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Développement durable

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(25/09/2008 09:10:57)

HP publie les émissions de carbone de sa chaîne logistique de rang un

3,5 tonnes d'équivalents carbone. C'est ce qu'émettent 80% des prestataires de rang un d'HP (pour la production). L'entreprise vient de publier ces chiffres, comme elle l'avait promis. Pour obtenir ce montant, HP a multiplié les émissions de carbone de chacun de ses prestataires par le pourcentage qu'il représente dans leur CA avant d'additionner les résultats. Pour l'instant, le géant Californien ne tire pas de conclusions directes du résultat affiché par ses prestataires, qui pourraient se traduire en actions concrètes. Bien entendu, il explique vouloir exploiter ces éléments pour améliorer l'efficacité énergétique de ses prestataires de rang un. Il souhaite aussi « propager l'information au reste de sa chaîne logistique [supply chain] pour identifier d'autres moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre dès lors qu'il réalisera un reporting de telles émissions pour ses prestataires au delà du rang un ». A bon entendeur... Mettre au point des outils de mesure cohérents des émissions des sous-traitants Enfin, HP n'en restera pas là en matière de chaîne logistique. Il travaille par exemple avec l'Electronic Industry Code of Conduct (EICC) sur un outil de calcul cohérent et unique pour les rapports d'émission de CO2 des sous-traitants. Il participera aussi à la Greenhouse Gas (GHG) Protocol Supply Chain Initiative pour mettre au point une méthodologie de mesure des émissions de gaz à effets de serre liées au cycle de vie des produits et à la chaîne logistique des industriels. (...)

(23/09/2008 09:42:43)

La Fing nous guide au coeur de la convergence des technologies

Jean-Michel Cornu, directeur technique de la Fédération Internet nouvelle génération (Fing) a rédigé un ouvrage pour nous guider au coeur des NBIC. Quatre lettres qui symbolisent quatre technologies : les nanotechnologies, les biotechnologies, les technologies de l'information, la cognition. Si elles ont été dotées d'un sigle commun, c'est que tous les observateurs attentifs le savent, ces technologies ont une forte tendance à converger les unes vers les autres pour donner naissance aux innovations de demain. Des nanopuces s'installeront dans le corps humain, des avatars réalistes parleront avec la voix et des éléments du caractère des défunts, certains ordinateurs décodent déjà nos ondes cérébrales.... Comment, en tant que citoyen, élu, responsable de projet, industriel, faire face à de telles évolutions, alors les NBIC sont des disciplines complexes et vastes dans lesquelles il est difficile de se retrouver ? Comment en conséquence, prendre les décisions les plus sages pour l'avenir ? « Les territoires, par exemple, savent se projeter assez bien jusqu'en 2010, voire un peu au delà, en termes d'innovation technologique, insiste Daniel Kaplan, délégué général de la Fing, mais il leur est difficile d'imaginer ce qui va se passer avec l'informatique ambiante ou le rapport entre réel et virtuel, par exemple. » La Fing doit jouer son rôle de veilleur avec des outils tels que « Nouvelles technologies, nouvelles pensées ? » Il faut des spécialistes des technologies, mais il faut aussi prendre du recul Pour la Fédération Internet nouvelle génération (FING) et son directeur scientifique, Jean-Michel Cornu, il est essentiel pour l'avenir de comprendre. Expert de longue date des TIC et de leurs usages, l'auteur a étudié les travaux de laboratoires du monde entier et tenté une vulgarisation de cette convergence des NBIC. « Utilisons la métaphore de la montagne, propose Jean-Michel Cornu. Qui connaît le mieux un sommet ? Le sherpa qui l'a gravi ou bien l'équipe de télévision qui le survole en hélicoptère ? » Réponse : les deux. Il est, certes, important d'avoir des spécialistes avec une connaissance pointue. Mais une vue d'ensemble, avec du recul, est tout aussi essentielle. Pour prendre les bonnes décisions pour l'avenir, Jean-Michel Cornu propose des éléments de vulgarisation des quatre disciplines, mais aussi les points de vue des scientifiques de chacune d'entre elles. Celui de l'informaticien n'est pas celui du cogniticien. une cartographie des savoirs [[page]]Enfin, parce qu'il est impossible de retenir autant d'idées complexes, l'ouvrage est organisé comme une cartographie des savoirs. Il contient un chapitre par disciplines mais aussi des chapitres « clés » comme « l'interdisciplinarité », des exemples, des liens vers les travaux de certains laboratoires, etc. Un blog l'accompagne et bientôt, une île de Second Life devrait le compléter et inviter à des promenades au coeur des NBIC. Pour revenir au réel et boucler la boucle, un rendez-vous annuel proposera un point à partir du premier semestre 2009 sur les projets de laboratoires. « Aujourd'hui, l'homme peut non seulement agir sur lui-même et sur son environnement, mais il a aussi acquis le pouvoir de détruire sa niche écologique, voire l'humanité tout entière », rappelle l'auteur en quatrième de couverture, avant de continuer : « Nous sommes désarmés face à notre incapacité à faire des choix d'une ampleur historique et à les appliquer. » Alors, mieux vaut essayer de comprendre de quoi il est question. (...)

(22/09/2008 12:49:53)

Alter Way remporte un contrat de 7 millions d'euros

La société de services en logiciels libres Alter Way vient de remporter son plus gros appel d'offre auprès du Gaeld (Groupement d'achat des entreprises locales de distribution), via sa filiale Solinux. D'un montant de 7 M€ sur trois ans, ce contrat européen prévoit le remplacement des compteurs d'énergie du Gaeld (qui fonctionnaient jusqu'à présents avec des solutions logicielles propriétaires) par des compteurs « intelligents », basés sur des technologies à code ouvert. En tout, ce sont 80 000 compteurs Echelon (une marque américaine) qui seront déployés et contrôlés à distance. Le logiciel développé et intégré par Alter Way permet de télé-relever des indices de consommation d'énergie (électricité et gaz pour le moment, eau à moyen terme), de caler la consommation en fonction des besoins réels ou encore de fournir une facture détaillée. La SSLL veut poursuivre une politique active de croissance externe La SSLL, qui a fêté ses deux ans à peine en juillet dernier, confirme ses objectifs de croissance, à savoir dépasser les 10 M€ de chiffre d'affaires en 2008 (contre 5,2 M€ l'année dernière). Philippe Montargès, co-fondateur et dirigeant d'Alter Way, entend par ailleurs poursuivre une politique de croissance externe active. Dans le courant de ces derniers mois, la SSLL s'est successivement offert Ingeniweb, Eclip's Software, Nexen Services et Anaska (société lyonnaise spécialisée dans la formation open source) en juin dernier. Alter Way, qui compte actuellement 85 collaborateurs, recrute des chefs de projets Web ou spécialisés dans le décisionnel, des administrateurs systèmes Linux ainsi que des développeurs (PHP, Java, JEE, open source). (...)

(19/09/2008 14:44:18)

Pas de bonus-malus écologique en dehors de l'automobile, pour l'instant

Finalement, le bonus-malus écologique devrait se cantonner à l'automobile. Au fil des mois, Jean-Louis Borloo avait pourtant évoqué des extensions possibles à l'électroménager, aux écrans plats, et pourquoi pas à l'informatique et à l'électronique ? Résultat : tout comme Michèle Alliot-Marie pour cause d'Edvige, le ministre de l'Ecologie devait être reçu à l'Elysée en fin d'après-midi pour rendre des comptes. Il sera accompagné du ministre du Budget, Eric Woerth, et de la secrétaire d'Etat à l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet. Hier, le premier ministre, François Fillon, s'était montré particulièrement hostile à toute nouvelle taxe verte. Selon l'AFP, de source gouvernementale, « la réunion est destinée à "mettre à plat toutes les mesures du Grenelle", alors que la question reste soumise à l'arbitrage du président de la République. » Un coup de poignard au Grenelle de l'environnement selon Noël Mamère, député-maire Verts de Bègles. Et d'expliquer chez nos confrères pourquoi le renoncement aux taxes écologiques est bel et bien une aberration économique : « aujourd'hui, nous payons très cher, au travers de la sécurité sociale, les polluants présents dans certains produits qui provoquent des maladies. Une fiscalité écologique entraînerait de vraies économies. » Une pollution dissimulée mais bien réelle Depuis l'an dernier, avec ce bonus-malus, les acheteurs de véhicules considérés comme peu polluants bénéficient d'une aide de l'état alors que les véhicules que l'on estime plus polluants doivent s'acquitter d'une taxe. Si les automobiles émettent de façon évidente des gaz à effets de serre, la pollution induite par les matériels électroniques et informatiques est davantage dissimulée, mais bien réelle. Substances chimiques toxiques, métaux lourds, produits non recyclables, la liste est longue. Il suffit de consulter régulièrement 'Guide to Greener Electronics' de Greenpeace pour s'en faire une idée. A noter par exemple qu'on ne sait toujours pas comment recycler la plupart des écrans plats du marché. Au mieux, les entreprises chargées de les démanteler conservent les dalles tout en travaillant en parallèle sur des processus de recyclage adaptés. (...)

(16/09/2008 14:46:23)

David Simchi-Levi d'Ilog : On peut aussi optimiser la supply chain pour la rendre plus 'verte'

Du 10 au 12 septembre, Ilog a tenu à Chicago son symposium Supply chain excellence. A cette occasion, il a évoqué les moyens pour une entreprise d'optimiser sa chaîne logistique pour réduire ses coûts, améliorer ses services et surtout diminuer son impact sur l'environnement. Le green IT se décline en effet aussi au travers de l'alignement du système d'information sur la stratégie de développement durable de l'entreprise. La supply chain est un outil essentiel pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : réduction des stocks, choix de moyens de transport «verts», optimisation du remplissage des camions, choix de trajets les plus économiques et écologiques à la fois, etc. David Simchi-Levi, professeur au MIT (Massachussets Institute of Technology) et directeur scientifique d'Ilog, répond à nos questions sur le sujet. Lire notre entretien avec David Simchi-Levi (...)

(15/09/2008 09:41:33)

Le Point sur l'IT : Les DEEE en entreprise (Magazine vidéo)

Le Point sur l'IT consacré aux DEEE (magazine vidéo). En France, il est obligatoire de recycler ses déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) depuis 2006. Mais si la filière est claire et organisée pour le grand public, il n'en va pas forcément de même pour les entreprises. Pour y voir plus clair, nous avons convié deux experts de la filière entreprise dans l'édition de septembre de notre magazine vidéo Le Point sur l'IT. Sylvain Couthier, pour commencer, est le PDG d'ATF, une société qui propose des services de valorisation (remise en état, élimination des données, recyclage, etc.) ou de revente des parcs informatiques d'entreprise. Pierre Sicsic, ensuite, est responsable de l'environnement chez HP France. Il est spécialiste de l'impact environnemental des produits fabriqués par HP et s'occupe en particulier de l'écoconception, grace à laquelle on réduit, dès la conception des produits, l'impact qu'ils auront sur l'environnement à la toute fin de leur vie. Comment respecter la réglementation Sylvain Couthier et Pierre Sicsic expliquent ce que sont les DEEE. Mais surtout, ils détaillent la façon dont une entreprise peut et doit s'occuper aujourd'hui de ses parcs obsolètes. Quelle réglementation doit- elle respecter ? Vers quel prestataire doit-elle se tourner ou encore, quel sera le coût d'une telle opération ? (...)

(12/09/2008 16:23:46)

Paris va rebrancher ses bornes WiFi au grand dam des syndicats

Rien ne va plus entre la Ville de Paris et six syndicats, fermement opposés sur le dossier du WiFi dans les bibliothèques municipales. A la fin 2007, plusieurs agents de la ville se plaignaient de céphalées et autres malaise suite à l'installation de points d'accès à Internet sans fil dans quatre bibliothèques. En conséquence, le Comité d'hygiène et de sécurité (CHS) a décidé en novembre, la désactivation des bornes incriminées. Puis, en juin 2008, l'Hôtel de Ville a lancé une enquête pour faire la lumière sur les dangers liés aux émissions électromagnétiques des hotspots. Hier, la Mairie de Paris, se faisant l'écho des conclusions des experts, a indiqué que les relevés effectués dans les quatre bibliothèques avaient « confirmé des niveaux de 80 à 400 fois inférieurs au seuil règlementaire ». Le rapport exposant l'ensemble des observations doit être présenté, le 18 septembre prochain, au CHS. Mais cette réunion pourrait ne pas se tenir : les syndicats CGT, CFTC, FO, SUPAP-FSU et UNSA menacent en effet de boycotter l'événement pour protester contre la façon dont les expertises ont été conduites. Les syndicats accusent la Mairie de délit d'entrave Ils reprochent notamment à la Ville de n'avoir pas entendu les spécialistes qu'ils avaient eux-mêmes mandatés, et s'inquiètent de la prochaine remise en marché des bornes WiFi « sans concertation ». Fort courroucée, l'intersyndicale estime que Bertrand Delanoe « escamote la vérité » et l'accuse de « délit d'entrave ». En guise de réponse, la Mairie de Paris rappelle que c'est à l'initiative de l'édile qu'un « voeu à été voté par le Conseil de Paris en juillet 2008 pour la mise en place d'une conférence citoyenne consacrée au thème des ondes électromagnétiques ». (...)

(26/08/2008 17:45:41)

Enquête Greenpeace : Comment les déchets électroniques européens et asiatiques polluent l'Afrique

Greenpeace a mené l'enquête sur deux décharges situées au Ghana, qui servent, pour l'une, au dépôt et au retraitement de produits électroniques (des ordinateurs, des écrans et des télévisions) et, pour l'autre, à la revente de certains éléments. Le désassemblage y est réalisé manuellement et les appareils sont souvent brûlés en plein air pour isoler le cuivre ou le plastique. Résultat : une contamination importante des sols recouverts par ces cendres avec les substances chimiques toxiques présentes dans les machines ou générées lors de la combustion. Un type de pollution semblable à celle déjà constatée, selon Greenpeace, en Chine, en Inde et en Russie. Par ailleurs, le travail est essentiellement réalisé par des enfants avec des outils rudimentaires et sans protection particulière. Selon les travailleurs locaux interrogés par Greenpeace, le cuivre est vendu 0,22 $ la livre et le plastique 0,01 $ le kilo. De grandes quantités de substances toxiques dans les sols Les chercheurs de Greenpeace ont analysé les échantillons de sols auprès des deux décharges afin d'en connaître la composition détaillée. Phtalates, plomb, cadmium et dioxines s'y trouvent en grande quantité. Greenpeace estime que, malgré une réglementation parmi les plus strictes au monde, l'Union Européenne « perd » 75% de ses déchets électroniques. Nombre de ces produits, contenant des éléments métalliques et chimiques dangereux, passent par des pays avec une réglementation minimaliste voire inexistante. Résultat, l'Afrique en particulier est le réceptacle de cette pollution croissante. Selon l'organisation, entre 20 et 50 millions de tonnes de ces déchets sont générées dans le monde chaque années. Sans surprise, Greenpeace alerte sur l'urgence de la situation. L'organisation appelle à un « plus grand contrôle de la circulation transfrontalière de ces déchets et de leur recyclage. » Elle insiste sur le besoin d'éco-conception pour les nouveaux appareils électroniques (moins de substances toxiques, recyclage facilité, etc.) Bien sûr, des directives comme la DEEE (Déchets des équipements électriques et électroniques) et la RoHS (Restrictions on Hazardous Substances) sont de vraies avancées, mais elles se limitent à l'Europe. Greenpeace souhaiterait les voir étendues au reste du monde et à d'autres substances dangereuses. (...)

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