Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 9081 à 9090.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/02/2010 11:38:49)

Le CFTL veut promouvoir un test logiciel de qualité

Le CFTL (le Comité Français des Tests Logiciels) organise le 30 mars 2010 à Paris la deuxième édition de la Journée Française des Tests Logiciels. 200 spécialistes y sont attendus pour assister à des conférences sur l'organisation et le management des tests mais aussi à des retours d'expériences. Selon le CFTL, le coût du développement d'un logiciel se compose pour 30 à 50% du coût des tests. Une certification à trois étages Le CFTL, créé en 2004, est le chapitre français de l'ISTQB (International Software Testing Qualification Board). Ce dernier est présent dans 47 pays et a certifié 130 000 spécialistes du test logiciel. Le CFTL en a, pour sa part, certifié 740 en France au niveau « fondation » (la base) dont 140 sont ensuite parvenus au niveau « avancé ». Le niveau « expert », troisième et dernier, est en cours de définition. Le niveau « avancé » requiert cinq ans d'expérience dans le test et la réussite à trois modules distincts : le management des tests, les tests fonctionnels et les tests techniques (sécurité, maniabilité, maintenabilité, performance, résistance au stress...). Les accréditations réalisées par les différents chapitres de l'ISTQB sont similaires et donc valides sur le plan international. Le CFTL accrédite aussi les formations délivrées par des centres qui, en revanche, ne sont pas autorisés à faire passer les accréditations. En France, il y a aujourd'hui cinq centres accrédités au niveau « fondation » : Knowledge Department, EGL, Ps.testware, Acial et Kereval. Seul le premier est accrédité au niveau « avancé ». Il est par contre autorisé de s'auto-former pour passer en « candidat libre » les examens d'accréditation. A l'inverse, Bernard Homès, président du CFTL, déplore : « il n'y a pas (ou très peu) de formation aux tests de logiciels dans les écoles d'ingénieurs en France. » 190 sociétés ont appuyé des démarches de formation et de certification de leur personnel (Air France-KLM, SNCF, HSBC, MMA, Société Générale...) dont une vingtaines d'éditeurs de logiciels et de SSII. Le test des logiciels : une valeur ajoutée sur le marché de l'off-shore Si les tests de logiciels servent à améliorer la qualité de ces derniers, ils peuvent aussi constituer une valeur ajoutée sur le marché... de l'off-shore. C'est ainsi que pour se distinguer d'acteurs bien implantés, notamment l'Inde, des pays plus proches du David que du Goliath en informatique mettent en place des politiques nationales de formation et de certification de leurs spécialistes du développement. C'est notamment le cas de la Malaisie et de l'Egypte selon le CFTL. Les Malaisiens étant formés par des Français, la Malaisie sera d'ailleurs l'invitée d'honneur de la deuxième édition de la Journée Française des Tests Logiciels. (...)

(11/02/2010 11:50:35)

Après une année 2009 difficile, GFI Informatique espère un rebond en 2010

GFI Informatique publie son chiffre d'affaires annuel 2009. Il se monte à 726,4 millions d'euros en baisse organique de 9%. La France avec -5,8% est un peu mieux lotie que l'international qui affiche -15,4%. Certains reculs sont spectaculaires, l'Allemagne baisse de 18,6% en un an, le Canada de 26,9%, l'Italie de 33,2%. Autre point noir, la situation financière où GFI s'est refinancée en fin d'année, son endettement net devrait se situer désormais à 95 ME indique la société, contre 109 en fin de 1er semestre. Elle espère ainsi maîtriser son endettement et ses besoins en fonds de roulement. La SSII note des motifs d'amélioration : la signature de contrats récurrents, l'amélioration de la valeur ajoutée des services rendus, celle de sa structure de coûts. Ils devraient se retrouver dans les résultats 2010, GFI ne donne aucune prévision et indique simplement s'attendre à une hausse de sa marge opérationnelle au second semestre. (...)

(10/02/2010 17:53:33)

TechDays 2010 : des solutions pour alléger les handicaps et programmer plus simplement (MAJ)

« A l'avenir, les ordinateurs devraient pouvoir parler la même langue que nous », explique le directeur Technique et Sécurité de Microsoft France, Bernard Ourghanlian en présentant les dernières possibilités de Visual Studio, une interface de codage ultra-simplifiée. « Le but est d'augmenter un maximum le niveau d'abstraction pour dissimuler la complexité du codage Internet», a-t-il ajouté. Ainsi, la démonstration de Jean-Marc Prieur, responsable de la ligne Visual studio chez Microsoft, est étonnante. En trois clics, l'utilisateur crée un code lui permettant de tracer des lignes sur une surface, de les sélectionner et de les déplacer. Paint n'est plus très loin. « C'est un générateur de code qui fait gagner énormément de temps et qui auto-vérifie si l'utilisateur ne fait pas d'erreurs de commandes, il y a de l'intelligence là-dedans. » se félicite Jean Marc Prieur. Bernard Ourghalian a ensuite expliqué que Visual Studio 2010 avait été testé par des militaires pour créer des exercices d'entrainement. « Ils ont su gérer des évènements et des déplacements de bateaux de manière totalement libre, sans connaissances spécifiques». Programmation par action logique Pour les enfants, la firme de Redmond propose d'ores et déjà une nouvelle expérience de jeu vidéo sur Xbox 360, il s'agit de Kodu, un jeu uniquement disponible en anglais mais téléchargeable partout grâce au Xbox Live. Maxime, le fils du directeur Marketing de la division plateforme et Ecosystème de Microsoft, Laurent Ellerbach, a montré comment il était simple de créer une ligne de code en alignant plusieurs actions logiques : « Si le bonhomme, voit une pomme, rouge, alors il tirera un missile dessus». Cette commande entrée, le personnage du jeu s'est employé à viser les pommes pour les détruire. Les joueurs de Kodu peuvent créer leur propre monde et faire s'affronter des ennemis dont ils auront eu même décidés les actions. Alléger les handicaps Permettre à personnes handicapées d'utiliser des ordinateurs simplement et de naviguer sur Internet comme bon leur semble, tel est l'autre objectif du logiciel Head Pilot de Starnav qui a bénéficié du dispositif Bizspark de Microsoft pour développer son produit. Grâce à une Webcam qui analyse les mouvements de tête de l'utilisateur, ce dernier peut déplacer le curseur de la souris de manière très intuitive. « Pour cliquer, il suffit d'immobiliser le curseur sur le lien » explique le directeur de Star Nav, Georges Lamy au Rousseau. « Notre système est une évolution, ajoute-t-il, il n'utilise pas d'infra rouge et n'est donc pas dangereux pour l'utilisateur». Testé en direct, Laurent Ellerbach a pu se connecter au site des TechDays en un peu plus d'une minute, grâce à un clavier virtuel. « 3 secondes de prise en mains, pas plus » affirme-t-il. Ce logiciel est déjà commercialisé depuis 3mois, sa licence coûte 1 500 €. Star Nav a indiqué qu'une version Eye Pilot du logiciel était actuellement en développement, elle permettrait de tout diriger d'un simple regard et de cliquer en clignant de l'oeil. Bernard Ourghalian a enfin fait part de la possibilité d'associer ce genre de technologie avec le système de reconnaissance physique par caméra 3D connu sous le nom de « projet Natal », attendu sur Xbox360 à Noël prochain. « Il est possible qu'à l'avenir, l'utilisateur puisse supprimer ses fichiers en les jetant lui-même vers la Corbeille, avec son propre bras». (...)

(10/02/2010 17:21:56)

Colt enrichit son offre cloud computing

Depuis juillet 2009, Colt, opérateur de réseau et de services télécoms a développé une plateforme de services cloud computing. Cette offre se décline en plusieurs briques, la première, baptisée Colt Managed Workspace est de type Saas (Software as a Service) avec l'accès à distance de fonctions applicatives reposant sur Sharepoint, Office, Visio, Project, Messaging ou Blackberry. La deuxième brique s'oriente vers le mode PaaS (Plateform as a Service), sous le nom Colt Cloud Infrastructures Services. Elle permet de disposer de serveurs dédiés, virtuels ou mutualisés et de capacités de stockage, s'adaptant aux besoins évolutifs des applications métiers. Enfin, la dernière brique qui vient d'être dévoilée, s'adresse aux besoins de Grid Computing des entreprises. Pour cela, Colt a noué un partenariat avec Tibco et plus exactement la solution DataSynapse (rachetée par Tibco pour 28 millions de dollars à la fin de l'année 2009). Cette dernière propose des outils de réservation et d'allocation dynamique des ressources matérielles et logicielles en environnement distribué. Au sein de cette dernière brique, on distingue en fait trois offres : - le Managed Grid Services qui est une solution d'infrastructure souple et dédiée, spécialement conçue pour les applications haute performance. - l'In Life Management Applications permet aux équipes informatiques de gérer un plus large éventail d'applications métiers et de définir des indicateurs spécifiques pour dimensionner dynamiquement leur infrastructure IT. - le Grid Extension-IaaS (Infrastructure as a Service) facilite l'extension en toute sécurité les capacités de plateformes existantes au sein d'entreprises, en permettant leur rattachement à un pool de ressources Colt à la demande. Pour Béatrice Rollet, directrice marketing de la division Colt Managed Services chez Colt France « les offres avec Tibco nous permettent de répondre à nos clients pour qui les problématiques transactionnelles, demandant une grande puissance de calcul dans un environnement de haute qualité de service, sont essentielles » et d'ajouter « les secteurs financiers et énergétiques sont très en pointe sur ces sujets, mais également les secteurs des services (jeux en ligne, grande distribution) ou des médias, à travers le passage au numérique ». (...)

(10/02/2010 16:35:19)

Avec son Buzz, Google met un pied dans le réseau social

Pour rattraper les Facebook et consorts, Google a annoncé mardi soir le lancement de Buzz, un réseau social maison qui permettra aux internautes de suivre l'actualité de leurs contacts en quelques clics et d'échanger messages, photos et vidéos. Ce service intégré à la messagerie Gmail, sera accessible dans quelques semaines. Google n'est pas resté impassible face à l'explosion de Facebook (400 millions d'utilisateurs dans le monde) et le succès de Twitter. La firme de Mountain View, qui attire déjà des milliards de connexions tous les mois avec son moteur de recherche, les vidéos de YouTube ou encore Google Maps, aura finalement bien son propre réseau social. Avec Buzz, qui s'intègrera bientôt dans le menu du service de messagerie Gmail, l'internaute voit apparaître les commentaires et les dernières actualités de ses contacts ainsi que sur plusieurs réseaux sociaux. Le service prend déjà en charge Picasa, Twitter, Flickr, YouTube, Blogger, et Google Reader. Facebook n'est pas dans la liste, mais celle-ci devrait "encore s'allonger", dixit Google, Buzz ayant été conçu comme un système ouvert. A noter, les utilisateurs pourront choisir entre un mode privé ou public pour partager leurs avis, actualités, photos, vidéos, etc. Google Buzz sera accessible dans quelques semaines, a indiqué Google dans un communiqué. Cet outil sera également disponible sur téléphone mobile (Google Android, iPhone, etc.). Site : www.google.com/buzz (...)

(10/02/2010 16:05:21)

Photoshop, 20 ans après

Adobe Photoshop fait tellement partie de notre vie quotidienne numérique qu'on a du mal à croire que ce programme a déjà 20 ans d'âge ! En deux décennies, le logiciel de retouche d'image d'Adobe a changé notre façon de voir le monde, transformé notre sentiment de la réalité, et modifié même la manière dont nous nous exprimons. Et si nous regardons autour de nous, presque chaque image que nous voyons aujourd'hui - dans les publicités, sur les panneaux, dans les magazines, les sites web, et les journaux - a été d'une certaine façon transformée par Photoshop. Son influence est telle que le programme a même gagné une place dans le langage vernaculaire : malgré la réticence d'Adobe - Photoshop est une marque déposée -, le verbe « Photoshoper » s'est imposé pour désigner l'acte de modifier les images numériques. La Silicon Valley avait dit non Qui pouvait imaginer que ce logiciel inventé par Thomas et John Knoll pour échapper à une thèse de doctorat aurait un tel impact ? Lorsqu'ils ont créé Photoshop, les deux frères avaient tout de même pressenti que le logiciel pouvait devenir autre chose qu'un simple passe temps. Pour en financer le développement, la plupart des investisseurs de la Silicon Valley contactés à l'époque avaient dit non. C'est finalement Barneyscan, un petit développeur de scanner, qui a accepté de financer le produit. A l'époque, à peine 200 exemplaires de l'application qui s'appelait alors Barneyscan XP avaient trouvé preneur, mais cet épisode a permis au programme de créer un lien commercial avec le monde de la photographie. (Aujourd'hui, certains geeks de Photoshop se vantent non seulement d'avoir utilisé Barneyscan XP mais de posséder les disquettes originales de la version 0.87 officielle de Photoshop !). Enfin, des personnes d'Adobe ont découvert le logiciel, et c'est tout à son honneur de rappeler qu'en 1989 l'éditeur l'a pris sans hésitation sous licence. Début 1990, Adobe Photoshop 1.0 sortait, uniquement sur Mac, ce qui a fait dire à certains que Photoshop a été la première «killer apps" d'Apple. Au début, le logiciel a un peu tâtonné pour trouver son vrai domaine d'application, car, comme un enfant prodige - il était doué dans tellement de domaines, depuis le griffonnage numérique jusqu'à la production pré-presse - qu'il ne savait pas où concentrer son énergie. [[page]] La photographie, principale mission du logiciel Mais les clients semblaient y trouver leur intérêt. Le programme est tellement profond et global qu'Adobe affirme que la plupart des gens n'utilisent que cinq pour cent des fonctionnalités du logiciel ! En dépit de ses nombreux talents, la photographie a cependant toujours été au coeur de Photoshop. Le père des frères Knoll était un grand photographe amateur et c'est dans sa chambre noire que Thomas a appris les principes essentiels qui lui serviront de base pour son futur logiciel. En même temps que Photoshop évoluait, le marché se transformait. La numérisation des tirages et des négatifs n'ont été qu'une transition au tout numérique, et les matériels pour produire des images digitales devenaient plus puissants et plus nombreux. Surtout, de plus en plus de photographes ont compris le potentiel de Photoshop, et c'est sous leur influence que la photographie numérique est devenue la principale mission du logiciel. Un regard sur le monde, de la manipulation à la réalité vécue Sans exagérer l'impact de Photoshop aujourd'hui, on peut affirmer que ce logiciel a eu un impact énorme sur la photographie. Le logiciel répare les vieilles photos et sert à la conservation des histoires individuelles et collectives. Il améliore les images scientifiques et médicales pour nous aider à voir et à communiquer l'information essentielle et à mieux comprendre le monde physique. Il sait aussi créer des mondes sortis entièrement de notre imagination, donnant forme et couleur à des scènes invisibles. Enfin, il donne le pouvoir de modifier et d'améliorer les photographies. Ce faisant, il teste les limites de la perception et nous met au défi d'exercer un jugement sur ce que nous voyons. Là est toute la beauté et le mystère de Photoshop, et plus encore : celui qui peut accomplir des miracles dans les mains d'une personne talentueuse, transformer une photo médiocre en image flatteuse. Celui qui est capable aussi de modifier la réalité et affecter notre perception du bien et du mal en manipulant des scènes ordinaires ou exceptionnelles pour tricher avec l'Histoire. Alors que Photoshop entre dans sa troisième décennie, il faut d'abord célébrer les nombreuses façons dont le programme a changé nos vies, pour le meilleur. Et profiter de ce qui est au coeur de ce programme de transformation des pixels : aujourd'hui, grâce à Photoshop, il est possible, à partir d'une photo, de modifier en quelques clics l'ombre et la lumière, de donner au ciel un bleu profond, d'embellir le visage d'une personne. Tout cela avec peu d'efforts. Pour qu'au final on obtienne plus qu'une photo : un moment capturé exactement comme nous l'avons vu. Et c'est cela qui est vraiment incroyable. (...)

(10/02/2010 15:10:17)

Le Club Innov-it lance un appel à candidature aux jeunes sociétés innovantes dans la gérontechnologie

Le Club Innov-IT, qui a pour vocation de soutenir les entreprises innovantes (Oseo ou autres), lance un appel à candidature auprès des jeunes sociétés spécialisées dans la gérontechnologie. Les candidats sélectionnés pourront présenter leur société le 16 mars prochain, devant les acteurs de l'écosystème du financement des projets innovants dans ce domaine. L'appel est ouvert aux entreprises du secteur de la "gérontechnologie" : téléassistance, maintien à domicile, divertissement, communication, accès à internet, alertes, mobilité assistée, robotique, sécurité, assistance à la vue, technologies dans le domaine de la santé, travail de la mémoire, prévention et détection des chutes, gestion des services à domicile, formation du personnel d'accompagnement, technologies pour maisons de retraites, accompagnement des malades, assistance... La date de clôture de cet appel à candidature est le 24 février 2010. Pour en savoir plus et télécharger un dossier : http://www.innov-it.net (...)

(10/02/2010 14:53:41)

Gerard Dantec prend la présidence de l'Internet Society France

Le conseil d'administration du chapitre français de l'Internet Society (Isoc) a élu Gérard Dantec à la présidence. Ingénieur des Travaux Publics, ce dernier s'est impliqué dès l'origine dans le déploiement de l'internet pour l'information des usagers et dans mise en place des campus numériques. Depuis 2006 au sein du Ministère de l'Ecologie, de l'Energie du Développement Durable et de la Mer il occupe les fonctions de chef de projet sécurité et de responsable du pôle pilotage, équipement et nomadisme. Parallèlement, il est impliqué dans l'utilisation des technologies favorisant l'émergence de nouvelles formes de militantisme et dans les rapports entre Internet et Démocratie. Autour de lui, le bureau de l'ISOC France est constitué de deux vice-présidents, Fadhila BRAHIMI, fondatrice et dirigeante du cabinet FB-Associés, Nicolas CHAGNY, directeur associé, représentant l'agence Les Argonautes, le secrétariat général est assuré par Georges PECONTAL, responsable de la plateforme de téléchargement, Canal Jeux Vidéo. Enfin, le trésorier, David CLAVEREAU est associé/co-fondateur de l'agence internet La Netscouade. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >