Flux RSS

Développement durable

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

297 documents trouvés, affichage des résultats 251 à 260.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(21/08/2008 12:06:58)

Sondage flash : le rapport performance-prix reste le moteur d'achat principal des serveurs

Près de la moitié des internautes du site LeMondeInformatique.fr qui ont répondu au sondage sur le « critère le plus important dans le cadre de l'achat de serveurs » ont choisi le rapport performance/prix (48,3%, soit 370 réponses). Au total, 766 personnes ont donné leur avis sur la question. Les budgets resserrés des entreprises expliquent que l'impact financier de la machine demeure un argument de poids. La réduction de la consommation énergétique ne séduit que 18,3% des répondants. Elle induit pourtant, certes à plus long terme, une baisse de la facture d'électricité de l'informatique. Mais il est vrai qu'il reste difficile d'évaluer la consommation globale des serveurs d'une entreprise et donc de mesurer l'économie financière que pourrait apporter l'achat de machines moins gourmandes. Quant à l'impact environnemental de l'informatique, on sait qu'il n'interpelle encore que rarement les entreprises. Qu'il demeure méconnu ou qu'il soit tout simplement négligé. Enfin, plus simplement, la facture d'électricité des serveurs n'est que rarement imputée directement au service informatique... La disponibilité reste à 20,8% (159 réponses) une bonne raison de choisir sa machine. Quant à la performance pure, sans surprise, elle ne fait plus recette avec tout juste 12,7% des réponses (97 réponses). On peut imaginer que les entreprises concernées par ce dernier choix ont des activités pour lesquelles la puissance reste incontournable : calcul scientifique, recherche, finance, etc. (...)

(20/08/2008 10:07:47)

IDF 2008 : Le patron d'Intel veut sauver le monde avec les TIC

« La technologie est un outil destiné à relever certains des défis les plus urgents du monde, notamment dans les domaines de la santé, de l'éducation, du développement économique et de l'environnement. Aucune nation ni individu ne peut rester indifférent à ces problèmes. Impliquez-vous. Prenez part à la solution. » Ainsi Craig Barrett, président du conseil d'administration d'Intel, s'est-il adressé aux développeurs lors de la conférence d'ouverture de l'Intel Developer Forum 2008. Durant toute l'heure de sa présentation, il s'est concentré essentiellement sur son action de promotion des TIC dans les pays émergents, menée au profit de l'ONU. Dans chacun des quatre domaines, il a ainsi mis en avant des projets aussi divers qu'un tableau interactif pour salle de classe à moindre prix avec une Wiimote (manette de la console de jeu Wii de Nintendo), un site de micro-crédit Kiva.org, un dossier médical personnel mobile en Colombie ou des panneaux solaires réalisés à partir de plastiques recyclés. Avant d'annoncer l'ouverture de l'Intel Challenge, un concours ouvert aux développeurs pour trouver une innovation technologique dans quatre catégories : santé, éducation, développement économique et environnement. Quatre prix de 100 000 dollars seront distribués dans les domaines concernés (santé, éducation, développement économique, environnement). Les développeurs qui souhaitent participer doivent s'inscrire avant le 30 septembre 2008 et les derniers projets devront être remis avant le 31 janvier 2009. (...)

(12/08/2008 10:23:16)

Green IT, SOA et cloud computing auront un impact business dans 2 à 5 ans, prédit Gartner

Alors que les technologies du Web 2.0 devraient montrer leur impact dans les entreprises d'ici moins de deux ans, il faudra attendre entre deux et cinq ans pour que le Green IT, la SOA et le 'cloud computing' aient un effet significatif sur les systèmes d'information. Telle est la dernière prédiction de Gartner, qui a publié l'édition 2008 de son célèbre « hype cycle » des technologies émergentes. Le cycle défini par le cabinet prévoit cinq phases. La phase 1, « technology trigger », voit apparaître une nouvelle technologie, annoncée par leurs inventeurs et largement reprise et épluchée par les médias. Cela engendre une forte visibilité en très peu de temps, débouchant sur la phase 2, « peak of inflated expectations », ces technologies promettant monts et merveilles. Bien sûr, cela tarde à se concrétiser, la visibilité retombe, c'est le « trough of disillusionment », la phase 3. Entre-temps, la technologie mûrit, et ses premiers usages en entreprise laissent entrevoir de belles possibilités, c'est la phase 4, le « slope of enlightment ». Puis vient la phase 5 du « plateau of productivity », lorsque les technologies finissent d'être émergentes pour devenir d'un usage courant. Microblogging, réseaux sociaux, téléprésence et SSD prochaines technos à émerger Le phénomène du Green IT (informatique verte, ou développement durable appliqué aux systèmes informatiques) serait selon Gartner quasiment au somment de la phase 2, mais il lui faudrait encore de deux à cinq ans avant d'entrer dans une phase de large adoption. Placés en fin de phase 1, le cloud computing (services informatiques accessibles à la demande via Internet) et le microblogging (services de type Twitter, de blog en temps réel via des messages très courts) demanderaient un délai identique. [[page]]De même, les plateformes de réseaux sociaux, les technologies de téléprésence (vidéoconférence en haute définition et à l'échelle 1:1) et les disques à mémoire électronique (SSD) qui tous descendent la courbe de la phase 3, n'émergeront pas véritablement avant deux ans. L'impression 3D dans 5 à 10 ans, la réalité augmentée dans plus de 10 ans Parmi les nouveautés technologiques disposant de 5 à 10 années de maturation devant elles et ayant un impact potentiel très élevé, Gartner place l'impression 3D, qui permettrait, explique Gartner, de produire des composants au plus près du lieu de la demande. Réalité augmentée (mêlant images réelles et de synthèse) et robots mobiles ont plus de 10 ans devant eux, selon les analystes, avant d'émerger. Quant aux architectures orientées services (SOA), elles sont sorties de la phase de désillusion et cheminent doucement vers un usage courant, phase où sont déjà les services Web. Mais Gartner prévoit encore une fois ici un délai de 2 à 5 ans avant une large adoption des SOA par les entreprises. (...)

(06/08/2008 11:11:59)

L'impact environnemental des TIC étudié par l'ONU

Le groupe de travail Green ICT (TIC vertes) créé par l'ITU (International Telecommunications Union) s'est vu confier par l'ONU la double mission de mesurer et de réduire l'impact des TIC (technologies de l'information et de la communication) sur l'environnement. La création fait suite à l'invitation de Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, faite à l'ITU d'accélérer ses travaux autour du réchauffement climatique. Rappelons que depuis l'accord du Protocole de Kyoto, en 1997, le nombre des utilisateurs des TIC dans le monde a triplé ! Présidé par David Faulkner, responsable des recherches sur les accès réseaux de BT, le groupe étudiera dans un premier temps les dommages environnementaux provoqués par les TIC. Dans un deuxième temps, c'est sur la réduction de ces dommages qu'il s'attardera, en particulier au profit des secteurs de l'énergie, des transports et du bâtiment. « Les TIC contribuent au réchauffement global », a convenu Hamadoun Touré, le secrétaire général de l'ITU, « mais le plus important est qu'elles sont la clé de la surveillance et de la réduction de ses effets. » L'ITU, selon les méthodes d'estimation de l'impact des TIC sur les changement climatiques qui sont retenues actuellement, pourrait aider à réduire ces émissions de l'ordre de 15% à 40%. (...)

(10/07/2008 17:28:35)

Les Français se distinguent sur Imagine Cup 2008

Le concours Imagine Cup de Microsoft s'est terminé mardi 8 juillet sur la victoire d'une équipe australienne dans la catégorie « conception logicielle », considérée par l'éditeur comme la catégorie reine. Leur projet, SOAK, est une plateforme logicielle et matérielle pour aider les fermiers à mieux contrôler certains systèmes tels que les arrosages automatiques. Cette année, le concours portait en effet sur le thème du développement durable. Les jurys étaient en conséquence constitués de spécialistes dans le domaine et d'experts des TIC. Les Français, champions des systèmes et réseaux Les finales se sont déroulées à Paris et les Français sont loin d'avoir démérité. Ils ont obtenu une médaille d'or et une médaille de bronze, ainsi que plusieurs prix spéciaux. Ainsi, la première place de la difficile catégorie « Systèmes et réseaux » est revenue à Jean-Benoît Paux, de l'INSA Lyon. Contrairement aux autres catégories, « Systèmes et réseaux » teste la compétence des candidats et non la valeur du projet, et elle ne concerne pas des équipes mais des individus. Pour la finale, les étudiants doivent mettre en place en 24h une infrastructure complète en déployant six serveurs avec Exchange, SQLServer, un accès Internet, le tout en environnement sécurisé. Pour recréer des conditions réelles d'entreprise, toutes les 4 ou 5 heures intervient un événement perturbant comme une attaque de virus ou un crash matériel. « Depuis la création de cette catégorie en 2005, les Français ont toujours gagné des médailles », se félicite Laurent Ellerbach, responsable marketing de la division plateforme et écosystème de Microsoft France. La France a par ailleurs obtenu le bronze dans le design d'interface. L'équipe Edelweiss a développé une application pour les enfants dans laquelle un ours interactif apparaît sur écran pour enseigner aux plus petits les gestes écologiques. Un concept qui pourra plus tard être adapté à un véritable ours en peluche. Edelweiss est une équipe doublement mixte : elle réunit un garçon et une fille, un ingénieur de l'EFREI et un étudiant en design du Strat College. [[page]] L'Imagine Cup parisienne a aussi récompensé des étudiants de l'EFREI pour le design d'une interface avec un prix spécial « accessibilité ». Enfin, l'équipe gagnante de la finale française dans la « conception logicielle », SmartCooking (Supinfo Lille, Supinfo Montpellier, les Gobelins) a aussi été récompensée. Des candidats de plus en plus jeunes et d'un « niveau excellent » Imagine Cup 2008 a rassemblé 200 000 étudiants provenant d'une centaine de pays. « En moyenne, ils avaient au moins entre 17 et 18 ans, soit six mois à un an de moins que ceux de 2007, raconte Laurent Ellerbach, impressionné. Le niveau était vraiment excellent. » Le plus jeune finaliste n'a que 16 ans. « Parmi les changements cette année, nous avons aussi noté que les écoles proposaient plus fréquemment à leurs étudiants de présenter un projet à Imagine Cup qui compterait pour l'obtention de leur diplôme, plutôt qu'un projet 'dans le vide'. » Apprendre à vendre ses projets ou à creuser certains points techniques avec des spécialistes, collaborer avec d'autres disciplines, etc., les candidats ont tous apprécié. « Je crois que nous sommes en passe d'atteindre l'objectif principal de l'Imagine Cup : redorer ces filières techniques, redonner goût aux technologies », conclut Laurent Ellerbach. Les gagnants reçoivent des prix qui atteignent jusqu'à 25 000 dollars. Et Microsoft propose aussi à certaines équipes primées d'intégrer l'Imagine Cup Innovation Accelerator pour les aider à développer leur projet. (...)

(09/07/2008 12:54:57)

97% des téléphones mobiles ne sont pas recyclés

Selon une étude publiée par Nokia, la majorité des téléphones portables prennent leur retraite au fond d'un tiroir (44%). Réalisée auprès de 6500 personnes dans 13 pays (dont la France ne fait pas partie), le rapport révèle que seuls 3% des mobiles sont recyclés. Pour le reste, 25% sont donnés à la famille ou aux amis, 16% sont revendus (notamment sur Internet) et 4% finissent leurs jours dans la poubelle puis dans les décharges publiques (un moindre mal). Selon Susan Allsopp, porte-parole de Nokia, ces chiffres s'expliquent essentiellement par le manque d'information des consommateurs : 74% d'entre eux admettent tout simplement ne pas avoir y pensé, et la moitié d'entre eux ignore même qu'il est possible de recycler leur téléphone portable, et ne savent pas comment s'y prendre. Des initiatives de sensibilisation existent pourtant. En décembre dernier, Motorola a par exemple renouvelé pour la troisième fois son programme de collecte et de recyclage des mobiles inutilisés, en association avec le Téléthon. Quant à Nokia, il propose désormais des enveloppes préaffranchies dans lesquels on peut renvoyer son vieux téléphone. Une double bonne action puisque, pour chaque téléphone reçu, le finlandais donnera 5 euros au WWF (World wildlife fund). Un recyclage bénéfique pour l'environnement... et pour les constructeurs Les bénéfices du recyclage des téléphones portables sur l'environnement pourraient être considérables. Selon Nokia, si chacun des trois milliards d'utilisateurs de mobiles prenait la peine de confier son portable usagé à un organisme de recyclage, ce sont quelque 240 000 tonnes de matières premières qui pourraient être récupérées. Toujours d'après Nokia, entre 65 et 80% des matériaux composants un mobile sont recyclables. Et leur seconde vie est parfois surprenante : ils peuvent par exemple servir à fabriquer des ustensiles de cuisine, des bancs de parc, des instruments de musique et même des plombages dentaires ! D'autres sont broyés sous forme de copeaux et intégrés dans des matériaux de construction de bâtiments ou de routes. Une incitation à acheter des mobiles flambant neufs Nokia possède 5000 centres de récupération de portables dans 85 pays. Si les intentions écologiques du constructeur finlandais sont louables, elles lui sont aussi profitables. Annette Zimmermann, analyste senior chez Gartner, souligne en effet que tous ces téléphones ne sont pas rénovés en l'état, ni revendus, ce qui incite les gens à acheter plus de téléphones flambants neufs, plus chers qu'un portable utilisant des matériaux recyclés. (...)

(08/07/2008 18:08:40)

L'Imagine Cup met en avant les informaticiennes

Sur les 400 finalistes du grand concours de développement organisé par Microsoft, Imagine Cup, on ne compte que 52 jeunes filles... « C'est mieux que l'an dernier, mais encore trop peu », a déploré Simon Brown, VP du groupe développeurs et plateformes de Microsoft, à l'occasion de la table ronde Women in IT qui s'est tenue le 7 juillet, dans le cadre de la compétition. La proportion de candidates pour Imagine Cup n'est pas anecdotique. La pénurie de femmes dans l'informatique (études et entreprises) est une réalité. Les chiffres manquent pour conforter le constat de terrain. Mais, d'où qu'elles viennent, France, Italie, Pologne, Allemagne, Irlande, Singapour, Corée, Argentine, Nouvelle-Zélande, toutes les étudiantes présentes ont fait le même constat : elles sont en très forte minorité dans leurs promotions. Mais elles adorent l'informatique ! Les jeunes femmes présentes ont mis à mal nombre de stéréotypes. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » Ces jeunes informaticiennes de l'Imagine Cup ont donc tenté de convaincre leurs camarades qui hésiteraient à suivre la même voie qu'elles. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » a même insisté une jeune coréenne. Les jeunes femmes ont raconté leurs parcours, leurs histoires afin de montrer le chemin. Le faible nombre de modèles est en effet une des causes identifiées de la pénurie d'informaticiennes. Cause à laquelle il faut ajouter l'image déplorable généralement véhiculée des « geeks » ou accros de l'informatique qui revient dans presque tous les témoignages. Sans oublier que l'informatique continue d'être considérée comme un métier masculin. Quels remèdes à cette pénurie de femmes dans l'informatique ? Au cours de la table ronde, peu de réponses concrètes ont été apportées, même si la discussion a permis d'ébaucher des idées. « Nous sponsorisons Women in IT depuis quatre ans parce que la présence de plus de femmes dans l'informatique est aussi une opportunité pour notre industrie, confirme ainsi Simon Brown. Nous manquons de compétences techniques de façon globale. C'est d'abord une question d'éducation sur le long terme. Mais à plus court terme, nous organisons du réseautage et du mentoring. Nous avons aussi EveTechs, un réseau social destiné au mentoring et au soutien professionnel des informaticiennes. » Comme remède, de nombreux témoignages de candidates [[page]] Aude de Thuin confirme, quant à elle, qu'il est essentiel d'identifier de nouveaux modèles de femmes dans les sciences et l'informatique, d'organiser des campagnes de communication, et d'innover avec des prix, des récompenses, etc. Aude de Thuin préside et organise le Women's Forum for the Economy and Society dont la prochaine édition aura lieu en septembre à Deauville. Elle rappelle qu'il faut surtout « changer les mentalités. Nous avons encore des réflexes d'il y a 20 ou 30 ans ! » Des témoignages comme ceux des jeunes candidates présentes à Women in IT pourraient bien contribuer à de premiers changements. Une étudiante allemande, installée depuis quatre ans en Nouvelle-Zélande raconte : « Plus jeune, je n'aurais jamais opté pour l'informatique. Je pensais que c'était ennuyeux, pas intéressant. Je voulais être journaliste. Finalement, un jour, mon copain qui fait des études d'informatique m'a proposé d'apprendre un peu à programmer. Cela me faisait moyennement envie. Je ne voulais pas ressembler à tous ces geeks... Puis finalement j'ai appris et j'ai fini par entrer dans une université d'informatique ! C'était très différent de ce que je pensais. C'est un sujet très social, il y a du travail d'équipe. Et la programmation ne représente qu'une toute petite partie de l'IT. » Les étudiants en informatique sont loin d'être d'affreux « geeks » Pour Julie, histoire opposée, mais résultat identique. La maman de la jeune française travaillait chez un éditeur de logiciel. Elle n'a donc pas eu à chercher très loin son modèle ! « Nous avons toujours eu des ordinateurs à la maison, et cela m'a toujours plu, » raconte-t-elle. Depuis toute petite, elle sait qu'elle veut faire de l'informatique son métier. Mais nombreux sont ceux qui lui ont fait remarquer qu'elle ne ressemblait en rien à tous ces geeks... [[page]]Aujourd'hui, elle a 22 ans et vient de terminer l'UTC de Compiègne. Elle va entamer un master à Berkeley en Californie. « Je suis volontairement passée par du développement, très technique, pour pouvoir intégrer une filière de management. J'aimerais m'occuper de stratégie IT. » Au cours de ses études, elle a compris que tous les étudiants en informatique n'étaient pas des étranges et effrayants accros de techniques. « Finalement, quand on commence, nous sommes tous pareils. » Dans sa promotion, les filles ne représentaient pas plus de 10% des 120 étudiants. Claudie Haigneré : « être femme serait plutôt un atout » Claudie Haigneré, ancienne spationaute et ex-ministre de la Recherche et des Nouvelles technologies, a elle aussi été priée de raconter son histoire. « Quand j'étais enfant, j'ai vu un homme à la télévision poser le pied sur la lune, et je me suis dit : pourquoi par moi ? Et quand, en 1985, on m'a proposé de devenir spationaute, ce n'a jamais été une question de femme ou d'homme. J'ai juste pensé : mais pourquoi ne pas le faire ? » Comme Julie, Claudie Haigneré estime qu'être une femme a plutôt été un atout dans son parcours. Puis, la spationaute a ajouté qu'il « ne faut pas oublier que les sciences et la technologie ne sont pas juste des moyens d'obtenir plus de pouvoir. Ce sont aussi des moyens de mieux organiser sa pensée et donc sa vie. Des moyens d'accéder à la sagesse et à la culture.» (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >