants, refusent d'être déstabilisés par une télétransmission risquant d'entraîner un remaniement, voire un renouvellement, de leurs outils actuels ; - « calculateurs », qui ne veulent pas investir dans un système qui (selon eux) ne leur offre ni avantages, ni bénéfices - mise en avant d'une raison économique qui peut cacher des motivations plus obscures ; - « débordés », qui n'ont pas de temps à consacrer à l'installation du système de télétransmission ou à sa maintenance (RV à prendre, choix du matériel, hotline...). (...)

(10/02/2010 13:55:25)

TechDays 2010 : 40 000 utilisateurs pour Microsoft Online Services

Fabrice Alessi : Neuf mois après l'arrivée de l'offre Microsoft Online Services en France, quel est le bilan commercial de ce lancement ? Gwenaël Fourré : Nous revendiquons déjà plus de 200 clients entreprises. Cela représente environ 40 000 utilisateurs, soit un peu plus de 3% des 1,2 million de personnes qui ont accès dans le monde à tout ou partie des applications que renferme Microsoft Online Services. Pour mémoire, il s'agit du serveur de messagerie Exchange, du portail collaboratif Sharepoint, de la solution de conférence web Live Meeting, et du service de messagerie instantanée professionnel Office Communication Online. A ce stade, nous sommes satisfaits des premiers résultats que nous avons obtenus. Je ne peux pas parler ouvertement des objectifs que nous nous sommes fixés pour la France mais ils sont colossaux. FA: Le réseau de distribution de Microsoft réagit-il positivement à l'arrivée d'Online Services ? GF: Plus de 280 revendeurs ont signé en ligne le contrat qui leur permet de commercialiser Online Services. Nous leur demandons également de passer une petite certification sur le web. Pour être honnête, elle reste pour le moment succincte. Mais d'ici la fin de l'année, nous lancerons une certification technique digne de ce nom pour nous assurer que les revendeurs maîtrisent bien les problématiques de migration. Parmi la population de revendeurs qui nous a rejoint, on trouve des profils très hétérogènes. Il y a d'un côté de grands partenaires tels que HP, Atos, Cap Gemini, et des petits revendeurs. Ces derniers voient dans l'offre Online Services la possibilité de proposer une alternative aux opérateurs qui développent de plus en plus d'offres packagées incluant leur services d'accès voix / données et des applications en mode hébergé telles que la messagerie. [Ndlr : Au moment de la rédaction de cet article, nous avons reçu un communiqué de presse annonçant que Microsoft avait conclu un accord avec Orange Business Services...]. Pour le moment, les partenaires qui ont concrétisé des projets sont principalement ceux qui faisaient déjà partie du réseau de distribution de Microsoft. Depuis trois mois, pour convaincre un nombre plus important de revendeurs de signer un contrat Microsoft Online Services Reseller Agreement, nous leur offrons gratuitement pendant un an l'accès à nos applications hébergées pour leur propre besoin jusqu'à 250 utilisateurs. Cela a le mérite de les familiariser avec l'offre et les inciter à être des revendeurs actifs puisque s'ils réalisent deux ventes, ils bénéficient de nouveau du service gratuitement pour l'année suivante et ainsi de suite. S'ils ne réalisent pas ces deux ventes, ils sont facturés 50% du prix public*. FA: L'offre Microsoft Online Services disponible en France va-t-elle être élargie ? GF : D'ici la fin de l'année nous allons mettre deux nouvelles applications sur le marché français. Il s'agit notamment de CRM Online, une version de Dynamics CRM portée en ligne, déjà disponible aux Etats-Unis. Elle nous mettra clairement en concurrence frontale avec Salesforce. Dans le même temps, nous lancerons System Center Online, une application de gestion de poste de travail qui s'adresse non plus à l'utilisateurs final mais aux administrateurs. (...)

(10/02/2010 11:57:21)

Airbus choisit Sogeti pour externaliser le support monde de ses activités de calcul de structure

Airbus a souhaité optimisé le support de ses activités de calculs de structure de son bureau d'étude. « Le calcul de structure est un domaine de recherche, de développement et d'applications industrielles. Son objet est de modéliser et de simuler numériquement le comportement des structures dans leur environnement. Le terme structure est général, il peut aller d'une pièce d'avion à un avion dans son ensemble » précise l'entreprise. L'avionneur vient donc de signer un contrat d'une durée de trois ans pour externaliser ce support et la formation associée chez l'un de ses partenaires historiques : Sogeti High Tech. Le montant du contrat n'a pas été dévoilé. Celui-ci ne couvre pas que l'Europe et les sociétés du groupe Airbus au sens strict puisqu'il couvre toutes les entreprises partenaires de niveau 1 partageant les mêmes systèmes d'ingénierie et les centres off-shore autant en Europe qu'aux Etats-Unis et en Chine. En tout, le support s'adressera à 2000 utilisateurs dont 1300 chez Airbus lui-même. (...)

(10/02/2010 11:45:40)

Devoteam prévoit un chiffre d'affaires stable pour 2009

« Nous sommes dans un modèle de croissance rapide », nous expliquait il y a un an Stanislas de Bentzman, co-président du directoire de Devoteam. La société publiait alors un CA 2008 de 459 M€, en croissance de 17%. Ces 459 M€ se retrouvent pourtant en 2009 et ne devraient guère progresser en 2010. La SSII Devoteam publie en effet ses chiffres préliminaires pour l'exercice 2009. Le chiffre d'affaires ne progresse pratiquement pas, 460 millions d'euros (M€) contre 459 en 2008. En revanche, la marge d'exploitation passe de 40,3 M€ en 2008 à 28,5 en 2009, elle représente 6,2% du CA contre 8,8%. La société subit des frais de restructuration, dus à l'intégration de la société Danet achetée en 2008 en Allemagne. Pour 2010, le groupe s'attend à une faible progression, le CA passerait à 470 M€ de CA, avec un taux de marge opérationnelle de 6%. Ce sera la deuxième année de grande souffrance pour la société qui avait habitué le marché à des croissances à deux chiffres. (...)

(10/02/2010 11:45:48)

Loppsi II : les points clefs du texte

Cybercriminalité, délits routiers, sécurité intérieure... Les débats sur le projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, dite Loppsi II, commencent ce mardi 9 février à l'Assemblée Nationale. Il s'agit de dégager les grands axes des moyens à mettre en place pour lutter contre différentes formes de délinquance. Voici les principales dispositions de ce texte qui pourrait s'appliquer sur la période 2009-2013. Cybercriminalité - Création du délit d'usurpation d'identité sur Internet (peine d'un an de prison et de 15.000 euros d'amende) - Délits de contrefaçon : sanction de dix ans de prison et d'un million d'euros d'amende pour les infractions concernant les chèques et les cartes de paiement - Obligation des Fournisseurs d'accès à Internet (FAI) de bloquer l'accès à des images pédopornographiques Vidéo protection - "Il s'agit de favoriser la réalisation du plan de triplement des caméras installées sur le territoire" explique Loppsi II - Possibilité pour les "personnes privées" d'installer des systèmes de vidéoprotection filmant les abords de leurs bâtiments Sécurité intérieure - L'interdiction de stade pour les personnes ayant commis des infractions pourrait être allongée à six mois au lieu de trois, "voire à douze mois en cas de réitération intervenue dans les trois années précédentes". - Expérimentation des scanners corporels - Le préfet peut instaurer un couvre-feu entre 23h et 6h pour les mineurs de 13 ans non accompagnés - Création d'un délit de distribution d'argent à des fins publicitaires sur la voie publique Insécurité routière - Création d'une peine complémentaire pour confisquer le véhicule d'un conducteur condamné à la conduite sans permis, ou sous influence d'alcool, de stupéfiants - Interdiction de conduire pendant cinq ans au maximum une voiture si celle-ci n'est pas équipée d'un dispositif homologué d'anti démarrage par éthylotest électronique. - Création d'une sanction de six mois de prison et d'une amende de 15.000 euros en cas d'achat ou de vente de points du permis de conduire (...)

(10/02/2010 11:45:55)

PAC change de tête

Le cabinet d'études, Pierre Audoin Consultants (PAC), spécialisé dans les logiciels et services, change de tête. Elisabeth de Maulde est remplacée à la présidence du directoire par Eric Isabey. Cette présidence inclut la présidence du groupe et la présidence de la filiale France. PAC a désormais des bureaux à Munich, Londres, Sao Paulo, New York, Bucarest et Singapour. Elisabeth de Maulde reste membre du directoire. Ce mouvement est justifié par le cabinet par « le besoin d'un nouveau management pour s'adapter à la situation ». Eric Isabey est un ancien DSI du groupe Arcelor puis de BNP Paribas Financial services. Dernièrement, il était CEO de Neuilly Gestion, filiale de BNP Paribas. Avant d'être DSI, il a occupé plusieurs fonctions commerciales chez GSI, Atos Origin et Siemens-SBS. Par ailleurs, Frédéric Giron, directeur de la filière IT Services de PAC, quitte cette direction pour rejoindre, en Inde, Springboard Research un autre cabinet d'étude, partenaire de PAC, mais évoluant sur toute l'Asie. Photo : Eric Isabey / © PAC (...)

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